mercredi 30 avril 2025

vu à travers le tube • et l’on perd les enfants perdus…

 Une radio d’État informe, ce matin, que la vieille IA nommée à la tête de l’État, remettait en chantier – ces derniers jours – la nocive nocivité des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans, et que cette fois, elle prenait le taureau par les cornes pour que la jeunesse oisive n’ait plus accès à ces lieux de perditions, dès la fin de la semaine. Waouh ! Quelle prouesse ! Des tas d’organismes « indépendants » vont être créés dans la journée, pour surveiller, régulariser, vérifier, sanctionner, punir et mettre au piquet, tous contrevenants de moins de 15 ans qui auront réussi à franchir le triple mur de béton qui les sépare de ces chambres noires où l’on rencontre les fantômes des images que nous nous sommes dessinées pour tenter de survivre aux insupportables misères des pantins qui trainent leurs bouts de bois dans les sentiers qui ne mènent nulle part. Et cette scandaleuse IA - sous les ordres d’un enfant iaien psychopathe et d’un vieux radoteur qui n’a pas pris de cours de théâtre - dépense encore des milliards pour un coup de glaive ridicule dans les eaux du Rhin. Moi, j’ai la solution pour les quelques rares enfants qui ont des parents : actionner le contrôle parental, si on tolère vraiment le smartphone et l’ordinateur à la maison. Pour les autres, les innombrables orphelins, je ne peux rien. De toutes les manières, ils sont déjà perdus et seul Freud, dont ils ignorent même le nom, aurait pu. Mais voilà…   

mardi 29 avril 2025

vu à travers le tube • dans le noir…

 Pour cacher leur incompétence, pour cacher leur ignorance, pour affirmer leur détermination idéologique, les politiques, les journalistes, les chroniqueurs, les commentateurs, mettent la cause de la dégénérescence de l’homme et du monde qu’il a construit sur le compte des réseaux sociaux, qui sont probablement un des lieux les plus conventionnels et innocents au sein des immondices que l’on rencontre à chaque croisée des chemins. Ce ne sont pas les réseaux sociaux qui ont mis en scène le court-métrage qui va concourir à Cannes : « La Femme qui mêlait ses larmes aux larmes de Mélenchon ». Le film sera sûrement récompensé, puisqu’il est très mauvais, les acteurs n’ayant apparemment pas fréquenté le cours Simon. Je rappelle que les smartphones, les tablettes, les ordinateurs ne sont pas faits pour les mineurs (moins de 18 ans), et que s’ils utilisent ces objets de perversion, les parents ont toujours les moyens d’actionner les réglages prévus pour les enfants. Il est vrai que les parents sont devenus invisibles depuis des décennies et qu’il n’y a toujours pas de loi pour interdire aux couples non diplômés dans la discipline, de procréer. La perversion est toujours au centre du monde et elle ne fait que s’accentuer. Les enfants et les couteaux de boucher sont devenus des histoires d’amour suivies avec passion par les peuples figés. Il y a beaucoup de cafards et de puces dans les matelas des prisons, certes, mais il y a aussi beaucoup de smartphones, de télés, de drogues et de sexes, ce qui compense largement. L’enfant de l’Élysée, qui aura ruiné la France, n’est toujours pas inquiété. Il vaque à ses occupations de richissime oisif, alors qu’il devrait être en prison, entassé dans un cachot tout noir avec Mélenchon, Borne et Panot, mais aussi Rousseau – pas lui, elle - et Bompard, et aussi avec Attal, un jeune traitre sale. À l’école, on devrait étudier. À la maison on devrait apprendre la vie. Rien n’est respecté. Tout est fourvoyé. Les colonnes du temple s’effondrent et Samson détourne le regard. Et pour ceux qui ont encore quelques décennies devant eux, la conversion à l’Islam devient impérative et l’achat de rouleaux de tissus noirs pour emprisonner les corps des jeunes filles et des dames, est à prévoir dans l’urgence. Avec la charia, on ne plaisante pas.  

lundi 28 avril 2025

le puits au fond du jardin • l’ombre de l’arbre…


 


 

Et voilà que Mélenchon et ses chiennes et ses chiens ont passé leur après-midi à conspuer ceux qui n’ont pas rejoint leur veau d’or et leurs orgies. Et je n’évoque même pas les crasses infâmes que sont la patronne des psychopathes éco-pathologiques et celles de la CGT, sorties directement des orgiaques chiens, chiennes et veaux. Et je n’évoque même pas – non plus – le public de ses illusionnistes qui vont mettre ces criminelles au pouvoir, très bientôt, et sous les lois des dictatures de la charia ou d’autres encore plus explosives. Cessez de voir ce que vous voyez et qui n’est pas, comme la bonté et la beauté de l’homme. Vous êtes inscrits, depuis l’éternité, dans un cercle infernal qui vous interdit tous discernements et toutes différentiations, des éléments qui ne peuvent être acquis que si on vous les a appris. Et pour apprendre, il faut avoir conscience de son ignorance, ce qui n’est pas le cas des êtres vivants qui vivent morts en étant persuadés d’être vivants. Avoir conscience, c'est reconnaître être mené par le bout du nez par son inconscient et se bouger le cul pour tenter de régler cet abus de pouvoir dans les délais les plus courts possibles. Vous n’avez même pas conscience d’être humiliés et châtiés en permanence par un enfant psychopathe qui sera remplacé par d’autres enfants au psychisme inexistant. Macron est le reflet de Mélenchon qui est le reflet de Macron, qui sont tous deux les reflets de la cécité des peuples et de leurs bourreaux. Les derniers fastes des Ramsès I ou II ou III ou IV, à Rome, il y a quelques jours, la photo des deux hommes assis face à face, à deux pas du mort, les papouilles macro-zelinskiennes qu’on nous inflige chaque jour, le duel Wauquier-Rotailleau et toutes les autres simagrées indécentes, ne sont que des tâches mouvantes sur un écran blanc, qui n’existent que par la magie d’une projection de cinéma. Le réel est ailleurs. Si voulez entrer dans la forêt pour caresser l’éléphant, il vous suffit d’abattre l’arbre qui la cache, jalousement.       

