vendredi 27 décembre 2024

vu à travers le tube • hors de l’écran…

C’est insupportable ces interminables vacances où, aux fêtes de Noël succèdent les fêtes du nouvel an, où des milliers – plus probablement – d’automobilistes inconscients se ruent sur les autoroutes, jusqu’à les bouchonner, pour vite dépenser dans les stations, les fortunes qu’ils n’ont pas, et vite poser leurs fesses sur les tire-culs, pour vite se retrouver à l’hôpital avec une jambe cassée ou un pied gelé, où, mieux, aller dormir à la morgue après s’être trouvés ensevelis pas l’avalanche qu’ils ont déclenchée. C’est insupportable ces radios et télés qui changent leurs programmes et nous collent sous le nez des horreurs imbuvables, des redites des plus mauvais moments de l’année, des films surfaits et des flots de compassions pour le monde entier. Même chez mon Leclerc tout est bouleversé. On n'y trouve plus que des pères Noël en chocolat ou en chaire et des grappes de marmots chialant, hurlant et vociférant contre leurs parents qui veulent à tout prix les faire pâmer de  joie devant les guirlandes clignotantes des bals du 14 juillet au bord de la Marne, sous les bombes des allemands.

 

Il semblerait que les acteurs soient sortis de l’écran et que depuis que les réalisateurs se sont affranchis des lignes géométriques, ils aient trouvé la sortie. Savent-ils que la vie n’est pas hors des lignes et que hors de l’écran, on ne fréquente que la mort ?


jeudi 26 décembre 2024

vu à travers le tube • de tout et de rien…

Mais pourquoi donc l’Orchestre Philharmonique de Vienne compte-t-il si peu de femmes ? Depuis des années, les vagues de contestations se succèdent et personne vient y remédier. Pour le concert du Nouvel An, ce sera encore un homme : Muti, pour la 7e fois. Miracle ! En mai 2025, la cheffe d’orchestre lituanienne Mirga Gražinytė-Tyla deviendra la 1e femme à diriger le Philharmonique de Vienne pour des concerts d’abonnement. Je l’ai vu à Lucerne diriger la 2e de Mahler. C’est bien un miracle. Une grande parmi les plus grands, et peut-être encore plus grande !

 

Son TGV roulait à 300 km/h. Le conducteur a ouvert la portière de sa cabine et s’est jeté. Il est mort bien sûr. Je salue son courage. Le train s’est arrêté tout seul.

 

Dans les Alpes, une famille skiait hors-piste. L’inévitable avalanche l’a emportée. Un ado de 14 ans est mort. Est-ce que ses parents seront jugés et condamnés ?

 

Darmanin compte bien combler l’insuffisance de la Justice. Déjà la présidente du Syndicat de la Magistrature lui a répondu. Elle n’entend pas laisser entrer la rigueur et la fermeté dans le système, les prisonniers devant être traités, selon elle, comme les clients du Burj-al-Arab à Dubaï. D’après-vous, qui va l’emporter ?


mercredi 25 décembre 2024

vu à travers le tube • dieu et ses ratés…

Les informations fusent de toutes parts. Les Frères musulmans s’infiltrent de partout, et, sans coups d’éclats, seront très bientôt au pouvoir en imposant la charia. Et Mélenchon et ses chiottes et ses chiots, n’y sont pas pour rien. Les pitoyables vers de terres écologistes et socialistes non plus. C’est pourquoi je me pose la question : « Pourquoi Dieu, le vieillard qui vit dans le haut des nuages sur son trône de fer, et qui a tous les pouvoirs inimaginables, a-t-il imposé son fils sur notre terre en le faisant passer par la fente d’une vierge qui a copulé avec un ange à ailes – ce qui fait qu’elle a trompé son Joseph de mari qui était artisan charpentier -, et qui, devenu grand par la taille, a déclamé - autant que Macron - des proses qui affirmaient qu’il était venu sur terre pour nous sauver ? » Nous sauver de quoi, puisque depuis sa mort sur une croix, rien n’a changé, mieux, tout a empiré. Nous avons eu Borgia, Caligula, l’Inquisition, Napoléon, Hollande, Macron et Dion.  Les guerres se sont amplifiées. Les ânes ont proliféré. Et les pantins vivent le cul sur des tire-fesses, les pieds sur des planches, tout en geignant que les routes sont glissantes et que les trains sont à l’arrêt parce qu’ils ne supportent pas le moindre petit flocon de neige. La morale d’ « Einstein on the beach », c’est peut-être bien cette représentation du réel : l’homme pantin, marionnette, immobile, au regard figé, qui se déplace par télécommande interposée et qui a perdu sa pensée et son âme. Dieu a raté sa mission. L’homme n’est qu’un rien inutile dans un univers super organisé. Pourquoi l’un et pas l’autre ?    


