Pour ce dernier tube avant mon retour de chez Johann Strauss II qui m’a invité à sa réception du 31 et qui aura pour thème la célèbre chauve-souris qui a fait mille fois le tour du monde, je voulais seulement attirer l’attention des ectoplasmes qui occupent la terre, sur les débris de la France défaite qui vient pourtant de perdre son dernier vestige, son pilier le plus solide qui montrait encore son nez sous les grabats et qui, hier, a disparu, s’est dissous parmi les restes figés de ce qui aurait été, Bardot a été emportée par les flammes de la pellicule, laissant l’écran blanc souillé à jamais, abandonnant Hitchcock et Lynch pour les déplacer dans l’univers, au gré des tempêtes solaires et de l’attraction de la lune. J’ignore si elle avait du génie, si elle a joué dans des bons films, si elle a trop aimé l’Amour, je sais seulement qu’elle a été, ce qui est une totale réussite dans ce monde de copier-coller stupides et insignifiants. Je ne sais pas si elle a rendu service au cinéma mais je sais qu’elle a rendu un immense hommage à la femme, à celle qui revendique son vagin et qui croit toujours que le pénis ne se place qu’au bas du ventre de l’homme. Brigitte Bardot n’est plus. Il faudra faire avec, ce qui n’est pas un problème puisqu’aujourd’hui, les riens font tout avec rien, ne font rien, ce qui revient au même. Rien, toujours et encore rien...
les monstres sortent des urnes et des ventres des femmes
lundi 29 décembre 2025
dimanche 28 décembre 2025
le puits au fond du jardin • affirmer sans savoir…
Le détraqué malien et récidiviste, sous OQTF, qui a planté son couteau dans le corps de trois femmes – deux ici, une plus loin – qui voyageaient dans le métro parisien renommé « coupe-gorge », est à peine passé par le commissariat où un fonctionnaire pas zélé du tout l’a écourtement entendu avant de mettre fin à l’interrogatoire d’usage et de le coller chez les fous qui remplissent les établissements psychiatriques. Autrement dit, le voyou serait un dangereux psychopathe, donc un allergique aux tribunaux, à la prison, au bagne et à l’exécution par les moyens de la question ordinaire et extraordinaire, si chères aux catholiques. La première chose qu’un professeur de liaisons entre conscient et inconscient enseignait à ses élèves, à Lyon II, est que le monde était rempli de psychopathes et que depuis l’aube des temps, on fait avec. Il avait en effet raison. Regardez l’Élysée, regardez l’Assemblée nationale, regardez le Conseil constitutionnel, regarder les marmites de boites de sardines sur les autoroutes, regardez les flots de gens sur planches en hiver, regardez les érections gigantesques de cages à lapins pour « humains », regardez tous ces meurtres et tous ces viols journaliers et réguliers commis par les enfants des crèches, et écoutez les gabegies mensongères de France Inter. Tout est preuves irréfutables du discernement de l’enseignant lyonnais. Le détraqué malien n’est pas plus fou que vous et moi qui sommes des psychopathes naturels. Il a su prendre le métro. Il a su se munir d’un couteau. Il a su repérer trois femmes. Il a su les titiller avec son arme-pénis. Il a su s’échapper. Il a su se comporter en grand débile devant les uniformes. Le fou à dominer le monde qui lui est semblable. C’est pourquoi il va se la couler douce – quelque temps – avant de retrouver ses passions nourricières et comme le dit le Géant à Cooper, sa main armée recommencera, recommencera encore. La faiblesse et la lâcheté de l’État et celle des hommes ne cessera qu’avec la fin de la civilisation, puisque TOUT a été essayé depuis l’histoire de la pomme et du serpent… SAUF la thérapie de Freud. Le problème est que celle-là, personne n’en veut. Et ce qui est très drôle, c’est que personne ne sait de quoi il s’agit.
