vu à travers le tube • et surgit la vie…

Hier, Classica 19h21, Le chef d’orchestre Teodor Currentzis dirige l’ensemble MusicAeterna avec la violoniste austro-moldave Patricia Kopatchinskaja. Concerto pour violon en mi mineur de Felix Mendelssohn. Voilà presque 80 ans que j’écoute, que je décortique et voilà que je découvre - je connaissais déjà l’incroyable chef - un binôme, un duo fusionnel, des frère et sœur jumeaux, dont les mots - mes mots - ne peuvent décrire le choc, le coup fatal donné aux plus grandes interprétations - qui restent des immenses interprétations - connues à ce jour. Elle virevolte chaque note dans les yeux des musiciens et du chef qui a jeté la baguette pour conduire la phrase et la denteler sur une éblouissante structure fondamentale. Après ça, que voulez-vous, Zelenski et son jeu de dupe avec Poutine, Micron et sa retraite impossible qui lui est déjà acquise, Mélenchien et ses chiots, les femmes qui se laissent battre, les enfants perdus, l’invasion des musulmans, la chute du monde dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin, tous les restes et les restes des restes, JE M’EN FOUS ! J’ai rencontré une fois encore - rare rareté - l’image de la vie que j’ai su m’approprier. La dernière fois, c’était le Ring à Berlin. La fois d’avant, c’était Tristan à Lyon. Trois fulgurantes apparitions de vie en trois ans. Qui peut en dire autant dans ce monde de morts-vivants où ceux qui semblent vivre sont morts depuis longtemps ?      

vu à travers le tube • la vérité…

La vérité : l’Europe a déclaré la guerre à la Russie sans se poser la moindre question. Elle a dit au dangereux psychopathe Zelenski que les armes qu’elle lui envoyait étaient destinées à défendre son pays et non à attaquer son voisin. Aujourd’hui, elle lui refuse ce qu’elle va lui donner demain : les missiles à longues portées. La folie ne s’est pas emparée des hommes. Elle est en eux depuis l’aube des temps. Les guerres n’ont jamais été entre les peuples, mais entre leurs dirigeants. Et si les conflits ne se réglaient qu’entre ceux qui ont le pouvoir. On pourrait organiser un duel à main nue entre le Tsar et le Président corrompu. Et le peuple ne serait que le public acclamant ou sifflant les vaillants combattants. Plus besoin de tanks, de missiles et de bombes atomiques. Plus de destruction des populations. Seulement un gagnant et un perdant. Le gagnant aurait le droit de monter et descendre les Champs-Élysées toute une journée, sous les hourras des foules, et le perdant serait condamné à faire la plonge deux jours durant, chez Bocuse, sous les sarcasmes des clients. C’est comme cela que je vois le monde. Voter pour un musclé n’est pas plus idiot que de voter pour un énarque !

 

Stephan Eicher a dit qu’écouter Bach remettait tous ses neurones en ordre. Hier, Francis Huster a dit que pour sauver l’école et la jeunesse - et la France -, il fallait faire déclamer du Molière deux heures par jour, des classes préparatoires à la terminale. Alors ? Lorsque les conseils sont bons et judicieux, pourquoi se sont-ils pas appliqués ? Aboutir n’est que l’affaire de Freud. Alors pourquoi le laisse-t-on à la cave, dans le noir, avec les rats ? Là est la vérité !  

