lundi 22 décembre 2025

vu à travers le tube • un lundi comme les autres…

 

Un Sénégalais dérangé, muni d’un faux passeport belge, a menacé d’un couteau les commerçants et passants du cours Napoléon, à Ajaccio. Impossible à maitriser, la police a tiré. Il est mort. Bon débarras. Et voilà que la famille porte plainte contre le policier qui a rempli sa mission avec courage et détermination. Je propose qu’on lui remette une breloque et que l’on colle au cachot la famille de l’agité du cerveau.

 

Je crois ne pas être le seul à savoir dans quel état lamentable est la France. Poche vide, cerveau délabré, personnel politique à l’ouest, président en régression permanente, réduit à l’état de légume en racine, qui annonce fièrement une dépense de plusieurs milliards pour une barquette magique qui va propulser des avions chasseurs et faire régner la terreur sur les océans et sur les mers. Capitaine Crochet débloque encore et personne n’arrive à le maitriser, même pas maman bobonne qu’il a épousée et qui – dit-on – a détourné un ou deux millions de pièces jaunes. Et j’ai entendu un général à la radio – il y a de plus en plus de généraux dans les radios et dans les télés, sans doute parce qu’il faut bien préparer l’opinion qui n’en a pas, aux guerres Macron contre Poutine, Macron contre Trump, Macron contre Xi Jinping, Macron contre les Argonautes, Macron contre King Kong -, j’ai entendu un général – disais-je - qui nageait dans le bonheur en précisant que les français devait faire des efforts s’ils voulaient être protégés des ennemis extérieurs qui convoitent Eiffel et la Sainte Mère marseillaise. L’idiot de service n’a pas compris que l’ennemi était à l’intérieur et qu’il avait déjà pris possession de plus de la moitié du territoire. Je le nomme : l’islam, ses terroristes et les vendeurs d’amphétamine.

Que dire de plus en ce lundi matin qui va se passer comme tous les lundis matin. Ça va beaucoup parler. Et tout le monde va en rester là. Ils vont tous rechigner et leur argent leur sera volé et le petit bateau voguera sur l’eau et les mosquées fleuriront sur toutes les places publiques sans que mot ne surgisse.
  

dimanche 21 décembre 2025

le puits au fond du jardin • la stratégie du choc…

 

 
 
Aujourd’hui, 21 décembre, le jour reprend son combat contre la nuit qui l’avait englouti sans qu’il n’y puisse rien faire, jour qui est aussi le premier jour de l’hiver où les jambes de bois se cassent sur les pentes blanches pour remplir les hôpitaux étouffés par la paperasserie qui relègue la médecine dans les couloirs de la chaufferie.

 

Lettre du Docteur Hippocrate à Naomie Klein : « La Stratégie du Choc : 1. Créer le choc, la sidération : faire abattre 207 vaches avec une mise en scène SPECTACULAIRE (drones, hélicoptères, forces de l'ordre armées jusqu'aux dents, gaz lacrymogènes...). 2. Terroriser avec la maladie, menacer et désespérer les éleveurs et maintenir l'idée que les abattages s'imposent, car « il y a une couverture vaccinale très largement insuffisante ». 3. Annoncer La (seule) Solution : une « mobilisation exceptionnelle de vétérinaires pour une vaccination accélérée ». Se poser en "sauveur". 4. Ne jamais aborder d'autres solutions possibles (soins et isolement des bêtes malades seules). Et même les écarter en les discréditant. 5. Faire accepter une vaccination sans que personne ne trouve à y redire, que certains éleveurs au bout du rouleau appellent de leurs vœux, et bien sûr sans études indépendantes prouvant que ces injections sont efficaces et/ou sans danger ni pour les animaux, ni pour les consommateurs de viande. 6. Menacer les séditieux, les réfractaires, les vétérinaires qui voudraient respecter le principe de précaution. Toujours les mêmes ficelles, toujours la même mécanique de MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE : l'ingénierie sociale et ses outils, qui là encore ressemblent furieusement à ceux employés lors du covidodélire. »