dimanche 27 avril 2025

le puits au fonds du jardin • pile et face, les différences…

 



 

Le psychisme crée l’image et chacun la module et la formule différemment. L’arbre ne sera jamais arbre, mais, visions multiples caricaturées par les multitudes de formes de pensées. Aucune image n’est semblable et aucune reflète la vérité qui dans l’absolue ne peut exister. Personne ne voit la même chose et le monde est dans la confusion des sentiments puisque tous gestes ou pensées passent par l’affect qui triture et déforme l’image projetée. C’est pourquoi il faut toujours penser qu’il faut toujours penser autrement et souvent dans le sens qui se cache, bien enfui dans la mémoire du temps. Nous ne sommes pas nous. Les autres ne sont que l’image que nous projetons en nous. La réalité n'est nulle part. Elle n’est que le résultat de l’image : l’illusion. Cette nuit, j’étais en voyage avec une foule d’inconnus. On a mangé au bord des routes, assis à des tables nappées de blanc, des steaks et des harengs huilés et huileux, à cinq heures trente du matin. Puis, on a recommencé, plus loin, vers six heures trente. On a même vu un singe – ou un léopard – à quatre bras et deux têtes, qui marchait sur ses pattes arrière, comme le fond dans notre monde les hommes et les femmes qui ont perdu l’habitude de marcher comme l’animal. Mon psychisme m’a parlé. Il a chuchoté à mon oreille comment ajuster les pièces du puzzle pour composer l'image, dont le sujet n’a aucun rapport avec mon étrange histoire. Rappelez-vous une autre histoire, celle du couteau qui croyait être un pénis – voir mon puits d’hier -. Hier, justement, dans les écrans, on a vu Trump, Zelinski, un cercueil en balade et un agglomérat géant d’espèces à deux pattes. Ce n’était qu’une image dans un écran et c’était peu important. Ce qui est important, c’est que l’homme réinvente le courant qui ne passe plus entre son conscient et son inconscient. Quand le circuit fonctionnera, il verra qu’il voit autrement et qu’il ne peut pas accepter de vivre au centre d’un monde disjoncté, sans références, sans fondement. Qu’y a-t-il derrière les images ? Se poser la question, c'est déjà faire un pas de géant dans cette petite humanité supposée. Il ne reste plus qu’à continuer.  

samedi 26 avril 2025

le puits au fond du jardin • autour de l’ado au couteau…

 



 

18h21. Cnews commente encore – et en dépits du bon sens – le meurtre de Nantes. Tout y est dit sauf l'analyse sérieuse, qui devrait prévaloir et dominer tous ces débats pervers, indigestes et inutiles. L’ado avait une relation fusionnelle avec sa mère. Au sein de son lycée, il ne parlait qu’à une seule personne, une jeune étudiante dont on ignore les sentiments qu’il éprouvait pour elle… mais on peut s’en douter. Son psychisme inabouti et fracassé n’a pas fait les différences. L’envi de la prendre et de la posséder éternellement s’est soudain manifester violemment. Le couteau a fait office de pénis et il s’est déchainé sur celle dont il ne voulait plus se séparer.  Il était soigné, dit sa mère aveugle et ignorante. Il consultait des animateurs de MJC, ce qui ne parait pas très sérieux. La dangerosité de l’ado était évidente, et personne n’a eu l’idée de l’envoyer chez Freud. Je rappelle au monde entier que la psychanalyse n’a jamais été conçue pour les chiens, ni pour les plantes vertes.

vu à travers le tube • les autres et les chanceux…

 

L’Algérie demande à 12 agents de l’ambassade de France de quitter son territoire sous quarante-huit heures. Paris se dit prêt à riposter. Et voilà l’erreur. Paris n’a pas à dire, mais à fermer l’ambassade d’Algérie et à renvoyer tout son beau monde dans son pays sous les vingt-quatre heures. Ce n’est que l’opération terminée que Paris pourra dire : « J’ai fermé l’ambassade d’Algérie et renvoyé tout son beau monde dans son pays. » Ce que veulent faire nos autorités doit être annoncé qu’une fois les opérations terminées, ce qui évitent de parler pour ne rien dire et d’attirer les foudres des naïfs qui persistent à croire les misères psychiques qui les gouvernent.  C’est comme ce Macron bébé de l’Élysée qui ne cesse de dire qu’il va déclarer la guerre à la grande Russie d’Ivan le Terrible. Pourquoi ne pas attendre qu’il ait gagné la guerre, pendu le bel Yvan et posé son cul dans la loge tsarienne du Bolchoï pour se réjouir de la 564321ème mort de Boris, une des gloires de l’histoire de la Russie ? Il n’y aurait plus de doute. Cette fois, et pour la première fois, l’enfant n’aurait pas menti.  Mais on n’en est pas là. Paris dit par-ci, Paris dit par là, et je me demande comment. Paris n’a pas de langue ni de cordes vocales. Je ne vois pas comment il pourrait dire. Paris ce n’est que le métro où l’on bourre les bestiaux et les palaces et restaurants où vivent les gros rats noirs méchants d’Hidalgo. Ce n’est pas grand-chose Paris. En vrai, ce n’est rien, sinon une verrue qui contamine la France et l’Europe, à l’aube de leur mort. Y avez-vous entendu le chant pitoyable d’Alagna-Don Carlos au Châtelet ou vu, à Bastille, le baiser de Mimi et Rodolphe étouffés dans leur casque d’astronaute ? Non ? Vous faites vraiment partie des chanceux.