vu à travers le tube • mars, vénus et lune…

Et je t’arme et je t’arme et je t’arme et voilà que Zelensky croule sous les armes qu’il va utiliser pour exploser Poutine et sa Russie maléfique qui depuis Boris Godounov et Ivan le terrible veulent s’approprier tous les autres mondes où vivent les gentils. Je pourrais tous les citer. La France et son ado boutonneux chatoyant Micron, la Corée du Nord et son bon gros vivant Kim Jong-un, les États Unis et son merveilleux papy Bidon, la Turquie et son légendaire doux caméléon Erdogan, Israël et le joyeux sadique Netanyahou. Et tous les autres ! Et l’explosion définitive qui va libérer l’univers n’est pas pour un jour prochain, mais bien pour demain. Ça me réchauffe le cœur. Si vous n’avez pas écouté Francis Huster ce matin, c’est une faute. Lui, il ne réclame que Molière, Bach, Renoir, Rodin et quelques confrères. Seuls ces pensées élaborées et réalistes peuvent faire tourner la terre, selon Francis. Et, en y ajoutant Freud, je suis entièrement d’accord avec lui. On en est si loin, qu’il faut mieux se résoudre à la conclusion de l’ignorance crade des mondes : boum !

 

Le Haut Conseil à l’égalité entre l’homme et la femme (trop rigolo !) vient de sortir sa brochure, un ramassis de craderies, de poissonneries, de merdiqueries, de saloperies et de tous les mots qu’il faut inventer pour une pareille horreur. Les perpétuelles guerres de religions et de territoires ne suffisant pas au malheur des mondes, voilà qu’on met en place la guerre entre l’homme et la femme parce que les rapports entre les deux sexes différents seraient inégaux. Waouh ! Je ne vois pas comment on peut faire la comparaison. L’un a un bâton. L’une à une caverne. Le but est d’introduire le bâton dans la caverne pour reproduire ce qui se reproduira à l’infini. Et puis, si la femme ne veut pas ouvrir sa caverne, elle peut toujours la fermer à clé et balancer le four à micro-ondes à la tête de celui qui voudrait l’ouvrir de force, à moins qu’elle ait une arme à feu et qu’elle lui explose le bâton comme Poutine va exploser la terre. En attendant, et pour changer de ces balivernes, et si la femme cessait toutes activités - sexuelles et diverses - tant que son salaire ne sera pas égale à celui de l’homme, ce qui est pourtant la chose la plus naturelle du monde. Ce combat est un faux combat. Tant que l’un comme l’autre n’auront pas cherchés, trouvés et traversés leur miroir, tout restera en l’état. Si on lit bien ce rapport destiné à exterminer l’homme, on pourrait penser que l’homme vient de Mars, la femme de Vénus et que le Haut Conseil est tombé de Lune.      

vu à travers le tube • comme hier et avant-hier et les jours suivants… noir, noir, noir… rien que du noir !

La macronnie vacille. Quelques-uns de ses piliers se fatiguent et semblent vouloir changer de chemin. La socialisterie continue sa chamaillerie dans l’au-delà. La mélenchonnerie croule sous ses propres déjections. La bayrouterie n’est toujours pas et reste le rien du rien. La républicainnerie tente à tout prix de survivre en se parjurant. L’écologinisme est tombée si bas qu’elle en est invisible et que seules ses injures tentent de se faire entendre dans le brouhaha. La lepennie reste planquée au garde à vous, en attendant son heure, comme l’étaient mes soldats de plomb sur la table de la cuisine, entre deux navets et trois carottes. Le Roi de France, le même qu’hier, pense à son après et règle ses affaires courantes. Il vient de renouveler son abonnement au 49.3 ainsi que sa vieille maman qui l’a épousé et qui, tous deux, dans le déni le plus abyssal, s’enfonce inexorablement dans le noir d’un futur bien hypothétique. Que reste-t-il ? Que vous reste-t-il ? Puisqu’on n’a pas compris que pour parer à l’ignorance, il est indispensable d’avoir la capacité de se reconnaître dans son miroir et de le traverser dans les deux sens, en permanence et systématiquement, l’avenir n’est qu’une illusion malfaisante qui va terrasser le monde quand elle va s'évaporer. « C’est votre choix ! » dirait la dame qui présentait l’émission et qui n’est toujours pas morte.  

