Le petit enfant handicapé que nous avons pour chef ne devrait pas insulter les grands enfants, plus musclés et plus nerveux que lui. Au combat il serait terrassé avant que la joute n’ait commencé. Poutine, le dernier des tsars de la grande Russie, a eu raison de lui rappeler que Napoléon le petit qui voulait s’emparer du monde alors que sa main droite vissée sous son veston l’empêchait de manier l’épée avec la dextérité et la sureté de Zorro, a laissé autour de Moscou 300 000 cadavres français, ce qui n’est rien par rapport à la totalité des meurtres qu’il a perpétré sur ses propres troupes au cours de ses guerres incessantes et totalement injustifiées. Napoléon était un psychopathe avide de pouvoir et Poutine a raison, bébé Macron tente en vain de la copier pour le surpasser. Et, quelle stupéfaction quand je vois que la majorité de nos élus – illégalement – se rallient aux folies de l’enfant pour qui la guerre qu’il ne veut esquiver est l’aubaine inattendue pour sortir de sa retraite et de garder le pouvoir au-delà de son mandat, parce que jamais on a changé de chef dans le tourbillon d’une guerre. Et, double aubaine, l’Algérie ne nous vomit plus dessus, les enfants ne poignardent plus les passants dans les rues, la dette de la France est effacée, les islamistes n’égorgent plus leurs ennemis, Gaza est devenu un paradis, les otages ont été rendus, ceux qui sont morts ont été ressuscités, les retraites ne sont plus à l’ordre du jour, les déserts médicaux sont surpeuplés, les femmes ne sont plus violées, C8 est rétabli, Apathie a pris sa carte au RN, l’homme a retrouvé son pénis, le vagin est retourné chez sa propriétaire. Le monde brille dans la lumière avant de se trouver dans le noir éternel parce qu’un enfant psychopathe a excité une statue de pierre qui trônait dans les musées du Kremlin.
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