vendredi 25 avril 2025

le puits au fond du jardin • à force d’être dans le noir de son fond, on n’y voit plus rien…


 


 

Avez-vous remarqué, qu’à propos de l’affaire de Nantes, le monde entier a commenté la séquence terrifiante et que pas une seule cervelle n’a donné son avis sur les parents de l’enfant aux couteaux de bouchers qui a poignardé à mort une élève de l’établissement d’enseignement et blessé gravement trois autres élèves ? Et bien, moi, je vous le donne, mon avis. Plus que le misérable psychopathe, ce sont ses parents qui sont coupables, coupables de lâcheté et de manquements graves à leurs responsabilités. Ils ont laissé leur rejeton prendre le mauvais chemin et l’ont abandonné à ses pulsions. Ils doivent être jugés et doivent payer leurs crimes. Ce drame, habituel et presque journalier, va se reproduire incessamment et à de nombreuses reprises quoiqu’en disent les robots parleurs du pouvoir à terre. Ils n’ont pas de solutions pour réparer les crimes, qu’eux aussi ont commis pendant des décennies, pour ne pas dire pendant des siècles. Il y a pourtant une solution aux déjections purulentes de tout ce monde de psychopathes qui va de l’enfant de Nantes à Macron, Zelinski, Poutine, Trump, Mélenchon, et tous les autres, la seule, qui pourtant est rejetée par tout le monde parce que le monde est inabouti et ignorant : c’est Freud et sa thérapie psychanalytique. Chaque être de 7 à 107 ans devrait fréquenter son cabinet pour chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Sans la construction du lien entre le conscient et l’inconscient, l’homme n’est qu’animal empaillé dont la seule capacité est de faire belle et bonne figure sur un coin de cheminée. Tous les restes sont des vastes blagues pour abrutis. Et c’est pour cela que le monde choisi les restes, puisqu’il n’est qu’un amas d’abrutis, mais aussi de crétins avachis dans ses propres excréments. Réveillez-vous pauvres gens. Il n’y a rien d’aussi humiliant que la mort dans le déshonneur.

 

A force de vivre dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, plus personne ne voit et fort nombreux sont ceux qui ne comprennent plus rien. Avancer vers la lumière, c’est prendre soin de soi et ne se fier qu’à soi lorsqu’on a acquis la faculté de penser par soi-même.   

jeudi 24 avril 2025

vu à travers le tube • coucou ! c’est moi, la charia…

 

La délinquance de la justice française poursuit inexorablement son chemin sans que le moindre agent de la circulation lui casse son bâton blanc sur son crâne chauve et vide. Le lycée musulman lillois Averroès, jugé non en règle avec les principes républicains et laïques en vigueur dans notre pays, avait vu son contrat de financements publics avec l’État, résilié. Le tribunal administratif a donné tort à la vache à lait et le contrevenant a retrouvé tous ses sous.  L’islam et sa charia viennent encore de faire un grand pas et les terroristes des gauches mélenchonistes et autres se réjouissent.  Hier soir, ils ont dansé nus sur les tables de la buvette de la mosquée lilloise, en chantant faux le célèbre chant révolutionnaire : « On les aura ! On les aura ! » La descente aux enfers de la France ne pourra être ralentie que si on se pose vraiment la question sur les dérives de la laïcité et de l’État de droit qui paralysent toutes réformes des institutions et font avancer à grands pas ceux qui veulent marcher sur l’Élysée pour y installer leur dictature, celle déjà en place étant trop douce à leurs yeux.

mercredi 23 avril 2025

vu à travers le tube • petits amusements…

 

La délégation des terroristes gauchistes islamistes français qui devait se rendre en Israël s’est vu interdire l’accès du pays en raison de leur soutien à l'Hamas. Alors que ce n’est que justice, les pauvres choux se sentent humiliés et remuent ciel et terre pour franchir la Méditerranée. Et personne ne leur vient en aide, ni les passeurs de migrants, ni Moïse pour qui, il serait facile de fendre les eaux pour leur laisser l’étroit passage qui les conduirait sur l’autre rive où les armées de Netanyahou les attendent, mitraillettes au poing. Cette marmite de sinistres imbéciles espérait tromper le peuple français encore une fois, et pas la dernière. Ces malotrus violents et ignorants, ne souhaitaient pas rendre hommage aux réfugiés palestiniens, mais seulement venir dénigrer, sur leur propre terre, le peuple israélien. Et voilà qu’ils comptent faire appel à l’enfant de l’Élysée, celui qu’ils ont dans le collimateur et qu’ils souhaitent voir guillotiner. Patience ! L’enfant va redissoudre l’assemblée dès cet automne. Vrai ou faux ? C’est ce qui se dit ce matin dans les rédactions parisiennes. Moi, je crois qu’il le fera, parce que, comme tous les enfants, il aime jouer et dissoudre, c’est amusant. Surtout, que cela fera avancer la dictature islamiste que Mélenchon nous prépare ardemment, d’autant qu’elle sera accompagnée de la charia qui voile les femmes et les renvoie à leur condition d’esclaves. Oui, l’enfant a raison. Tout cela est vraiment amusant.  