 

Que puis-je rajouter à une telle évidence ? Rien, sinon que notre fin finale et terminale de civilisation pratiquement déjà consommée est due aux votants qui mettent au pouvoir des théoriciens de la morale politique qui refusent d’intégrer dans leur réflexion – pour les quelques rares spécimens qui en ont une – la dimension gigantesque du psychisme et de son inconscient qui sont les véritables courroies de transmission entre l’acte et la pensée. Les morts-vivants se meuvent dans l’écran blanc des salles noires et vides. Les vivants-morts sont ceux qui aspirent à entrer dans l’écran blanc aspirant, après avoir détruit les civilisations. Hors des deux entités, il n’y a rien. Le vide. Le vide désespérément vide.

samedi 20 décembre 2025

vu à travers le tube • des élus et des sectes…

 

Curieux monde curieux, surtout désespérant et bien plus, ignoble, qui fourmille de menteurs impertinents qui décident pour les menteurs qui ne mentent qu’à eux-mêmes en désignant des menteurs pour les mettre à la tête de leurs mensonges. Des menteurs commandés par des menteurs qui accumulent, les uns et les autres, mensonges sur mensonges pour feindre de cacher le dernier accouché de la dynastie. Panot ne ment pas plus que Rotailleau, ni moins, Dati ne ment pas plus que Faure, ni moins, Le Pen ne ment pas plus que Bompard, ni moins, Mélenchon ne ment pas plus que Macron, ni moins. La droite n’est pas plus menteuse que la gauche ou que l’extrême centre, ni moins. Ils – les donneurs d’ordres – sont embarqués dans la même benne à ordures que les soumis qui les ont désignés en glissant un morceau de papier cul dans une fente – un viol par substitution – où que ceux qui se sont abstenus par dégoût de cette espèce nauséabonde. Les Français suffoquent sous les détritus des critiques  qui fusent de partout envers tous ceux qui bougent le petit doigt, sans même s’apercevoir que ce sont une large part de leurs semblables qui ont choisi les misérables qui se prennent pour des monarques alors qu’ils ne sont que des goujats de la pire espèce, idiots, psychopathes et ignorants. La République, la Démocratie, sont les pires des mensonges, tous aussi pires que le vivre ensemble, l’aimez-vous les uns les autres et le laissez venir à moi les petits enfants. Jésus était un grand psychopathe qui s’est reproduit des milliards de milliards et de milliards de fois, ce qui fait qu’aujourd’hui nous en sommes là. La perversion est devenue le Dieu vivant qui réconcilie toutes les sectes appelées religions et aussi républiques-démocratiques.    

le puits au fond du jardin • illusion…

 



 

Quand je parle ou quand j’écris – en ce moment j’écris, mon tube ou mon puits, je verrai plus tard -, je ne suis pas sûr que les mots que j’emploie traduisent précisément ce que je veux dire et expriment réellement mes idées et mes convictions qui sont l’image de ce que je suis et qui me différentié de toutes les autres parties prenantes des populations humaines, animales et végétales. Je m’efforce sans cesse d’exprimer mes contradictions, parce que j’ai appris que l’autre que j’aime ou que – plus souvent – je déteste, n’est qu’une des branches de mon moi que j’ai envie de choyer ou de découper en rondelles. Je suis solipsiste. Je ne sais pas si j’ai choisi de l’être, mais je sais que je le suis. Donc, vous tous qui me lisez ou qui ne me lisez pas – je suis plus dans le vrai – , vous n’existez pas. C’est pourquoi, tous les matins, que ce soit en tube ou en puits, je prends le risque énorme d’écrire à moi-même, de me décrire, de m’insulter, de me fustiger, mais aussi, parfois, de m’aimer plus que moi-même, ce qui est d’une très grande rareté. C’est aussi pourquoi, tous les politiques de la gauche à la droite en passant par le centre extrême, tous les journalistes, tous les chroniqueurs, tous les bavards professionnels, mentent effrontément et font très facilement avaler d’énormes couleuvres à l’inexistence des individus et des peuples. Seule la musique de Mozart, ou de Schubert, ou de Wagner, ou de Bach (l’unique), semble réelle. On ne la palpe pas. On ne la voit pas. On ne l’entend pas. Elle entre en nous en vibrant pour faire vibrer nos chaires – de poule, dit-on – et propager la lumière qui donne vie et qui la reprend dès qu’elle est partie. L’annonce de Brunehilde à Sieglinde de l’enfant de Siegmund qu’elle porte dans son ventre, quelques mesures, une ou deux minutes, une éternité de vie qui peut se reproduire à l’infini quand on a appris le langage du son et de sa vibration. Ailleurs, au loin ou à côté, rien. La mort sans fin qui glisse sur les glaces éternelles qui recouvrent la terre.  

