vu à travers le tube • la corvée de patates…

Une fois encore, Hanouna a raison : « On marche sur la tête ! ». L’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France appelle le tsar de Russie à cesser ses déclarations dilatoires. Pour qui ce prend-il ce petit imbécile ? Et Royale, décidément en fin de vie, qui affirme que LFI n’est pas antisémite et n’est pas une organisation de déjections abdominales. Et cette Rousseau, modèle de dégénérescence, qui a été choisie pour présider une commission d’enquête à l’Assemblée nationale pour savoir qui couche avec qui et la véritable raison du succès de nombreuses actrices, et acteurs aussi. Heureusement, ici, Dominique Besnehard est venu y mettre bon ordre, ce qui a provoqué l’étranglement de la gorge de la présidente. Et tout ce baratin sur l’Ukraine avec tous ces diplomates de loges de concierges qui jouent à qui perd gagne alors que ce n’est qu’un petit problème Zelenski/Poutine auquel vient se mêler l’enfant malade qui réclame une nouvelle grande guerre mondiale pour accélérer le crépuscule et laisser son cul vissé sur le trône jusqu’à l’extinction complète de la race humaine, une erreur qui ne sera jamais pardonnée à Dame Nature. Et pendant ce temps, les terroristes islamistes s’installent dans les plus belles et plus chiques et plus chères résidences de notre territoire, en attendant le jour pas si lointain où ils planteront leurs tentes dans les salons de l’Élysée. Quelle joie de voir Salamé, Panot,Lemoine, Keké, sous le voile, éplucher les patates pour leurs maîtres et bourreaux !     

le puits au fond du jardin • héros de pacotille…

 

Quand on n’a rien à dire, il vaut mieux se taire et quand on n’a rien à écrire, il vaut mieux débrancher l’ordi et regarder par la fenêtre le monde des agités qui courent après eux-mêmes comme le lapin qui se mord la queue faute de pouvoir atteindre ses grandes oreilles. Ce matin, je suis vide, vide comme les pensées qui ont perdu leurs héros, leurs béquilles, et qui s’affaissent jusqu’à en mourir, leurs ventres restants désespérant vide. Ce que je croyais être un acteur, bon parfois, moins bon d’autres fois, mauvais très souvent, était un héros que les foules des mondes de la terre suivaient, honoraient, chantaient sa gloire en se prosternant à ses pieds, depuis 88 ans. Je fus très surpris lorsque je connus ce fait, parce que, des acteurs, j’en ai connu des tas dans les écrans des cinés. Chaplin ou Philipe par exemple. Mais aussi Marais, Dewaere ou Dussolier qui n’est pas encore mort ou moment où j’écris ce puits. Ils avaient du talent, un vrai. Ils n’ont pas été enterrés dans leur potager entre les choux et les carottes et en mourant, ils ont foutu la paix à leurs chiens. Que signifie ce besoin irrésistible de se fabriquer des héros ? Moi, j’ai les miens. Je ne les ai pas fabriqués. Ils sont. Freud, Molière, Furtwängler, Wagner, Hitchcock, Lynch, et quelques autres… ça me va et ça me suffit. Inutile de rajouter des illusions ! Je vis avec Laura, parce que Laura est l’unique. Elle est intérieure. Pas derrière le front. Derrière la poitrine, là où s’ouvre la porte qui conduit au miroir que chacun doit traverser pour vivre.  

 

PS : Je n’ai pas écrit ce puits ce matin. Je l’ai retrouvé dans un coin caché de mon ordi. Je ne sais pas pourquoi ni quand je l’ai écrit et je ne sais pas si je l’ai mis en ligne. Il n’a jamais été autant d’actualité et comme il me plait, je le publie.       

vu à travers le tube • ça se reproduit…

 

