samedi 5 juillet 2025

vu à travers le tube • du côté de l’élysée…

Comme le monde entier l’avait prévu – sauf Macron et ses copier-coller ahuris et abrutis – Boualem Sansal n’a pas été gracié par le dictateur d’Alger. Et maintenant ? Les drones et les missiles sont-ils prêts à décoller ? L’armée de terre a-t-elle mis la baïonnette au bout du fusil ? Les services secrets sont-ils prêts à enlever le tyran et sa cour et à les jeter aux requins dans le bleu Matisse de la Méditerranée ? Bonisseur de la Bath est-il sur son trente-et-un pour ramener vivant Sansal dans ses foyers ? L’enfant de l’Élysée va-t-il enfin s’occuper de la France et déclencher une guerre sans pitié contre ceux qui nous insultent et nous humilient ? Très franchement, c’est le contraire auquel nous allons assister. La lâcheté de ce pouvoir est telle, qu’il va continuer à s’agenouiller devant les terroristes criminels en ignorant le prisonnier. C’est tout de même plus facile d’insulter Poutine à distance. L’enfant, au psychisme inabouti, rêve de la guerre. C’est l’occasion ou jamais. Sur l’autre rive, il y a un pays arrogant. C’est le moment. Et pourquoi – à part Europe 1 et Cnews – les différentes presses ignorent-elles le sujet ?

 

Borne a félicité les enfants qui ont eu leur baccalauréat. Elle s’est félicitée du bon niveau des petits français. Je ne suis pas si sûr que ce soit une réussite quand on sait que l’immense majorité des candidats n’ont JAMAIS entendu une note de Jean-Sébastien Bach, non JAMAIS vu une pièce de Racine, n’ont JAMAIS lu un livre de Kafka, n’ont JAMAIS assisté à un opéra de Richard Strauss, n’ont JAMAIS observé un tableau de Modigliani, n’ont JAMAIS vu un film de David Lynch, et ne savent pas qu’après le chiffre 9, il y a les dizaines, les centaines, les unités de mille, les dizaines de mille, et beaucoup d’autres suites. Et puis, sait-on de combien, cette année, les notes ont été relevées ? Enfin, pourquoi ne se pose-t-on pas la question de savoir pourquoi ceux qui ont réussi le bac, puis les concours des grandes écoles, sont-ils si bêtes et si peu intelligents. Nous avons tous un exemple flagrant sous nos yeux. Tournons-les du côté de l’Élysée.

 

vendredi 4 juillet 2025

le puits au fond du jardin • sur le sentier du déclin…


 


 

L’enfant de l’Élysée vit dans les retranchements de son psychisme lézardé. Il continue de parler alors que personne ne l’entend et continue de caresser alors que sa main tactile n’a plus de ressenti, ce qui laisse les corps figés en absence de sensibilité. Un seul pouvoir lui reste, celui de dissoudre encore l’Assemblée, dans quatre jours. Ce serait marrant et rigolo. Le foutoir est tel sur tous les bancs, que personne ne peut savoir si cela déclencherait les foudres de Wotan ou le renouveau du printemps qui deviendrait éternel. Les postes et les écrans d’État ont dit, ce matin, qu’hier, le président – quel mot étrange inadapté – était entré dans une grande colère et avait foudroyé de son éclair, Rotailleau et Bayrou. Le premier parce qu’il sortait de temps à autre de la case de l’Intérieur, le second parce qu’il ne sévissait pas auprès de ses troupes qui en prenaient un peu trop à l’aise avec la sagesse et la clairvoyance de l’ombre de Jupiter, qui a toujours tenu à ressembler à Tebboune, le dictateur algérien, dont il vante les mérites à chaque discours et dans chaque village qu’il visite, pour dire qu’il est bien là, lui. C’est la dissolution du président qu’il faut entreprendre et en urgence. Il faut se débarrasser de ce gamin voyou qui a déchiqueté la France et qui la laisse gémir, à terre, au bord du caniveau. Et il ne faut surtout pas le remplacer. La suppression de la fonction serait un bain de jouvence et allégerait le déficit de la France de plus de la moitié. Il faut cesser de voter, chaque bout de papier cul glissé dans la fente de l’urne n’étant que le résultat d’un bourrage de crâne. J’ose affirmer qu’il faut aller chez Freud chercher le point précis où nait la source, et replacer l’individu dans le contexte de la pensée humaine dont la fonction est de créer le lien. Freud ou rien.  J’ai choisi Freud il y aura bientôt un siècle. Et puisque vous choisissez « rien », je vous dis « bonne route » sur le sentier du déclin, de la misère, de la souffrance et de la bêtise crasse que constituent votre ignorance et votre humiliation.