 

Scandaleux et encore scandaleux le retour en France des 15 épouses djihadistes et de leurs 32 enfants. Dans une ou deux décennies, elles seront dans la nature et libres alors qu’elles sont complices de leurs époux et coupables à part entières. Les enfants marqués à vie, après avoir fait les quatre cents coups, seront des inaboutis, dangereux assassins, totalement ingérables.  L’état désastreux et moribond de la France ne doit pas nous suffire puisque nous ne cessons d’importer chaque jour les pires des assassins.

 

Hier, Placido Domingo a encore été accusé de viol ou de quelque chose dans ce genre, par une nana qui s’en est souvenue 30 ou 40 ans après. Sans doute une admiratrice transite qui est allée frapper à la porte de sa chambre d’hôtel pour lui demander l’autorisation de toucher son bâton !

le puits au fond du jardin • #metoo a perdu… chouette !

 

« Le sexisme ne recule pas en France. Au contraire, certaines de ses manifestations les plus violentes s’aggravent et les jeunes générations sont les plus touchées », écrit le HCE qui note que  cinq ans après #MeToo », la « société française reste sexiste dans toutes les sphères » : publique, privée, professionnelle, médiatique… (ouest-frence.fr). Et le sexisme ne reculera pas tant que des imbéciles tarées - genre #MeTooBamanceTonPorc et les multiples associations féminines qui réclament le tranchage du bâton de l’homme - existeront et détruiront le genre humain qui n’est que celui de l’homme qui pénètre et de la femme si reçoit. Et comme il y a mille manières de pénétrer et mille manières de recevoir, ce n’est ni aux politiques, ni aux religions, ni aux associations d’inaboutis, ni à la morale judéo-chrétienne de s’occuper de ces questions, mais à celle qui met l’homme et la femme face à eux-mêmes, celle qui démêle de vrai du faux, celle qui donne les moyens à l’être humain d’acquérir sa liberté sans aucun préjugé : la psychanalyse, la thérapie de Sigmund Freud. Elle seule peut résoudre les problèmes relationnels entre les deux sexes et faire avancer les pensées pour un psychisme construit. Je ne cesse de me répéter et je n’intéresse personne. Peu importe. Je m’en fous. Restez dans votre merde. Votez avec votre papier-cul. Ne voyez-vous donc pas, que tout cela ne marche pas ?         

vu à travers le tube • illusions scellées...

Mais où va-t-on avec les psychismes inaboutis, les psychismes dévoyés, les psychismes déconstruits qui gouvernent le monde

des psychismes inaboutis, des psychismes dévoyés, des psychismes déconstruits ? Pour l’univers entier, c’est comme ça parce que cela a toujours été comme cela et que les autres font comme cela. Les Dieux, les Rois, les religions, les sectes, les sociétés, la morale, la famille, et tout ce que nous pouvons identifier n’ont aucune réalité et ne sont que la projection des images inventées par notre pensée. Nous sommes en permanence au cinéma. Le cinéma a été inventé bien avant la vie et c’est pourquoi la vie n’est que du cinéma. Et comme au cinéma, il y a du bon - rare rareté - et du mauvais - des marmites et des marmites de marmites -. La réalité n’a jamais existé. Elle n’est que le fait de chacun. Et comme chacun a sa propre réalité, ces millions de milliards de millions de réalités qui se côtoient et se pénètrent ne font plus qu’un gloubi-boulga où chacun tente de tirer les marrons du feu. La vie n’est pas la vie. Nous ne sommes pas ce que nous sommes. Après les opinels, les arcs et flèches, les arquebuses, les boulets de canon, le Roi de France et les autres pensionnaires de l’Asile, envoient des chars Leclerc - le rayon est épuisé dans mon magasin - au dangereux fou à lier de l’Ukraine avec ce désir de plus en plus affirmé de déclencher enfin la guerre terminale. Pourquoi pas ? La planète terre sera enfin débarrassée de ses colonisateurs misérables qui, depuis le début des siècles, la mettent à feu et à sang. Je m’en fiche éperdument. Ma vie est finie. Au cours de ses longues années, j’ai appris. Je ne mourrai pas ignorant. Je sais qu’il me reste quelques jours à être parce que je suis. Je suis depuis que j’ai trouvé mon miroir, depuis que je m’y suis regardé, depuis que je m'y suis reconnu, depuis que je l’ai traversé. De mort, je suis passé à vivant