mardi 22 avril 2025

le puits au fond du jardin • des pantins et des moutons…

 



 

Je retiendrai de François, le pape qui mobilise toutes les radios et les télés parce qu’il a choisi de quitter la vie, son « non » implacable à l’avortement et à l‘euthanasie. On ne peut lui reprocher le respect des lois de sa religion dont il est le représentant. Son dieu n’a-t-il pas dit « tu ne tueras point » ? Avorter, quel qu’en soit le moment, n’est-ce pas supprimer une vie ? Légaliser l’euthanasie, n’est-ce pas se débarrasser légalement d’un être inutile, de vider les EHPAD et de libérer des lits à l’hôpital ? La vie était vie quand la médecine ne pratiquait que la saignée. Depuis qu’elle se mêle de notre santé, la médecine repousse la mort et créée le déséquilibre entre les générations. Les vieux ne meurent plus. Les jeunes ne naissent plus. Une société de mourant ne peut que mourir. Et si on retournait à la maison en laissant faire la nature ? La mort et la vie sont intimement liées. L’une est le reflet de l’autre qui ne peut être que le reflet de l’une. Depuis la création des mondes, la vie reste inaboutie. Le temps de l’adulte n’est jamais atteint, sauf rares, très rares, exceptions – Freud, Mozart, Molière, Lynch – et ne reste que l’enfant qui ne sait jouer qu’aux soldats de plomb en s’imaginant gagner ses défaites. L’illusion perverse reste maître et même les yeux écarquillés n’y voient que du feu. Freud a pourtant tout expliqué. Mais rien n’y fait. Quelques ignorants ont dit qu’il fallait le jeter à la poubelle. Et le monde suit. C’est bien un problème de moutons qui entraîne les pantins à ficelles vers l’inexorable fin.

lundi 21 avril 2025

le puits au fond du jardin • freud et boulez…

 



 

L’Académie du Festival de Lucerne fut les années heureuses où les jeunes musiciens talentueux, soucieux de toujours mieux maitriser les éléments sonores qui les accompagneront toute leur vie, venaient voir, écouter et tenter le voyage mystérieux et infini que Pierre Boulez, le mythe, leur offrait chaque année, avec une simplicité et une clarté qui ouvrent les portes des fondamentales évidentes qui conduisent le monde et dont peu ont la connaissance. Ici, les rythmes impossibles, les sonorités déconcertantes, prennent l’allure d’une comptine que chantonnait les civilisations antiques à leurs enfants qui étaient alors des enfants sages. L’Académie, c’est la confrontation d’un vieillard d’un autre siècle et d’une jeunesse qui a une passion pour colonne vertébrale. Pierre Boulez le dit lui-même : « Ils sont formidables, mais la rencontre n’est pas simple et la confidence est difficile. Ils sont fragiles parce qu’ils n’osent pas. Ils n’osent pas me poser les bonnes questions, de peur que ma réponse détruise leur édifice, alors que jamais je n’autoriserai la moindre destruction. Ils sont avides de savoir, mais leur manque d’audace les paralyse et ce n’est que prudemment qu’ils consentent à entrer dans le jeu que je leur propose : la liberté d’être et d’agir. C’est pourquoi, je les retrouve ici, à Lucerne, chaque année, et chaque année, je les sens pénétrer le cercle des hommes libres, d’une manière de plus en plus accentuée. Que ce soient mes œuvres, Stravinski ou Stockhausen, ils entrent dans les moindres recoins, y dénichent la note qui s’est effacée ou celle qui a trop vibrée et je me contente de leur dire et de leur monter que la musique, quelque soit sont origine, n’est pas une démonstration bruyamment publicitaire, mais l’action de lever un voile sur une émotion mystérieuse et discrète qui sort de notre intime pour rencontrer l’autre et faire un bout de chemin avec lui, la main dans la main. »  Pierre Boulez aura mis le doigt sur le problème actuel qu’est l’incompréhension entre les générations, qui se détériore à grande vitesse, d’autant que les générations sont de plus en plus rapprochées et qu’il n’est pas rare qu’elles aillent du grand-père aux arrières petits-enfants. Écouter et regarder ce moment privilégier, le décortiquer et en comprendre tous les sens, permettrait sans doute de jeter au rebut les monstres inconsistants de la politique, du journalisme et de la chronique. Penser autrement est le secret du rebondissement de l’homme qui n’a jamais su penser, donc vivre. Freud doit être heureux de voir qu’il a un successeur digne de sa pensée. S’il a su analyser magistralement les comportements des psychismes, Boulez a su analyser, non moins magistralement, les composantes des masses sonores, et l’œuvre des deux hommes restera à tout jamais dans l’histoire de l’humanité.

