jeudi 19 décembre 2024

le puits au fond du jardin • il ne reste plus qu'une ou deux pages…

 



 

J’aimerais qu’on m’explique pourquoi le vieux politicard indécis, aux idées flous qui donnent le tournis et qui met trois jours à dire ce que tout en chacun dit en un demi-instant et qui est toujours content de lui, surtout qu’il s’est couronné Premier ministre sous les yeux éberlués de l’enfant qui n’a jamais eu l’habitude d’être contrarié, convie tous les partis de l’Assemblée, aujourd’hui à 14 heures, sauf LFI et RN qui représentent la quasi-moitié des français. Encore un goujat imbécile et ignorant qui ne va pas faire long feu. Et que l’on cesse de changer de gouvernement alors que la seule solution est la démission du président, l’enfant au psychisme inabouti qui préfère de loin sa vielle maman toute ridée qu’il a épousée ou qui l’a épousé. La mauvaise et laide pièce de théâtre de buvard ne finira jamais et cela parce que les spectateurs assoupis sont incapables de quitter la salle pour retrouver le soleil et l’air vivifiant de la liberté.    

 

Il est le seul responsable, l’enfant. Le chauffeur de car agressé et humilié par quelques enfants retardés parce que leurs parents sont psychopathes comme l’immense majorité des parents, est convoqué par sa direction pour être sermonné et sans doute puni, alors que le même enfant dont je parle tant, devrait lui épingler la plus rutilante des Légions d’Honneur pour service rendu à la Nation en se substituant à des parents inconscients qui manquent à toutes leurs obligations. Cette affaire est un immense scandale qui s’ajoute aux piles infinies des scandales qui jonchent nos vies et qui sont provoqués par la négligence permanente d’un enfant que vous avez voulu pour président de notre pitoyable république. Et les autres coupables sont ceux qui ont oublié la gifle, le coup de pied au cul et le fouet alors qu’il aurait été si facile de mettre Freud au centre du manège. Mais comme le monde entier tremble devant son nom, l’ignorance crade en vigueur, ne pourra se résorber et nous sommes condamnés à subir les humiliations des nouveaux terroristes de tous âges qui battent de loin les châtiments des grands inquisiteurs de l’Église catholique qui a inventé avant tout le monde les questions : l’ordinaire et puis l’extraordinaire, celle qui est un peu plus chatouilleuse.    

mercredi 18 décembre 2024

vu à travers le tube • dans les tranchées de verdun…

 

Nous sommes bien au théâtre permanent, le bon comme le mauvais, même si le mauvais prime constamment. Le Premier ministre n’a pas de gouvernement et pourtant il a des ministres qui ne sont pas ministres et qui font comme s’ils l’étaient alors qu’ils n’ont aucun mandat puisqu’ils n’ont pas été nommés et qui sont considérés comme tels car les journalistes s’agglutinent autour d’eux et les pressent de questions pour connaître l’avenir de la France qui n’en a aucun parce que la vie du pays dépend de son président, un enfant dont le psychisme est inabouti, probablement parce qu’il a été altéré quand, à 15 ans, il a rencontré sa maman qu’il a épousée, alors qu’elle s’est mal conduite avec lui en enfreignant la loi. Le seul ministre nommé, le Premier, a dit que Mayotte n’était pas en France et il s’est pris une volée alors que je suis d’accord avec son dire, parce que Mayotte est une ancienne colonie d’esclaves qui a demandé son rattachement mais qui, à des années lumières de Pau, ne peut entrer dans les rouages d’un hexagone rachitique qui a déjà des difficultés pour survivre. Si je me reconnais – un peu, très peu – dans les populations qui vivent dans le village voisin de mon domicile, je ne vois pas comment je pourrais me reconnaître dans des gens qui vivent dans de la tôle et dont plus de la moitié ont moins de dix ans. Si les pantins du nouveau monde ont perdu leur identité, moi, je garde précieusement la mienne depuis plus de quatre-vingts ans et je n’ai pas l’intention de la brader. Je suis moi, dans mon cercle à moi, et personne n’a le droit d’y entrer. D’autant, qu’aujourd’hui, en 2024, j’ai une trouille monumentale. Si je sors dans la rue, je dois me retourner sans cesse par peur d’être suivi et si je vois arriver face à moi, un enfant ou un ado, je change vite de trottoir par peur d’être poignardé. Idem si je vois une femme. Elle m’accusera assurément d’avoir voulu la violer.  C’est pourquoi je passe mes journées devant la télé, les gens qui vivent dans l’écran ne pouvant en sortir pour me trucider. Et puis, avec eux, je peux parler. Ils ne me répondent pas et cela évite les querelles qui se terminent toujours en de terribles et horribles guerres de tranchées.  Bref, cela ne va pas m’empêcher d’aller chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier. La personne qui m’y accompagne et qui m'est chère, a une voiture blindée et moi je n’oublie pas de prendre, avec mon parapluie, le fusil de guerre que m’a légué mon grand-père qui a vécu longtemps à Verdun, dans les tranchées.  