mardi 24 décembre 2024

vu à travers le tube • ça va être terrible…

Alors que l’Éducation nationale demande un chef autoritaire, tyrannique et sans concession, un vrai dictateur Kim Jong-unien, on lui colle une vieille dame, lesbienne disent certains, de gauche, de cette gauche molle qui assèche les cerveaux et qui va devoir faire face à un ministère poids lourd, sous le nom de « Madame 49.3 ». Quelle honte pour la France et pour ses enfants. Et que dire de ce retour de Valls le traitre, celui qui a tenté de corrompre l’Espagne et qui s’est fait encorner en plein milieu de la corrida ? Les socialistes ne sont pas contents. Ils n’ont pas de représentants de leur parti peau de chagrin, trahison même du socialisme, et c’est tant mieux. Point fort, s’il en est un, point fort et s’ils ne sont pas bâillonnés, le duo Rotaillerau-Darmanin qui, je l’espère, vont virer les hordes sauvages et construire des cachots tous noirs et des gros rats dodus de Paris, pour tes enfants, pour les adolescents, pour les plus de dix-huit ans, sans limite d’âge, pour tous ceux qui ne font pas la différence entre un humain et une racine de pissenlit. Ce nouveau gouvernement à peu de chance de durer, alors il ferait bien de ne pas attendre le 3 janvier pour commencer le grand nettoyage de printemps, en désinfectant, avec Monsieur Propre, les campagnes, les villes, les plaines, les montagnes, les mairies et les Élysées, avec leurs occupants. Après, il sera trop tard. Mélenchon est en embuscade. Panot guette. Bompard ouvre sa braguette. Ça va être terrible… horrible ! L’enfant, lui, il aura déjà fait ses valises et mise maman dedans.



lundi 23 décembre 2024

vu à travers le tube • les fausses moqueries…

Ce que demandent les mahorais, ce n’est pas qu’en ce lundi 23 décembre 2024, la France revête son vêtement de deuil et pleure à chauds de larmes sur les promesses non tenues d’un enfant psychopathe, ils demandent du pain, de l’eau et un toit, éléments fondamentaux qui leurs sont refusés depuis des décennies. Et puis, ils demandent aussi qu’on jette dans l’océan les hordes de sauvages qui les violent et les massacrent pour prendre leur place et régner sur leur territoire. Rien ne se fera là-bas ni ailleurs. Et ceux qui pensent le contraire doivent aller à l’école.

 

Et le gouvernement du mou Bayrou ? Il en est où ? Et quand il sera, s’il en est un jour, quelle sera la durée de sa vie ? Si les français avaient des couilles, ils nommeraient Rotailleau dictateur, pour sauver le pays de la maladie qui le ronge depuis qu’une poignée de terroristes mélenchonistes ont séparé la tête du corps de Louix XVI, le roi bien-aimé des français et aussi, et c’est idem, de sa délicieuse Marie-Antoinette. Mais les français ne feront rien. Ils sont naïfs et lâches et atteints par le mou bayrousien.

