mercredi 23 juillet 2025

vu à travers le tube • dans la soupe aux orties…

Il y a longtemps, dans les temps reculés, le Roi ordonnait et le Peuple obéissait. Si le roi était lucide et gentil, le peuple était heureux. Si le roi était aveugle et méchant, le peuple était malheureux. C’était comme cela et pourquoi pas ? Le loup mange bien les chevreaux et les brebis pour apaiser sa faim ! Un peu après il y a longtemps, le peuple a pu désigner son roi et ses valets, en votant. Voter, c’est mettre au pouvoir l’individu qui énonce les mesures qu’il va prendre pour que le peuple soit heureux et qu’il ne prendra pas quand il aura le pouvoir que lui aura donné le peuple aveugle, sourd et naïf. C’est pourquoi je ne vote pas. Et maintenant, aujourd’hui, plus personne ne tient compte des élections. On scrute les sondages et les pétitions. On sonde et on pétitionne à gogo, tous les jours, toutes les heures. C’est très efficace. Les sondages des dix dernières années indiquent que 97,79% des Français veulent la fin totale de l’immigration. En dix ans, elle a doublé. Les Français veulent aussi que tous ces autres, qui ne sont pas de notre civilisation, rentrent chez eux où ailleurs, où ils veulent. Ils restent, se multiplient et deviennent majoritaires. Ce sera une joie de voir Panot et Rousseau sous la burka - si on arrive à les voir -, et une joie supplémentaire quand elles devront céder à leur mâle en rut sous les coups du fouet. Je pourrais citer encore des marmites de stupidités et d’aberrations que les autorités nous font avaler, comme ces innombrables couleuvres que nous avalons depuis longtemps, depuis les temps les plus reculés. L’enfant qui gouverne est psychopathe. Le gouvernement chute en roue libre. La gauche de l’Assemblée ne compte que des fous furieux. C’est ma grand-mère Florine qui aurait été contente. Elle aurait eu d’excellentes espèces d’amanites phalloïdes à mettre dans sa soupe aux orties.  

 

mardi 22 juillet 2025

vu à travers le tube • on s’enfonce, on s’enfonce…

 

Ils ont inventé le télétravail. Ils ont tué le travail. Sur le cadavre du travail, voilà qu’ils veulent inventer la semaine de quatre jours de façon à intensifier la concentration des boites de conserves sur les autoroutes qui périme les denrées bien avant leur sortie de l’enfer. Ils disent qu’en plus des trois jours d’oisiveté, cela fera descendre le temps de travail à 32 heures d’une manière générale et à 24 heures pour les employés de la mairie de Paris. Et ils n’oublient pas de dire qu’ils veulent que tout ce machin-truc soit payé 48 heures. Et vous allez voir qu’on va y arriver. Non, vous ne rêvez pas. Moi non plus. Qu’on m’explique. Pour bien gagner sa vie, faut-il travailler plus ou faut-il travailler moins ? Bien malin celui qui va me le dire. Ce que je sais, c’est qu’on s’enfonce, qu’on s’enfonce encore dans le noir des fonds qui semblent avoir disparu, ce qui va, sous peu, nous faire choir brutalement dans le vide. Savez-vous que dans le vide il n’y a ni haut ni bas, ni droite ni gauche, et que vos viscères vont s’éclater hors de votre corps ? Je crois que ce sera rigolo. Mais j’ai trouvé plus rigolo encore puisque ma voisine de palier vient de me dire que Ségolène a annoncé hier, sur la radio d’État, qu’elle allait demander au français de poser son cul pas tout frais sur le trône des François et des Louis dont le dernier s’est vu trancher le cou. Même si Royal est un nom prédestiné, la dame doit avoir la cervelle toute branbeboulée. On aura eu la maman d’Emmanuel ; on ne va pas recommencer, surtout que celle-là, elle nage vraiment dans la sauce gauchiasse.    

lundi 21 juillet 2025

le puits au fond du jardin • oser…


 


 