dimanche 20 avril 2025

le puits au fond du jardin • la danse macabre des pantins…

 



 

L’enfant aux pouvoirs illégitimes et exorbitants – par deux fois, ses fans, psychopathes comme leur maître, n’ont pas dépassé les 10 à 11% -, a ruiné la France. Ayant l’intention de la dé-ruiner, je ne sais pas pourquoi, il a décidé de maltraiter les retraités parce que ce sont les seuls qui n’ont plus la force de se défendre en lui balançant leur poing dans sa sale gueule. Dans peu de temps ma retraite va baisser et je ne vais plus pouvoir payer mon loyer, ni mon abonnement à Orange, ce qui veut dire plus d’internet, plus de téléphone, plus de télé. À la rue, je serai bien obligé, si je ne veux pas mourir de faim et de froid, d’intégrer un EHPAD, prison moyenâgeuse où les vieux sont traités en esclaves et meurent dans leur pipi et leur caca. Je refuse le supplice de la dégradation par le sadisme d’un tiers. Aussi, je ferai autrement. J’ai plus d’un tour dans mon sac.

 

Quand je serai mort, je revisiterai toute ma vie et je ne pourrais regretter l’endroit d’où je viens où je n’ai connu que des pantins tirés par des ficelles, aussi bien dans la rue que chez mon Leclerc où j’allais prendre mon café, mais aussi à l’opéra où j’ai vu les mêmes pantins dans la salle et sur la scène, quand j’allais voir et écouter Tristan, Radamès, Mimi ou Marie de Wozzeck. Mais j’en ai vu, aussi, des tonnes au cinéma où les ficelles les plus grosses étaient celles des pitoyables Delon ou Belmondo que le public des pantins ovationnait jusqu’à briser les planches vermoulues qu’il prenait pour ses os. Heureusement, très longtemps après ma naissance, j’ai croisé un être en chair et en os qui ressemblait à cette jeune fille qui vivaient dans une forêt avec des nains. Elle était toute blanche comme la neige qui est tombée hier matin. C’est avec son image collée sur ma poitrine que je vivrai mon éternité que les pantins ignorants ne peuvent savoir qu’elle n'est que repos et douceur infinie.

samedi 19 avril 2025

vu à travers le tube • mensonges et crimes…

 Alors que Trump menace de passer à autre chose que la lecture des aventures intimes de Volodymyr et Emmanuel, et que le dit Emmanuel invite les chercheurs du monde entier à migrer en France ce grand pays, selon l’enfant psychopathe, où la recherche est une priorité, l'innovation une culture, la science un horizon sans limite – waouh ! -, le western est entré dans les saloons de Rennes, Grenoble, Marseille, et autres, où les John Wayne se multiplient comme les petits pains au chocolat de l’enfant né d’une vierge et d’un ange à ailes, et même les Wayne en herbe – ceux de 10 à 15 ans – qui s’attaquent aux piscines municipales. Les 10-11 ans ont pris le relai des gangsters chevronnés dans la force de l’âge, et terrorisent davantage que leurs ainés. Et les responsables de la force publique de venir matin et soir à la télé pour déclarer solennellement, en jurant sur la tête de leur maman : « Nous ne tolérerons jamais la violence et les auteurs d’actes délictueux, seront arrêtés et châtiés d’une manière exemplaire ! » Ce qui curieux, c’est que les mamans et papas de ces voyous en herbe, sont toujours en liberté et personne ne propose de les jeter dans les cachots noirs ou les gros rats aux dents aiguisées attendent avec impatience de gouter leurs chairs dodues et bien appétissantes. Comme quoi l’élu est un sacré menteur et que voter est le crime le plus odieux.    

vendredi 18 avril 2025

vu à travers le tube • un monstre d’un autre temps…

 RFI prétend que c’est le chaos aux États-Unis parce que Trump a révoqué des milliers de visas d’étudiants étrangers, et 20 Minutes prétend qu’Harvard, la grande université wokiste, est injustement harcelée par le même Trump, déjà évoqué en ouverture de ce tube. La presse de gauche – de toutes les gauches – est vraiment une ignominie. Elle se vend – se prostitue – par la force de ses fake-news et de son pouvoir hypnotique comme le célèbre Édouard Abramovich alias « Eisenheim » dans le film ‘L’Illusionniste » de Neil Burger. Les gauches falsifient les cerveaux des immenses majorités qui marchent sur place en se nourrissant de la sueur de leurs humiliations. La France d’aujourd’hui, c’est la lâcheté du peuple terrassé par l’enfant psychopathe qui occupe l’Élysée. Comment est-il possible qu’un mandat d’arrêt n’ait pas été lancé contre la présidente de l’Université Lyon 2, qui a condamné le professeur courageux – un héros – qui est rentré chez lui lorsque des voyous encagoulés ont pénétré sa classe et l’ont menacé parce qu’il n’avait pas hurlé : « Vive le Hamas ! » ? Et devant ce drame inexplicable et d’une extrême gravité, on entend que le silence. Et ce qui est encore plus pitoyable, c’est que l’enfant inachevé ait confié l’Éducation à la vieille Borne, une image de monstres d’un autre temps, tous petits et tous ridés.   

jeudi 17 avril 2025

vu à travers le tube • une chose et une autre chose…

 

La bonne nouvelle du jour – la seule depuis 7 ou 8 ans – c’est la sortie de prison de Palmade – humoriste comédien ou mauvais comédien sans humour, que je n’apprécie pas, flanqué de Laroque ou Robin, la pire merde de la profession -, un malade n’ayant rien à faire en prison. Les prisons sont faites pour les Macron, Hollande, Mélenchon, Bompard, KéKé ou Panot et les crapauds et crevettes qui meublent les innombrables cercles qui les entourent. Je ne devrais pas parler des prisons puisqu’en France il n’y en pas. Il n’y a que des hôtels 4 étoiles avec piscines et spas, s.p.a., secte de protection des ânes.