 

Hier soir, sur une de mes 400 chaines télés, j’ai revu « Florence Foster Jenkins » de Stephen Frears. Je le préfère à celui de Giannoli parce qu’il est plus caustique, plus violent, plus théâtrale, plus humour anglais, plus réaliste et plus émouvant. Et puis, il y a le pianiste… irrésistible ! C’est une histoire vraie. C’est une tranche de vie de notre société. C’est la laideur et la puanteur que notre miroir nous renvoie.


dimanche 22 décembre 2024

vu à travers le tube • la pente, toujours la pente…


« J'ai l'honneur d'être à la place où les Français m'ont mis » a déclaré Emmanuel Macron depuis Djibouti. Le pauvre enfant psychopathe ment encore. Ce n’est qu’une toute petite poignée de français naïfs qui l’ont mis là où il est, sur le trône de France exaspéré par son derrière talqué de poupon. L’homme est bourré de failles psychiques. Le politique est véreux, pervers et ignorant. Il n’est qu’un pantin, acteur minable d’une mauvaise pièce de théâtre où ses tirades sentent la fadeur des mauvais dramaturges qui jonchent l’histoire. Cet enfant est dangereux. Et je me demande ce qu’il va arriver si un sursaut miraculeux ne met pas fin à ses incartades. Peut-être que le duel à l’ancienne, annoncé en direct sur TFX, le duel au glaive Bayou-Macron, va mettre fin à l’inquiétude des français quand tous deux vont s’effondrer avant d’avoir déclamé : « En garde ! Je te pique et je te découpe en tranches de melons ! » Nous serions enfin débarrassés du pire de l’histoire de France et les Majestés les plus séduisantes seraient de retour à la maison.

 

Mais comme nous n’en sommes pas encore à ce stade, pensons à nous protéger des petits fours, des petits chocolats, des petites pattes de langoustes, des petites pinces de homards, des petits rognons de coqs en pâte et des petits verres de gnôles de Soisson. Ils ne sont qu’illusions. Une fois la fête finie, la vie, la vraie, recommence avec la vieillesse qui s’est encore engouffrée dans la jeunesse périssant.       


samedi 21 décembre 2024

le puits au fond du jardin • décrescendo…


 


 

L’année se termine dans une fin de civilisation où les forces vives, celles qui se sont imposées à l’insu de ceux qui croyaient que la vie était un pré d’herbe verte où les vaches s’asseyaient pour regarder passer les trains qui avaient une locomotive avec des nuages de fumées et qui se sont faits surprendre - faute d’avoir observé - par une bande de brigands accoquinés avec les hordes islamistes et les psychopathes écologistes qui réclament à grands cris une vraie dictature qu’ils verraient bien inaugurer avec pour chef suprême le Robespierre du XXI° siècle, Mélenchon. Il n’y a pas de retour en arrière possible. Il n’y a pas de retour à la maison nécessaire à notre équilibre. Le fautif est le peuple qui ne cesse de voter pour des menteurs, des voleurs, des assassins, des criminels, et qui n’en tire jamais de leçon. Qui connait encore Villon ou Baudelaire, Mozart ou Wagner, Renoir ou Picasso, Godard ou Lynch ? Les rois de France sont toujours là et toujours morts parce que les vivants ne sont plus depuis longtemps. Freud a proposé la vie. On la vite exécuté. Alors tant pis. Vous y êtes parce que vous l’avez voulu. Surtout plus de gémissements. Souffrez de souffrir en silence puisque vos souhaits ont tous été exhaussés.    

    

