Macron et sa bande de rigolos – pas vraiment
rigolos – sont partis pour Kiev, rejoindre, en train de nuit, l’homme qu’il
tripote à souhait, pour organiser le guerre Europe-Russie que l’enfant, au
psychisme inabouti, de l’Élysée, attend depuis si longtemps. Le guerrier des
temps absurdes et modernes aura-t-il son cheval blanc sous ses fesses et son
tricorne sur la tête quand un drone fera exploser ses chairs alors qu’il n’a
toujours pas caché sa main cajoleuse sous la boutonnière de son veston ?
Et oui, c’est bien le petit Napoléon qui s’est cassé les dents sous les remparts
de Moscou et qui est rentré en France à pied, la tête baissée et l’ambition
nauséabonde fracassée. Être en guerre au moment de la présidentielle, n’est-ce
pas le seul moyen de rester au pouvoir, bien au chaud, sous les jupes de maman
épousée, dont certains disent – des mauvaises langues – que maman est papa.
Le rodéo urbain, à Évian, a envoyé un
sapeur-pompier à l’hôpital. Il est gravement blessé et je ne sais pas où en est
son état vital en ce moment. Rotailleau a encore dénoncé la racaille et les
terroristes juvéniles qui ont fait de l’assassinat un métier. De cette affaire,
France Inter-Info a seulement souligné les propos violents et dangereux du
ministre de l’Intérieur. S’il y a racailles et terroristes juvéniles, ce n’est
pas la faute des réseaux sociaux, mais bien de ces radios de mécréants qui
plonge le monde, avec Mélenchon, dans les ténèbres sordides de l’islamisme qui,
tous les jours, marque un point. Le criminel est un jeune alcoolique drogué à
qui on vient de retirer le permis de conduire. La logique est que l’individu
soit mis en prison pour vingt ou trente ans, sans jugement et dans une cellule
sans fenêtre, sans matelas, sans télé, sans portable, sans ordinateur, avec
une minuscule ouverture qui laisse entrer les gros rats sales des égouts
voisins. Mais non, à l’image du président, on est dans une époque de cajoleries
intensives. D’autres imbéciles diront qu’on
est humain.
De la même trempe ou de la même veine, dans
le Lot, 10 000 tarés se sont installés, depuis plusieurs jours, sur un terrain
agricole pour une « rave party » interdite – INTERDITE -. La drogue,
l’alcool et le sexe – ce qui va de pair -, triomphent nuit et jour, au nez et à
la barbe de 200 policiers qui fournissent aux délinquants les soins et la
sécurité. Voilà à quoi on utilise la police, alors que son travail est de les
embarquer et de les conduire dans les prisons identiques à celle du chapitre
précédent. Ce laxisme, ce foutage de gueule, ne peut avoir que des répercutions,
et la première est la plus logique : pourquoi obéir aux lois, puisque la
désobéissance y est désormais inscrite. Parler, se rendre sur les lieux des
crimes, rendre des hommages, ne sert à rien, sinon à occuper les journées des
ministres. Et si tous ces minables la fermaient une fois pour toutes, et
agissaient impitoyablement ? Une bonne partie des déchets humanoïdes
disparaîtraient, les voies se libéreraient, et chacun pourrait déployer ses
ailes en fonction de ses capacités. Ce n’est qu’un rêve. La réhabilitation de
Freud n’est pas pour demain.