samedi 27 décembre 2025
le puits au fond du jardin • nouvelles descriptions de nouvelles horreurs…
Et ça continue ! Ça continue et ça s’intensifie dans l’indifférence totale des majestés de l’Élysée, de Matignon et de tous ces lieux ratisés et morbides qui s’arrogent le droit de décider pour les Français qu’ils méprisent. Hier, encore, comme avant-hier et les jours précédents, comme les jours qui vont suivre, un OQTF, un INTERDIT de territoire français, a poignardé trois femmes dans le métro parisien qui est devenu pire que le Londres de Jack l’Éventreur. Et ça se reproduit ! Et ça se reproduit, comme le dit le géant, quand il apparaît à Dale Cooper. O.Q.T.F. : OBLIGATION DE QUITTER LE TERRITOIRE FRANÇAIS. Comment peut-on avoir inventé une telle ineptie puisque les malotrus se fichent totalement de leur obligation. C’est pourquoi il faut les mettre dehors, dès le jugement, à coups de pieds dans le cul, ou avec trois missiles aux fesses, hors de nos frontières, n’importe où, le plus efficace étant au milieu des océans, à des années lumières de toutes habitations. Et Léon XIV, frère de sang et miroir de Louis, devrait avoir la mission de prier pour leur crevaison. Et pour compléter le tableau, le député islamiste terroriste LFI, Arenas, celui qui veut faire entrer les lois coraniques en France et qui prépare les futures lois sur la charia, a été nommé au Conseil supérieur des PROGRAMMES de l’Éducation nationale, par l’enfant psychopathe et taré de l’Élysée que personne n’ose déloger. Les massacres de Gaza, les bombardements sur l’Ukraine, ne sont rien par rapport à cette France de Bertrand du Guesclin qui n’est plus qu’un champ de ruines sur lequel se trainent des restes de morts-vivants qui peinent à rejoindre le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, parce qu’il en sort, le jour et la nuit, des cris insoutenables d’horreurs, résultat du mur de pierres entre l’enfance et l’âge adulte que l’homme n’a jamais su abattre, pour tenter de se grandir. Naïf ou imbécile ? Quand on rejette Freud : les deux.
vendredi 26 décembre 2025
le puits au fond du jardin • encore un puits pour rien…
Ouf ! Noël c’est le passé. Plus que huit jours de fonds de tiroirs à la télé et on retrouvera Mabrouk et Pina et Bastié et les réalités que semblent ignorer Léon XIV, qui, dans son discours rituel du jour de Noël, a ressassé le « aimez-vous les ans les autres » d’un certain Jésus né d’un adultère, avant d’avoir ressuscité Lazare, qui est aujourd’hui PDG de la gare. Depuis que l’homme est apparu sur la terre, il déteste l’homme son frère qui n’est que lui-même et n’aspire qu’à amasser l’or et à accéder au pouvoir, pouvoir qu’il est incapable d’avoir sur lui-même. Et, jamais, il n’a cessé d’être en guerre et en guerre de religions, ce qui est un sacré paradoxe pour Léon. Prêcher la paix ne peut l’instaurer, parce que les sermons ne sont que des sujets de romans, de pièces de théâtres et d’opéras. Tant que l’homme n’aura pas créé et solidifié le lien qui relie son conscient à son inconscient, tout sera comme avant, et c’est bien ce qui se passe depuis l’aube des temps. Donc, la solution n’est ni Léon, ni Vladimir, ni Donald, ni Emmanuel, ni leurs semblables, la solution est soi-même, individu face à Freud qui a montré comment chercher notre miroir, comment le trouver, comment s’y regarder, comment s’y reconnaître et comment le traverser. Conscient/inconscient, les deux faces du miroir reliées et imbriquées. On ne sera plus face à face, mais côte à côte, comme l’a dit un homme connu et mort. J’ai tout dit. Mais comme le monde préfère la guerre, j’ai, ce matin, encore, écrit pour rien.