jeudi 3 juillet 2025

vu à travers le tube • haro sur la maladie et la vieillesse…

 

Je pose simplement la question : « Est-ce la faute du boulanger de la rue de la gare, du caissier de chez Leclerc, du gérant du tabac de la place Michel Plasson, du chauffeur du car Tarascon-Quimper, du coiffeur de l’impasse Sans-Issue, si la France est surendettée et qu’elle touche le noir du fond de mon puits ? » Contrairement aux élites politiques ignorantes et malhonnêtes, je dis « non », même si, par ricochet, les précités sont coupables, coupables d’avoir mal voté ou, mieux, d’avoir voté, parce que, que je sache, en monarchie déguisée, on ne vote pas, même si elle est déguisée. Ce serait donc aux malades et aux retraités de rembourser la dette, alors que les décideurs, les seuls coupables, ont des revenus vingt à cinquante fois supérieur aux français moyens, et que l’État finance à 90% des inutilités néfastes qui impactent la vie de tout à chacun. Diviser par deux ou trois les ministres, les députés, les sénateurs et toutes les fonctions électives, éliminer tous les organismes à sigles, bouter au milieu des océans les écolos, seraient déjà un premier pas pour stopper la course effrénée du déficit. Et puis, il y aurait tout un tas d’autres choses qui pourraient être mises en place dans la minute. Pour cela, il faudrait que vous m’en donniez le pouvoir. Le problème est que je ne suis pas demandeur. Je veux bien être chef, mais pour cela, il faut venir me chercher et signer une allégeance totale à mes idées. Cela me fait penser que je n’ai pas encore mis mes chaussures, alors que je dois aller prendre mon café chez mon Leclerc, non sans avoir salué ma voisine de palier. Je me dépêche. À plus !     

mercredi 2 juillet 2025

vu à travers le tube • au fond de mon puits…

 

La lâcheté est définitivement installée au pouvoir que les lâches français ont désigné grâce à la lâcheté d’une Constitution d’une rare aberration. Pas un mot sur la condamnation de Boualem Sansal, à part le souhait – du bout des lèvres – que le généreux et humaniste Tebboune prononce la grâce de l’écrivain qui terrorise l’Algérie et son dictateur. L’enfant a d’autres chats à fouetter. Sa compassion vis-à-vis-des pleutres français est émouvante. Il leur intime l’ordre de boire beaucoup, frais mais pas trop, de rester immobile à l’ombre, et de mettre la climatisation à fond sans s’occuper des récriminations de la folle à lier tarée Tondelier. Bayrou, les ministres, les députées, les journalistes, les chroniqueurs, les médecins, les enculés, disent tous la même chose et moi, je leur demande de quel droit ils s’occupent de ma vie privée. Je n’ai pas de ventilateur, je n’ai pas de clim, je ne bois jamais entre les repas, j’ai financé mes obsèques. Alors, fichez-moi la paix. J’ai toujours décidé par moi-même. Je n’ai pas l’intention d’en changer. Je reviens à l’enfant et à ses chats. Au lieu de s’occuper de la libération de notre écrivain, il a passé deux ou trois heures au téléphone avec Poutine, qui se fiche éperdument de la France et de l’avis du psychopathe qu’elle a pris pour chef. Ce malotru ne cesse d’embobiner quand il ne procède pas au rituel des caresses et il y a encore quelques cerveaux tarés pour le suivre et l’admirer. La gouvernance de la France est devenue un nid d’abeilles et les Français du bois mort au bord des sentiers tortueux. C’est pourquoi la chaleur est excellente pour le pays. Ce n’est pas elle qui nous fait suffoquer, mais l’indigence des commentaires qui fusent et explosent autour de ce fait divers qui n’est qu’un fait d’été. Chaud ou froid, qu’est-ce que ça change ? Rien. L’immobilisme, installé depuis plusieurs décennies, n’est que l’image de l’image de notre marche à reculons. D’un côté, comme de l’autre, les prises de conscience ont disparu. Les liens sont cassés. Les traits de l’image s’épaississent et le flou distant les contours. Penser n’est plus notre fonction première. L’inutile a pris le dessus. C’est fini. Observez bien ce qui gémit dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est vous. Dans votre autre dimension, vous y êtes déjà et je ne vois pas comment vous pourriez en sortir, même si je le voulais.