Depuis plusieurs jours, Gaza et ses terroristes ne préoccupent plus le monde qui ne sait même plus si le conflit existe. Les radios, les télés, et tout le monde d’en haut, ne parlent que du monstre aux yeux verts et à la queue crochue qui mange les petits enfants et les grands quand il est repu. Tous ces fous ne parlent que de Poutine qui serait celui qui va mettre fin à notre terre avant que nous ne célébrions l’anniversaire de l’homme inconscient qui s’est laissé clouer sur une croix pour sauver l’humanité et qui a échoué splendidement. Poutine ne m’inquiète pas. Ce qui m’inquiète, ce sont les invasions barbares, venues de l’autre rive méditerranéenne, qui prennent nos espaces en se multipliant plus vite que les chats et les loups et qui nous boutent hors de nos frontières pour s’installer au sein des rouages de nos centres stratégiques. Ce qui m’inquiète, ce sont les OQTF qui égorgent et poignardent à tout-va, sans que quiconque ose les jeter, vivants, au milieu des océans. Ce qui m’inquiète encore plus, c’est que les tarés de LFI ne soient pas en état d’arrestation et condamner sans jugement au cachot noir, avec chaines aux pieds, jusqu’à extinction totale de leur misérable vie. Ce qui m’inquiète aussi, c'est la bêtise crasse du peuple de France qui rumine dans les prés en regardant passer les TGV. La seule fois où j’ai cru penser qu’il se réveillait, c’est le jour où il a tranché la tête de son roi. Mais, dès le lendemain, il a placé un empereur sur le trône. Quand le Géant est apparu à l’agent spécial Dale Cooper, il lui a dit : « Ça se reproduit ! Ça se reproduit ! » N’est-ce pas ce qui se passe ici, depuis des millénaires ?

vu à travers le tube • crapules décideuses…

La Russie et l’Ukraine sont les derniers de mes soucis. Je n’ai aucune sympathie pour Zelenski et je n’ai vu aucun char russe devant ma boulangerie. C’est pourquoi j’aimerais – et je ne suis pas le seul - que ceux qui décident pour moi – et je me demande bien pourquoi -, fixent leur attention sur les dangers essentiels que sont les invasions barbares islamistes, les innombrables parents incapables de maitriser leurs enfants criminels ou imbéciles, les déserts culturels, le triomphe des ignorances, le rétrécissement de la pensée, le brouillage permanent des sens, la désinformation des radios et télés officielles, la stupidité des matières enseignées à l’école, la surabondance des vacances scolaires, et bien d’autres choses. J’aimerais que cette vermine qui décide, comprenne qu’elle est à mon service et que ce n’est pas moi qui suis au sien.  

vu à travers le tube • ça se délite…

La bien-pensance française, qui va de l’effrayant terrorisme islamique mélenchoniste aux trois quarts de la droite mole du Rassemblement National, en passant pat les stupides poupettes unisexes macroniennes, est en passe d’obtenir la tête de l’empire Bolloré et de son inénarrable Hanouna, ce grand chœur mixte, le seul, qui pouvait encore garantir nos libertés. Les français veulent la guerre et, déjà, frissonnent de désir rien qu’à l’idée de voir sur leurs écrans, Chevalier Macron endosser son armure étincelante, brandir son glaive magique et partit à l’assaut du Bolchoï, sur son magnifique cheval blanc, pour participer à la mort du cygne après le viol de la belle au bois dormant. À la suite de ses hauts faits d’armes, il sera élevé à la haute fonction d’Empereur de toutes les Russies et de toutes les Europes franchouillardes fantoches, et il ne lui restera plus qu’à museler la Chine et les Amériques pour satisfaire les pulsions qu’il ne peut avoir ailleurs. La guerre est imminente. Elle sera la dernière. Et la seule conclusion qui tombe sous le sens, c’est que l’homme n’a jamais été homme, puisque toujours il est resté petit enfant sauvage dont le nombre de neurones n’a jamais dépassé celui de la feuille de laitue que me donne ma voisine de palier pour nourrir mon perroquet vert-de-gris, qui, tel le miroir de l’humanité, ne cesse de répéter, matin et soir : « Connard ! Connard ! Connard ! »

vu à travers le tube • le chemin de la mort…

 