Ce matin, dans tous les postes – même ceux des increvables gauchos – on ne discutaillait pas des guerres en Ukraine et à Gaza, on affirmait les faits. La France entière est atteinte par les invasions des terroristes voyous dont la jeunesse – 10, 11, 12, 13, 14 ans – a pris la tête, et joue habilement du couteau, du mortier, et parfois de la mitraillette, pour soumettre leurs ainés et laisser place aux hiérarchies des cartels, des fanas de l’islamisme punitif, des hordes de hors-la-loi, qui tous ont déjà gagné la partie, puisque la France est dirigée par des lavettes rampantes que les votants ont choisies. Vous y croyez à la prison haute-sécurité de Darmanin ? Est-ce de la haute sécurité une prison avec une cour de récréation et des surveillants qui font déjà dans leur froc ? « Ils » sont plus fort que toutes les polices et toutes les armées du monde, plus malins, plus intelligents, plus respectueux de leurs convictions. Ce sont des gagnants. Croyez-vous que l’enfant immature, au psychisme inabouti, qui se cache sous les jupes de sa maman épousée, et qui dirige la France, a envie de faire face aux héros du nouveau monde, le monde que vous avez voulu, celui que vous avez créé en glissant un morceau de papier cul dans la fente d’une boite à chaussure ? Vous n’êtes que des gamins qui suivent les héros de papier et qui finiront un jour ou l’autre, allongés sur les bords des chemins boueux qui mènent à mon jardin. Encore un petit effort et vous atteindrez mon puits dont le noir du fond grouille dans un bruit assourdissant des pantins de toutes sortent, ceux qui n’ont pas osé vivre.

dimanche 20 juillet 2025

vu à travers le tube • quelle époque…


 

Quelle époque ! Les postes et les écrans se sont mis en vacances, comme si travailler – travaille-t-on dans les postes et dans les écrans ? – était fatiguant. Nous sommes condamnés à ingurgiter les restes de poulets sortis des fonds des poubelles. Ils nous font croire qu’ils sont en studio, alors qu’ils sont nus sur les plages du Mexique ou en sueur dans le métro de Tokyo. On n’a plus que les vachettes fantômes d’Intervilles à se mettre sous la dent. Et si l’on sort en ville, on ne voit plus que des femmes à têtes de poisons et des hommes à queues d’éléphants. À Aix-en-Provence, on massacre Don Juan avec une mise en scène imbécile ; Avignon déroule son festival sous l’image provocatrice de la langue arabe ; Ramatuelle propose Alagna – et bobonne, je crois -, le seul ténor qui frime au lieu de chanter, et Capuçon-violon, l’omniprésent PDG de la musique universelle, serait au lit, seul ou avec la main de fer de Ferrari. Les hordes sauvages pillent et tuent, sans qu’on les arrête, et l’enfant de l’Élysée n’a toujours pas été démissionné. Ce matin, mon voisin de Cogolin a pris sa voiture électrique et bobonne. Ils sont partis pour Paris, pour se baigner dans la Seine. Ils sont inquiets parce qu’ils devront s’arrêter deux fois deux heures pour faire le plein et parce qu’un petit nuage inopiné pourrait bien se former dans le ciel et pleuvoir des virus sur la plage parisienne. Ils devraient alors prendre la route du retour et se retrouver au bord de la Méditerranée.


samedi 19 juillet 2025

vu à travers le tube • un joker qui mérite attention…

 

