Il semblerait que les organistes
de Notre Dame n’aient pas fait l’unanimité. Je rappelle qu’ils n’ont joué ni
des œuvres de Jean-Sébastien Bach, ni de Charles-Marie Vidor, ni d’Olivier
Messiaen, mais des improvisations improvisées sur le mode du temps actuel, sans
ossatures, sans formes définies, sans liens entre les plans, sans fondamentales
et absentes de tout sens musical et de toutes marques de génies. Pour parler –
écrire – simple et clair, ils ont joué n’importe quoi. L’improvisation est un
art à part entière qui s’apprend et se peaufine au fil du temps. Bof ! Ils
n’ont fait que participer à l’ambiance générale marquée par le tout en même
temps, une cérémonie vulgaire et païenne où Dieu aura été le grand absent. Même
l’archevêque de Paris Laurent Ulrich avait opté pour une tenue de carnaval, une
tenue dessinée par un styliste français peu inspiré, un certain Jean-Charles de
Casttelbajac. Si les murs de la cathédrale ont été embellis, ce n’est pas le
cas des pensées et des psychismes humains qui à force de grisonner vont bien finir
noir, dans le plus beau des noirs du fond de mon puits.
PS : même les Capuçon se sont fait asphyxier par
l’air ambiant. Leur Haendel « arrangé » était aussi pitoyable que
leur lecture de la partition.
En Syrie, le groupe islamiste
Hayat Tahrir Al-Cham a chassé Bachar Al-Assadqui a pris la fuite alors
que Canal a décidé de retirer ses quatre chaînes payantes sur la TNT (Canal+,
Canal+ Cinéma, Canal+ Sport, Planète) en juin 2025, conséquences
du retrait de la chaîne C8, première chaîne de la TNT, par l’Arcom. Avant d’enfin de disparaître, Biden a offert un million de dollars à Zelinski, un ami intime
du couple Macron alors que la première de Nabucco a triomphé à la Scala malgré
la présence de Netbreko. Les fans de Star Academy ont été très déçus.
Leurs chanteurs de caniveaux étaient encore un cran en dessous, ce qui pourtant
est difficile. Le miracle s’est produit. Le monsieur déguisé en Arlequin a
frappé trois fois, trois fois – ce qui fait neuf – la porte de l’édifice. Elle
s’est ouverte toute grande sans que personne ait touché la poignée. Après, les
enfants ont été obligés de chanter des ignominies préhistoriques et répétitives
– ce qui est dommage parce qu’ils chantaient fort bien – et l’enfant au
psychisme inabouti a déclamé des proses redites à la manière Gerard Philip,
mais sans le talent. Trump a observé. Zelinski est resté bouche-bê. Rachida
Dati a été grondée par le pape qui n’était pas là parce qu’il n’a pas voulu
venir. Les frères Capuçon, des amis intimes du couple Macron, étaient de
service. Barnier, pourtant viré, a assuré l’intendance. Les organistes ont improvisé
sans savoir qu’improviser est un métier. Les télés du monde entier ont retransmis
le gros trou de ce vide. C’est tout.
Von der Leyen, dans la
tourmente, ne viendra pas à Notre-Dame. Les agriculteurs ne peuvent plus retenir
leur colère contre Macron, le traitre. La haine submerge la composition d’un nouvel impossible gouvernement. Un plan social est annoncé chez Canal dont quelque
250 employés vont s’inscrire au chômage. L’Opéra de Paris ferme, les grèves le
réduisent à l’impuissance. Le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Cham aura bientôt
la tête du dictateur Bachar Al-Assad. L’un remplace l’autre. Le peuple syrien,
comme le peuple français, est encore cocu. Par crainte de vous lasser, j’arrête
ici l’inventaire de ma marmite géantissime. Et pendant ce temps, l’enfant au
psychisme inachevé qui croit servir de roi à la France, va parader toute la
journée, comme au temps des cathédrales, serrer les mains et caresser les corps,
avec maman aussi, et clamer au monde tout entier, combien il est fier d’avoir
construit Notre Dame de ses propres mains après avoir couru en longueur et en
hauteur aux jeux du cirque, tout l’été, et ceci devant toutes les télés. Bonjour tristesse, a dit Sagan.