Il va ruiner les français qu’il a déjà ruinés, avant de les envoyer au front, en passant par le prétexte de l’Ukraine, pour assouvir son besoin d’asservir Moscou et l’immensité de la grande Russie, afin de pouvoir dire à son miroir, sans raser sa barbe imberbe : « Je suis le sublime empereur, tsar, roi, dictateur, Ubu et Dagobert, du tiers du globe. Plus que les Amériques et la Chine, et le monde rampera à mes pieds ! » Il est fou à lier et ne peut se contenir que sous les jupes de sa maman qu’il a épousée, là où il vit ses phantasmes puérils et criminels pour les populations. Il va trouver de l’argent pour satisfaire les militaires, les amoureux des uniformes et de la marche au pas en cadence sur des musiques pompières. Sa vision va vers la gloire et passe au-dessus des égorgeurs à l’opinel, au-dessus du foutoir des hôpitaux, au-dessus des formulaires-rébus de son administration, au-dessus de ceux qui pratiquent le jeune obligé à partir du 10 de chaque mois, au-dessus de l’ignorance abyssale de l’Éducation nationale, au-dessus des tares des parents improvisés, au-dessus d’une France en miette, se dissolvant dans les laves puantes de son vomit. Avant de sauver l’Ukraine, il serait bien avisé de s’occuper de son pays, d’y exterminer les criminels islamistes qui votent pour Mélenchon et ses amis, et de s’adresser à la nation pour parler vrai et affirmer haut et fort que les gens du RN sont des citoyens comme les autres et souvent, avec Maréchal et Zemmour, des gens plus intelligents que lui et que les autres partis, et que rien ne justifie leur exclusion en les plaçant hors du champ républicain. Rien de tout cela se fera. L’enfant va continuer de semer la mort sur son chemin, sous l’œil éteint du peuple avachit.

le puits au fond du jardin • waouh !

 

 

On sent poindre le bruit qui va devenir fureur et qui est en passe de faire l’unanimité chez les crânes peuplés de déserts infertiles : « Il faut rétablir le service militaire ! » WAOUH ! Pas vraiment pour marcher sur Moscou et exterminer la totalité de notre jeunesse, mais surtout pour palier à l’incompétence éducative de nos enfants qui égorgent plus en une journée que l’ensemble des armées soviétiques ne tuent de fantassins ukrainiens en une année. Plutôt que d’envoyer nos enfants au service militaire, un danger pour les libertés d’expressions et pour la protection des sexualités, pourquoi ne pas envoyer les parents en camps d’éducation, ces ignorants inconscients qui pondent des enfants sans même en connaître la définition. Aujourd’hui, sitôt éjecté bruyamment du ventre de la femme coupable, on colle l’embryon à la crèche ou chez la nounou, on le ballote du matin au soir en le coupant de ses repères fondamentaux, et on se plaint d’avoir fabriqué des psychopathes qui, dans leur abyssale ignorance, ne sauront même pas qu’un spécialiste du psychisme a inventé une thérapie psychanalytique qui pourrait les aider et leur donner la clé des chemins de la connaissance et ceux de la liberté. Et s’il y a tant de violence, c’est parce que ceux que l’on prend pour des adultes ne cessent de donner l’exemple. Avez-vous vu, hier, dans les rues de Paris, toutes ces femmes, mères pour beaucoup, se chamailler, se dénuder, hurler des slogans de mort, faire l’éloge des terroristes, prôner la violence à tous les étages, sous prétexte de vouloir se libérer ? WAOUH ! Se libérer de quoi ? De qui ? Moi, j’ai été prisonnier à plusieurs reprises. J’ai été incarcéré des dizaines de fois. À chaque fois, ma cellule se nommait « femme ». En ayant assez de souffrir, je suis allé voir un ami. Il s’appelait Freud. Il m’a tout appris. Aujourd’hui, je suis, je sais et je suis libre. Je ne suis pas passé par le service militaire – n'ayant pas de temps à perdre, je me suis fait réformer – pour gravir les marches de la connaissance universelle. Je suis passé par mon psychisme, en poussant la porte de mon ami précité, pour chercher mon miroir, pour le trouver, pour m’y regarder, pour m’y reconnaître et pour le traverser. C’est de l’autre côté du miroir qu’est la vie, la vraie, celle qui vit. C’est pourquoi le monde qui passe toujours à côté, sans même le voir, finit irrémédiablement dans le noir du fond de mon puits.   

le puits au fond du jardin • filets à papillons…

 

 