Autant le dire de suite et y mettre une croix : le projet budget Bayrou, c’est fini, c’est cuit. Personne n’en veut, non pas parce qu’il maltraite honteusement les retraités, mais parce qu’il supprime deux jours de congés à ces pauvres fainéants de français qui préfère vivre toute leur vie, le cul vissé dans leur boite à sardine sous le soleil des autoroutes qui les emmènent je ne sais où, l’essentiel étant que ces pauvres gens fuient leur misère psychique. En élaborant ce budget, Bayrou a joué de son amnésie chronique – tous les politiques ont une amnésique chronique - et oublié que c’est sur l’essentiel et le visible que l’on peut faire des économies en satisfaisant toutes les personnes équilibrées dont le psychisme a été refabriqué, remodelé, lavé de toutes les impuretés générationnelles et familiales. Il y a quelque temps, est apparu dans le cosmos politique, une jeune femme pas comme les autres. Elle est sincère, lucide, claire et intransigeante. Et de plus, elle a une parfaite connaissance de ce qui préoccupe les Français. Elle vient de faire une proposition pour économiser immédiatement 63 milliards d’euros. C’est simple et ça permet de débarrasser le pays des boulets qu’il traîne depuis des décennies. Boulevard Voltaire la résume ainsi : « Sarah Knafo a communiqué une liste de coupes budgétaires qui pourraient faire économiser à l’État, donc aux Français, 63 milliards d’euros. Suppression de l’aide publique au développement : 14,827 milliards d’économie ; privatisation de l’audiovisuel public : 4,029 milliards ; suppression des soutiens publics aux énergies renouvelables : 7,983 milliards ; suppression du soutien public à la politique de la ville : 7,971 milliards. Quelques agences mastodontes de l’État sont aussi dans son viseur : suppression des ARS (santé), de l’ADEME (transition écologique), de l’ANAH (habitat), du CESE et de l’Arcom  : 7,920 milliards économisés, pour que les Français paient moins, tout de suite. Nous revenons à la "corvée" de l’Ancien Régime, quand les paysans devaient travailler quelques jours par an, gratuitement, pour leur seigneur. Nous, c’est déjà la moitié de l’année que nous travaillons gratuitement pour l’État, explique l’active eurodéputée, qui s’insurge, contre l’idée de faire travailler les Français le lundi de Pâques et le 8 mai. Cela fera deux jours de servage de plus, à travailler la moitié de la journée pour l’État, pour qu’il puisse financer les humoristes de France Inter, les subventions aux associations d’extrême gauche et l’aide au développement au Sénégal. »

 

Qui pourrait s’opposer à une pareille évidence ? Voilà, sans doute, le joker qui serait capable de sauver la France en l’éloignant de la falaise !

vendredi 18 juillet 2025

vu à travers le tube • clowns en politique…

Peu importe les rumeurs et les déclarations des uns et des autres, Vallaud, patron des socialos, a bien fait nommer sa bobonne à la Cour des comptes en échange d’un lâcher-prise envers Bayrou quant à son plan pour combler le trou sans fin et sans fond qui ouvre sur le vide. Celui qui y jette un regard se prend de vertiges. Quant au numéro de cirque de Moscovici, un politicien véreux de gauche et de métier, je lui conseille de s’inscrire à l’école des clowns pour apprendre à faire rire des vérités de ce monde. Tout petit, mes parents m’ont emmené très souvent au cirque. En ces temps reculés, c’était Amar et Pinder - je crois -, et j’ai même assisté aux spectacles du vrai Zavatta -, et nous riions à gorges déployées devant des clowns grandioses qui savaient déceler avec intelligence les mensonges des misérables qui gouvernaient le monde. Sous leur maquillage, ces artistes avaient une grande culture, contrairement aux clowns d’aujourd’hui qui ne connaissent que la complaisance et l’ignorance. Pas besoin de fard pour ces gens-là, leur visage en comporte naturellement. Belkacem doit être dénoncée et jetée au placard des incompétents, surtout après son passage à l’Éducation nationale qui ressemble étrangement à celui de Borne, en plus étrange encore, même si cela parait invraisemblable.

 

Encore un mot sur la lâcheté de l’enfant de l’Élysée au psychisme inachevé qui a épousé maman qui l’a détourné du bon chemin alors qu’il était mineur – 15 ans, il me semble – et qui n’est toujours pas en prison. Devant l’affaire Sansal, sa lâcheté est sans nom. L’enfant bombe le torse devant Poutine et se vante d’avoir sa peau – pauvre petit minable ! – alors qu’il est incapable de montrer les dents devant le pouvoir algérien qui humilie la France à chaque seconde que fait le dieu des chrétiens. La comédie n’a-t-elle pas assez durée ? N’en avez-vous pas assez de voir le marmot, en bras de chemise, prendre un verre ici ou là, et plaisanter avec le badaud pendant que son peuple est au bord de la falaise et qu’il va l’y pousser ? Ça suffit. La guêpe sur la tarte au citron doit être chassée et écrasée pour qu’elle ne soit pas tentée de revenir se gaver du bon sucre du gâteau, avant de sortir son venin.  