Avez-vous remarqué que les Capuçon sont encore de la fête alors que l’épouse de
l’un deux, une certaine Ferrari, ne cesse de vilipender la macronie sur une chaine
télé ? Ne jamais oublier que le diable se cache toujours dans les détails.
Rien n’échappe à qui sait voir et entendre. Un jour, nous saurons.
Quoi qu’on en pense et quoi
qu’on en dise l’enfant au psychisme inachevé, psychisme qui s’est bloqué au
cours de son séjour en maternelle au moment où il eut à choisir entre deux
mamans, l’enfant qui sert de roi à la France, a la cote auprès du peuple des crapauds
et des grenouilles français. Son intervention-minute d’hier soir à la télé,
aurait dû déclencher les foudres des citoyens qui auraient dû spontanément
marcher sur l’Élysée et brûler l’édifice et le lieu avec tous ses pantins. La France,
dans le gouffre, mieux, dans le noir du fond de mon puits aux fond de mon jardin
ou croupissent les âmes maléfiques de ceux qui ont vécus dans la confusion,
serait donc dans cette situation par la faute de ceux qui ne votent pas comme
le veut la convenance en macronie ? Par la faute de ceux qui rejettent l’orgueil,
la perversité, le déni et les caprices du petit Emmanuel ? Par la faute de
Marine Le Pen et de ses amis à qui personne n’a jamais demandé son avis ? Par
la faute de la majorité des français qui survivent dans la douleur, alors que
le marmot se pavane dans les cours royales avec maman en se prenant pour Louis
XIV ou Napoléon ? Ça suffit ! L’individu doit partir. La Ve
République doit être dissoute. La raison doit reprendre ses droits. Mais avant
de reconstruire, il faut faire place nette et pour cela, chacun des citoyens,
du plus petit au plus grand, du plus pauvre au plus riche, du plus fainéant au
plus courageux, du plus laid au plus beau, du plus con au plus subtil, doit se
remettre en question en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher
son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le
traverser. L’homme vérifié et réparé pourra ainsi construire une nouvelle société
où la lumière aura eu raison des zones d’ombre et de l’arbre qui cache la forêt.
Le spectacle n’a pas été bon.
La pièce a été surjouée. Les comédiens n’ont pas été à la hauteur. Leur
impossible sincérité aura été fort ennuyeuse. Il n’y eut que trois acteurs convaincants :
Le Pen, la femme violée, Ciotti le dissident et surtout Barnier mis en terre en
place de Macron le félon. Cette soirée au théâtre, aura été marquée par la
grande erreur de Le Pen – même si son jeu a été parfait - qui en s’alliant aux fascistes
islamiques puants, a probablement – ou pas - mis fin à sa carrière. Jusqu’à
maintenant c’était le bordel permanent. Maintenant, je crois que je vais bien m’amuser,
surtout que l’enfant handicapé de l’Elysée, le grand coupable, ergote ses
tirades de théâtre, ce soir à la télé. Quand votre vieille télé ne marche plus,
vous la jetez et vous en achetez une qui répond à vos besoins, mais aussi à vos
désirs. Si la Ve République se meurt – elle devrait être morte à l’heure où j’écris
– c’est qu’elle a été inventée par et pour un militaire et que lui seul en
connaissait le mode d’emploi. C’est aussi, parce que des voyous se sont infiltrés
dans ses rouages et y ont cassé la pièce maîtresse, l’opposition implacable
entre le blanc et le noir. Ils y ont mis de la couleur et cela a briser les
courroies d’entrainements. Il faut jeter cette constitution avec tous ceux qui
s’y sont frottés et retourner à la maison en espérant qu’elle n’aura pas explosée.