mardi 1 juillet 2025

vu à travers le tube • à propos des planches…

 

Parce que nous sommes en été et qu’il fait chaud, la macronie ferme les écoles et insulte les vieux, la jeunesse du monde. Plus aucune information ne passe dans les postes et les écrans, les parlotoires ne s’adressant plus qu’aux vieux en leur donnant l’ordre impératif de boire des tonneaux d’eau sous peine de châtiments humiliants comme la privation de « Plus belle la vie, encore plus belle » ou du jeu « Questions pour un champion ». J’ai 81 ans ou peut-être 91, et je ne bois pas d’eau. Je la réserve à mon poisson rouge qui en a plus besoin que moi. Et cela ne m’empêche pas de jouer de mon euphonium, trois heures par jour et d’aller à pied, sous le soleil d’été, au Bistrot du Rond-point, me prendre quelques coupes glacées vanille-chantilly, arrosées de deux ou trois cafés. Même la Sécurité Sociale m’a écrit pour me dire de rester à l’ombre, de ne pas faire d’effort physique et de boire, boire et boire encore, comme si, à mon âge, je n’étais pas capable de vivre ma vie. J’emmerde les donneurs de leçons, la Sécurité Sociale y compris.

 

C’est dans une heure que nous saurons si Boualem Sansal va rentrer en France où mourir assassiné par le dictateur-président algérien. La France, je veux dire Macron, un pitoyable lâche qui aura fait, tout au long de ses deux mandats, le va et vient entre sa cachette bien encastrée sous les jupes de sa maman et le vestiaire des corps transpirants à caresser en ingurgitant des bières, laisse le pays dans un état qu’il n’a jamais connu : économie, santé et culture, gisent sur le tapis brûlé des affres pervers de l’enfant au psychisme inabouti qui a une admiration et une confiance sans borne en ce despote qui fait régner la terreur de l’autre côté de la Méditerranée. Les députés ne sont pas mieux. Ne sont-ils pas payés pour occuper les bancs de l’Assemblée ? Où étaient-ils hier au moment de voter pour ou contre la réforme de l’audiovisuel ? Ils n’ont aucune excuse. Pourquoi ne sont-ils pas rémunérés à la séance publique... ou non ?  

 

Fort heureusement, le soleil et la glace se mêlent à la partie. Les éléments naturels ont infiniment plus de pouvoir que les humains crétins. Ils finiront bien par tout emporter sur leur passage et réduire les pantins en copeaux de planches de bois vermoulu.

lundi 30 juin 2025

vu à travers le tube • le temps des abrutis rigolos…

 L’enfant au psychisme inachevé est allé au ballon ovale et, pour s’acoquiner avec les vainqueurs, s’est faufilé dans les vestiaires pour ne pas être la cible d’artichauts, de carottes et de navets de la part du public qui déteste ce malotru nocif. Il s’est mis à l’aise, à caresser les corps musclés et transpirants des athlètes, et, en chemise et manches retroussées, il a bu une bière cul-sec. On ne sait pas si bobonne y était et si elle s’est déshabillée. Pour une fois qu’il était en France, votre piteux président a encore montré le désastre de son image, image reflet parfait de ce qu’est le personnage. Et le suivant ne pourra être qu’idem ou pire quand on voit la tournure indécente et sauvage que prennent les idées. J’ai même entendu dans le poste, une mère dire que son chérubin était fatigué après cette longue année scolaire où les maitres l’ont obligé à ingurgiter l’aventure du vase de Soissons,  les fastes au château de Louis XIV, les dépucelages de François 1e, l’attentat contre Napoléon III, les mamelles prodigieuses d’Henri IV, le scooter d’un autre François, mais aussi les règles de trois et de quatre, les théorèmes de Diogène de Sinope et son tonneau,  le déraillement du train à vapeur Pithiviers-Orléans, l’abandon du fusil à baïonnette pour le couteau de cuisine. Et la mère a dit aussi, qu’il était inadmissible qu'en plus de toute cette fatigue, que Toto doive encore supporter la chaleur de l’été.