vendredi 20 décembre 2024

vu à travers le tube • du théâtre au cinéma…

Tout est devenu mauvais théâtre, mauvais spectacle. Évincé de la Justice, Dupond M. se réfugie sur une scène de théâtre pour dire à son public – comment peut-on payer pour écouter cet ours mal léché ? – toutes les âneries qu’il a dites quand il était ministre. Pitoyable théâtre que ces scènes médiatiques et mélodramatiques autour de la dame qui a été violée contre son gré par une horde de coquins encouragés pas son mari et qui aura tenu le rôle principal dans tous les postes et télés, pour la joie des voyeuristes qui en ont eu pour leur argent et leurs désirs bien cachés. Dramatique, cet autre théâtre où l’enfant psychopathe est monté sur scène sous les quolibets du public terrassé par la soif et la faim et qui a tout de même eu la force de demander sa démission. Et lui, le petit enfant venu sans sa maman épousée, a pris dans ses bras, sous l’œil avisé et perverses des caméras, la dame éplorée qui a tout perdu par la faute de cet enfant, seul coupable du drame absolu. Quelques années avant, il avait vociféré devant ces mêmes gens : « Dans moins d’un an, votre ile sera débarrassée de ses bidonvilles et de ses crasses de sauvages qui viennent s’installer pour vous prendre votre identité ! » Les années ont passé et les bidonvilles ont prospéré et les crasses de sauvages se sont multipliés. Et l’enfant a osé dire qu’il n’était pas cyclone et qu’il n’y était pour rien alors qu’il y est pour tout, tout sans exception, par ses envolées lyriques qui n’ont jamais pondu de suite. Sa lâcheté est pire que les pires malheurs de la terre et les français d’une pitoyable naïveté ne l’ont toujours pas destitué. Et dans un autre théâtre parisien, le vieux Bayrou toujours aussi inconsistant a réuni les chefs de partis en évinçant la moitié de la France. Il ne lui reste plus qu’à démissionner avant que quelques gens lucides le poussent dans la rue à grands coups de pieds dans son cul qu’il ferait bien de protéger.

 

Du théâtre au cinéma, quand Arte eut la sagesse de proposer – c’était hier soir – le chef-d’œuvre absolu de Demy, mais aussi du cinéma, « Les Parapluies de Cherbourg », fusion parfait de la musique et de l’image, de la couleur et des sentiments, évocation magistrale de la souffrance de l’absence et de la subtilité des sentiments où les blancs vont se superposer, s’additionner dans une éblouissante pureté, en éclairant l’écran de la robe du mariage, de la station-service et de la neige qui tombe en hiver pour clore ce film sublime dans l’interaction de ses éléments. On est loin des riens d’aujourd’hui.  


jeudi 19 décembre 2024

le puits au fond du jardin • il ne reste plus qu'une ou deux pages…

 



 

J’aimerais qu’on m’explique pourquoi le vieux politicard indécis, aux idées flous qui donnent le tournis et qui met trois jours à dire ce que tout en chacun dit en un demi-instant et qui est toujours content de lui, surtout qu’il s’est couronné Premier ministre sous les yeux éberlués de l’enfant qui n’a jamais eu l’habitude d’être contrarié, convie tous les partis de l’Assemblée, aujourd’hui à 14 heures, sauf LFI et RN qui représentent la quasi-moitié des français. Encore un goujat imbécile et ignorant qui ne va pas faire long feu. Et que l’on cesse de changer de gouvernement alors que la seule solution est la démission du président, l’enfant au psychisme inabouti qui préfère de loin sa vielle maman toute ridée qu’il a épousée ou qui l’a épousé. La mauvaise et laide pièce de théâtre de buvard ne finira jamais et cela parce que les spectateurs assoupis sont incapables de quitter la salle pour retrouver le soleil et l’air vivifiant de la liberté.    

 

Il est le seul responsable, l’enfant. Le chauffeur de car agressé et humilié par quelques enfants retardés parce que leurs parents sont psychopathes comme l’immense majorité des parents, est convoqué par sa direction pour être sermonné et sans doute puni, alors que le même enfant dont je parle tant, devrait lui épingler la plus rutilante des Légions d’Honneur pour service rendu à la Nation en se substituant à des parents inconscients qui manquent à toutes leurs obligations. Cette affaire est un immense scandale qui s’ajoute aux piles infinies des scandales qui jonchent nos vies et qui sont provoqués par la négligence permanente d’un enfant que vous avez voulu pour président de notre pitoyable république. Et les autres coupables sont ceux qui ont oublié la gifle, le coup de pied au cul et le fouet alors qu’il aurait été si facile de mettre Freud au centre du manège. Mais comme le monde entier tremble devant son nom, l’ignorance crade en vigueur, ne pourra se résorber et nous sommes condamnés à subir les humiliations des nouveaux terroristes de tous âges qui battent de loin les châtiments des grands inquisiteurs de l’Église catholique qui a inventé avant tout le monde les questions : l’ordinaire et puis l’extraordinaire, celle qui est un peu plus chatouilleuse.    