jeudi 25 décembre 2025
vu à travers le tube • le spectacle est affligeant…
Je ne me crois vraiment pas qu’une seule personne sur cette terre de misère qui saigne de partout ait oublié qu’aujourd’hui c’est Noël et qu’hier c’était la veille et que depuis qu’on est hier et aussi aujourd’hui, tout le monde s’aime et tout le monde se bisoute de partout tellement il est fort cet amour qui n’est qu’un immonde mensonge qui viole la vérité qui n’a jamais été aussi nue. Et le pire, c’est que dès qu’on branche le poste, qu’on allume la télé, qu’on marche dans la rue, qu’on parcourt les grands magasins, ou qu’on ne fait rien, on ne cesse d’avoir les oreilles torturées, sans aucune interruption, de nuit comme de jour, par le bruit languissant de l’insipide « petit » papa noël qui va pisser sur les orties par une « douce » nuit d’hiver. Pitié dieu du ciel ! Si tu existes, fait en sorte de supprimer du calendrier la période du 5 décembre au 5 janvier, ce qui reposera les neurones des pauvres gens qu’on n’a pas le droit d’agresser de la sorte.
mercredi 24 décembre 2025
vu à travers le tube • à l’opéra…
Ma maman me disait – au début du siècle dernier - : « C’est Noël, évite d’être méchant ! », ce qui sous-entendait que les autres jours, je l’étais – méchant -. Je n’ai jamais été méchant – je ne lui ai jamais dit -, je suis simplement juste. C’est pourquoi je vous annonce que Fort, le plumitif de l’enfant psychopathe de l’Élysée et Bachelot, la poissonnière de Sarko, unis dans la même marmite de ratatouille, déclarent, ce matin, que le grand Jonas K. ne chantera plus jamais à Londres et à New York, parce que le salaire de misère que les deux maisons lui attribuent, ne lui rembourse même pas sa chambre d’hôtel. C’est dommage pour les londoniens et les new-yorkais, parce que son Werther ou son Parsifal, est unique dans l’histoire de l’opéra et qu’après une baisse de régime, il a repris sa personnalité hors du commun où triomphe la musique à l’intérieur de chacune de ses notes. Un ténor qui chante piano et qui chante juste est une rareté appréciable. Pour en finir avec Fort et Bachelot, ils m’ont banni de leur marmite, il y a longtemps, parce que j’ai osé – et j’ai persisté – dire qu’Alagna ne savait pas chanter. Aujourd’hui, je persiste et signe. C’est Fort et Bachelot qui n’ont pas lavé l’orifice de leurs oreilles depuis un nombre incalculable d’années... ou qui affirment ce qu'ils ne pensent pas, par intérêt.
mardi 23 décembre 2025
vu à travers le tube • restrictions après abondances et confusion sur la personne…
France Télévisions surjoue sa mauvaise pièce immuable qui n’a pas quitté l’affiche depuis Louis II le Bègue. C’est l’Humanité, une feuille de choux roux, qui distingue peu vérités et réalités, qui l’annonce. Delphine a décidé – après sa déculottée personnelle toute récente – d’opérer des coupes « drastiques » qui se résument à programmer moins de polars, moins de sports, moins d’eurovisions – je ne savais pas qu’il y en avait tant -. Ce serait à peu près convenable si elle n’avait pas omis les cons, les planqués, les inutiles, les ignorants, les humoristes, les gauchisants, les charias-compatible. France Télévisions et sa sœur siamoise Radio France doivent être bannies des postes et des écrans afin que les Français retrouvent leur liberté de pensée voltairienne et ne subissent plus les pressions des intellectuels de pacotille et des politicards qui clament très fort et très haut leur morale à dix sous et trois pénis qui seraient bonnes pour les autres quand eux-mêmes les ignorent.
Kim Kardashian a réagi à la poupée gonflable géante érigée à son effigie au beau milieu de Times Square, à New York. Elle a laissé sortir de son gosier un « Oh mon Dieu ! » tonitruant. Je ne savais pas que Kim était une vivante. Je croyais qu’elle était un des personnages récurant de la série télé « Les feux follets des supplices de l’amour » qui embellit les programmes de TF1 ou peut-être de France 2. Je suis stupéfait de m’apercevoir que je suis aussi ignorant que tous les ignorants qui peuplent chaque matin mes puits et mes tubes. Je vais aller voir ma voisine de palier pour qu’elle m’éclaire. Elle qui n’est pas sortie de sa cuisine depuis la mort de Charles X, sait tout ce qui se passe de partout. Et puis, après, j’irai prendre mon café chez mon Leclerc qui vient d’être tout refait à neuf et tout en blanc de blanc. Et puis, quand je serai de retour, je m’occuperai sérieusement du fa grave de ma flûte à bec basse qui joue à peine plus bas – un demi-ton – que mon cornet à piston en ut. C’est incroyable de voir à quel point les publicités sont mensongères, presque autant que les candidats aux élections.