 

jeudi 17 juillet 2025

vu à travers le tube • mort annoncée…

 

Que d’histoires à dormir debout pour cette suppression de jours fériés, à commencer par les cathos qui ont déjà 52 dimanches pour prier leur dieu inventé. L’équilibre des psychismes et celui de l’économie du pays passe par la régularité.  Les enfants sont les premiers à en pâtir avec ces stupides et trop longs congés irréguliers qui entrecoupent leurs études. Apprendre 10 jours pour en désapprendre 20, est une aberration de l’éducation. L’ennemi du travail est l’oisiveté. L’oisiveté détricote le long et patient labeur qui mène à la connaissance et à la liberté. La France a besoin de réviser ses têtes pensantes incapables de penser par elles-mêmes. Elle a besoin de les rénover, de les restructurer, au besoin de les jeter aux oubliettes pour en finir avec les traumatismes permanents. Comme ils l’ont toujours fait, les partis politiques se trompent. Ce n’est pas à la censure de Bayrou qu’il faut se consacrer, c’est à l’éjection sans concession de Macron de l’Élysée, seul acte plausible qui pourrait redonner vie à la France.

 

Najat Vallaud-Belkacem, socialiste de profession - comme son mari Boris Vallaud – vient d’être nommé en catimini à la Cour des comptes par Bayrou – Macron en réalité -, avant son départ obligé. La crasse continue de sévir. Les complicités sont partout. Oui, la France va mourir, mourir de sa lâcheté, mourir par la main de son peuple léthargique qui n’a jamais voulu grandir.

mercredi 16 juillet 2025

vu à travers le tube • après l’exposé…

 

Le constat est clair. Nous sommes foutus. Les milliards de milliards de dettes que Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron, le dernier en date et le pire, nous ont et auront laissé, ne nous permettront jamais de rejoindre la rive et nous allons crever. Je rends justice à Bayrou d’avoir osé. À travers son inventaire hallucinant, ce sont tous les présidents, tous les premiers ministres et leurs subordonnés, de la Ve République qui sont mis sur les bancs de l’accusation et qui, selon les lois de la nature, devrait payer, payer encore jusqu’à la dernière goute de leur sang, Il a proposé. Il aurait dû imposer. Ce n’est pas que je sois d’accord avec toutes les mesures annoncées, mais je crois de plus en plus qu’un chef, c’est fait pour cheffer et que la concertation n’est qu’un jeu de dupe dont il ne ressort que les bâtards handicapés. Il n’a pas eu beaucoup de soutien. Je n’ai pas entendu son camp contrer les vociférations des oppositions. Il est seul et sera renvoyé à Pau à la rentrée. Vous pouvez donc oublier son discours-fleuve et partir tranquillement dans les bouchons des autoroutes trop étroites et trop courtes pour absorber ces milliards de boites en fer dans lesquels s’allongent les sardines en attendant de rejoindre les assiettes. Si je ne peux cautionner son attaque en règle contre les malades et les retraités, je lui rends grâce d’avoir suggéré la suppression de deux jours de congés, même s’il aurait dû tous les supprimer. Il a raison. Le mois de mai, avec ses ponts inadmissibles, est un mois néfaste pour l’économie et pour la santé mentale. J’aurais sans doute ajouté – si j’avais été Premier ministre – le retour aux 40 heures de travail hebdomadaires. Il n’y a plus de locomotives à vapeur ni de charrues derrière les bœufs. Rassurez-vous. Je ne suis pas Premier ministre. Je crois aussi qu’il faudrait mettre au travail partiel, dès 18 ans, les étudiants de longue durée. Entrer dans la vie active à 28 ou 30 ans est une erreur psychologique et un manque à gagner pour la France. Pour en finir, je condamne les propos de l’opposition qui demande la démission de Bayrou. La seule démission qui pourrait éventuellement sauver le pays, c’est celle de l’enfant président. Qui après ? Je ne vois que Freud. Mais il refusera. Il est trop occupé.

mardi 15 juillet 2025

vu à travers le tube • goujats et censeurs…

C’est en zappant parmi mes 440 chaines que je suis tombé sur un baryton-basse chantant l’air du toréador avec une voix chevrotante sur un rythme de marche funèbre sous les lampions des bals musettes au pied de la Tour Eiffel. Et c’était encore Bern qui sévissait. Je suis vite allé ailleurs avec l’aide de ma zappette, sans vraiment trouver mon bonheur qui ne sera sans doute pas de mise, cet après-midi, quand Bayrou aura actionné le couperet de la guillotine. Qui a donc érigé, entretenu et aggravé l’abyssal endettement de la France ? Ce n’est ni vous ni moi, mais ceux que vous avez élus depuis six décennies. C’est donc à eux et à eux seuls qu’il revient de payer. C’est à eux de réparer leurs mensonges, leurs dénies, leur malhonnêteté et leur incompétence.  Et c’est à vous de bien réfléchir avant de glisser votre papier cul dans la fente de l’urne.

