Dahbia Benkired – retenez bien ce nem – algérienne de 24 ans au moment des faits, interdire de séjour en France puisque sous OQTF, a violé, torturé et tué Lola, 12 ans, il y a 3 ans. Le procès de la criminelle s’ouvre aujourd’hui. Une de ses avocates socialo-LFIste a déclaré ce matin, sur une radio publique qui existe grâce à vos impôts, qu’il n’était pas question d’aborder la situation d’OQTF de l’accusée, parce que ceci n’avait rien à voir avec le crime et que ce sujet était l’occasion de déclencher la boite à récupération politique, pointant du doigt le RN, Cnews, Europe 1, le Figaro, etc… Et pourtant, c’est bien de cela qu’il s’agit. La femme, qui trainait déjà pas mal de casseroles, n’aurait pas dû être là. La lâcheté du pouvoir de l’enfant psychopathe de l’Élysée doit être mise en accusation. Quant à la femme, son déséquilibre notoire relevant de la psychiatrie à défaut de la thérapie de Freud, les Français au nom de qui le tribunal juge et puni, doivent être sans pitié et l’envoyer sans discussions préalables au cachot noir, nue et enchaînée, jusqu’à ce que mort s'ensuive, le plus tôt possible pour éviter d’avoir à payer trop longtemps sa tranche de pain sec et son verre d’eau quotidien. La monstruosité de l’acte oblige a qualifié le personnage de monstre irrécupérable, et comme Badinter est passé par là, je ne vois pas d’autre châtiment pour remplacer la peine suprême dont les grands François 1E, Henri IV, Louis XIV et Napoléon, usaient fréquemment et sans états d’âme.
Avez-vous remarqué que Philippe, un ancien Premier ministre, demande, avec beaucoup d’insistance, la révocation définitive de son ancien patron ? Il semblerait que cette demande satisfasse l’ensemble de la population. Moi aussi.