vendredi 19 décembre 2025

vu à travers le tube • « iste » et « isme »…

Au milieu de ces tas de grabats, vestiges uniques de la France prestigieuse de Debussy, Ravel ou Roussel, qu’est-il important de débusquer ce matin ? Il y a tellement de choix parmi cette misère chronique, que je vais procéder par

Pic et Pic et Colégram,

Bour et Bour et Ratatam

Am, Stram, Gram…

 

Et le hasard me remplit les yeux de la falote ignorante islamiste, charia compatible, Ersilia Soudais, qui lors de la commission d’enquête – que faisait donc là cette source tarie ? - sur les propos gauchiasses des sieurs Cohen et Legrand, a qualifié Sophie Aram de raciste, ce qui est interdit par la loi. En effet la loi interdit toutes les pensées et les convictions dont le mot qualificatif se termine par les quatre lettres « iste » ou » isme ». Je suis anarchiste, individualiste, dictatorialiste, freudiste, wagneriste, trompettiste, saxhorniste, flûte à beciste – depuis très peu – mythologiste, molièriste, athéiste, fondamentaliste, solipsiste et encore solipsiste et toujours solipsiste. Je suis hors-la-loi et recherché par la police qui ne peut me voir puisque je ne me cache pas. Je n’irai donc pas dans sa prison, puisque j’ai déjà la mienne dans laquelle je suis plus libre que dans le désert d’Albuquerque où Walter White fabrique son amphétamine. Le hasard remplit aussi mes yeux du massacre des paysans encore plus horrible que lors de Barthélémy où s’embrochaient à la chaine deux religions semblables et antagonistes. L’homme est un morceau de bois mort jeté dans le fossé, qui s’effrite au fils du temps qui passe et repasse pour passer son temps.      

jeudi 18 décembre 2025

vu à travers le tube • bof !

 

Bof ! Les mauvaises nouvelles se succèdent à une telle vitesse que je ne sais plus où donner de la tête alors que je devrais en avoir l’habitude puisqu’elles surgissent et se propagent – toujours à la même vitesse, ou plus peut-être – depuis que Dieu, celui qui est dans le ciel à côté des stations spatiales et des satellites qui font de l’ombre à la terre, a créé le psychopathe mâle – Adam –, puis le psychopathe femelle – Eve -. Au hasard, j’opte pour les parisiens qui, à coups surs, vont remplacer Hidalgo par son adjoint, parce qu’ils trouvent que les rues de Paris ne sont pas assez sales, qu’il n’y a pas assez de gros rats noirs aux terrasses des bistrots, que la circulation est trop fluide, qu’il n’y a pas assez de petits garçons et de petites filles pour vendre de l’amphétamine aux badauds qui s’ennuient devant la laideur de l’Opéra-Bastille, que les tentatives et viols en tous genres dans le métro ne sont pas assez fréquentes, que les rues ne sont pas assez remplies de campements d’interdits de séjour, de sans-papiers et de voyous. La gauche s’organise pour ne pas perdre l’ombre d’Hidalgo et de son bilan catastrophique. L’opposition est invisible. Il y a bien Dati, mais ne copule-t-elle pas tous les jours et toutes les nuits avec les copains de l’enfant psychopathe de l’Élysée en se (ré)jouissant d’être membre de son gouvernement ? C’est fichu. On ne peut pas être élu quand on fréquente les mauvais garçons, surtout lorsque l’individu en question est l’homme le plus détesté du monde.  