 

Meta m’informe que mes « amis facebookistes » se sont plaints de mes écrits – et aussi de mes photos – qu’ils jugent provocateurs et indécents et que je dois prendre contact avec lui au moyen de l’adresse fournie. Je suis surpris parce que je m’efforce toujours de tenir des propos vrais et lucides et que depuis que la femme coupable m’a propulsé sur le sol, mon nombre d’amis n’a jamais dépassé trois et que ces trois-là ne sont pas sur les réseaux sociaux. Soit Meta ment, Soit il s’agit d’un fake, mode d’expression très prisé en ce moment.

 

J’avais encore trois ou quatre choses à exprimer ce matin. Mais l’heure avance et je dois me rendre chez mon Leclerc pour prendre mon café et je dois, avant et comme chaque matin, aller saluer ma voisine de palier. Elle parle vrai. Je l’aime bien.

 

lundi 14 juillet 2025

le puits au fond du jardin • les grands hommes…

 



 

Les grands hommes sont ceux qui ont compris les comportements humains, les psychismes de leurs contemporains et de leurs anciens. Ceux qui imaginent des stratégies guerrières et qui collectionnent les breloques à uniformes, ceux qui ont fait les grandes écoles pour concevoir des lois qui remplissent leurs portefeuilles et ligotent les peuples, ceux qui débitent des discours sans fin qui s’ouvrent sur des vides sans fonds, ne sont pas grands. Ils ne sont rien. Peu sont. On ne trouve que des exceptions. Je peux en citer deux ou trois qui, en une vie, auraient pu faire avancer l’humanité de plusieurs siècles, s’ils avaient été écoutés. Freud, le maître absolu, d’abord ; Hitchcock, Lynch et Gilligan, au cinéma ; Euripide, Molière et Shakespeare au théâtre ; Mozart, Verdi et Wagner à l’opéra ; Beethoven, Schubert et Mahler au concert ; Furtwängler, Wang et Hannigan pour l’interprétation, la Mythologie, le contenant qui les englobe tous. Depuis la plus ancienne des civilisations, l’homme est toujours passé à côté. Il a toujours regardé l’autre rive avec une envie démesurée. Jamais il n’a osé franchir le fleuve. C’est pourquoi il périclite et se défait lentement dans sa chute effrayante dans le noir du fond de mon puits, au fond de mon jardin.

dimanche 13 juillet 2025

vu à travers le tube • la civilisation et son crépuscule…

 

Le 14 juillet est toujours l’époque des franches rigolades où les troufions défilent au pas militaire devant les monarques tyrans de la république du général, où le tyran monarque fait son discours, ou les feux d’artifices mettent le feu aux pulsions des voyous impulsifs, et où, des pantins en bois vermoulu se voient affublés de la breloque Légion d’honneur. Cette année, l’enfant de l’Élysée, le psychopathe au psychisme inachevé a choisi les crèmes du moment, comme Pelicot, une grande naïve pas très futée qui a réussi l’impossibilité : se faire violer chaque jour, pendant des décennies, par un homme différent, avec la complicité de son mari, de ses enfants, de ses amis et de tous les médecins qui ont tenté de soigner ses allergies physiques et psychiques, en faisant semblant de ne rien voir. Un coup de maître dans cette subtile arnaque. Il y a aussi Vartan, une prétendue chanteuse sans voix et sans talent qui n’a jamais réussi à chanter la première note de Brunehilde ou d’Isolde. Il y a encore le pompon fané en Dupont-Moretti, ce gros mal embouché qui a ruiné la Justice déjà ruinée ; Véran le véreux qui nous a consigné à domicile sous prétexte qu’un virus se baladait sur les rives de la Seine, et puis, cerise sur la tarte aux pommes, Le Maire qui devrait être en état d’arrestation pour avoir créé cette dette abyssale que jamais personne ne pourra rembourser. La Légion d’honneur récompense les militaires et les civils ayant rendu des « services éminents » à la nation. Que l’on m’explique quels sont les services éminents qu'ont rendu à la nation les farfelus précités. Cette fin de civilisation n’aura pu s’empêcher d’honorer les médiocrités de ce monde et tous ces gens qui ont fait en sorte qu’il en soit à sa fin.  