Si les hypocrites, les menteurs, les charlatans, qui prétendent que la fonction
présidentielle est sacrée – ce qui me fait beaucoup rire – ne veulent pas
destituer l’enfant, c’est au peuple de s’en occuper, mais pas avant d’avoir mis
au point la solution de remplacement pour éviter le retour de Robespierre. Il n’est
pas possible de construire une nouvelle société sur des sables mouvants. C’est
pourquoi je réitère : considérer l’individu comme prioritaire, en
priorité, en l’aidant à pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher
son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le
traverser. C’est alors que la vie pourrait bien s’ériger sur la terre, les yeux
pourraient bien s’ouvrir, les oreilles se déboucher, les paroles prendre un
sens et les roues dentelés s’imbriquer minutieusement dans une copulation
éternelle, effrénée et pensée. Et nous n’aurions plus les spectacles
affligeants de la Comédie de l’Hémicycle et ceux du Théâtre des Pantins de l’Élysée.
Le plus rigolo dans tous ça, c’est qu’on laisse les français choisir, alors qu’ils
ne sont toujours pas capable de comprendre que leur petit doigt n’a pas la même
fonction que leur intestin.
Nr. 1 – »Vor Edens Tor im
Morgenprangen« (Alt) 0:01:00 ∙ Nr. 2 – »Wie glücklich sie
wandeln« (Peri) 0:04:25 ∙ Nr. 3 – »Der hehre Engel«
(Tenor, Engel) 0:06:43 ∙ Nr. 4 – »Wo find’ ich sie?«
(Peri) 0:08:31 ∙ Nr. 5 – »So sann sie nach«
(Tenor, Solo-Quartett) 0:10:46 ∙ Nr. 6 – »Doch seine Ströme
sind jetzt rot« (Chor, Chor der Eroberer, Chor der Inder) 0:11:55 ∙ Nr. 7 – »Und einsam steht
ein Jüngling« (Tenor, Chor der Eroberer, Gazna, Jüngling) 0:14:47 ∙ Nr. 8 – »Weh, weh, weh, er
fehlte das Ziel« (Chor) 0:17:09 ∙ Nr. 9 – »Die
Peri sah das Mal der Wunde« (Tenor, Peri, Chor) 0:19:00 ∙
Zweiter Teil :
Nr. 10 – »Die Peri tritt mit
schüchterner Gebärde« (Tenor, Alt, Chor) 0:25:48 ∙ Nr. 11 – »Ihr
erstes Himmelshoffen schwand« (Tenor, Chor der Genien des Nils, Peri) 0:28:29 ∙ Nr. 12 – »Fort
streift von hier« (Tenor, Peri) 0:31:43 ∙ Nr. 13 – »Die
Peri weint« (Tenor, Solo-Quartett) 0:34:55 ∙ Nr. 14 – »Im
Waldesgrün am stillen See« (Alt, Jüngling) 0:37:15 ∙ Nr. 15 –
»Verlassener Jüngling, nur das Eine« (Mezzosopran, Tenor, Jüngling) 0:39:59 ∙ Nr. 16 – »O lass
mich von der Luft durchdringen« (Jungfrau, Tenor) 0:43:31 ∙ Nr. 17 –
»Schlaf’ nun und ruhe in Träumen voll Duft« (Peri, Chor) 0:47:15 ∙
Dritter Teil :
Nr. 18 – »Schmücket die Stufen
zu Allahs Thron« (Chor der Houris) 0:53:35 ∙ Nr. 19 – »Dem
Sang von ferne lauschend« (Tenor, Engel) 0:56:24 ∙ Nr. 20 –
»Verstoßen! Verschlossen aufs neu« (Peri) 0:59:23 ∙ Nr. 21 – »Jetzt
sank des Abends gold’ner Schein« (Bariton) 1:03:32 ∙ Nr. 22 – »Und
wie sie niederwärts sich schwingt« (Tenor, Chor der Peris, Bariton) 1:07:34 ∙ Nr. 23 – »Hinab
zu jenem Sonnentempel« (Peri, Tenor, Mezzosopran, Der Mann) 1:11:11 ∙ Nr. 24 – »O
heil’ge Tränen inn’ger Reue« (Solo-Quartett, Chor) 1:16:52 ∙ Nr. 25 – »Es
fällt ein Tropfen« (Peri, Tenor, Chor) 1:20:04 ∙ Nr. 26 –
»Freud’, ew’ge Freude, mein Werk ist getan« (Peri, Chor der Seligen) 1:26:17 ∙
Julia Kleiter, Peri ∙
Maximilian Schmitt, Tenor solo
/ Jüngling ∙
Gerhild Romberger, Mezzosporan
solo / Alt solo / Engel ∙
Katja Stuber, Sopran solo /
Jungfrau ∙
Krešimir Stražanac, Bariton
solo / Der Mann / Gazna ∙
La loi martiale du président
Yoon Suk-yeoln’aura durée que quelques heures, le peuple sud-coréen et
ses représentants l’ayant muselé avant de le destituer prochainement. Au même
moment, la France s’apprête a destituer son gouvernement grâce à un parti fort
et justement représenté à l’Assemblée, mais humilié et violé depuis des années
par les pitoyables bien-pensants de la gauche islamiste associée à la gauche
rachitique, et du centre micronique psychopathe. Et le président, un enfant au
psychisme inabouti, n’a toujours pas compris que plus personne ne veut de lui.