  

mardi 17 décembre 2024

vu à travers le tube • pensées du jour avec épilogue…

 

Plus important que le plus important. Les terroristes et psychopathes wokistes ont poignardé l’islamologue Gilles Kepel. Sa chaire à l’Université a été fermée. Les wokistes, les islamistes, les écologistes, poursuivent leur funeste destruction.

 

Il ne reste de Mayotte que quelques cartes postales en noir et blanc. Les gouvernements -français - successifs, le dernier en particulier, ne se seront pas battus contre son agonie. C’est pourquoi les éléments naturels ont décidé de mettre fin à ses souffrances. Il n’y a pas de solution. L’ile est un grabat, un amas de bouts de fer et de bouts de bois. Seuls les migrants en profitent. Ils se servent dans les rayons déchiquetés sous les ruines. Le drame n’est pas le cyclone. Il n’a fait qu’amplifier la situation. Le drame est la pauvreté et l’immigration. Rien d’autre. Mais cela ne peut être grave puisqu’à Paris, président, ministres, députés et autres oisivetés, se disputent champagnes et petits fours dans les salons aux dorures défraichies, dans leurs queues de pies et leurs décolletés de tailles et de goûts différents.

 

Le Premier ministre a choisi Pau pour passer la soirée. Cela fait polémique. Moi, je trouve bien qu’il enfreigne la loi sur le cumul des mandats et qu’il montre à l’enfant au psychisme inabouti qu’il n’en a rien à foutre de lui. La mauvaise pièce de théâtre commence à prendre forme. J’espère vraiment que les sifflets et les quolibets ne viendront pas l’interrompre avant la fin du premier acte.

 

Épilogue : t’a-t-on dit que tu es un porc parce que ton corps est pourvu d’un épi ?

lundi 16 décembre 2024

vu à travers le tube • les revers de l’esclavagisme…

 

Alors que Macron embrasse, étreint et caresse François qui lui aurait bien mis son poing sur la gueule, Mayotte attend que la France, responsable du désastre causé par Chido, se bouge le cul, ce qui lui est très difficile tellement il est gros. Mayotte est depuis le début des temps sur la route des cyclones et jamais personne, dont et essentiellement les monarchies françaises, celle d’aujourd’hui encore moins que celles d’hier, ne s’est attaqué à ce phénomène dévastateur pour sa population. Quand on colonise et s’approprie un bout de terre, la moindre des choses est d’en prendre soin. Mayotte a toujours été une terre de misère où les voyous, des plus petits aux plus grands, font la pluie et le beau temps. Et quand la pluie étrangère – et ses complices impitoyables – débarque sur l’ile, la catastrophe est sans limite. Il y a sans doute des milliers de morts et on persiste à nous en annoncer quatorze. Les secours arrivent de je ne sais où et par bateaux qui mettront des jours et des jours avant d’accoster, ce qui ne laisse aucune chance aux morts qui pourraient éventuellement reprendre un peu de souffle. Chido a bon dos. Le seul coupable est Macron et tous ses prédécesseurs qui n’ont pas été capables de protéger ceux qu’ils ont pris en esclavage.