lundi 22 décembre 2025
vu à travers le tube • un lundi comme les autres…
Un Sénégalais dérangé, muni d’un faux passeport belge, a menacé d’un couteau les commerçants et passants du cours Napoléon, à Ajaccio. Impossible à maitriser, la police a tiré. Il est mort. Bon débarras. Et voilà que la famille porte plainte contre le policier qui a rempli sa mission avec courage et détermination. Je propose qu’on lui remette une breloque et que l’on colle au cachot la famille de l’agité du cerveau.
Je crois ne pas être le seul
à savoir dans quel état lamentable est la
France. Poche vide, cerveau délabré, personnel politique à l’ouest, président en
régression permanente, réduit à l’état de légume en racine, qui annonce
fièrement une dépense de plusieurs milliards pour une barquette magique qui va
propulser des avions chasseurs et faire régner la terreur sur les océans et sur
les mers. Capitaine Crochet débloque encore et personne n’arrive à le maitriser,
même pas maman bobonne qu’il a épousée et qui – dit-on – a détourné un ou deux
millions de pièces jaunes. Et j’ai entendu un général à la radio – il y a de
plus en plus de généraux dans les radios et dans les télés, sans doute parce qu’il
faut bien préparer l’opinion qui n’en a pas, aux guerres Macron contre Poutine,
Macron contre Trump, Macron contre Xi Jinping, Macron contre les Argonautes,
Macron contre King Kong -, j’ai entendu un général – disais-je - qui nageait
dans le bonheur en précisant que les français devait faire des efforts s’ils
voulaient être protégés des ennemis extérieurs qui convoitent Eiffel et la
Sainte Mère marseillaise. L’idiot de service n’a pas compris que l’ennemi était
à l’intérieur et qu’il avait déjà pris possession de plus de la moitié du
territoire. Je le nomme : l’islam, ses terroristes et les vendeurs d’amphétamine.
Que dire de plus en ce lundi matin qui va se passer comme tous les lundis matin.
Ça va beaucoup parler. Et tout le monde va en rester là. Ils vont tous rechigner
et leur argent leur sera volé et le petit bateau voguera sur l’eau et les mosquées fleuriront sur toutes les places publiques sans que mot ne surgisse.
dimanche 21 décembre 2025
le puits au fond du jardin • la stratégie du choc…
Lettre du Docteur Hippocrate à Naomie Klein : « La Stratégie du Choc : 1. Créer le choc, la sidération : faire abattre 207 vaches avec une mise en scène SPECTACULAIRE (drones, hélicoptères, forces de l'ordre armées jusqu'aux dents, gaz lacrymogènes...). 2. Terroriser avec la maladie, menacer et désespérer les éleveurs et maintenir l'idée que les abattages s'imposent, car « il y a une couverture vaccinale très largement insuffisante ». 3. Annoncer La (seule) Solution : une « mobilisation exceptionnelle de vétérinaires pour une vaccination accélérée ». Se poser en "sauveur". 4. Ne jamais aborder d'autres solutions possibles (soins et isolement des bêtes malades seules). Et même les écarter en les discréditant. 5. Faire accepter une vaccination sans que personne ne trouve à y redire, que certains éleveurs au bout du rouleau appellent de leurs vœux, et bien sûr sans études indépendantes prouvant que ces injections sont efficaces et/ou sans danger ni pour les animaux, ni pour les consommateurs de viande. 6. Menacer les séditieux, les réfractaires, les vétérinaires qui voudraient respecter le principe de précaution. Toujours les mêmes ficelles, toujours la même mécanique de MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE : l'ingénierie sociale et ses outils, qui là encore ressemblent furieusement à ceux employés lors du covidodélire. »
Que puis-je rajouter à une telle évidence ? Rien, sinon que notre fin finale et terminale de civilisation pratiquement déjà consommée est due aux votants qui mettent au pouvoir des théoriciens de la morale politique qui refusent d’intégrer dans leur réflexion – pour les quelques rares spécimens qui en ont une – la dimension gigantesque du psychisme et de son inconscient qui sont les véritables courroies de transmission entre l’acte et la pensée. Les morts-vivants se meuvent dans l’écran blanc des salles noires et vides. Les vivants-morts sont ceux qui aspirent à entrer dans l’écran blanc aspirant, après avoir détruit les civilisations. Hors des deux entités, il n’y a rien. Le vide. Le vide désespérément vide.