Seule sa démission ou sa destitution, peut remettre en marche la machine.
Méfiez-vous de lui. Méfiez-vous de ses caprices. Il est capable des colères
fracassantes des marmots mal élevés et de déclencher l’article 16 qui lui donne
les pleins pouvoirs. Et la dictature sera installée pour un bon bout de temps.
Et si cela ne se passe pas, n’oubliez pas que Mélenchon, la pire des
pourritures, attend son heure. Et son heure viendra. La France aura un dictateur
terrifiant qui partagera les jeux interdits avec son copain et ami, Kim Jong-un.
Je ne sais pas si j’ai raison, mais je sais que nous sommes sur le chemin. L’ignorance
et la lâcheté du peuple de France est à l’image de ses dirigeants. Mais vous
avez le droit de penser que c’est plutôt le contraire. Moi je pense qu’il faut
bruler le logiciel et installer un nouveau, celui qui permettra dans les plus
brefs délais notre retour à la maison. Mais attention ! Quand Cooper a ramené
Laura à sa maison, sous leurs yeux effarés, la maison a explosé. Le vide dans
le noir, l’a remplacé. Alors, réfléchissez et comme le dit si bien Barnier,
prenez vos responsabilités.
En votant la motion de
censure des terroristes LFI gaucho-islamistes qui fera chuter Barnier, Le Pen, qui
a tout fait pour normaliser son parti qui est pourtant tout aussi (in)convenable
que les autres partis, se décrédibilise et accélère la chute de la France dans
le noir du trou de mon puits au fond de mon jardin, France qui n’a pas encore
touché le fond mais qui n’en n’est plus très loin. Marine va passer pour la
coupable aux yeux des pantins alors qu’elle aurait pu, en s’abstenant, renforcer
son crédit et, pourquoi pas, accéder à la fonction suprême, fonction qui n’est
plus qu’une illusion pour elle et le RN, désormais. Alors que la France n’a
plus de guide, les pitoyables crapauds baveux qui peuplent l’hémicycle viennent
de donner le coup de grâce aux illusions que se faisaient encore quelques
français naïfs et innocents. Leur roi se balade au Qatar en paradant parmi les
dictateurs, avant les grandes réjouissances de Notre Dame. Il se fiche éperdument
des ruines dont il a couvert la France, d’autant que sa vieille maman ridée qui
l’a dépucelé et qu’il a épousée, a déclaré aux postes et aux télés, que les
français ne méritaient pas son enfant chéri au psychisme inabouti. Il ne semble
pas que ces français soient conscients de la situation. Cet enfant qui a tous
les pouvoirs et qui laisse son égo s’égarer dans l’ultime perversion, cet
enfant qui trompe son monde et qui brûle tout ce qu’il touche, cet enfant qui s’écoute
parler dans son monde imaginaire, cet enfant inadapté qui aura bloqué les
derniers rouages de la société, c’est lui le coupable et lui seul. Maintenant,
il ne nous reste qu’à attendre le nouveau messie, le dictateur tant attendu,
qui va balayer d’un revers de main les récalcitrants. Mélenchon est en
embuscade. Méfiance !