 

vu à travers le tube • une affaire de héros…

En mettant les enfants dans la rue, Mélenchien espère prendre la tête des révoltés qui veulent la tête la Roi de France. Ce sale type, opposant et copier-coller de Micron II, casse toutes les initiatives qui ne sortent pas de son cerveau larvé. Il se veut le Zelensky de la France, autre sale type qui n’en a jamais assez et qui incite le monde à déclencher ses bombes sur la Russie, ce qui pourrait se passer dans peu de temps, Poutine n’est qu’un homme, cette chose sans pensée, qui pourrait bien piquer sa crise à force d’être humilié. Idem du côté des socialos qui ne sont pas. Faure s’ingénie à couler son parti, ce qui est fait depuis longtemps, pour pouvoir roucouler à son aise dans les bras des mélenchiens alliés aux écolos et qui déclareront dans leur nouvelle Constitution qu’un cerisier est une pelle, un escargot une disette, un mâle une éprouvette, une femelle un biceps. Il est fini le temps où Gérard Philipe embrassait langoureusement Micheline Presle sans être dénoncé par la Gestapo des féministes abruties.

 

Après avoir montré le chemin de lumière à Ariane, Abdel, Camille, Damien, Leonora, Inès, Robin, Lydia et Alain, après avoir eu un dernier dialogue - moment d’anthologie - avec Claire, le Docteur Dayan change d’arrondissement pour poursuivre sa mission, celle qu’il s’est choisi, sauver les misérables vies des humains, ces zinhumains qui vivent en étant morts dans l’ignorance la plus abyssale qui soit. Avec lui et ses patients, la psychanalyse a encore triomphé. Le héros n’est pas Billy the Kid, Bonnie and Clyde, Luther King, Davy Crockett, Geronimo, Jess James, Roi Arthur, Robin des Bois, Guillaume Tell, mais bien Siegmund, celui qui se nomme Freud, sans aucun doute le seul humain qui ait compris. Sigmund Freud est l’unique !  

vu à travers le tube • que dire de plus ?

Le PS qui est mort depuis plusieurs décennies vient encore de mourir. Moi qui suis socialiste depuis presque 80 ans, je reste farouchement socialiste et j’en suis d’autant plus fier que je reste le seul, suivant ainsi la maxime de Chateaubriand : « On nait seul, on vit seul, on meurt seul ! » et confirmant les études de Freud qui laissent entendre que le rêveur vit à l’intérieur de son rêve dont les personnages ne sont que lui-même sous l’aspect d’autres personnages qui le façonnent de manière inconsciente. La vérité, cette sacro-sainte vérité qui n’est qu’un leurre et un mensonge plus gros que le bœuf envié par la grenouille, n’est aussi, n’est qu’une représentation, une image envoyée par notre pensée qui ne concerne que celui qui pense et dont l’imagination invente d’autres ectoplasmes, des reflets, des miroirs, des copier-coller déformés, censés tenir compagnie à notre unicité, remplaçant ainsi notre autre autre que nous ne pouvons rencontrer et auquel nous ne pouvons adhérer si nous n’avons pas acquis la capacité de comprendre le chemin dessiné par Freud pour l’équilibre de notre psychisme et son cheminement vers l’authenticité. Ce préambule pour dire simplement que l’homme fait fausse route depuis qu’il a inventé les Dieux et les Rois, les sociétés et les lois, et que sa descente vertigineuse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, commencée il y a des millénaires, touche à sa fin parce que l’être humain n’est qu’un tout petit noyau sans envergure qui veut régler les problèmes du monde alors qu’il est incapable de régler les siens, les siens propres, ses problèmes personnels dont celui fondamental qui est d’accéder à l’âge adulte.