samedi 20 décembre 2025
vu à travers le tube • des élus et des sectes…
Curieux monde curieux, surtout désespérant et bien plus, ignoble, qui fourmille de menteurs impertinents qui décident pour les menteurs qui ne mentent qu’à eux-mêmes en désignant des menteurs pour les mettre à la tête de leurs mensonges. Des menteurs commandés par des menteurs qui accumulent, les uns et les autres, mensonges sur mensonges pour feindre de cacher le dernier accouché de la dynastie. Panot ne ment pas plus que Rotailleau, ni moins, Dati ne ment pas plus que Faure, ni moins, Le Pen ne ment pas plus que Bompard, ni moins, Mélenchon ne ment pas plus que Macron, ni moins. La droite n’est pas plus menteuse que la gauche ou que l’extrême centre, ni moins. Ils – les donneurs d’ordres – sont embarqués dans la même benne à ordures que les soumis qui les ont désignés en glissant un morceau de papier cul dans une fente – un viol par substitution – où que ceux qui se sont abstenus par dégoût de cette espèce nauséabonde. Les Français suffoquent sous les détritus des critiques qui fusent de partout envers tous ceux qui bougent le petit doigt, sans même s’apercevoir que ce sont une large part de leurs semblables qui ont choisi les misérables qui se prennent pour des monarques alors qu’ils ne sont que des goujats de la pire espèce, idiots, psychopathes et ignorants. La République, la Démocratie, sont les pires des mensonges, tous aussi pires que le vivre ensemble, l’aimez-vous les uns les autres et le laissez venir à moi les petits enfants. Jésus était un grand psychopathe qui s’est reproduit des milliards de milliards et de milliards de fois, ce qui fait qu’aujourd’hui nous en sommes là. La perversion est devenue le Dieu vivant qui réconcilie toutes les sectes appelées religions et aussi républiques-démocratiques.
le puits au fond du jardin • illusion…
Quand je parle ou quand j’écris – en ce moment j’écris, mon tube ou mon puits, je verrai plus tard -, je ne suis pas sûr que les mots que j’emploie traduisent précisément ce que je veux dire et expriment réellement mes idées et mes convictions qui sont l’image de ce que je suis et qui me différentié de toutes les autres parties prenantes des populations humaines, animales et végétales. Je m’efforce sans cesse d’exprimer mes contradictions, parce que j’ai appris que l’autre que j’aime ou que – plus souvent – je déteste, n’est qu’une des branches de mon moi que j’ai envie de choyer ou de découper en rondelles. Je suis solipsiste. Je ne sais pas si j’ai choisi de l’être, mais je sais que je le suis. Donc, vous tous qui me lisez ou qui ne me lisez pas – je suis plus dans le vrai – , vous n’existez pas. C’est pourquoi, tous les matins, que ce soit en tube ou en puits, je prends le risque énorme d’écrire à moi-même, de me décrire, de m’insulter, de me fustiger, mais aussi, parfois, de m’aimer plus que moi-même, ce qui est d’une très grande rareté. C’est aussi pourquoi, tous les politiques de la gauche à la droite en passant par le centre extrême, tous les journalistes, tous les chroniqueurs, tous les bavards professionnels, mentent effrontément et font très facilement avaler d’énormes couleuvres à l’inexistence des individus et des peuples. Seule la musique de Mozart, ou de Schubert, ou de Wagner, ou de Bach (l’unique), semble réelle. On ne la palpe pas. On ne la voit pas. On ne l’entend pas. Elle entre en nous en vibrant pour faire vibrer nos chaires – de poule, dit-on – et propager la lumière qui donne vie et qui la reprend dès qu’elle est partie. L’annonce de Brunehilde à Sieglinde de l’enfant de Siegmund qu’elle porte dans son ventre, quelques mesures, une ou deux minutes, une éternité de vie qui peut se reproduire à l’infini quand on a appris le langage du son et de sa vibration. Ailleurs, au loin ou à côté, rien. La mort sans fin qui glisse sur les glaces éternelles qui recouvrent la terre.