Condamné pour fraude fiscale
et détention d’armes illégales, Hunter Biden a été gracié par son père Joe, le
président de la plus grande démocratie du monde, selon les popotins. Ce n’est
pas bien Joe ! Si ton fils est un voyou, c’est que tu es un mauvais père.
Si Trump retrouve son trône, c’est que tu es, aussi, un mauvais président. Bof,
en fait, je me fiche de ce qui se passe chez les cowboys même s’ils ont tué mon
ami Cochise. Et puis, il y a tellement plus grave chez nous les français qui, par
deux fois, ont mis au pouvoir unpetit
enfant au psychisme inabouti qui a épousé sa maman qui est très vieille et très ridée.Aujourd’hui, le bambin fuit au Qatar pour trois jours, pour ne pas voir la chute de son premier ministre qu’il a nommé pour dépêtrer
le pays de ses erreurs et fautes monumentales, qui, dans une Démocratie, lui
vaudrait de comparaître devant des juges et se voir infliger la peine maximale,
le cachot noir à vie. Que Barnier tombe ou pas, le marmot sera toujours là et
comme c’est le seul qui décide, il s’agit bien d’un non-évènement. Mon seul
regret serait la perte de Rotailleau. Je serais Marine je voterais la motion de
censure en espérant qu’elle plongera la France dans un cahot inexorable, ce qui
fera beaucoup de bien à tous les votants qui donnent du travail super rémunéré
à des imbéciles et à des ignorants et sans savoir que ne pas voter est une
marque de lucidité. Ne manquez pas d’écouter l’édito de 7h53 de Vincent
Trémolet de Villers sur Europe 1. Il dit comme moi, mais en beaucoup mieux.
Ce dimanche est un jour de fête.
C’est le premier – celui qui est en tête – du mois de décembre, celui qui n’apparait
qu’une fois par an. C’est pourquoi je n’aborderai que des sujets légers et sans
intérêts pour ne pas gâcher la fête. Le cercle de la guerre ne cesse de s’agrandir
au point qu’il a quasi englobé le volume de la sphère. Les terroristes
islamiques de le Hayat Tahrir al-Sham ont terrorisé l’armée du président terroriste
syrien, Bachar al-Assad ce qui ne fait que confirmer l’éternelisation et l’élargissement
des conflits sur cette petite boule ronde couverte des crasses crasseuses à
souhait, inventées par l’homme lézardé. Et, bien pire, le duel entre Moreau et
Morini-Bosc s’est terminé dans le sang. L’une prétendait que le couple
Karembeu-Lavoine qui s’embrassent et se caressent à tout-bout-de-champ dans les
écrans télés dans un élan d’immense dégout de stupidité, est beau et touchant et
l’autre, pas. Moi, je pense comme l’autre. C’est dégoutant de voir ces deux
vieux se donner en spectacle dans une chorégraphie affligeante. Je comprends
bien que c’est comme ça aujourd’hui, que les beaux sont moches et que les laids
sont des chefs-d’œuvre à la Leonard de Vinci. Et c’est bien normal puisque les
femmes normales portent des pieux et que les hommes normaux façonnent dans leur
ventre les nouveaux arrivants. Le gloubi-boulga cuit dans la mélasse ne pourra
tenir vraiment longtemps. Il est temps d’anticiper si vous en êtes encore
capable. Et ça, franchement, je ne le crois pas.