 

Vivement l’arrivée de la trumperie, ici. La parité sera renvoyée dans les coins sombres de l’histoire. Une place, un poste, ça se gagne à la sueur de son front, par le mérite, et non par le sexe, que ce soit le masculin ou que ce soit le féminin. Oui, je n’oublie rien. Il n’y a bien que deux sexes et il serait indispensable de l’écrire dans la constitution.

mardi 15 avril 2025

le puits au fond du jardin • misère…

 



 

La dette abyssale de la France doit être remboursée par ceux qui l’ont faite et non par les Français qui y sont totalement étrangers. Les coupables, voleurs et tricheurs, sont les élus des municipalités, des conseils départementaux et régionaux, les parlementaires, les ministres et les présidents de la dites République pseudo-démocratique française. Ils ont dépensé sans compter. Qu’ils payent de leur propre poche, maintenant. Et ce n’est pas en déremboursant les appareils auditifs et dentaires, en supprimant les transports sanitaires, en construisant des prisons en papier mâché, en accueillant au son des clairons les hordes sauvages des voisins islamistes et africains, en baissant le niveau plus bas que terre de l’Éducation dû à l’ignorance des enseignants, en supprimant les trains non surbondés et en doublant de prix de l’horodateur, que la dette va diminuer. Ces imbéciles malhonnêtes doivent s’attaquer aux tricheurs de toutes espèces et particulièrement à ceux qui connaissent les moyens de détourner l’argent des autres ou d’en gagner sans travailler. Le monde de l’informatique est favorable aux tricheurs, qui, sans masques ni armes, peuvent dévaliser les banques les plus sécurisées, en quelques secondes et sans prendre le moindre risque. La réduction de la dette commence par l’éducation parentale qui est de plus grand désastre du moment avec l’ignorance indécrottable du citoyen, incapable de distinguer la porte qui ouvre sur le chemin de la connaissance. Macron, Napoléon ou Charles V, c’est kifkif. Ça ne vaut rien et ça ne sert à rien. L’homme utile, le seul, c’est Freud, celui qui est capable d’ouvrir vos yeux et de déboucher vos oreilles. Celui qui vous fera trouver votre miroir, celui qui vous montrera comment vous y regarder et vous y reconnaître, celui qui vous permettra de le traverser. Freud ou rien. Je suis désolé que vous ayez choisi le rien. Personne ne peut plus rien pour vous. Vous avez choisi la misère. Assumez !          

lundi 14 avril 2025

le puits au fonf du jardin • c’est raté…

 



 

C’est horrible la guerre en Ukraine. C’est horrible et même Trump le dit. Si cette guerre était si horrible, il y a bien longtemps qu’elle ne serait plus. Mais si elle n’était plus, à quoi Zelenski occuperait-il son temps ? Et puis, le but d’une guerre, n’est-ce pas d’être horrible ? Avez-vous déjà vu des guerres qui ne soient pas horribles ? Et, bien que le monde entier le sache, il ne cesse de se faire la guerre depuis qu’il est monde et les guerres ne cesseront que lorsqu’il n’y aura plus un seul être vivant.  L’homme ne supporte pas l’homme et ne l’a jamais supporté. C’est ainsi et personne ne peut rien y faire, sauf Freud que le monde rejette en raison de la profonde ignorance crasse de ses habitants. Alors, vous le monde, cessez de geindre et acceptez que les femmes soient violées et que vous soyez terrassé par les armes de ceux que vous terrassez. Et ne venez pas me dire que si une voix, une seule, s’élevait violemment contre ce massacre perpétuel, la paix ne pourrait pas s’installer sur cette terre déglinguée. Mais, alors, comment feriez-vous, pour satisfaire vos bas instincts ? Les innombrables jeux vidéo, où l’on joue à tuer, sont bien l’image de votre plaisir conscient ou inconscient. L’homme n’est qu’une bête sauvage avide de sang. Je suis étonné que vous ne le sachiez pas. Les guerres, comme les meurtres, ne vont pas cesser. Bien au contraire, ils vont s’intensifier jusqu’au boum final. Et pourtant, Freud était là, dans son cabinet, prêt à vous écouter pour vous aider à changer le monde. C’est raté !

dimanche 13 avril 2025

le puits au fond du jardin • freud en place du rien…


 


 