vu à travers le tube • le roi a gagné…

La contestation est nette et sans bavure. Les français ne veulent pas du report de l’âge de la retraite. Mais leur Roi illégitime que la Constitution scélérate a mis au pouvoir, le veut. Ce malotrus malappris et lâche, hier, au moment où la foule envahissait les rues de la France, s’est exilé en Espagne avec onze de ses sous-fifres, d’abord pour montrer son indifférence aux revendications de son peuple, ensuite pour bien enfoncer le clou - de l’étranger - : « La réforme est juste et responsable ! » Le Roi a dit. L’affaire est classée. La réforme aura lieu quoi qu’il arrive. La France a perdu sa gauche et sa droite mais elle a gagné les deux nouveaux camps ennemis : les responsables et les irresponsables. Les premiers se comptent sur les doigts d’une main. Les seconds sont des flopées de marmites géantes. Peu importe. Le Roi décide et les autres la ferme. L’irresponsabilité des français n’est pas de contester l’arrivé d’une loi méprisante, mais d’accepter depuis 1958, la Constitution monarchique et dictatoriale d’un militaire à la retraite qui s’est planqué en Angleterre lors de la dernière guerre. Avoir un Roi en 2023 alors qu’on lui a tranché la tête lors de la Révolution avortée de 1789, est un scandale et une lâcheté indignes de tout être humain. Des milliers et des milliers de siècles après l’avènement de l’homme, nous en sommes toujours là, au point zéro. L’homme n’a toujours pas rencontré l’homme. Il en ignore toujours le mode d’emploi. Ce n’est ni les inaboutis Louis XIV, Napoléon ou De Gaulle qu’il faut apprendre à l’école, mais d’abord et avant tout, celui qui a tout compris et tout expliqué : Sigmund Freud.

 

Références : Marnie (Hitchcock), Twin Peahs Le Retour (Lynch), En Thérapie (Toledano et Nakache).

vu à travers le tube • noir, rien qui du noir…

Le jour tant attendu est arrivé. Tout est noir, encore plus noir que le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. 8h13. Le soleil se lève rayonnant, projetant ses rayons lumineux au travers de mes fenêtres et éclairant le noir impassible et immobile. Que de commentaires insipides pour un fait divers qui est un des derniers avant l’installation des dictatures daechienne ou mélenchienienne ! On trouve de tout dans la marmite : vive la grève ! À bas la grève ! Retraite à 50 ans ! Retraite à 80 ans ! Les travailleurs au pouvoir ! Les patrons à la potence ! Etc… Etc…Etc… On montre du doigt les grévistes qui perturbent nos habitudes et on ne dit rien au Roi de France qui a provoqué, installé et confirmé cette déplorable situation. Le noir de cette journée est le fait d’un seul coupable : le Roi de France, Micron II, que 8% d’idiots ont mis au pouvoir. Alors, au lieu de tout bloquer, ayons le courage de marcher sur les tous les lieux de pouvoirs : les mairies, les conseils généraux et régionaux, les préfectures, les ministères, et avant tout, l’Élysée et restons-y jusqu’à totale satisfaction ou jusqu’à ce que mort s'ensuive. Après la journée noire et d’autres - peut-être - la loi sur la réforme des retraites verra le jour grâce à la trahison du PR ou l’efficacité de l’illégitime 49.3.  Tout ça pour rien. Pour rien. C’est la constitution scélérate du militaire qu’il faut changer. C’est le pouvoir de l’homme sur l’homme qu’il faut abolir. Quand l’homme aura éradiqué son ignorance et aura acquis la connaissance de lui-même, son Roi, son Dieu, son Chef, ce sera lui et seulement lui. Que lui !

le puits au fond du jardin • le roi a dit…

 

 

Demain grève massive ou pas contre le pouvoir du Roi. Les français ne peuvent se passer d’un monarque, mais ne sont pas contents quand celui-ci commande et demande soumission et obéissance. Le devoir d’un Roi, c’est de respecter son pouvoir absolu en commandant, en soumettant et en exécutant les désobéissants. Et si vous n’êtes pas d’accord avec mes mots, relisez la hideuse histoire de la France !