Ce qui est effrayant chez l’enfant, c’est qu’il montre les muscles qu’il n’a pas, seulement derrière les micros et derrières les écrans, alors qu’il n’est ni Siegfried, ni Tarzan et encore moins Rocco Siffredi. On lui a donné, par les avatars de la Constitution, la tête de la France. Il l’a décapitée.  Il veut maintenant celle de l’Europe qui, comme la Démocratie, n’est toujours pas inventée. Il l’aura le bougre, la perversité étant l’art de se faufiler par les passages invisibles qui mènent aux fausses gloires, aux fausses ambitions, et aux folies les plus extravagantes. Il a raison Poutine. Il se prend bien pour Napoléon, à l’exception que ce n’est pas dans son veston qu’il cache sa main handicapée, mais bien dans le fond de son pantalon. Peu de français ont compris qui était l’individu qui, pour atteindre la clarté, nous précipite dans le noir du fond de mon puits. Il est saisissant le tableau qui montre le peuple assis dans le noir de la salle de cinéma devant le blanc de l’écran où un enfant psychopathe gesticule dans un film muet, en noir et blanc. Et l’humoriste fait dire à la femme à la jupe fendue que tripote son mari : « Mais quand donc va-t-il sortir de l’écran ? » Les hommes noirs et barbus sont là, tout près, avec leurs filets à papillons.

vu à travers le tube • petit enfant contre statue de pierre…

 

Le petit enfant handicapé que nous avons pour chef ne devrait pas insulter les grands enfants, plus musclés et plus nerveux que lui. Au combat il serait terrassé avant que la joute n’ait commencé. Poutine, le dernier des tsars de la grande Russie, a eu raison de lui rappeler que Napoléon le petit qui voulait s’emparer du monde alors que sa main droite vissée sous son veston l’empêchait de manier l’épée avec la dextérité et la sureté de Zorro, a laissé autour de Moscou 300 000 cadavres français, ce qui n’est rien par rapport à la totalité des meurtres qu’il a perpétré sur ses propres troupes au cours de ses guerres incessantes et totalement injustifiées. Napoléon était un psychopathe avide de pouvoir et Poutine a raison, bébé Macron tente en vain de la copier pour le surpasser. Et, quelle stupéfaction quand je vois que la majorité de nos élus – illégalement – se rallient aux folies de l’enfant pour qui la guerre qu’il ne veut esquiver est l’aubaine inattendue pour sortir de sa retraite et de garder le pouvoir au-delà de son mandat, parce que jamais on a changé de chef dans le tourbillon d’une guerre. Et, double aubaine, l’Algérie ne nous vomit plus dessus, les enfants ne poignardent plus les passants dans les rues, la dette de la France est effacée, les islamistes n’égorgent plus leurs ennemis, Gaza est devenu un paradis, les otages ont été rendus, ceux qui sont morts ont été ressuscités, les retraites ne sont plus à l’ordre du jour, les déserts médicaux sont surpeuplés, les femmes ne sont plus violées, C8 est rétabli, Apathie a pris sa carte au RN, l’homme a retrouvé son pénis, le vagin est retourné chez sa propriétaire. Le monde brille dans la lumière avant de se trouver dans le noir éternel parce qu’un enfant psychopathe a excité une statue de pierre qui trônait dans les musées du Kremlin.

vu à travers le tube • nous sommes en guerre…

 

Il ne servait plus à rien. Il était rejeté de tous. Certains demandaient sa démission, d’autres son arrestation et incarcération pour foutage de gueule envers le peuple. Et voilà que sur le coup des vingt heures, hier, de 0,01% d’opinions favorables, il est passé à 101,12%, battant en cela Hanouna. La France entière – et bien au-delà – a salué sa bravoure, son courage, sa détermination, quand elle l’a vu, en direct sur les télés, endosser son armure étincelante, dresser son glaive affuté, celui de Siegfried, monter sur le cheval blanc d’Henri IV, et partir au grand galop à l’assaut de Moscou, la ville des peuplades sauvages qui se nourrissent de la chair humaine des touristes.  Seul Napoléon avait osé le faire avant lui. L’enfant est entré dans la légende et très bientôt l’histoire de sa vie va paraitre en bandes dessinées chez Flammarion ou TDK.  Et comme il a su, en quelques instants, entuber superbement le peuple abruti, ses jours ne sont plus comptés. Il va aller jusqu’au bout et je me demande – j’en suis même presque sûr – si ce bout aura une fin. On ne change pas un héros en plein milieu d’une guerre.  Je ne l’ai pas écouté ni surtout, regardé. Mon médecin me l’a fortement déconseillé, parce que je suis macronophobe en phase 6, et que mes jours sont comptés, surtout que je suis plus vieux que le pape qui, lui, va bientôt rejoindre l’autre monde, ce qui n’est pas sans rapport avec le cheval blanc parfaitement visible, hier soir, à la télé, avec sur sa croupe, l’enfant excité. Je me suis simplement renseigné. Et, avant d’aller chez mon Leclerc pour prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier, je vous rappelle ne pas oublier les paroles de l’enfant au psychisme inachevé : « Nous sommes en guerre ! Nous sommes en guerre ! Nous sommes en guerre ! » Pas lui, ni son cheval, ni son épée. Il est trop bien dans les oripeaux de l’Élysée où il peut gloser avec maman, celle qu’il a épousée.  