 

Les libraires sont de plus en plus nombreux à retirer de leurs rayons les livres des mal-pensants, ceux de ceux qui ouvrent les yeux sur les dangers de l’islamisme, sur la folie de Mélenchon, sur la psychopathie de Macron, sur l’imbécilité des wokistes, sur la naïveté des écologistes, sur les ignominies de la transition et sur l’ignorance générale du genre humain. En librairie, on ne trouve plus que les déchets que l’on trouve tout aussi bien dans les bavoirs des étables. C’est pourquoi j’ai choisi Amazon pour libraire et aussi pour disquaire et aussi pour plein d’autres bonnes choses comme le dernier aspirateur qui aspire même quand il n’y a pas de poussière, et de plus, livré à domicile en une demi-journée. Et pour nourrir mon estomac, j’ai choisi Leclerc, d’autant que je peux y prendre mon café après avoir salué ma voisine de palier. Au diable les commerçant qui ne cessent de faire la gueule et ne disent jamais bonjour… quand leur boutique est ouverte !        

dimanche 15 décembre 2024

vu à travers le tube • on zieute encore…

Les miss ont vieilli. Hier, elles se sont présentées habillées, déshabillées plus, déshabillées moins, sur deux jambes, à quatre pattes et j’en passe. Ils les ont vues sur toutes les coutures les gens devant l’écran et les nanas ignorantes et puériles du jury dont Khatia Buniatichvili, qui joue du piano quand elle ne zieute pas le cul des femmes. Ignoble cette foire aux esclaves !


le puits au fond du jardin • siegfried et censure…


 

 

Ce qui est invraisemblable, c’est que les ministres de Barnier et Barnier lui-même ont été renvoyés dans leur foyer par les idiots inutiles de l’Assemblée et que dès le nouveau Premier ministre nommé, un vieux cheval qui mange à tous les râteliers, Rotailleau, le héros du gouvernement déchu, a été le premier et le seul a rencontré le patron de Matignon. Et voilà qu’aujourd’hui, Siegfried sera à Ajaccio pour baiser la pince de la papauté et demain à Mayotte pour tenter de trouver des solutions pour que la population décimée par Chido sorte la tête de l’eau, bien qu’elle n’ait jamais vécu à l’air libre. Je me demande pourquoi ce Rotailleau se démène autant alors qu’il vient d’être jeté comme un vulgaire paillasson. Censuré et sanctionné, il est devenu le représentant officiel du Premier ministre et de l’enfant qui se prend pour un président. Alors pourquoi pas lui ? Président et Premier ministre en même temps, lui irait comme un gant et les fanas d’Opinel, et les violeurs de vieilles dames, et les trafiquant d’amphétamines, et les disciples des islamistes, trembleraient enfin et pris de vertiges, prendraient les jambes à leur cou pour se cacher dans les forêts où les lions et les tigres pourraient se régaler à souhait. Je crois que j’ai trouvé la solution et j’espère que vous serez nombreux à me féliciter.

 

La lâcheté de Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque de France, est sans limites. Le plouc a déprogrammé le chef-d’œuvre de Bertolucci « Le Dernier Tango à Paris » qui devait être projeté ce soir, à 20 heures, parce que des associations de nanas psychopathes ont menacé de l’émasculer s’il montrait sur l’écran blanc, Marlon Brando violer d’une manière particulière la succulente Maria Schneider. J’ai vu le film il y a plus d’un demi-siècle et je suis toujours en vie et même, je ne me porte pas trop mal pour mes prochains quatre-vingt-dix ans. Les réalités, et surtout la vue des chefs-d’œuvre, traumatisent fortement les gens de notre époque où les cerveaux sont manipulés dès leur arrivée dans le ventre de la femme coupable. La dictature des imbéciles et des ignorants – souvent imbéciles-ignorants ou ignorants-imbéciles – lézarde, corrompt, dégrade et torture la société où s’opposent bourreaux et victimes sans que personne sache pourquoi. La femme est devenue la bêtise même et l’homme le pauvre petit con qui s’extasie devant sa puérile puanteur de soi-disant révolution. Les haines se tariront, les guerres cesseront, lorsque l’homme sera enfin devenu homme et lorsque la femme sera enfin devenue femme. C’est ce qui a toujours manqué à l’humanité. Et pour réaliser ce rêve, rien de tel que de se rendre chez Freud pour y pousser la porte de son cabinet afin d’y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien d’autre. Les restes ne sont qu’inutilité.          

samedi 14 décembre 2024

vu à travers le tube • le retour…

 