 

La seule autorité au-dessus de vous, c’est vous et rien que vous. L’avez-vous oublié ?

vu à travers le tube • naître ou ne pas naître…

Les cathos, les biens comme il faut, les penseurs sans cerveau, les morts qui vivotent, les vivants qui sont morts, les malades de la soumission, les amoureux qui aiment leur prochain, les charlatans de la morale, les moralistes immoraux, et j’en passe, s’inquiètent de la baisse de la natalité qui va priver la France de cotisants pour la retraite des vieux qui seront très bientôt majoritaires. Il faudrait donc, pour les précités, copuler à la chaîne et à foison pour pondre une marmaille qui n’aura rien à manger, rien à boire, rien à faire de la journée, puisque la tendance actuelle est de briser et jeter sans se préoccuper de construire du solide et du beau. Et comment ne pas voir que mettre au monde un enfant est une responsabilité terrifiante, parce qu’après l’éjection hors du ventre, il reste un travail herculéen à faire pour que le nouveau-né franchisse les étapes qui le mènent au stade adulte qui est le but fondamental de tout être humain. Combien comptons-nous d’adultes dans ce monde d’inaboutis à tous les étages ? À peine moins que moins que rien, parce qu’élever un enfant est un travail - une profession - infiniment plus complexe que boulanger, bistrotier, PDG d’Air France, professeur à la Sorbonne, buteur au PSG, journaliste à la télé, ministre de n’importe quoi et Roi du pays le plus grand du monde. Être mère demande un savoir et une psychologie que l’on ne peut acquérir qu’après des années d’études et qu’après des années d’analyse de soi-même. Rappelez-vous le Docteur Dayan face à Claire sa psychanalyste superviseure quand il évoque le souvenir de ses parents. Le malaise est grand parce qu’ils - ses parents - ne savaient pas et que lui - psychanalyste renommé - avait oublié quelques liens parmi les milliers qui conditionnent ce que nous sommes. S’occuper d’un enfant, ce n’est pas : « Fais ceci, fait cela ! Mange ta soupe si tu veux grandir ! Obéis et tais-toi ! Si tu ne travailles pas à l’école, tu seras un bouseux ! ». S’occuper d’un enfant, c’est l’aimer, le protéger et l’aider à monter l’échelle, marche par marche, en regardant le sommet, sans avoir peur du vide qui grandit sous-lui. Être responsable d’un enfant, c’est le mettre en lien avec les autres liens, ce qui n’est possible que si le guide a appris à mettre en lien son conscient à son inconscient.

 

Ceux qui meurent tombent dans la question et laissent les autres sans réponse...   

vu à travers le tube • 8h30. il neige…

8h30. Il neige. Si ma co-Leclerc ne peut descendre de sa montagne, je suis fait. Pas de café et rien à me mettre sous la dent pour la journée et pour demain et pour toujours peut-être. C’est drôle comme la vie peut changer en un instant. Je me mets en pose attente. Si Lolobrigida - morte hier - a connu un grand succès, moi, je crois que c’est grâce à ses lolos. J’ai relu la liste des films dans lesquels elle a tourné. Il y a du bon - peu - et beaucoup de mauvais. Les français, des prévoyants prévoyant, prépare le jeudi tout noir tant annoncé et tant attendu. Ils dévalisent les stations d’essence, comme ils dévaliseraient une banque, jusqu’à épuisement de la cuve. Moi, j’ai acheté une bougie pour éclairer le noir de la journée contre la réforme des retraites qui n’est en fait qu’une manifestation contre la perversité et le mensonge de l’enfant-Roi de France qui est mené par le bout de son nez par sa vieille maman qu’il a épousée. Si on ne trouve pas son chemin, il faut faire confiance à Freud qui, si on le veut, nous prend par la main pour nous ramener à la maison.  