 

Il est rigolo ce monde. Abruti, mais rigolo !   

dimanche 29 juin 2025

vu à travers le tube • l’enfant et les intempéries…

En abandonnant le texte sur l’interdiction du mariage pour les personnes en situation irrégulière, les clowns tristes de l’Assemblée confortent les invasions barbares dont les envahisseurs s’approchent chaque jour un peu plus du pouvoir. L’enfant inutile et psychopathe aura terminé de vendre la France aux hordes sauvages et le triste sort réservé aux français qui seront en vie dans la prochaine décennie est plus effrayant que le supplice de Blandine. Le Pen et consort ainsi que les gens de droite auront beau faire, Mélenchon et sa horde d’enculés est aux portes de l’Élysée, avec la complicité de l’enfant au psychisme inabouti qui aura tout cassé, tout détruit, tout saccagé. J’espère que la punition sera exemplaire et que le misérable finira ses jours dans le noir des cachots de Bastille avant d’être jeté dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.

 

Cessez de vous plaindre des intempéries, canicules et tsunamis. Elles régularisent les temps de vie. Plus il y aura de morts, moins il y aura de retraites à payer. Alors, s’il vous plaît, souriez !  

samedi 28 juin 2025

le puits au fond du jardin • la plume au vent...

 



 

Aujourd’hui, le monde entier ne fête pas la naissance d’Abbado, ni le décès de Furtwängler, ni l’invention de Gutenberg, ni le triomphe d’Hamlet à la Comédie française, mais la suprématie de la plume – pas de celle que je trempais dans l’encre sous l’œil avisé de mon maitre d’école, à la fin de la dernière guerre du XXe siècle, ni celle de Zizi Jeanmaire -, mais celle du rossignol ou de la  de la tourterelle, ou plutôt celle de l’oie sauvage, que les acteurs de la pièce s’enfilent bien profond dans le cul, tous nus et peints comme les sauvages des années 300 000 avant J.C. Gay pride, spectacle affligeant, désolant et indécent, auquel les parents amènent les enfants, ce qui me conforte dans ma devise à leur sujet : « TOUS COUPABLES ! » C’est chez Ubu que l’on fête la déviation des sexes et que l’on glorifie l’inaboutissement des psychismes. Les sinistres crétins qui veulent interdire les sites pornos bien cachés dans les ordinateurs, font une pub fracassante pour cette saloperie de rue, mille fois plus dangereuse pour les enfants-enfants, mais aussi pour les enfants-adultes. Quand allons-nous fêter la complémentarité homme à pénis et femme à vagin, la seule réalité sur laquelle peut se reposer une société ? Tous les restes ne sont que des verrues qui peuvent très bien se passer de publicité.

 

Le télétravail a du plomb dans l’aile. Les chefs d’entreprises se réveillent. La maison, avec l’aspirateur, le lave-linge, bobonne ou bobon et la marmaille, ne peut être un lieu de travail. Le travail est un lieu d’émancipation, de relation et de confrontation. Le retour en arrière est indispensable, même s’il ne règlera pas la déficience générale des cerveaux. Vos ancêtres ont découvert l’Amérique, l’Afrique, la Chine. C’est maintenant à vous de découvrir celui qui manque à toutes les sociétés : Freud, le grand Sigmund – à ne pas confondre avec celui du glaive magique -, celui qui a développé la thérapie psychanalytique qui, si les esprits s’ouvraient, révolutionnerait le monde.

vendredi 27 juin 2025

vu à travers le tube • élias…

 

