« Tu ne peux pas être faible face à Président Poutine, ce n'est pas toi, ce n'est pas ta marque de fabrique ! ». Ce ne sont pas les paroles de la maman de Trump à son fils, mais celle d’un enfant psychopathe qui crie au monde la proximité affective qu’il s’imagine entretenir avec le Président des États Unis, qui n’a rien à foutre de ce petit minable de pacotille qui ne sait que bomber le torse qu’il n’a pas et que les Français, stupides et idiots, ont désigné pour Roi. Comment a-t-il pu oser délirer plus d’une heure, en direct sur le réseau Tic Toc, qui s’adresse aux enfants de 6 mois à 3 ans ? Et c’est ce marmot, qui, si on ne l’arrête pas avant, va entrainer la France dans une guerre définitive qui fera regretter amèrement les deux dernières. On est bien dans un monde d’abrutis et le moteur tourne si vite que quoi qu’on fasse, il ne pourra qu’éclater avec un boum que personne n’ose imaginer.
Ils sont bien pires qu’abrutis les terroristes du Hamas qui n’ont jamais cessé de faire la loi avec les complicités des Émirs d’ici et là, et qui arriveront à leur fin : d’abord rayer Israël de la carte, puis l’Europe toute entière, et ce n’est pas l’enfant puérile qui nous gouverne qui va pouvoir s’y opposer. L’échange des otages avec des prisonniers est un scandale que jamais aucun parti n’aurait dû accepter, d’autant qu’il s’agit maintenant de cadavres en place de morts-vivants. Et même les cadavres sont humiliés quand on fourvoie leur identité. Qui va mettre fin à ce massacre, le plus ignoble qu’ait connu l’humanité. Je ne vois personne, parce que depuis la mort de Jean-Sébastien Bach, de Sigmund Freud et de David Lynch, je n’ai plus jamais rencontré un homme. Si la pensée – comme la Démocratie – avait été inventée, le monde entier pousserait la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. On est si loin des réalités, qu’il faut mieux ne plus y penser. Mais pour ma part, je ne céderai jamais : Freud où la mort éternelle sur cette terre dépourvue de toutes traces de vie. Il y avait bien trois filles nues et rieuses dans le Rhin, mais c’était avant, dans des temps lointains où la clarté n’était visible que par quelques initiés.