samedi 12 juillet 2025

vu à travers le tube • nez contre derrière…

 

Les festivités du 14 juillet, la victoire du PSG et le discours subversif de l’enfant de l’Élysée au psychisme inabouti, donnent des boutons à la police qui craint – très justement – que les hordes sauvages juvéniles mettent le feu aux Champs-Élysées, cassent les vitrines, violent les jeunes femmes et découpent les vieilles mémés. Oui, la terreur sera bien au rendez-vous puisque la violence est entrée dans les mœurs et que le monde a cédé devant ses outrances, ses outrages et sa sauvagerie. Et si, pendant ces deux jours, on instaurait un couvre-feu de 20 heures à 8 heures et que l’on ouvre le feu sur tout nez qui se pointe hors des chambres à coucher ? Et si on jetait au bûcher la Ligue des Droits de l’Homme, cet agglomérat de sinistres imbéciles qui défend la criminalité ? Et si on faisait de même avec toutes ces minables associations dégoulinantes de sentiments viciées qui contaminent les foules et brisent la société ? Je me demande pourquoi j’évoque ces restes de crottes de chats, puisque dans les jours qui viennent, la France entière va partir, au rythme des pas du cheval blanc de Macron-Napoléon et de l’Auberge, à pied, l’opinel en bandoulière, à la conquête de Moscou pour s’y allonger dans les cimetières. Poutine m’a dit que quand il avait vu et entendu notre petit général, il avait beaucoup ri avec sa bobonne à lui. Si le complot contre les Russes est une farce pour occuper l’enfant, la guerre civile qui s’annonce pour les 13 et 14 juillet, est une vraie réalité que le bon sens pourrait nous éviter. Mais, le bon sens n’est plus de mise, les phantasmes puérils des gauches étendant leur ombre sur tout le territoire et ayant gagné la partie. Mélenchon a repéré la faille. Il n’a plus qu’à s’y engouffrer avec les innombrables moutons qu’il tient fermement en laisse pour qu’ils puissent intensément lui lécher le cul.

 

Et pendant ce temps, tous les Français occupent toutes les autoroutes, nez contre derrière. Mon poste a dit que les pompiers sont dépassés et qu’ils ne pourront tenter de les extraire de ce piège coutumier, que lorsque l’automne jaunira les feuilles vertes et les fera virevolter en tombant sur le gazon. Ouf ! La tranquillité est installée sous mes fenêtres pour un bon bout de temps !

vendredi 11 juillet 2025

vu à travers le tube • lien…

Pendant que le pitre de l’Élysée gloussait, la main sur les fesses du vieux roi d’Angleterre, les presses ont dévoilé les résultats du baccalauréat dont la marmaille française a passé les épreuves, ces tout derniers jours. Effarant, étonnant, surprenant ou foutage de gueule ? 91,8% d’ignorants ont obtenu le sésame qui n’ouvre plus rien du tout, 68% de mentions et une augmentation de 1000% des mentions Très Bien ! En 2026 nous atteindrons 100% de réussite et 100% de mention Très Bien et l’enfant de l’Élysée, celui à qui j’ai justement attribué l’étiquette de pitre, pourra se retirer – très provisoirement - dans la gloire de sa glorieuse réussite qui aura consisté à rendre à l’Éducation nationale sa gloire du passé qui s’était bien fanée depuis la mort de Jules Ferry, qui a imposé l’école obligatoire, laïque et gratuite selon les rumeurs entretenues dans les gazettes des rives gauches des fleuves épuisés. Diable ! Mais qu’allons-nous faire de toutes ces lumières qui nous aveuglent par leur éblouissement ? Où allons-nous ranger tout ce savoir, nous qui venons du monde de l’ignorance dans laquelle chacun trouve complaisance ? Mon indicateur me dit que le jeune savant tout frais qu’il a rencontré aux portes de l’école lui a dit que son professeur de philosophie lui avait dit que Diogène ne vivait pas dans son tonneau, mais qu’il le disait pour faire croire aux gens qu’il était pauvre et que César s’en enfichait. Vous voyez que c’est tous les jours que l’on apprend, même sans aller à l’école ! Je me demande si je suis toujours dans le sujet ? Qu’importe ! Ce qui importe, c’est le lien entre les choses. J’aime les liens qui lient les liens aux liens. Et c’est bien cette absence, cette absence de lien, qui délie les psychismes et confronte les mondes en guerres perpétuelles, ces mondes qui ont perdu leurs liens.