Le retour à la IVᵉ République est actée. Nous nous retrouvons sous le régime des partis et ce n’est pas plus mal pour identifier la perfidie de l’animal politique. Bayrou, une petite girouette enfantine, née au bas des Pyrénées, a décidé, quand il était noyau de cerise dans le ventre de sa maman, d’être président d’une république, en France, de préférence. Il y arrive. Il est enfin Premier ministre après une longue et dure incartade avec l’enfant psychopathe qui sert de roi à la France et qui ne voulait pas de lui, en attendant la suite qui semble inéluctable sauf si son expérience n’arrive pas à déjouer les pièges posés par les résistants. Il semblerait que les cases vont s’échanger, paraître et disparaître dans leur cadre immuable. Le président, enfant usurpateur, en reste sans voix, lui qui déjà depuis quelques mois était enroué. Peu lui importe, il doit tenir jusqu’à ce que la présidence de la commission européenne se libère en se débarrassant d’Ursula. C’est là qu’il veut vivre et régner en éclairant l’Europe de ses facéties et de ses proses shakespeariennes. En attendant, comment de pas constater que le garnement aura usé cinq premiers ministres en sept ans : Philippe, 3 ans ; Castex, 2 ans, Borne, un an et demi ;  Attal, 7 mois ; Barnier, 3 mois, et maintenant Bayrou dont la survie dépend davantage des idiots de l’Hémicycle que du bon vouloir de Sa Majesté en plein déclin. Mais si on tient compte du décroissement, François risque de ne tenir qu’une petite semaine. Je ne le crois pas, mais je sais qu’en politique tout est possible, même le plus impossible des impossibles. Attendons la suite qui ne va pas être sans agitations intempestives : les ministres à venir, ceux qui vont affronter l’assemblée des fauves qui se prétendent représentatifs. Il y a bien longtemps que le peuple n’a pas été représenté et qu’il ne sait même plus s’il existe. Tout cela me donne le tournis. Et si j’allais chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier qui se rit de toutes ces comédies 

vendredi 13 décembre 2024

vu à travers le tube • je suis parti…

 

Depuis huit jours les radios et les télés ne cessent de nous abreuver de leurs longues plaintes poussives : « Quand donc Sa Majesté Notre Roi Bien Aimé va-t-il nommer son Premier ministre afin que la terre tourne rond alors qu’elle tourne carré depuis que des terroristes ont tranché le coup de Sa Majesté Louis XVI et celui aussi de notre douce Marie-Antoinette qui jouait si bien dans le film de Sophia Coppola ? » L’enfant, usurpateur de majestés, n’est pas si fou. Ce n’est qu’un grand psychopathe petit par l’âge qui aime faire joujou avec les connards qui ont posé son cul sur le trône. Français ! Il se joue de vous. Il vous méprise. Il vous ignore. Et comme vous ne voulez pas le voir, il vous plonge dans le désarroi en détruisant minutieusement le pays en attendant l’arrivée annoncée des islamistes qui vont vous châtier sans ménagement. L’enfant sait, depuis longtemps, qui il veut à la tête de son gouvernement et celui qu’il a choisi est sans importance puisqu’il ne lui laissera aucun pouvoir et que l’Assemblée dont il a tranché le pénis – faire un lien avec Louis et son épouse – restera impuissante dans tous les domaines. Et puisque vous ne voulez pas bouter cette verrue hors de la terre, tout espoir est consommé. Avant le régime des dictateurs, nous resteront tributaires de son immaturité et des pouvoirs exorbitants des Hautes autorités, organismes inutiles, véritables gouffres financiers, qui décident – au nom de qui et de quoi ? – de supprimer des chaînes télés et d’encourager les garçons à devenir des filles et les filles à devenir des garçons. Pauvre monde de fous que les peuples aliénés acceptent sans broncher. L’ignorance des gens de la terre conduit le monde à sa fin. Refuser Freud et ne pas s’abreuver des notes magiques d’Eurydice ou de Tristan est un signe d’embryon récalcitrant resté à jamais dans le ventre de la femme coupable. Je dis ce que pense. Après tout, ce que vous faites ne me regarde pas. Continuez vos ignominies. Moi, je suis déjà parti