Il ne fallait rien rater de la longue et sublime interview de la mère d’Elias – adolescent de 14 ans, assassiné à coup de machette le 24 janvier dernier – par Laurence Ferrari, sur Cnews, la chaine qui rétablie toutes les vérités sabotées par France Inter-Info-Culture-Musique. L’invitée a dénoncé la manipulation de l’information et du meurtre de son fils dans les radios et télés d’État – et même l’AFP - et notamment les mensonges permanents du pseudo-journaliste Patrick Cohen, qui a toujours refusé de s’expliquer avec elle. « Ce que fait Patrick Cohen, c’est prendre parti. Il manipule l’information et le meurtre d’Elias en décidant lui-même, alors qu’il ne connaît pas encore la vérité, qu’Elias a refusé de donner son téléphone. Il réalise un biais cognitif, c’est-à-dire qu’il sous-entend que si Elias avait donné son téléphone, il ne serait pas mort. » Pour la mère de la victime, suggérer qu’Elias a été tué car il refusait de donner son téléphone à ses agresseurs revient à dire qu'« une femme violée ne l’aurait pas été si elle n’avait pas porté une minijupe ». La mère de l’adolescent souligne : « Pour nous, les parents d’Elias, cinq mois après la mort de notre enfant, entendre Patrick Cohen, qui est censé être un journaliste rigoureux - on voit là qu’il ne l’est pas, qu’il est médiocre - tenir de tels propos, c’est indécent. »

 

La leçon a été grandiose et le moment unique, car, entendre de telles vérités n’est pas dans les habitudes des Français, sans cesse manipulés par la majorité impuissante et par les gauches indécentes. Écouter Céline Pina ou Charlotte d’Ornellas – c’est sur Cnews – est un bain de jouvence. La France se décourbera lorsque sa population se détournera des terroristes intellectuels de France Inter-Info, du Monde, de Marianne, de Télérama et de leurs nombreux et terrifiants copier-coller.

jeudi 26 juin 2025

vu à travers le tube • ermotte la menteuse…

 

Praud a raison. Ermotte est une menteuse. France-Télévisions est une fourmilière de gauchistes gauchos-islamistes wokes, homos-lesbiennes , écolos-sados-masos, soumis au gourou Carron, qui prépare le nouveau monde où les peuples se courberont devant la folie sanguinaire du nouvel Hitler dont les lois seront bien pires que celles concoctées par l’excellent Marquis dans ses Contes de Noël. Et le vieux Villepin est entré dans le système. La paire, avec Mélenchon, est une gourmande sucette où les nigauds vont tomber dans le piège. Revenons à la langue française, avec ses conjugaisons, ses participes, ses accords majeurs et mineurs, scellée par l’étude du latin et du grec, pour retrouver le mode d’emploi de la marche à pieds nus sur les sentiers des collines vertes et des forêts où chantent les fées. La seule lumière avec clarté de ces dernières années : l’inégalable Trump qui ne fait pas mentir la doctrine de la trompe : un éléphant, ça trompe énormément, mais, quelque soit son degré de folie, ça décide et ça agit. L’enfant au psychisme inachevé qui se balade à nos frais, avec sa vieille bobonne, devrait apprendre à respecter le maitre. La jeunesse est dépourvue quand la vieillesse dégaine son vieux glaive.

mercredi 25 juin 2025

le puits au fond du jardin • sur l’autre rive…

 



 

Il est tunisien et en situation irrégulière. Pour obtenir des papiers, il est allé dénicher une mère de 6 (SIX) enfants et lui a promis monts et merveilles si elle lui accordait sa main. La nigaude naïve subjuguée par sa virilité débordante a dit OUI. Elle lui a même promis de lui fabriquer 5 ou 6 autres enfants afin de compléter la marmite des marmailles. Et le type rit sous cape en se voyant prendre la poudre d’escampette après l’enfilade de la bague, laissant la gourde ignorante courbée sur le tapis. Heureusement, Marlène Mourrier, la maire de Bourg-lès-Valence a les pieds bien ancrés dans le sol de France. Elle refuse de les marier pour ne pas être complice d’un mariage blanc.  Dans quelques jours les représentants de l’Injustice française vont venir la chercher, la mettre au cachot noir pour 5 ans et ôter de son compte en banque, 75 000 euros. Voilà lâches français, ce qu’est votre misérable pays qui croule, défait, dans le noir du fond de mon puits.  Quelle bonne idée j’ai eu, quand un soir d’automne, alors que le crépuscule annonçait celui des dieux et des hommes, j’ai osé me jeter dans le fleuve et nager jusqu’à l’autre rive. D’ici, je vois, je regarde, j’écoute, j’entends, et je ris devant la danse des pantins qui tentent, en vain, d’imiter celle du sacre du printemps. Les robots en planches clouées s’épuisent. Ils ne savent plus que parler et c’est bien pour cela que plus personne n’y comprend rien. Seul dans mon désert sans fin, j’ai découvert la cachette de Freud, mais aussi celle de Mozart, et aussi celle de Schubert et Wagner. Tous les trois ou quatre jours, nous déjeunons ensemble. La conversation est phrasée et nuancée. Souvent, une truite se joint à nous. Elle joue de la flûte sur le bûcher de l’anneau. Et Freud nous répète sans cesse de ne jamais oublier que ce que nous voyons, nous ne le voyons pas et que si nous sommes, c’est que nous ne sommes pas. 