Peu de gens dans la rue pour défendre l’État de droit. L’État de droit, c’est comme l’indépendance de la Justice, ça mérite une sérieuse révision. Mais, pire que les institutions, ce qui devrait être revu de fond en comble, c’est le fonctionnement de la pensée de l’abruti qu’est l’homme, en revisitant scrupuleusement le cordon qui lie son conscient à son inconscient, cordon qui n’est jamais arrivé à fonctionner, à jouer son rôle de modérateur, rôle indispensable à l’équilibre psychique de l’humain concerné. On est un monde de psychopathes, a dit très justement un célèbre psychanalyste, disciple inconditionnel de Sigmund Freud. La folie ambiante qui règle toutes nos horloges laisse les pantins au bout des ficelles, complètement indifférents. Leur indigne ignorance les empêche de réaliser que la ficelle est usée et que lorsqu’elle va casser, le bois vermoulu de leur corps va se briser. Ils seront morts sans savoir qu’ils auraient pu réaliser leurs rêves s’ils avaient su que vivre, c’est seulement remplir le vide du crâne qui lui sert de tête. Les pantins à ficelles n’auront connu que le vide intérieur à l’intérieur du vide de la galaxie. Les guerres incessantes, les violences politiques, les rivalités humaines, les injures entre sexes, les sexes déviés, les ruées sur les autoroutes, les vacances épuisantes, les trains en retard ou en grève, la femme coupable qui ne cesse de pondre la marmaille qui n’a rien demandé, l’illusion qui cache les vérités, l’adulte sans maturité, font de l’existence un gloubi-boulga ou l’individu nait mort-noyé. Il n’y a aucune existence dans cette existence et le monde n’est qu’un semblant d’ombres dans l’écran blanc du cinéma. Il est dommage que personne ne ressente le besoin de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. Oui, il est dommage que l’homme préfère s’agiter dans sa propre merde plutôt que de tenter de rejoindre les grands espaces californiens ou ceux où les vaches paissent et rotent dans les prés, en regardant les trains, quand Sud-rail les laisse passer.

samedi 12 avril 2025

le puits au fond du jardin • loup, où es-tu ?

 



 

Une joggeuse a encore disparue et toutes les radios et télés de maudire cette saloperie d’homme qui s’en prend à des femmes innocentes qui vont transpirer dans les coins sombres et reculés des forêts, à la recherche du loup pour le plaisir de le braver.  Je sais, la femme est libre d’aller où elle veut, de faire ce qu’elle veut, de dire ce qu’elle veut, bref, libre de montrer au monde qu’elle est libre et qu’elle a vaincu la liberté de l’homme qui a toujours été l’imbécile de service qui se laisse entrainer dans les phantasmes de Sade – un philosophe du XVIIIe siècle – et qui ne sait comment s’en sortir. Les femmes adeptes du jogging devraient toujours courir à deux. Ce serait mieux. Mais que dis-je là ? La femme est un être fort et invincible et n’a pas besoin de mes conseils pour faire face aux aléas de ce monde en détresse qui croule sans cesse dans le noir du fond de mon puits, et qui pourtant, cessera sa chute suite aux bombes atomiques que les chefs abrutis vont déclencher, ou suite à l’invasion des barbares islamiques qui vont contraindre les femmes à disparaître sous le voile et contraindre les hommes à supplier Allah. Je suis peut-être un peu trop pessimiste. La joggeuse est peut-être tout simplement partie avec son amant ou sa maîtresse, ou les deux. Peut-être aussi a-t-elle voulu disparaître pour ne plus subir la connerie des pantins qui vivent sur cette terre ? Comment savoir ? L’homme – la femme, idem – est imprévisible. Son immense ignorance peut le conduire sur tous les chemins, même ceux qui débouchent sur l’enfer de Méphisto où les diablotins brulent les corps vivants des humains. De fait, ce fait divers n’est qu’un fait divers parmi les innombrables – et beaucoup plus – faits divers. Et l’homme, qui, comme l’enfant de l’Élysée, n’est qu’un tas d’os et de chairs non aboutis, ne peut rien n’y faire. Pour cela, il faudrait qu’il atteigne le stade adulte, aboutissement du psychisme, chose rarement rencontrée. Freud attend toujours. La salle d’attente de son cabinet reste désespérément vide.     

vu à travers le tube • le vide remplit les vides…

 

Aujourd’hui, c’est la journée du vinyle, journée que je trouve plus intéressante que la journée de la femme qui ne pourra être acceptable que lorsqu’il y aura la journée de l’homme, mais aussi la journée de la plante verte en pot. Ce matin, Europe 1 en a fait tout un plat indigeste. Je cite : Agnès a entassé ses vieux vinyles dans un vieux carton en attendant le passage du camion-poubelle ; Josiane a donné ses vinyles et sa platine à sa fille qui les a vendus sur Ebay ; Martine – celle qui va à la plage – lance une alerte pour trouver un tourne-disque capable de lire ses 78 tours, un trésor qui lui vient de sa grand-mère ; Charlène, qui s’est débarrassé de tous ces CD, a mis un saphir tout neuf et n’écoute plus que ses vinyles, ce qui la rempli de bonheur ; Marguerite, qui écoute beaucoup de musique, a renoncé à toutes les plateformes actuelles pour se tourner sur Europe 1, et le speaker de service de ce matin lui donne raison, car pour lui, c’est sur cette station qu’on entend les plus belles symphonies et les plus beaux opéras – mais aussi les plus belles sonates -, alors que, jusqu’à ce jour, je n’y ai entendu qu’Hanouna.  Quand je vous disais que le monde touche à sa fin ! On a cru à l’apparition de l’homme sur la terre, alors que ce n’était que l’apparition de crétins enfantins qui ont inventé les guerres de religions. Hier, l’horreur monstrueuse du christianisme et de son évangélisation. Aujourd’hui, l’horreur monstrueuse de l’islamisme et de sa charia. Et le cabinet de Freud reste désespérément vide !   