jeudi 12 décembre 2024

vu à travers le tube • haenel et le pacte…

L’affaire Adèle Haenel me fait doucement sourire. À 12 ans, la petite fille est engagé pour tourner un film qui est une succession de scènes de sexe et ce n’était un secret pour personne, ni pour l’enfant, ni pour ses parents. Je veux bien croire que le réalisateur ne se soit pas comporté convenablement, bien que je n’aie pas assisté au tournage ni aux débauchages hors tournage. Mais, si Christophe Ruggia porte une responsabilité, il est certain – et il n’est pas besoin de le prouver – que les véritables coupables, les monstres, comme disent certains, ce sont les parents, les parents en priorité. On ne les a pas vu au procès, ils n’ont pas été accusé et ne sont pas, à ce jour, incarcérés pour avoir livré leur fille à la prostitution, ce qui vaut bien deux ou trois décennies derrière les barreaux. Encore une fois, la justice française, c’est du pipeau – pardon les pipotiers – et l’accusatrice, une ado psychopatisée par l’ignorance crade qui caractérise ses parents et leur grande majorité. Encore une erreur judiciaire qui laisse tout le monde indifférent.

 

Et le pacte de non-agression passé entre quelques traitres et le président, est-ce que cela vous laisse indifférent ? « Je ne mets pas en branle le 49.3 et toi, tu ne me censures pas ! » Juré-craché, on immobilise la vie politique, on trahit la V° République et on fait croire que tout est réglé. N’est pas Wotan qui veut. Le pacte de pacotille, cette cocotte en papier mâché, va tenir le temps d’un éclair furtif dans un ciel d’été. Et après que les pantins ont fait mumuse, on attend toujours un Premier ministre qui sera, quel qu’il soit, celui qu’il ne fallait pas. D’ailleurs à quoi servira-t'il, puisque dès qu’il ouvrira la bouche, il sera hué puis censurer comme cela se doit. La France est dans le trou. Rien ne pourra l’en sortir tant que l’enfant n’aura pas été muselé et mis définitivement hors d’état de nuire. Désolé !    

mercredi 11 décembre 2024

le puits au fond du jardin • les gros rats des égouts…

 



 

Hier, à l’Élysée, s’est tenu la conférence des terroristes psychopathes qui hypnotisent les français par leur indignité, dont pas un n’a l’idée et le courage de sortir des égouts de Paris tant ils se plaisent dans la vase puante générée par les gros rats poilus d’Hidalgo, conférence sous la présidence de l’enfant qui, assis sur le carrelage rutilant du boudoir de sa maman, tend les bras pour tenter de se mettre sur ses jambes, et qui sert, dans l’instant, de roi à la France. Ceux du bout de la droite et ceux du bout de la gauche n’y était pas alors qu’ils représentent une partie non négligeable du pays, la partie essentielle sans laquelle la machine ne peut tourner. Ces ignorants invertébrés ont pris la décision de ne plus se chamailler comme les petits garçons, pendant que les petites filles jouent à la poupée, et pour cela, de rayer de leur logiciel rayé le 49.3 et la censure, et l’enfant a promis de ne pas dissoudre jusqu’à son départ qui va faire éclater des réjouissances semblables au départ de Bachar el-Assad. Le monde des Bisounours est arrivé. De l’Élysée à Matignon en passant par les Cévennes, on va se bisouter, caresser les dos et plus bas et plus hauts. Le paradis d’Adam et Eve, avant le serpent et la pomme, va devenir réalité. Enfin ! Nous y sommes ! Et parions aussi que très bientôt, grâce aux simagrées et aux foutages de gueules des imbéciles chroniques d’aujourd’hui, le futur successeur d’Henri IV, de Louis XIV et de Napoléon, sera Mélenchon 1e, un dictateur mal-embouché, un vulgaire pattier (un pattier est un chiffonnier) qui va avec l’inquisiteur Bompard et la poissonnière Panot, mettre les femmes sous voiles et les hommes sur genoux. Français réveillez-vous ! Je sais : pour cela, il faut un certain courage et un regard capable de discerner ce qu’il y a derrière l’écran. Il est fort dommage et fort préjudiciable que vous refusiez obstinément de pousser la porte du cabinet de Freud. Vous pourriez y chercher votre miroir, vous pourriez le trouver, vous pourriez vous y regarder, vous pourriez vous y reconnaître et vous pourriez même le traverser. Alors, les insanités évoquées ci-dessus ne pourraient plus être. Les équilibres seraient retrouvés et l’édifice pourrait enfin s’ériger dans la confiance mutuelle et ses rouages s’enchevêtrer. Le manège pourrait tourner jusqu’à la fin des éternités.        