mardi 24 juin 2025

le puits au fond du jardin • ignorance…

 



 

Le malade qui nous gouverne est partout. Partout en même temps. Quand il est à Munich, il est à Détroit, à Lausanne aussi, mais aussi à Tarascon. Et mes 440 écrans télés montrent son image – je le reconnais à sa coiffure LGBCTG, rasée sur les côtés au-dessus des oreilles – tout le temps, en même temps, lui qui n’est qu’une image qu’Épinal a rejeté de son album. Si on peut le reconnaître par le vide au-dessus de ses oreilles, on peut aussi le reconnaitre grâce à ses mains qui caressent tout, tout le temps et tout en même temps. C’est ainsi que Merkel a été caressée en même temps que le singe du zoo de Vincennes ainsi que le cheval blanc d’Henry IV, peint sur la paroi humide et froide des grottes de La Balme – c’est peut-être François 1e ! -. Il y eut aussi Attal qui accueillait sa main qui caressait Borne et la peau suante de Mbappé, tout en même temps. L’ado est déboulonné, tenu à distance. Il n’a plus aucune crédibilité et la France doit s’en débarrasser si elle ne veut pas continuer sa chute dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est aux français de décider ce qu’ils veulent pour la France. Mais comment décider quand on n’a pas la capacité de comprendre que décider c’est agir et agir dans l’instant. Moi, je regarde et je jouis du spectacle des pantins patins. Assis sous l’olivier de l’autre rive, j’observe en jouant de mon euphonium à quatre pistons et je me plais à interpréter la « Marche des Soldats de plomb » qui incite les pantins à danser. Les planches vermoulues érigent leurs clous rouillés et la débandade finie en un tas de planches de vieux bois à bruler.

 

Après m’être bien amusé, je vais me reposer aux accents des accords de Tristan et je vais me plaire à penser que la vie pourrait être tout autre chose si la race humaine regardait, écoutait et délaissait pour toujours son abyssale ignorance.   

lundi 23 juin 2025

le puits au fond du jardin • l’autre rive…

 


 

Connaissez-vous le pays où fleurit Tristan, Brunehilde, Boccanegra, Desdémone, Pamina, Cherubino, Marguerite, Micaela, Marie, Mignon, le pays d’où je viens et qui est sur l’autre rive, celle que personne ne veut aborder par peur d’affronter le miroir de la vérité ? J’y suis resté un long temps, court et démesuré, pour me protéger des salopards terroristes islamistes de gauche que sont Salamé, Macron, Mélenchon, France Inter-Info, France Culture-Musique, Fête de la musique, communistes, socialistes, écolos écologistes, écologistes écolos, rappeurs à fromages en tous genres, PSG, Lemoine, Aphatie, auxquels s’ajoutent les restes que je ne citerai pas pour ne pas salir davantage ma page. En mettant la clé dans la serrure de la porte de mon lieu de vie, j’ai eu un frisson en pensant que j’allais retrouver l’indigeste gloubi-boulga qui ne cesse d’inciter à rentrer dans le rang des gens sans pensés, fabriqués, forgés et formatés pour être bien sages, bien polis, et bien inscrits dans les caniveaux exécrables des conventions de la bienséance, dont Macron, Mélenchon et Léon XIV, ont fait leurs tasses de thé. Avez-vous vu Barenboïm diriger Tristan ? Avez-vous entendu Meier chanter, après la mort de Tristan, la dissolution de son âme dans le tout ? Avez-vous été transportés par le sublime duo de Renata et Mario au final du premier acte d’Otello ? Il y a bien deux mondes opposés : celui de la rive et celui de l’autre rive, l’un parcouru de vivants morts, l’autre de vivants vivants.