vu à travers le tube • le temps est compté…

Ils sont trois, classés dans les cinq premiers des plus grandes fortunes du monde. Ils sont payés pour jouer à la ba-balle comme le chat de ma voisine de palier, expert dans la pratique de ce loisir innocent qui ne fait de mal à personne. La différence avec les trois précités, c’est que le chat de ma voisine de palier ne joue pas pour être payé - il ne l’est pas - mais pour s’amuser et surtout amuser ma voisine.  Les trois précités sont plus célèbres que Brigitte Bardot ou Marcel Cerdan ou Enrico Caruso et pourtant, ne sont pas foutus d’envoyer la ba-balle entre deux poteaux. Pour eux et parce qu’ils me font pitié, je propose qu’on élargisse la cage sur toute la largeur du terrain. Et s’ils ont compris que c’est vers l’avant et non vers ’arrière qu’il faut l’envoyer, ce sera peut-être - peut-être - gagné.

 

Le problème de tous les pays du monde et de la France en particulier, c’est le problème de la cohabitation entre l’homme et l’homme. S’est-on déjà demandé si l’homme avait la capacité de comprendre celui qu’il côtoie, proche ou étranger ? S’est-on déjà demandé s’il avait la capacité d’adhérer aux idées de l’autre, de les comprendre et d’en faire sienne ? S’est-on déjà demandé si l’homme avait la capacité de supporter les autres et d’accepter leur promiscuité ? S’est-t-on déjà demandé si l’homme préférait vivre en société ou en ermite ? S’est-on déjà demandé pourquoi l’homme est en difficulté parce que, avant tout, c’est avec lui-même qu’il doit communiquer, donc vivre pour s’épanouir, trouver son authenticité et tenter de comprendre les autres ? S’est-on déjà demandé pourquoi, depuis le début des temps, l’homme passe son temps en guerre, croit en des Dieux illusoires, détruit ce qu’il construit, accepte lâchement de se soumettre à la société qu’il a inventé et qui se comporte en vampire en lui prenant tout son sang ? Peut-on comprendre que l’homme soit si lâche en se cachant derrière un rideau pour désigner son bourreau ? Peut-on accepter la faiblesse chronique du psychisme de l’homme - en raison de sa fabuleuse ignorance - qui lui fait prendre le mauvais chemin, celui rempli d’embûches qui l’emmène dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin ? Comment est-il possible, qu’en 2023 - après les milliers d’années d’existence - l’homme ne sache toujours pas qu’il n’est pas lui et qu’avant d’apprendre à lire, écrire et compter, c’est ce sujet qu’il faut aborder et résoudre dans l’urgence. Le temps est compté !        

vu à travers le tube (bis) • mémoire…

Il est vrai que la réforme des retraites, l’alcoolisme chronique et le penchant pour les femmes de Le Graët, ont effacé la guerre ukraino-russienne, mais les observateurs n'ont jamais manqué de relater la sauvagerie, le sadisme, l’extra-super-mega violence des russes qui massacrent, violent, tuent tout ce qui se présente sur leur parcours ; hommes en armes ou pas, femmes jeunes ou vieilles, animaux de toutes sortes. Bref, l’abomination de la zimhumanité comme jamais la terre n’en avait vu. Les observateurs auraient donc oublié les perpétuelles guerres de religions, le massacre des protestants par les catholiques, les barbarismes de la guerre de Cent ans, l’esclavagisme des africains par les américains, les horreurs de la guerre du Vietnam, les tranchées de la guerre de 14-18, les tortures de la guerre d’Algérie ? Et j’en passe par milliers… La guerre, c'est la guerre. Et si on ne supporte pas la souffrance, on ne fait pas la guerre. Point.