mercredi 17 décembre 2025

vu à travers le tube • la grosse et grasse masse purulente et infectée des élus…

 

L’acharnement obsessionnel de l’INjustice ubuesque de l’enfant psychopathe contre Sarko et Carla – maintenant -, contre les maires qui refusent logiquement et justement de marier les OQTF, contre les paysans et leurs vaches qui pètent et qui se font piquer par des insectes, finira bien écœurer le peuple qui finira bien par écraser cette grosse et grasse masse purulente et infectée des élus… ou pas, qui imposent au monde leurs innombrables traumatismes psychiques pour soumettre ce même monde à leurs caprices humiliants et bestiaux. Et le monde de soumis se laisse faire, n’ayant plus en tête que la petite merde qu’il va mettre sous le sapin pour être dans les clous et ne pas transformer le repas de Noël en pugilat intempestif. Et puis, il a tellement de soucis avec sa rutilante totomobille électrique à qui il doit donner la tété presque trois fois, à intervalles réguliers, pour aller chercher belle-maman au village d’à côté. Moi, jeudi dernier, j’ai dû emmener ma voisine de palier – celle-là même que je salue avant d’aller chez mon Leclerc prendre mon café - à Lyon pour voir d’urgence son médecin, celui qui s’occupe de ses rhumatismes. On a pris ma vieille Deux Chevaux de 1946 et on a fait Paris-Lyon en 12 heures, puis Lyon-Paris au retour, sans s’arrêter une seule fois dans une supérette qui nourrit encore ces engins préhistoriques qui devraient être l’avenir si l’homme avait un seul écu d’intelligence. Bon, je vous laisse. Ma matinée est bien remplie entre mon Leclerc, ma voisine de palier, Praud à la télé, les dernières corrections de « Julie » dans sa version pour piano, et puis remonter dans l’ordre les trois morceaux de mon nouvel instrument – une flûte à bec basse toute noire et toute lourde - que j’ai reçu hier soir. Mon premier essai n’a pas été très concluant. Toute ma vie j’ai joué avec 3 pistons ou 4. Maintenant, il faut que j’apprenne à ouvrir des trous ou à les fermer et puis aussi à appuyer sur des clés placées un peu partout, devant, derrière et sur les côtés. Bof ! Je n’ai que 82 ans. Ce n’est pas si vieux pour apprendre à jouer autrement !

mardi 16 décembre 2025

vu à travers le tube • ubu et les tous les autres ubu…

 

Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a affirmé ce mardi que les auteurs de l’attentat de Sydney, qui a fait au moins 15 morts et 42 blessés, étaient PROBABLEMENT « motivés par l’idéologie » du groupe « État islamique ». Probablement ? Pauvres Australiens, affligés d’un tel gouvernement de branleurs. Pauvres ! Pas sûr. Là-bas, chez les kangourous, c’est bien comme en France, c’est bien eux qui ont glissé leur feuille de papier cul fans la fente pour nommer ces gens qui ont une langue, mais pas de couilles ! Cet attentat était prévisible comme il l’est dans chaque recoin de la planète. Il faut être Macron, Faure, Panot, Aubry ou Kéké pour ne pas voire la terreur islamiste envahir le monde. Entre les sauvages de la charia et la drogue dure vendue par les CP et CE1 parfois, nous sommes dans l’impasse et la visite du psychopathe Ubu à Marseille, capitale de l’amphétamine, ne va rien arranger. Il va parler, parler et encore parler à la télé et en direct pour mentir, saouler et embobiner les naïfs et crédules qui refusent d’accepter que nous sommes allongés pieds et poings liés au fond de la marmite, que l’eau commence à bouillir et que dans quelques instants, les indigènes venus d’ailleurs vont nous manger avec un toast à la crème de queue de carottes rouges, comme nous dégustons sur une nappe blanche avec un petit doigt pointée vers la lune, une queue d’écrevisse ou une corne d’escargot. Notre immonde lâcheté nous a perdu. Nous sommes morts avant d’être terrassés, d’autant qu’après Ubu, ce sera Ubu I, puis Ubu II, puis Ubu III, puis tous les Ubu, jusqu’à ce que notre terre nourricière se fatigue et nous explose au nez. Notre connerie nous aura assassinés.