mercredi 18 décembre 2024

vu à travers le tube • dans les tranchées de verdun…

 

Nous sommes bien au théâtre permanent, le bon comme le mauvais, même si le mauvais prime constamment. Le Premier ministre n’a pas de gouvernement et pourtant il a des ministres qui ne sont pas ministres et qui font comme s’ils l’étaient alors qu’ils n’ont aucun mandat puisqu’ils n’ont pas été nommés et qui sont considérés comme tels car les journalistes s’agglutinent autour d’eux et les pressent de questions pour connaître l’avenir de la France qui n’en a aucun parce que la vie du pays dépend de son président, un enfant dont le psychisme est inabouti, probablement parce qu’il a été altéré quand, à 15 ans, il a rencontré sa maman qu’il a épousée, alors qu’elle s’est mal conduite avec lui en enfreignant la loi. Le seul ministre nommé, le Premier, a dit que Mayotte n’était pas en France et il s’est pris une volée alors que je suis d’accord avec son dire, parce que Mayotte est une ancienne colonie d’esclaves qui a demandé son rattachement mais qui, à des années lumières de Pau, ne peut entrer dans les rouages d’un hexagone rachitique qui a déjà des difficultés pour survivre. Si je me reconnais – un peu, très peu – dans les populations qui vivent dans le village voisin de mon domicile, je ne vois pas comment je pourrais me reconnaître dans des gens qui vivent dans de la tôle et dont plus de la moitié ont moins de dix ans. Si les pantins du nouveau monde ont perdu leur identité, moi, je garde précieusement la mienne depuis plus de quatre-vingts ans et je n’ai pas l’intention de la brader. Je suis moi, dans mon cercle à moi, et personne n’a le droit d’y entrer. D’autant, qu’aujourd’hui, en 2024, j’ai une trouille monumentale. Si je sors dans la rue, je dois me retourner sans cesse par peur d’être suivi et si je vois arriver face à moi, un enfant ou un ado, je change vite de trottoir par peur d’être poignardé. Idem si je vois une femme. Elle m’accusera assurément d’avoir voulu la violer.  C’est pourquoi je passe mes journées devant la télé, les gens qui vivent dans l’écran ne pouvant en sortir pour me trucider. Et puis, avec eux, je peux parler. Ils ne me répondent pas et cela évite les querelles qui se terminent toujours en de terribles et horribles guerres de tranchées.  Bref, cela ne va pas m’empêcher d’aller chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier. La personne qui m’y accompagne et qui m'est chère, a une voiture blindée et moi je n’oublie pas de prendre, avec mon parapluie, le fusil de guerre que m’a légué mon grand-père qui a vécu longtemps à Verdun, dans les tranchées.  

  

mardi 17 décembre 2024

vu à travers le tube • pensées du jour avec épilogue…

 

Plus important que le plus important. Les terroristes et psychopathes wokistes ont poignardé l’islamologue Gilles Kepel. Sa chaire à l’Université a été fermée. Les wokistes, les islamistes, les écologistes, poursuivent leur funeste destruction.

 

Il ne reste de Mayotte que quelques cartes postales en noir et blanc. Les gouvernements -français - successifs, le dernier en particulier, ne se seront pas battus contre son agonie. C’est pourquoi les éléments naturels ont décidé de mettre fin à ses souffrances. Il n’y a pas de solution. L’ile est un grabat, un amas de bouts de fer et de bouts de bois. Seuls les migrants en profitent. Ils se servent dans les rayons déchiquetés sous les ruines. Le drame n’est pas le cyclone. Il n’a fait qu’amplifier la situation. Le drame est la pauvreté et l’immigration. Rien d’autre. Mais cela ne peut être grave puisqu’à Paris, président, ministres, députés et autres oisivetés, se disputent champagnes et petits fours dans les salons aux dorures défraichies, dans leurs queues de pies et leurs décolletés de tailles et de goûts différents.

 

Le Premier ministre a choisi Pau pour passer la soirée. Cela fait polémique. Moi, je trouve bien qu’il enfreigne la loi sur le cumul des mandats et qu’il montre à l’enfant au psychisme inabouti qu’il n’en a rien à foutre de lui. La mauvaise pièce de théâtre commence à prendre forme. J’espère vraiment que les sifflets et les quolibets ne viendront pas l’interrompre avant la fin du premier acte.