mardi 10 décembre 2024

vu à travers le tube • l’enfant président et les falots…

 

« Je serai le président de tous les français ! » ont répété les fourbes que les naïfs ont portés naïvement à l’Élysée. Tous ! Le dernier en date, le plus jeune et le plus déséquilibré réunit cet après-midi « tous » les partis pour connaître leurs choix pour le futur gouvernement alors qu’il ne tiendra en aucun cas compte des différents avis, d’autant que tous les avis sont frappés d’incompatibilité entre eux. Et pour bien montrer son esprit antidémocratique-revancheur, son esprit royaliste, son esprit dictatorial, il a décidé d’exclure RN qui, pour son petit cerveau, n’est pas un parti normal, n’est pas un parti républicain, n’est pas un parti français parce que ceux qui le composent ne sont pas français alors qu’ils sont soumis à l’impôt français et aux lois françaises. Si je n’évoque pas LFI, c’est qu’elle s’est exclue d’elle-même, sachant très bien que son ADN terroriste islamiste n’est pas compatible avec la France de Lully et de Debussy. Comment peut-on admettre qu’un président raye une large partie de la population sous prétexte qu’elle ne pense pas comme lui ? C’est donc ça le sens de la démocratie, de cette liberté lumineuse que chantait Voltaire ? Votre président, Français, n’est qu’un petit enfant au psychisme inabouti qui n’a rien trouvé de mieux que d’épouser sa maman déjà ridée. Pas celle-là, celle-ci. Il vous ment, il vous dépouille, il vous humilie. Et vous, crapauds croasseux et grenouilles geignantes, vous laissez votre bourreau vous sceller les chaînes aux pieds avant de vous passer la corde au cou. Maudite soit la femme coupable qui m’a éjecté dans ce monde de falots !

lundi 9 décembre 2024

le puits au fond du jardin • successions et révolutions…



 

À Bachar Al-Assad succède Abou Mohammed al-Jolani. Après l’euphorie, la Syrie entre dans l’inconnu le plus sordide où, sans doute, l’horreur va succéder à l’horreur. Qui sait ce qui va advenir ? Bachar serait à Moscou où il est invité à la représentation de Boris au Bolchoï avec le grand Boris Christoff. Macron feint de consulter au lieu de nommer pour vite régler la dette avant que les océans n’engloutissent l’Élysée et tous les pantins qui ont nommé l’enfant. Notre Dame reste avachie au bord de la Seine sans se soucier du gouffre vertigineux dans lequel l’homme se précipite. Elle ne comprend pas que lorsque qu’il aura tout détruit et se sera détruit devant son vide, les dieux qui sévissent depuis des millénaires disparaitront faute de pensées pour les imaginer et qu’elle ne sera plus qu’un tas de pierre avant de disparaitre elle aussi. Les révolutions révolutionnent avant de révolutionner les révolutions. Le peuple attend parce qu’il est paralysé du cul et surtout parce que l’individu reste un éternel enfant devant la terreur des réalités. C’est l’individu qu’il faut soigner et obligé à aller vers l’autre monde, celui qu’il ne connait pas, celui de la liberté. Pour cela, je le dis et le redis encore, il faut pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. C’est tout. Et c’est parce que le commun est terrifié devant son miroir sans reflet que le monde en est là, là où il en est aujourd’hui et que quoiqu’il fasse et que quelle que soit l’apparition du Messie, il n’en bougera pas, l’immobilité du corps et de l’esprit étant plus confortable que le mouvement qui, quel qu’en soit le sens, change les configurations dans un effet domino. L’avenir n’est pas rose. Il n’est ni bleu ni vert non plus. Il n’est pas.   


dimanche 8 décembre 2024

le puits au fond du jardin • le temps des « musiciens »…

 



 