vu à travers le tube • état de droit et indépendance de la justice…

 

Il est hors-champ. L’activité des opinels, les humiliations algériennes, sa pulsion de guerre et celle de la caresse des corps, la dette abyssale et le spectacle effrayant de la France en charpie, l’invasion subversive des terroristes islamistes, la Justice au-dessus des lois, et toutes les autres choses ahurissantes dont il est le seul coupable, ne vont pas l’empêcher de venir, ce soir à la télé , aligner des mots indignes qui échappent au bon sens et par lesquels il va encore enculer le peuple français qui reste décidément bien pleutre et bien lâche. Et si j’ajoute l’affaire du policier accusé de meurtre par une (in)justice politique qui se reproduit et se reproduit encore, je finis par penser que dans cette dictature grimée, il devient nécessaire et urgent de déclarer illégal l’État de droit et aussi celui de l’indépendance de la Justice.

vu à travers le tube • trump, zelenski et hanouna…

 

Depuis leur altercation, en direct à la télé, on ne connait plus que Zelenski le gentil et Trump le méchant, alors que la séquence n’est que l’aboutissement de l’attitude d’un gentil qui ressemble fort à un méchant. Revoyez la scène, depuis le début, et jugez vous-mêmes. S’informer par l’intermédiaire de la presse écrite, parlée ou visuelle, est le moyen le plus sûr de rester ignorant à vie, surtout si elle, ou elle, ou elle, penche à gauche et à son extrême.  

 

Avez-vous remarqué ces envies qui sont tombées perfidement sur la tête des dirigeants européens, en particulier sur celle de l’enfant de l’Élysée, envies pressantes – comme pour le pipi – de courir à la guerre pour capturer Poutine, régner sur Moscou et son Bolchoï, envahir la grande Russie avant d’anéantir la Chine puis les Amériques et peut-être aussi la petite île du rancunier Monte-Cristo. Ils sont tarés nos dirigeants et nous les laissons faire sans bouger le sourcil. Depuis son apparition sur terre, l’homme est esclave de lui-même et incapable de réaliser qu’il n’est qu’un objet entre les mains de quelques malins suffisamment pervers pour les enculer à l’endroit et à l’envers. C’est pourquoi, je me permets, ce matin, de féliciter Hanouna, avec un bonheur ineffable, qui lui au moins, aura vraiment jeter une grosse merdre à la tête de Macron et de son larbin l’Arcom, en poursuivant TPMP, comme si rien ne s’était passé et sur le même canal 88 de Canal+, encore C8 ce vendredi passé. Trois heures d’humour gaulois, vrai et percutant, qu’on peut ne pas aimer et je comprends, avec en prime la saveur de la vengeance où tous les faux-culs ont été cités et lacérés... et il a encore battu les records d’audiences.