Alors que sa dette est abyssale
et démontre l’incapacité, la méconnaissance, l’ignorance et la malhonnêteté du
président de la France et de ses ministres des Finances, les gens payés à ne
rien faire de l’agence de notation S & P Global Ratings a maintenu, on
ne sait pourquoi, la belle note AA- de la France pour la récompenser de ses formidables
capacités à maitriser les additions et les soustractions, les multiplications
et les divisions étant réservées aux étages supérieurs. Alors, comment
comprendre toutes ces plaintes sourdes et pénétrantes qui sortent des ventres
des pantins cassés qui gisent à terre ? Tout va bien en France. L’enfant
au psychisme inabouti a paradé comme un coq – j’en doute – toute la journée
dans les travées d’une grande maison de pierre, telle la statue du commandeur
revenue des entrailles de la terre et a fait la seule chose qu’il sait faire,
prononcer des suites de mots sur la musique de la tirade de Don Diègue dans Le
Cid : « Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! N’ai-je donc
tant vécu que pour cette infamie ? », sans savoir que l’infâme c’est lui,
le marmot qui aura dévasté et meurtri l’honneur d’un peuple jadis admiré,
surtout pour les grands hommes qu’il a érigés, Debussy, Fauré, Gounod et Milhaud.
Les os sont brisés. Le sang s’écoule par les fentes. Et les traitres trahissent
au grand jour. On attend le Sauveur. S’il prend son temps, c’est qu’il veut être
efficace. Mais, de grâce, patientez. Il arrive le dictateur, le Grand
Inquisiteur des ayatollahs.
Au diable les propositions
des gauches soumises aux terroristes de LFI. Quand minuit a sonné, il restait
encore plus de six cents amendements macronistes à examiner. Le problème n’est
pas que ces bandits aient échoué, c’est que l’Assemblée s’est encore montrée
sous son vrai visage : une marmite d’ados vérolés en manque d’amphétamine,
soumis à la violence du déni, de l’incompétence et de l’ignorance. On était,
une fois encore, au marché de Cogolin où le Fernandel de Pagnol achetait ses
choux et ses carottes, en plus violant évidemment et où la haine féroce des
animaux avait de quoi inquiéter les observateurs. Ça ne peut plus continuer. Il
faut brûler l’édifice et mettre fin aux agissements du coupable : l’enfant
au psychisme inabouti qui sert de roi à la France et qui aura tout cassé. Un
linceul noir est tombé sur la France et plus aucun pantin et pantine n’a le
courage de le relever. Et pourtant, j’ai vu, à travers tout ce remue-ménage des
bas instincts, une lueur danser dans le lointain. J’ai découvert – je n’y avais
jamais vraiment prêté attention – quelques vidéos de Camille et Julie
Berthollet. L’aînée et la cadette ont eu des parents, ce qui fait la différence
et l’exception. Non seulement leur violon et violoncelle chantent dans la cour
des grands, mais elles sont adultes et femmes jusqu’au bout des ongles. On ne
peut pas en dire autant de toutes ces merdes qui peuplent les écrans et qui,
politiques, journalistes et chroniqueurs, nous donnent des leçons à longueurs de
journées alors qu’ils ne sont que bêtises, crasses, ordures et flasqueries
rampantes et visqueuses. J’y inclus le président, ses clones et ses clounes, toutes
les classes politiques et tous ceux qui pensent par la pensée des autres. Plutôt
qu’apprendre à lire, à écrire et à compter, ne faudrait-il pas mieux apprendre
à aimer Mozart ou Stravinski, et apprendre à les interpréter avec notre cœur ?
L’humanité retrouverait surement son authenticité.
Finalement le vieux Barnier
aura échoué. J’anticipe peut-être.
Le budget ne sera pas voté. Le 49.3 sera appliqué et la motion de censure aura
raison du gouvernement qu’il a fallu des mois pour faire accoucher. La
destruction du pays voulue par l’enfant au psychisme inachevé qui nous sert de
roi aura aboutie. Il ne reste que la démission du petit garçon que le monde
attend depuis sept longues années. Il ne démissionnera pas le bougre, sauf si
une main de fer ne le propulse hors des frontières de l’univers. C’est lui le
coupable. Le seul. C’est lui le grand malade, que même un enfant des écoles peut
déceler à l’œil nu. Personne n’aurait donc été alerté par sa perversité, par sa
sournoiserie, par son bottage en touche permanent, par ses caresses perfides, par
ses tirades cornéliennes, par son narcissisme, par son incommunicabilité chronique
en raison de son sur-moi inquisiteur ? Par deux fois les français l’ont
choisi par défaut ce qui fait de lui un usurpateur. La France ne peut guérir
des plaies qu’il lui a infligées sur les plaies – précisément – infligées par
ses prédécesseurs. Les ânes criaient que la constitution du militaire à la
retraite était infaillible et garantissait la stabilité. Les ânes se sont lourdement
trompés. Et aujourd’hui, les ânes n’ont que ce qu’ils méritent. Eux aussi, ils
ne s’en relèveront pas.