lundi 15 décembre 2025

vu à travers le tube • la naissance du monde

 

L’attentat terroriste d’hier, en Australie, était tellement prévisible – Houellebecq l’avait écrit - que les autorités n’ont même pas réquisitionné prévisionnellement le garde-champêtre. Netanyahou a raison. Tous les pourris qui ont reconnu l’État de l’Hamas-Palestine – notre Ubu psychopathe en tête – sont coupables. Ils ont attisé la haine – déjà à son apogée - contre les Juifs et leur lâcheté nous conduit aux mares de sang. Et pourquoi le héros - Ahmed Al Ahmed, 43 ans, vendeur de fruits - qui a maitrisé l’immonde, ne lui a-t-il pas tiré dans les couilles et achevé entre les deux yeux après l’avoir laissé de longues minutes hurler de douleurs ? Il aurait ainsi dépassé la gloire immortelle de Siegfried et la bête immonde n’aurait jamais pu passer devant les tribunaux – si à cette minute où j’écris, elle est toujours en vie – qui lui aurait obligatoirement inventé des circonstances atténuantes et relâché dans la nature au bout de quelques années pour qu’il soit en mesure de recommencer avec encore plus d’énergie. La lâcheté est partout et l’horreur s’empare de tout en transformant les peuples et les vaches en coupables permanents. Halte aux faux-semblants des pouvoirs pseudo-démocratiques ou dictatoriaux - deux copier-coller que personne ne veut voir -. Cherchons le héros – Siegfried ou Ahmed – et donnons-lui le pouvoir. Je ne sais pas s’il fera mieux, mais je suis sûr qu’il lui sera impossible de faire plus mal. Je pense aussi à Vladimir Perline qui a compris comme personne l’origine et la fondamentale de l’être humain. Les peuples pourraient enfin s’ébattre dans la volupté des longs silences qui magnifient, entre les appogiatures et les retards, le génie universel du grand Mozart qui a la chance de ne pas être un héros. Mozart à la tête du monde ferait pâlir de honte tous les pantins vermoulus dirigeants et ils en crèveraient sur le champ. La naissance du monde, n’est-elle pas un beau projet ?

dimanche 14 décembre 2025

le puits au fond du jardin • propos d’un dimanche matin…

 

Genevard, la ministre qui détruit l’outil de travail des agriculteurs, des cultivateurs, des éleveurs, la ministre qui  jette à la rue les travailleurs de la terre, dans la boue de leurs chemins de campagnes qui sillonnent les quelques vallées qui ont courageusement résisté au béton, aux cages à poules et à lapins, aux routes à toutes puissances, aux circulations de bus où s’entassent des hommes et des femmes transpirants, collés peau à peau, Genevard, disais-je, est venu, ce matin, sur Europe 1, noyer le poisson. Entrer en politique, c’est se consacrer à la poissonnerie, qui maintient au fond de la bassine remplie d’eau, le poisson qui n’a pas voulu se rendre dans la poêle à frire. Comme les poissonnières – voir Panot, l’exemple parfait – elle a hurlé sur la criée qu’elle n’a rien fait et qu’elle n’est coupable en rien du suicide des habitants des fermes. Adieu veaux, vaches, cochons, que l’on assassine dès qu’ils ont une petite grippe. Le monde d’aujourd’hui, taré par excellence, a su magnifier les armes pour tuer les humains, créer les robots pour le grand remplacement, mais ne sais toujours pas soigner le petit bobo qui advient quand une grosse vache est piquée par un minuscule moustique. Oui, l’homme a inventé le vaccin pour enrichir les riches qui les fabriquent et qui les vendent avec une marge gigantesque de profits, mais aussi pour remplir les EHPAD où l’on exécute légalement les vieux déjà mort en y entrant. Les femmes ne font plus d’enfants et elles ont bien raison, parce qu’un enfant c’est un intru qui dérange nos conforts et qui, avant d’être adolescent, égorge dans la rue, les vieux que les mouroirs ont oublié dans leurs répertoires. Si l’on veut que le nombre de naissances rattrape le nombre de décès, boutons les vaccins hors du système solaire et laissons la mort satisfaire ses besoins. Pour en terminer avec Genevard et pour clore ma réflexion d’un dimanche matin, je vous renvoie à Vladimir Perline qui transmettait à ses élèves que la vie ne peut être vécue qu’entre et derrière les notes de la musique de Rachmaninov, en fusion avec les poèmes de Pouchkine. Un programme à mille lieux de celui de nos écoles qui fabriquent des ânes qui ont perdu leurs grandes oreilles.