 

Épilogue : t’a-t-on dit que tu es un porc parce que ton corps est pourvu d’un épi ?

lundi 16 décembre 2024

vu à travers le tube • les revers de l’esclavagisme…

 

Alors que Macron embrasse, étreint et caresse François qui lui aurait bien mis son poing sur la gueule, Mayotte attend que la France, responsable du désastre causé par Chido, se bouge le cul, ce qui lui est très difficile tellement il est gros. Mayotte est depuis le début des temps sur la route des cyclones et jamais personne, dont et essentiellement les monarchies françaises, celle d’aujourd’hui encore moins que celles d’hier, ne s’est attaqué à ce phénomène dévastateur pour sa population. Quand on colonise et s’approprie un bout de terre, la moindre des choses est d’en prendre soin. Mayotte a toujours été une terre de misère où les voyous, des plus petits aux plus grands, font la pluie et le beau temps. Et quand la pluie étrangère – et ses complices impitoyables – débarque sur l’ile, la catastrophe est sans limite. Il y a sans doute des milliers de morts et on persiste à nous en annoncer quatorze. Les secours arrivent de je ne sais où et par bateaux qui mettront des jours et des jours avant d’accoster, ce qui ne laisse aucune chance aux morts qui pourraient éventuellement reprendre un peu de souffle. Chido a bon dos. Le seul coupable est Macron et tous ses prédécesseurs qui n’ont pas été capables de protéger ceux qu’ils ont pris en esclavage.

 

Les libraires sont de plus en plus nombreux à retirer de leurs rayons les livres des mal-pensants, ceux de ceux qui ouvrent les yeux sur les dangers de l’islamisme, sur la folie de Mélenchon, sur la psychopathie de Macron, sur l’imbécilité des wokistes, sur la naïveté des écologistes, sur les ignominies de la transition et sur l’ignorance générale du genre humain. En librairie, on ne trouve plus que les déchets que l’on trouve tout aussi bien dans les bavoirs des étables. C’est pourquoi j’ai choisi Amazon pour libraire et aussi pour disquaire et aussi pour plein d’autres bonnes choses comme le dernier aspirateur qui aspire même quand il n’y a pas de poussière, et de plus, livré à domicile en une demi-journée. Et pour nourrir mon estomac, j’ai choisi Leclerc, d’autant que je peux y prendre mon café après avoir salué ma voisine de palier. Au diable les commerçant qui ne cessent de faire la gueule et ne disent jamais bonjour… quand leur boutique est ouverte !        

dimanche 15 décembre 2024

vu à travers le tube • on zieute encore…

Les miss ont vieilli. Hier, elles se sont présentées habillées, déshabillées plus, déshabillées moins, sur deux jambes, à quatre pattes et j’en passe. Ils les ont vues sur toutes les coutures les gens devant l’écran et les nanas ignorantes et puériles du jury dont Khatia Buniatichvili, qui joue du piano quand elle ne zieute pas le cul des femmes. Ignoble cette foire aux esclaves !


le puits au fond du jardin • siegfried et censure…


 

 

Ce qui est invraisemblable, c’est que les ministres de Barnier et Barnier lui-même ont été renvoyés dans leur foyer par les idiots inutiles de l’Assemblée et que dès le nouveau Premier ministre nommé, un vieux cheval qui mange à tous les râteliers, Rotailleau, le héros du gouvernement déchu, a été le premier et le seul a rencontré le patron de Matignon. Et voilà qu’aujourd’hui, Siegfried sera à Ajaccio pour baiser la pince de la papauté et demain à Mayotte pour tenter de trouver des solutions pour que la population décimée par Chido sorte la tête de l’eau, bien qu’elle n’ait jamais vécu à l’air libre. Je me demande pourquoi ce Rotailleau se démène autant alors qu’il vient d’être jeté comme un vulgaire paillasson. Censuré et sanctionné, il est devenu le représentant officiel du Premier ministre et de l’enfant qui se prend pour un président. Alors pourquoi pas lui ? Président et Premier ministre en même temps, lui irait comme un gant et les fanas d’Opinel, et les violeurs de vieilles dames, et les trafiquant d’amphétamines, et les disciples des islamistes, trembleraient enfin et pris de vertiges, prendraient les jambes à leur cou pour se cacher dans les forêts où les lions et les tigres pourraient se régaler à souhait. Je crois que j’ai trouvé la solution et j’espère que vous serez nombreux à me féliciter.