 

En passant la porte, j’ai appris le triomphe de Trump, l’homme qui décide et frappe là où il faut. Et j’ai vu la mine défaite de Macron, l’enfant serpillière au psychisme inabouti, qui va d’échec en échec, avec sa suite en haillons. Si cette chose n’est pas boutée à coups de pieds dans le cul, la France ne se remettra jamais de ses caprices scandaleux et de ceux d’Hollande le triste sire, mais aussi de ceux de François 1e, le coureur de jupons et de Napoléon, le va-t-en-guerre aux trois cornes et à la main cachée. Le monde est celui d’Ubu, de l’absurde et du mensonge. Les lignes sont cassées. Les écrans blancs laissent échapper les formes mouvantes en noir et en couleurs. Les barrières sont tombées. Le soleil va bientôt enflammer la terre. Comme la saucisse, nous allons tous griller. Chouette !    

samedi 14 juin 2025

vu à travers le tube… bonne après-midi !

Dernier tube avant une pose indéterminée, longue peut-être, mais peut-être courte, qui, je l’espère, ne vas pas vous contrarier et vous mettre en colère. Cet après-midi, Paris – et peut-être ailleurs aussi – va être envahi par la pire des espèces, pire que celles qui peuplent les films qui font peur, pire que le régime des ayatollahs, pire que la lune dans le ciel noir des longues nuits d’hiver, l’espèce qui mène les peuples à leur mort après les avoir dépouillés de leur dignité : le gloubi-boulga composé de LFI, des écolos, des communistes et des socialistes, qui vont manifester en faveur de l'Hamas, en frappant et injuriant la police, en cassant les vitrines, en mettant le feu de partout et en proférant mensonges sur mensonges. Je regrette les grandes dictatures qui les auraient exterminés avant qu’ils aient eu l’idée de faire chier le monde un samedi après-midi. L’ordre et la discipline ont quitté les petits Larousse et Robert.  L’immonde et la connerie les ont remplacés.

vendredi 13 juin 2025

vu à travers le tube • brindilles de petits bois…

 

Ce serait tellement rigolo si ce n’était pas tragique.  Mais voilà ! C’est tragique et pas rigolo. Et pourtant la terre tourne toujours et la vermine, fruit des multissimes procréations propulsées par le couple mythique – Adam et Eve -qui relègue Roméo et Juliette, Tristan et Isolde, Tintin et Milou, aux rangs des invisibles couchés derrière les piliers, grouille sans fin, ânonne des suites de bruits sans sons, dépèce les corps, lézarde les pensées, détruit à jamais, détruit en continuité, comme le rayon du soleil qui grille les queues de mon poireau en pot, sur mon balcon. Le monde terrestre qu’un dieu pondu par une pensée a inventé pour meubler ses journées, est un monde d’enfants crétins de pinocchios en planches de bois qui se meuvent par ficelles rongées par les rats du joueur de flûte, au bout desquelles un magicien manipulateur organise le sort de ces créatures qui n’ont pu s’approprier la pensée. Les enfants non élevés se poignardent et poignardent les images qui sortent du vide de leur tête pour faire le vide en eux et autour d’eux. Le mal triomphe et ils l’encensent et le nourrissent. L’ultime guerre a commencé. Le règne de Rima Hassan, l’icône des assassins islamo-gaucho-mélenchonistes, sera de courte durée. Elle sera égorgée sur l’autel du sacrifice par ses propres amis qui seront égorgés par les fondements du trou noir.

 

Pourquoi l’enfant n’aura-t-il pas su apprivoiser ses cécités, ses surdités, ses ignorances, ses lâchetés ? C’est parce qu’il n’a pas voulu contrôler le cordon qui relie son inconscient dominateur à son conscient lâche. C’est simple, non ?