vendredi 19 décembre 2025
vu à travers le tube • « iste » et « isme »…
Pic et Pic et Colégram,
Bour et Bour et Ratatam
Am, Stram, Gram…
Et le hasard me remplit les yeux de la falote ignorante islamiste, charia compatible, Ersilia Soudais, qui lors de la commission d’enquête – que faisait donc là cette source tarie ? - sur les propos gauchiasses des sieurs Cohen et Legrand, a qualifié Sophie Aram de raciste, ce qui est interdit par la loi. En effet la loi interdit toutes les pensées et les convictions dont le mot qualificatif se termine par les quatre lettres « iste » ou » isme ». Je suis anarchiste, individualiste, dictatorialiste, freudiste, wagneriste, trompettiste, saxhorniste, flûte à beciste – depuis très peu – mythologiste, molièriste, athéiste, fondamentaliste, solipsiste et encore solipsiste et toujours solipsiste. Je suis hors-la-loi et recherché par la police qui ne peut me voir puisque je ne me cache pas. Je n’irai donc pas dans sa prison, puisque j’ai déjà la mienne dans laquelle je suis plus libre que dans le désert d’Albuquerque où Walter White fabrique son amphétamine. Le hasard remplit aussi mes yeux du massacre des paysans encore plus horrible que lors de Barthélémy où s’embrochaient à la chaine deux religions semblables et antagonistes. L’homme est un morceau de bois mort jeté dans le fossé, qui s’effrite au fils du temps qui passe et repasse pour passer son temps.
jeudi 18 décembre 2025
vu à travers le tube • bof !
Bof ! Les mauvaises nouvelles se succèdent à une telle vitesse que je ne sais plus où donner de la tête alors que je devrais en avoir l’habitude puisqu’elles surgissent et se propagent – toujours à la même vitesse, ou plus peut-être – depuis que Dieu, celui qui est dans le ciel à côté des stations spatiales et des satellites qui font de l’ombre à la terre, a créé le psychopathe mâle – Adam –, puis le psychopathe femelle – Eve -. Au hasard, j’opte pour les parisiens qui, à coups surs, vont remplacer Hidalgo par son adjoint, parce qu’ils trouvent que les rues de Paris ne sont pas assez sales, qu’il n’y a pas assez de gros rats noirs aux terrasses des bistrots, que la circulation est trop fluide, qu’il n’y a pas assez de petits garçons et de petites filles pour vendre de l’amphétamine aux badauds qui s’ennuient devant la laideur de l’Opéra-Bastille, que les tentatives et viols en tous genres dans le métro ne sont pas assez fréquentes, que les rues ne sont pas assez remplies de campements d’interdits de séjour, de sans-papiers et de voyous. La gauche s’organise pour ne pas perdre l’ombre d’Hidalgo et de son bilan catastrophique. L’opposition est invisible. Il y a bien Dati, mais ne copule-t-elle pas tous les jours et toutes les nuits avec les copains de l’enfant psychopathe de l’Élysée en se (ré)jouissant d’être membre de son gouvernement ? C’est fichu. On ne peut pas être élu quand on fréquente les mauvais garçons, surtout lorsque l’individu en question est l’homme le plus détesté du monde.