jeudi 10 juillet 2025

le puits au fond du jardin • le temps des illusionnistes…


 


Pour accéder au Paradis, il faut chercher une longue échelle, la trouver, la positionner dans la bonne direction et la monter échelon par échelon en faisant bien attention où l’on pose les pieds car le chemin est long, très long. Depuis l’invention de la publicité et l’intensification de la bêtise, on a mis dans la tête des gens que le temps long était une invention des vieilles générations et que tout pouvait s’accomplir ou s’acquérir en peu de temps. C’est ainsi qu’aujourd’hui, on peut maigrir en trois jours, éradiquer une dépression nerveuse en une semaine, jouer de la trompette en dix leçons, faire disparaitre la tour Eiffel en un dixième de secondes, les illusionnistes ayant pris les manettes des choses de la vie depuis que la compétence a abandonné tous ses postes à responsabilités. Les décideurs ne vont plus à l’école, ne lisent plus les grands auteurs, n’écoutent plus les grands compositeurs, ne réfléchissent plus avec les grands philosophes antiques, ne comprennent plus le latin et le grec, n’ont aucune idée du contenu de la thérapie psychanalytique, comblent leurs handicaps démesurés par des moyens informatiques qui les abêtissent de jour en jour, sans que cela alerte qui que ce soit. Notre histoire marche à reculons nous rapetisse sans discontinuité, et nous devenons de minuscules insectes nocifs, voués à finir écrasés sous la goutte de pluie qui tombe parfois en été. Qui sommes-nous ? Pourquoi sommes-nous ? Savons-nous si nous sommes ? Commençons par répondre à cette dernière question, ni par oui et ni par non ! Quels liens Freud a-t-il tissé pour savoir qu’il était Freud ?

mercredi 9 juillet 2025

vu à travers le tube • effarant…

 

Effarant ! Effarant l’imbécilité des peuples qui s’agenouillent devant les rois et des rois qui n’en sont pas qui sont reçus comme des rois qui en sont. L’enfant de l’Élysée a un tel désir d’être roi qu’il se croit roi et agit comme un roi avec la particularité que son roi fantoche est déchu et que sur son nuage poreux, il ne sait même pas qu’il vit les derniers jours de Louis XVI qui aurait pu être son illustre aïeul s’il avait été roi de fait, dans la lignée des Henri, des François et des Louis. Les fastes du protocole britannique pour recevoir un enfant au psychisme inabouti qui aura mis la France à genoux, au milieu du désert d’Albuquerque, livrée au cristal bleu d’Heisenberg, et mourante sous les balles du cartel, sortent des films des plus indécents de l’histoire du cinéma en noir et blanc, ce qui leur donne mille siècles de retard au regard des populations d’aujourd’hui qui ne peuvent que voir dans les écrans, la déchéance terrifiante de ceux qui nous gouvernent. Je vois bien les Français rivés sur leur poste, admirer et envier ces marionnettes de bas-étages. Si vous aimez tant les monarques, les costumes pingouins, les robes longues à franges, les couronnes ornées, les perruques encadrant les visages fardés, retournez donc à vos chers Louis et cessez de geindre sous le fouet des tartuffes qui jouissent à vos crochets. Macron aura passé sa première journée avec le roi d’Angleterre en laissant le premier ministre élu attendre dans les vestiaires du palais. Encore un monde à l’envers. Le mépris du peuple, de la part de ces pitoyables clowns, saute aux yeux. Nous payons, nous payons sans cesse pour ces dégénérés dont personne ne parvient à nous débarrasser. Macron et bobonne ont déjà prévu leur retour pour 2032. Qui va oser les enchainer dans une tour de la Bastille et les laisser crever avec l’homme mystérieux au masque de fer, à ne pas confondre avec le chevalier à l’armure rouillée ?