 

Pour les curieux…

https://poupelon.blogspot.com/2025/12/vladimir-perline.html

samedi 13 décembre 2025

le puits au fond du jardin • florine…

 

 

 

Et ça recommence ! Et ça se reproduit, comme le dirait l’image surgissante dans l’écran blanc, du « géant, homme du feu », à l’Agent spécial du FBI, Dale Cooper. La grippe, la bronchiolite et les pets des vaches se sont installés dans une partie de la Savoie et les savants pitoyables insachants du pourvoir ont décrété la remise des masques avant le confinement, alors que la population de moins de 68 ans, réquisitionnée, avait déjà remis l’uniforme et les galoches pour partir sur les routes de l’Europe, la baïonnette érigée hors de la braguette pour pénétrer joyeusement Moscou et son tsar qui suit sur sa télé le film des militaires français en guenilles qui s’approchent du Bolchoï où se divertit le peuple sur les rives du lac des cygnes, ce qui le fait encore plus rire que les aventures hilarantes de Laurel et Hardy. Quelle rigolade ! Quelle poilade dirait ma grand-mère Florine qui est morte dans son étable, entourée de sa chèvre et de sa vache normande, dans la paille et bien au chaud, dans des temps forts anciens. Elle ne parlait pas beaucoup. Elle regardait et me regardait. Son regard était un livre ouvert, d’autant qu’il était noir, comme l’est le fond du puits qu’elle a construit de ses propres mains, au fond de mon jardin qui était le sien. Son silence racontait toutes les histoires qu’elle a vécues et qu’elle aurait voulu m’épargner. Peut-être ne s’avait-elle pas que la vie est un éternel recommencement qui a oublié le précédent. Elle avait vu le massacre des vaches, les psychopathes en liberté, les mensonges officialisés, les vagins déconstruits en pénis, VoulzySouchon érigé en génie, Molière et Shakespeare cloués sur la croix de l’enfant de l’ange et de la vierge, Laura qui vit morte mais vivante. C’est peut-être elle, ma grand-mère Florine, qui aurait dû être portée à l’Élysée. Elle n’aurait pas voulu. Elle a toujours préféré rester assise dans son fauteuil en osier et regarder jouer ses petits-enfants.         

vendredi 12 décembre 2025

le puits au fond du jardin • folies imperturbables…



 