mercredi 17 décembre 2025
vu à travers le tube • la grosse et grasse masse purulente et infectée des élus…
L’acharnement obsessionnel de l’INjustice ubuesque de l’enfant psychopathe contre Sarko et Carla – maintenant -, contre les maires qui refusent logiquement et justement de marier les OQTF, contre les paysans et leurs vaches qui pètent et qui se font piquer par des insectes, finira bien écœurer le peuple qui finira bien par écraser cette grosse et grasse masse purulente et infectée des élus… ou pas, qui imposent au monde leurs innombrables traumatismes psychiques pour soumettre ce même monde à leurs caprices humiliants et bestiaux. Et le monde de soumis se laisse faire, n’ayant plus en tête que la petite merde qu’il va mettre sous le sapin pour être dans les clous et ne pas transformer le repas de Noël en pugilat intempestif. Et puis, il a tellement de soucis avec sa rutilante totomobille électrique à qui il doit donner la tété presque trois fois, à intervalles réguliers, pour aller chercher belle-maman au village d’à côté. Moi, jeudi dernier, j’ai dû emmener ma voisine de palier – celle-là même que je salue avant d’aller chez mon Leclerc prendre mon café - à Lyon pour voir d’urgence son médecin, celui qui s’occupe de ses rhumatismes. On a pris ma vieille Deux Chevaux de 1946 et on a fait Paris-Lyon en 12 heures, puis Lyon-Paris au retour, sans s’arrêter une seule fois dans une supérette qui nourrit encore ces engins préhistoriques qui devraient être l’avenir si l’homme avait un seul écu d’intelligence. Bon, je vous laisse. Ma matinée est bien remplie entre mon Leclerc, ma voisine de palier, Praud à la télé, les dernières corrections de « Julie » dans sa version pour piano, et puis remonter dans l’ordre les trois morceaux de mon nouvel instrument – une flûte à bec basse toute noire et toute lourde - que j’ai reçu hier soir. Mon premier essai n’a pas été très concluant. Toute ma vie j’ai joué avec 3 pistons ou 4. Maintenant, il faut que j’apprenne à ouvrir des trous ou à les fermer et puis aussi à appuyer sur des clés placées un peu partout, devant, derrière et sur les côtés. Bof ! Je n’ai que 82 ans. Ce n’est pas si vieux pour apprendre à jouer autrement !
mardi 16 décembre 2025
vu à travers le tube • ubu et les tous les autres ubu…
Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a affirmé ce mardi que les auteurs de l’attentat de Sydney, qui a fait au moins 15 morts et 42 blessés, étaient PROBABLEMENT « motivés par l’idéologie » du groupe « État islamique ». Probablement ? Pauvres Australiens, affligés d’un tel gouvernement de branleurs. Pauvres ! Pas sûr. Là-bas, chez les kangourous, c’est bien comme en France, c’est bien eux qui ont glissé leur feuille de papier cul fans la fente pour nommer ces gens qui ont une langue, mais pas de couilles ! Cet attentat était prévisible comme il l’est dans chaque recoin de la planète. Il faut être Macron, Faure, Panot, Aubry ou Kéké pour ne pas voire la terreur islamiste envahir le monde. Entre les sauvages de la charia et la drogue dure vendue par les CP et CE1 parfois, nous sommes dans l’impasse et la visite du psychopathe Ubu à Marseille, capitale de l’amphétamine, ne va rien arranger. Il va parler, parler et encore parler à la télé et en direct pour mentir, saouler et embobiner les naïfs et crédules qui refusent d’accepter que nous sommes allongés pieds et poings liés au fond de la marmite, que l’eau commence à bouillir et que dans quelques instants, les indigènes venus d’ailleurs vont nous manger avec un toast à la crème de queue de carottes rouges, comme nous dégustons sur une nappe blanche avec un petit doigt pointée vers la lune, une queue d’écrevisse ou une corne d’escargot. Notre immonde lâcheté nous a perdu. Nous sommes morts avant d’être terrassés, d’autant qu’après Ubu, ce sera Ubu I, puis Ubu II, puis Ubu III, puis tous les Ubu, jusqu’à ce que notre terre nourricière se fatigue et nous explose au nez. Notre connerie nous aura assassinés.