vu à travers le tube • pitoyable…

Pitoyable le spectacle donné par Macron, le marmot qui touche les corps, l’enfant dont la superficie de la boite crânienne ne dépasse pas celle de mon étui à lunettes, son cervelet ayant inachevé sa construction – ou progression, si vous voulez - quand il a changé de maman.  N’ayant pas d’emploi en France, il se démène pour devenir le maître de l’Europe avec Ursulla pour conseillère en ménagerie. Il aligne chaque matin ses soldats de plomb, comme le faisait Benjamin Horne dans son coup de folie, et règle la guerre qu’il va déclencher contre Moscou, comme du papier à musique, suivant les portées que Napoléon a tracé avant la retraite dont le monde entier a tant parlé. Pauvre France. Pauvre Europe. Le vieux continent est allongé sur son lit de mort et il est trop tard pour le sauver, surtout que la démence a pris le dessus depuis plusieurs décennies. Exemple tout bête : à Paris – pauvre Paris – la quatrième voie de l’autoroute qui tourne autour de la ville est désormais réservée aux voitures qui pratiquent la copulation en couple ou en trouple. Je n’ai pas compris pourquoi et je ne connais personne qui ait compris. Autre exemple encore plus bête : les voitures d’un certain âge vont être interdites – elles le sont déjà - et ceux qui en possèdent, sont ceux qui n’ont pas les moyens de s’en payer une autre. Alors, les crétins élus leur disent de prendre le métro, le tram ou le bus. Êtes-vous déjà entrés dans ces wagons à bestiaux ou l’on entasse 150 personnes alors qu’il n’y a que 5 places assises ? Les corps sont contre les corps et il est bien normal que ceux pour qui les odeurs ne sont pas un problème, ressentent quelques excitations non coupables et que le mâle soit attiré par la femelle quand ce n’est pas elle qui fait le premier pas.  Encore faut-il habiter dans un endroit où les vaches regardent passer les métros, les trams et les bus !

vu à travers le tube • catastrophes avant explosion finale…

Les catastrophes s’enchainent : Dechavane cocaïné quitte Salamé ; Zelenski, qui est entré dans le bureau ovale avec son pull unique et sale, a mis Trump en fureur et ça c’est mal terminé ; Gluksmann, qui a engrossé Salamé, exige une guerre immédiate contre la Russie ; depuis hier, quand je zappe, j’ai deux écrans noirs ; le petit morveux qui nous dirige a juré cracher en l’air qu’il allait partager sa bombe atomique avec ses copains virtuels et que Poutine allait sauter avec le Kremlin ; les gauches islamos-écolos se sont succédées au micro des César et n’ont pas manqué d’humilier ceux qui leur donnent la manne qui leur permet de cultiver leurs navets ; j’ai reçu une pluie d’injures parce que je déteste le plus mauvais ténor de l’histoire de l’opéra, Alagna ;  L’ARCOM n’est toujours pas dissoute, Apathie non plus ; Macron capitule devant l’Algérie et désavoue Retailleau ; Rima Hassan est toujours en vie ; dans quelques semaines, Skype cesse ses activités ; le pitoyable torchon l’Humanité, qui persiste à traiter Le Pen, Zemmour, Maréchal, Hanouna, Praud, Kelly, Ferrari, de racistes et de porteurs de haine, ne trouve aucune ARCOM pour le mettre hors d’état de nuire, ce qui en dit long sur notre justice de pacotille et sur les cervelles en charpie qui habitent les crânes humains.

vu à travers le tube • la folie des fous…

C’était monumental. Maitre Trump, sur son arbre perché, a baissé la culotte kaki de l’élève Zelenski du CM2 et lui a donné la fessée devant les caméras télés et en direct, avant de le renvoyer à la maison, sans même lui donner à manger. Et, dans la seconde même, l’enfant au psychisme inabouti qui dirige la France, à prononcer le mot « nucléaire ». Si j’étais français en France, je commencerais sérieusement à m’inquiéter. Trump est implacable et sans appel. Il fait ce qu’il dit et ce pourquoi il a été élu. Il est fou à lier. Mais c’est peut-être, la solution pour cesser de marcher à reculons.

 

Je n’ai vu des César qu’un pitre pour commencer, puis Deneuve pas vraiment souriante, puis un couple homme d’une bêtise ahurissante. C’est tout. On m’a dit que le film sur la vengeance de Dantès n’avait pas plus au jury, ce qui n’est que justice, et que certains « orateurs » avaient profité du micro pour lancer leurs messages politico-gaucho-wokistes. Les César sont bien toujours dans la même marmite qui fait chauffer la soupe de plus en plus indigeste.

 

Le type qui a violé 299 enfants a aussi violé sa petite fille de quelques mois. Quand je dis que l’homme est la plus grande erreur de la nature, on me prend pour un fou. J’espère bien que je le suis !