Peut-on dire que la folie s’est emparée de l’homme quand on sait qu’elle l’habite depuis le premier instant où il est devenu homme ? Un célèbre psychanalyste n’a-t-il pas, toute sa vie, enseigné à ses étudiants que la terre est peuplée de psychopathes indécrottables ? Et ce ne sont pas ceux qui l’ont fréquenté à Lyon II qui me contrediront. Le secrétaire général de l’Otan, un ignorant incapable inutile, en est un, un grand et grave, lui qui vient d’annoncer le retour imminent des deux dernières guerres, en beaucoup plus sanglant, parce que certains rechignent à terrasser Poutine, le dernier grand tsar de Russie, successeur du terrible Ivan le terrible et du célèbre enchanté Boris Godounov qui est mort dans la folie devant le spectre d’un enfant mort. Et tout ce petit monde qui se croit chef, tout ce petit monde qui se caresse et s’embrasse devant les caméras télés, s’empresse de sauter sur l’occasion pour enclencher les bourrages de crâne et décérébrer les peuples afin de les soumettre aux pires de leurs exigences : confinements puis exécutions. Ils ont déjà commencé avec Covid puis maintenant avec les vaches qu’ils abattent comme des chiens parce qu’elle ont attrapé la grippe saisonnière qui passerait de suite avec deux ou trois Doliprane et un verre d’eau-de-vie bu cul-sec. Vieux et encore plus vieux que mon image dans le miroir, dans ma fureur inaltérable, je ris de ce monde de lâches, de peureux, de menteurs, de voyous, de crânes peuplés de vides sidéraux. Je ris de tous ces imbéciles qui décident et appliquent des lois, surtout celles contraires aux psychismes du genre humain, qui dominent sans cesse les mouvements que le pauvre mourant déjà mort tenterait de faire pour montrer au monde qu’il est mort parce qu’il est né dans ce monde de vivants-morts qui n’est même pas à la hauteur des morts-vivants des séries télés. « Au secours Freud ! » je hurlerais bien. Mais à quoi bon. L’HOMME, le seul que je connaisse, a été bouté de notre société parce qu’un dégénéré a fait courir le bruit qu’il avait eu un enfant flanqué d’une trompe avec un labrador handicapé...    

 

jeudi 11 décembre 2025

le puits au fond du jardin • l’image dans l’image…

 



 

Le gauchiasse Sud Ouest décrète : « L’épidémie de grippe et bronchiolite s’étend partout en France, dans toutes les classes d’âge ». Nous sommes foutus. La mort vient nous chercher.  Obéissons aveuglément à l’enfant, implorons la protection du sage qui aura su si sagement et si humblement hissé la France au premier rang des nations, humiliant ainsi les piètres États Unis, Chine et Russie, une France glorieuse et en pleine lumière qui aura vu – miracle ou mirage – dix-huit députés de droite forts en gueule, copuler ardemment avec les socialos de Faure et d’Hollande pour voter le budget de la honte et du psychopathe de l’Élysée. Yaël, depuis, chante de partout, à qui veut bien l’entendre, que l’Assemblée qu’elle préside a atteint les somment de la démocratie et qu’elle ne cesse d’en pleurer de joie. L’ignorance et la mauvaise foi de Yaël feraient frémir de honte un éléphant sans trompe amoureux d’un cul-de-jatte. Y a-t-il au moins un Français, un seul, qui sache où l’on va et dans quel trou noir, on a précipité la France ? Dans le noir et le silence, elle ne voit plus et n’entend plus. Alors pourquoi était-ce pareil quand elle était dans la lumière ? Je sais et je sais trop ce qui me rend suspect. Les pays, les peuples ne sont que des images psychiques déformées. La seule réalité de l’humanité est l’homme, l’homme qui n’est qu’image et qui crée d’autres images selon les désirs puérils de son inconscient qu’il est incapable de maitriser. Je n’existe que parce que je vois mon image créer des images de fiction. L’autre n’existe pas plus que je n’existe moi-même. Tout n’est que pensées ballotées par les vents d’été et les tempêtes sibériennes. Vivre vivant, c'est en prendre conscience et respecter à la lettre le mode d’emploi de ce monde mouvant. Pour cela et pour tenter d’exister, il faut impérativement pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Tout n’est qu’affaire d’images qui se succèdent, se déchirent et se redessinent au gré des jouissances infinies des jouissances des psychismes.

mercredi 10 décembre 2025

vu à travers le tube • dans la porcherie…

 

Je garderai le silence au sujet de l’affaire Macron Brigitte. Il n’y a qu’un sujet. Un seul. Quatre terroristes femelles ont pénétré une salle de spectacle pour crier des insanités. Elles n’ont pas été arrêtées pour être châtiées : trois mois de douches glacées toutes les dix minutes, nues et en public. Affaire classée.