vendredi 11 avril 2025

vu à travers le tube • une corde pour se pendre…

 

La semaine dernière, on a annoncé de début des vacances scolaires. Ce matin, on annonce le début d’autres vacances scolaires. La semaine prochaine, on va annoncer le début d’autres autres vacances scolaires, pour tous ces scolaires qui sortent des vacances de février qui se sont enchainées avec les vacances de Noël. Et, après les vacances scolaires de la semaine prochaine, vont se succéder tous les ponts qui dominent les mois de mai et juin qui précèdent les grandes et longues vacances d’été. Et, quand les scolarisés sont sur les bancs de l’école, donc pas en vacances, ils ne sont pas sur les bancs. Ils sont dans la rue pour se rendre au gymnase et au cinéma. Le cinéma en dessous de mes fenêtres fonctionne 24h/24, rien que pour les enfants des crèches, des maternelles, des CP, des CE, des 6e aux terminales et de l’université qui n’est même pas à 10 kilomètres. Si la nouvelle jeunesse ne sait rien, ce n’est pas parce que les enseignants n’enseignent plus rien, ce n’est parce que les programmes ne sont pas dans l’air du temps, ce n’est pas parce que le chahut est infernal, c’est que les élèves de tous âges n’ont pas le temps d’étudier les soustractions, les conjugaisons et les mots d’Hugo et Rousseau, leur temps étant pris par leurs innombrables trajets entre l’école et le gymnase et l’école et le cinéma. Après tout, ils prennent modèles sur les grands. À part le balayeur des rues, connaissez-vous quelqu’un qui travaille ? Moi, j’ai oublié ce mot depuis la mort de mon grand-père au siècle dernier, un cordier qui fabriquait des cordes, dont beaucoup servaient à se pendre.

jeudi 10 avril 2025

vu à travers le tube • la crasse s’épaissit…

 

Le média « Frontières » a sorti un document sur les méfaits du terroriste Mélenchon. Les vérités exposées n’ont pas plus à la horde de sauvages du tyran qui ont manifesté, avec les socialistes, avec les communistes, avec la CGT, au sein de l’Assemblée nationale, en hurlant des insanités et en barrant le passage aux journalistes accrédités du média. Les gauches purulentes et vomitives françaises ont prouvé qu’elles étaient contre la liberté de la presse et contre la liberté d’expression, ce qui se résume à leur horreur de la liberté tout court. Ceux qui votent pour ces abrutis sont des criminels qui accélèrent l’arrivée de la dictature qui pend au nez de tous les Français, noyés dans leur léthargie. Et surtout, que ces ignorants falots n’oublient pas que la dictature ne viendra pas seule. Elle sera obligatoirement accompagnée de la charia si chère à leur gourou Mélenchon. Et ce qui est triste, c’est la lâcheté de la présidente de l’Assemblée qui s’est contentée d’un communiqué vaseux alors qu’elle aurait dû envoyer tous ces malotrus derrière les barreaux. La descente dans le noir du fond de mon puits se poursuit. La fin n’est plus très loin.

mercredi 9 avril 2025

vue à travers le tube • judy…

La Grande Borne, veut faire voter une loi pour que l’avenir des petits français soit décidé dès la maternelle et par eux-mêmes. Il est vrai qu’il faut en profiter tant que le sujet est encore à l’âge où l’on est capable de penser. Au CP, c’est trop tard. On est déjà entré dans le « trop bien gentil, trop bien correct » si bien français et si bien déprimant que le seul métier d’avenir est bien celui de psy freudien. La folie qui guide le monde ne nous met à l’abri de rien. Regardez Vauquiez qui veut envoyer les OQTF dans une île, à 4500 kilomètres de Maubeuge, mais aussi les fanas de l’opinel et aussi les méchants mâles qui posent leur regard sur les douces femelles. Observez cette loi scélérate sur la fin de vie qui est proposée aux députés de l’hémicycle – même aux salauds de la partie gauche – qui permettra de vider rapidement les EHPAD, d’éliminer sans risques les plus de 65 ans, d’assassiner froidement tous ceux qui auront un méchant rhume ou une forte indigestion. Pensez à ceux qui, obliger de laisser leur vieille 2 chevaux à l’écurie, ne pourront plus aller à la ville acheter leur baguette de pain et leur tranche jambon et le soir devrons rester devant les ignobles scènes de ménages alors qu’ils pourraient aller à l’opéra savourer Mimi en cosmonaute et rire un bon coup ou se flinguer sur place. Je pourrais en rajouter, mais ce serait trahir mon prochain livre qui sort prochainement chez Pathé. Il ne sera en vente que chez Amazon et il vous faudra une boite à lettre normalisée, ce qui est de plus en plus difficile à obtenir, la Poste ayant vendu ses objectifs aux enchères et s’étant reconvertie dans la collection des pots de confitures. Tout est flou autour de moi. Ce que j’écris aussi. Le nouveau monde agonisant aurait-il pris possession de ma pensée fuyante ? Il arrive, parfois, que je m’identifie à la théière fumante de Judy. Comme elle, je suis hors du monde et je boue.