Depuis 3 heures, ce matin,
Hezbollah et Israël ont signé le pacte de l’éternelle amitié. On dit que Hamas
est jaloux et rêve d’être le troisième du trouple. On ne pactise pas avec les
terroristes, on les saigne jusqu’à ce que mort s’en suive. C’est pourquoi je
vois là une magnifique entourloupe dans laquelle se précipitent les naïfs. Et
les otages ? On en parle ? Ils sont où – et dans quel état – les survivants
que le monde puéril peut compter sur les doigts d’une seule de ses mains, gauche
ou droite ? Les contraires sont identiques. J’en profite pour rappeler que la
main au centre ne peut exister, sauf si notre imagination est suffisamment
exacerbée. Ceux qui pensent que la guerre est finie vont avoir des surprises.
Et l’incarcération de Boualem Sansal en Algérie ? Est-ce que ça vous
titille ? Et la chute imminente ou pas de Barnier, le chaos total de la gouvernance,
la non-arrestation de LFI, la non-destitution de l’enfant au psychisme inabouti
qui sert de roi à la France, l’ignorance des politicards, la perversité des
élections, la dérive des comportements, la gloire des islamistes, l’inconscience
des adultes qui sont restés des enfants, ça ne vous donne pas le tournis ?
Il y a 200 000 ans, l’homme n’avait qu’un souci, remplir son ventre. Retournons-y
en pensant très fort à la réponse de Dale Cooper à la question de Laura Palmer :
« Je vous ramène à la maison ». C’est tout ce que nous avons à faire :
retourner d’où nous venons.
Ce matin encore, je pourrais
écrire un livre en mille tomes pour dénoncer la lâcheté, l’ignominie et l’ignorance
de l’homme et ma préférence du poireau à ce pantin larvé jusque dans ses coins
les plus reculés. Honte à la femme coupable qui pond des monstres et à l’homme
qui l’ensemence stupidement. Qui a compris que l’enfant doit devenir homme et
que pour cela il faut lui apprendre les secrets de la croissance, chose que le
poireau ou la laitue savent faire intelligemment. Ce sont les enfants qui jouent
avec les soldats de plomb, au papa et à la maman et au docteur. Pas les adultes.
Et pourtant quelque soit mon champ de vision, je ne vois que des marmots
violents et capricieux qui s’adonnent à ces jeux pervers et s’écharpent pour de
vrai dans les cours de récréations jonchés par les cadavres des guerres qu’ils
ne cessent de provoquer. Penser n’est plus l’usage. Agir est désuet. Les
peuples d’enfants gouvernés par des enfants sont voués à l’échec. Les petits
français, tous à la crèche, ne cessent de céder aux nourrissons à peine éjectés
du ventre maternel, qui après avoir usurpé le pouvoir et procédé à l’élargissement
des champs de ruines de leurs prédécesseurs, s’acharnent à chercher le chemin onirique
et salutaire qui pourraient les ramener à la maison, le ventre de leur génitrice.
Avant de mettre à mort les traitres, commençons par chercher notre miroir, le
trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Pour cela nous devons
rencontrer Freud et s’approprier sa thérapie psychanalytique. Rien d’autre ne
pourra sauver le monde abruti vécu par les abrutis que nous sommes. Sans doute
me prenez-vous pour un fou. Oui, je le suis, mais la différence entre vous et
moi, c’est que moi, je le sais et je l’affirme.