 

L’Assemblée, composée de cerveaux restreints que le peuple a désignés en glissant dans la fente de la boite à coucou de Johnny, un morceau de papier cul usagé, est une mosaïque de pensées déconfites, incapable d’honorer sa fonction qui est de permettre au peuple de sortir de sa torpeur et de réaliser ses espérances. À l’exception des deux extrêmes, de la gauche à la droite, ils ont tous voté, la peur au ventre, leur maintenance sur les sièges de l’hémicycle et l’impossibilité – immédiate – de retourner devant le peuple pour être rejugés. Ils savent tous que leurs électeurs les méprisent devant leur lâcheté affichée. Personne ne leur a demandé de voter leur survie, mais de voter un budget suffisamment clair pour réduire des impôts, réduire la dette et couper drastiquement dans les dépenses de l’État. Ils ont voté l’augmentation des impôts, de la dette et des dépenses d'un état nu sous le joug d'Ubu. Rotailleau a été trahi par les siens. J’attends sa démission. Patience, ce n’est qu’une péripétie. Ne faut-il pas toujours attendre d’être au fond de la piscine pour donner le coup de pied salvateur qui nous ramènera à l’air libre ?  Cependant, je ne crois pas ces gens capables d’un tel effort. C’est bien à la noyade irrémédiable qu’ils nous conduisent. L’inertie est notre destin, c’est pourquoi je ne rajoute rien.

 

« Nous sommes pour la fin de la viande, nous sommes pour la fin de la chasse, nous sommes pour une réduction du temps de travail à quinze heures, nous sommes pour le congé parental de cinq ans » a dit Aymeric Caron qui a dit aussi – et c’est le plus tordant : « Tuer un cochon pour le manger, c'est un acte barbare ! ». C’est pourquoi chez « Révolution Écologique pour le Vivant », on mange le cochon tout vivant.  

mardi 9 décembre 2025

vu à travers le tube • le rang de la dame…

 

Rennes se voit projetée dans les temps anciens des westerns où les bandits sortaient leurs pistolets dans les saloons, dévalisaient les banques, et repartaient sur leurs coursiers en laissant les rues jonchées de cadavres. La grande différence avec cette époque révolue ( ?) c’est qu’aujourd’hui, dans les villes et les campagnes, il n’y a plus de shérifs, leur bureau restant désespérément vacant, comme il n’y a plus de juges qui passent de ville en ville pour pendre les mauvais garçons. A Rennes, disais-je, fusillades sur fusillades en peu de temps et sous l’œil des passants qui filment les scènes comme John Ford au cinéma. Un mort dans une voiture et plus probablement. Et pendant ce temps l’enfant, baïonnette en avant, assiège Moscou pour défendre son clown-clone Zelensky, et laisse son Premier ministre soudoyer la gauchiasse qui souille notre pays pour faire voter des lois qui tranchent encore les chairs vives du citoyen anéanti. Trump a tellement raison ! L’Europe, et la France en particulier, sont devenues le néant avant de devenir islamiste-charia compatible. Les listes pour les élections municipales ont commencé à poindre leur nez. Il y en a déjà des dizaines qui proposent l’obligation du voile pour la gent féminine et la séparation des sexes dans les lieux publiques – piscines en particulier -, et vous verrez qu’elles vont vaincre, grâce aux multiples morceaux de papier cul glissés dans la fente des boites à cocus, sous l’œil terrifiant du sinistre despote Mélenchon. Et, cerise sur la tarte aux cerises de Dougie, la maman épousée de l’enfant a été prise la main dans le sac avec un mot ordurier dans sa bouche qu’elle aurait pu éviter de prononcer si la police avait pendu sur le champ les quatre vermines féminines venues troubler le spectacle. À la télé, on l’appelle « la première dame ». Pourquoi ? Y en aurait-il une seconde, une troisième, et même une dernière ? J’aimerais que ceux qui maitrisent la lumière m'éclairassent.