 

La lâcheté de Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque de France, est sans limites. Le plouc a déprogrammé le chef-d’œuvre de Bertolucci « Le Dernier Tango à Paris » qui devait être projeté ce soir, à 20 heures, parce que des associations de nanas psychopathes ont menacé de l’émasculer s’il montrait sur l’écran blanc, Marlon Brando violer d’une manière particulière la succulente Maria Schneider. J’ai vu le film il y a plus d’un demi-siècle et je suis toujours en vie et même, je ne me porte pas trop mal pour mes prochains quatre-vingt-dix ans. Les réalités, et surtout la vue des chefs-d’œuvre, traumatisent fortement les gens de notre époque où les cerveaux sont manipulés dès leur arrivée dans le ventre de la femme coupable. La dictature des imbéciles et des ignorants – souvent imbéciles-ignorants ou ignorants-imbéciles – lézarde, corrompt, dégrade et torture la société où s’opposent bourreaux et victimes sans que personne sache pourquoi. La femme est devenue la bêtise même et l’homme le pauvre petit con qui s’extasie devant sa puérile puanteur de soi-disant révolution. Les haines se tariront, les guerres cesseront, lorsque l’homme sera enfin devenu homme et lorsque la femme sera enfin devenue femme. C’est ce qui a toujours manqué à l’humanité. Et pour réaliser ce rêve, rien de tel que de se rendre chez Freud pour y pousser la porte de son cabinet afin d’y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien d’autre. Les restes ne sont qu’inutilité.          

samedi 14 décembre 2024

vu à travers le tube • le retour…

 

Le retour à la IVᵉ République est actée. Nous nous retrouvons sous le régime des partis et ce n’est pas plus mal pour identifier la perfidie de l’animal politique. Bayrou, une petite girouette enfantine, née au bas des Pyrénées, a décidé, quand il était noyau de cerise dans le ventre de sa maman, d’être président d’une république, en France, de préférence. Il y arrive. Il est enfin Premier ministre après une longue et dure incartade avec l’enfant psychopathe qui sert de roi à la France et qui ne voulait pas de lui, en attendant la suite qui semble inéluctable sauf si son expérience n’arrive pas à déjouer les pièges posés par les résistants. Il semblerait que les cases vont s’échanger, paraître et disparaître dans leur cadre immuable. Le président, enfant usurpateur, en reste sans voix, lui qui déjà depuis quelques mois était enroué. Peu lui importe, il doit tenir jusqu’à ce que la présidence de la commission européenne se libère en se débarrassant d’Ursula. C’est là qu’il veut vivre et régner en éclairant l’Europe de ses facéties et de ses proses shakespeariennes. En attendant, comment de pas constater que le garnement aura usé cinq premiers ministres en sept ans : Philippe, 3 ans ; Castex, 2 ans, Borne, un an et demi ;  Attal, 7 mois ; Barnier, 3 mois, et maintenant Bayrou dont la survie dépend davantage des idiots de l’Hémicycle que du bon vouloir de Sa Majesté en plein déclin. Mais si on tient compte du décroissement, François risque de ne tenir qu’une petite semaine. Je ne le crois pas, mais je sais qu’en politique tout est possible, même le plus impossible des impossibles. Attendons la suite qui ne va pas être sans agitations intempestives : les ministres à venir, ceux qui vont affronter l’assemblée des fauves qui se prétendent représentatifs. Il y a bien longtemps que le peuple n’a pas été représenté et qu’il ne sait même plus s’il existe. Tout cela me donne le tournis. Et si j’allais chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier qui se rit de toutes ces comédies