Il semblerait que les organistes de Notre Dame n’aient pas fait l’unanimité. Je rappelle qu’ils n’ont joué ni des œuvres de Jean-Sébastien Bach, ni de Charles-Marie Vidor, ni d’Olivier Messiaen, mais des improvisations improvisées sur le mode du temps actuel, sans ossatures, sans formes définies, sans liens entre les plans, sans fondamentales et absentes de tout sens musical et de toutes marques de génies. Pour parler – écrire – simple et clair, ils ont joué n’importe quoi. L’improvisation est un art à part entière qui s’apprend et se peaufine au fil du temps. Bof ! Ils n’ont fait que participer à l’ambiance générale marquée par le tout en même temps, une cérémonie vulgaire et païenne où Dieu aura été le grand absent. Même l’archevêque de Paris Laurent Ulrich avait opté pour une tenue de carnaval, une tenue dessinée par un styliste français peu inspiré, un certain Jean-Charles de Casttelbajac. Si les murs de la cathédrale ont été embellis, ce n’est pas le cas des pensées et des psychismes humains qui à force de grisonner vont bien finir noir, dans le plus beau des noirs du fond de mon puits.

 

PS : même les Capuçon se sont fait asphyxier par l’air ambiant. Leur Haendel « arrangé » était aussi pitoyable que leur lecture de la partition.

vu à travers le tube • ça chute et ça grouille…

En Syrie, le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Cham a chassé Bachar Al-Assad qui a pris la fuite alors que Canal a décidé de retirer ses quatre chaînes payantes sur la TNT (Canal+, Canal+ Cinéma, Canal+ Sport, Planète) en juin 2025, conséquences du retrait de la chaîne C8, première chaîne de la TNT, par l’Arcom. Avant d’enfin de disparaître, Biden a offert un million de dollars à Zelinski, un ami intime du couple Macron alors que la première de Nabucco a triomphé à la Scala malgré la présence de Netbreko. Les fans de Star Academy ont été très déçus. Leurs chanteurs de caniveaux étaient encore un cran en dessous, ce qui pourtant est difficile. Le miracle s’est produit. Le monsieur déguisé en Arlequin a frappé trois fois, trois fois – ce qui fait neuf – la porte de l’édifice. Elle s’est ouverte toute grande sans que personne ait touché la poignée. Après, les enfants ont été obligés de chanter des ignominies préhistoriques et répétitives – ce qui est dommage parce qu’ils chantaient fort bien – et l’enfant au psychisme inabouti a déclamé des proses redites à la manière Gerard Philip, mais sans le talent. Trump a observé. Zelinski est resté bouche-bê. Rachida Dati a été grondée par le pape qui n’était pas là parce qu’il n’a pas voulu venir. Les frères Capuçon, des amis intimes du couple Macron, étaient de service. Barnier, pourtant viré, a assuré l’intendance. Les organistes ont improvisé sans savoir qu’improviser est un métier. Les télés du monde entier ont retransmis le gros trou de ce vide. C’est tout.    


samedi 7 décembre 2024

vu à travers le tube • capuçon sont de la fête…

 

Von der Leyen, dans la tourmente, ne viendra pas à Notre-Dame. Les agriculteurs ne peuvent plus retenir leur colère contre Macron, le traitre. La haine submerge la composition d’un nouvel impossible gouvernement. Un plan social est annoncé chez Canal dont quelque 250 employés vont s’inscrire au chômage. L’Opéra de Paris ferme, les grèves le réduisent à l’impuissance. Le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Cham aura bientôt la tête du dictateur Bachar Al-Assad. L’un remplace l’autre. Le peuple syrien, comme le peuple français, est encore cocu. Par crainte de vous lasser, j’arrête ici l’inventaire de ma marmite géantissime. Et pendant ce temps, l’enfant au psychisme inachevé qui croit servir de roi à la France, va parader toute la journée, comme au temps des cathédrales, serrer les mains et caresser les corps, avec maman aussi, et clamer au monde tout entier, combien il est fier d’avoir construit Notre Dame de ses propres mains après avoir couru en longueur et en hauteur aux jeux du cirque, tout l’été, et ceci devant toutes les télés. Bonjour tristesse, a dit Sagan.

Avez-vous remarqué que les Capuçon sont encore de la fête alors que l’épouse de l’un deux, une certaine Ferrari, ne cesse de vilipender la macronie sur une chaine télé ? Ne jamais oublier que le diable se cache toujours dans les détails. Rien n’échappe à qui sait voir et entendre. Un jour, nous saurons.