En appendice à ce court texte, n’êtes-vous pas effrayé en regardant votre avenir où s’installent les pires dictatures et où la femme va prendre tous les commandements en obligeant l’homme à pondre les enfants ?
En appendice à ce court texte, n’êtes-vous pas effrayé en regardant votre avenir où s’installent les pires dictatures et où la femme va prendre tous les commandements en obligeant l’homme à pondre les enfants ?
Le spectacle n’est pas bon. Les acteurs ne connaissent pas le contenu de leur texte, le prononcent mal et censurent les dialogues de la pièce. On n’entend que les tirades. Amputé de l’essentiel, personne ne comprend le sens de ce théâtre d’un autre monde dont la pauvreté est affligeante. La cheffe d’orchestre a un sourire sympa malgré son appartenance au côté cour, mais ne casse pas suffisamment de baguettes sur la salle gueule de ces amateurs-figurants. Le Roi de France, caché dans la peau de ses deux godillots-ministres délégués, ne pipe mot aux insultes et rit sous cape en pensant à sa victoire : vous partirez à 64 ans, morts ou morts-vivants quoiqu’il arrive et quoiqu’il se passe, vos « représentants » vous ayant encore - et comme toujours - honteusement trahis. Je suis resté quatre heures pleines au spectacle et ce matin, j’ai la migraine. Et aujourd’hui vous serez dans la rue et - vous le savez très bien - cela ne servira à rien. Rien ne pourra se faire tant que vous ne comprendrez pas qu’il faut briser le logiciel et en créer un autre, un qui soit en phase avec l’être humain. L’or, le pouvoir et le sexe sont les plaies béantes des sociétés. Trouver la pointe de la lance qui guérira la plaie est la seule solution. Mais attention à qui va tenir la lance...
Tristan et Isolde en sont le parfait exemple. C’est le philtre d’antan qui nous fait traverser le miroir en passant de soi à l’autre soi. Lequel est notre soi ? Celui d’avant ? Celui d’après ? Celui qui entre ? Celui qui sort ? Notre discernement nous cache que ce sont les deux en un, que notre soi est deux - et encore bien davantage - et que nous devons passer notre vie à faire notre choix. Entrer dans la conscience - la nôtre - est le but de la vie que jamais personne - toutes générations confondues - n’a atteint pleinement. Et c’est bien là qu’est le sujet. Le seul. Les restes ne sont que des artifices inventés par l’homme pour cacher son échec cuisant. Si ceux que vous mettez au pouvoir - je ne mets personne au pouvoir, je ne vote pas (plus) - étaient conscients qu’ils ne sont pas eux et que leur faille - leur gouffre - ne leur permet pas de décider, déjà, ils seraient conscients de leur fragilité et démissionneraient pour se rendre à l’école. Apprendre. Tout s’apprend, rien n’est inné. Et s’ils revenaient à leur position dominatrice, ils ne domineraient pas parce que rien ne peut être réalisé à coups d’interdictions, à coups de lois, à coups de 49.3. Regarder autour de soi, le plus loin possible, observer le débris qu’est l’homme, répertorier les immondices qui a créés et qui jonchent les sols amputés, asséchés, craquelés et moribonds, devraient suffire à faire comprendre l’erreur. L’homme est ERREUR. La corriger demande une pensée modelée, forgée et sans concession. Wagner avait raison : le crépuscule des dieux et des hommes. Et très bientôt, les ténèbres éternelles.
Borne a lâché des miettes. LR va se prostituer. La loi va passer. Les français l’ont dans le baba.
Beaucoup disent qu’Astérix est un navet. Obélix aussi. Je ne sais pas. Je n’ai pas vu le film. Je ne le verrai pas. Je n’ai jamais lu la bande dessinée, je ne la lirai pas. Je préfère consacrer ma vie aux aventures du Docteur Dayan et à l’enquête de l’agent spécial Dale Cooper, mais aussi aux conflits psychiques qui traversent les pensées de Tristan et de Wotan. Ce n’est pas une question de goût. C’est seulement vivre ma vie. Ne pas vivre mort.
En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Erich_Leinsdorf
1:42 Richard Strauss - Don Juan Op. 20
Staatskapelle Berlin
Erich Leinsdorf - conductor
Beethoven 'Egmont' Overture - Leinsdorf conducts
Richard Wagner, La Walkyrie
Brünnhilde: Birgit Nilsson
Siegmund: Jon Vickers
Hunding: David Ward
Wotan: George London
Sieglinde: Gré Brouwenstijn
Fricka: Rita Gorr
London Symphony Orchestra / Erich Leinsdorf
Autres anniversaires, 4 février 2023
Zelenski croule sous les milliards de dollars, de chars, d’arbalètes, d’opinels, de fusils à lunettes, de bombes à retardement et avancement, dons offerts sans réflexion, sans discernement, à celui qui jouit de voir la vraie guerre nucléaire se déclencher promptement grâce à la ténacité de sa perversité. Zelenski n’est qu’un vulgaire voyou milliardaire qui veut que le monde crève pour lui. Mais il y a pire. En Chine, dans une cour de récréation de maternelle, des petits chinois jouaient au ballon que l’on gonfle et qui montent dans le ciel. L’un deux, s’est échappé et a été entrainé par les vents qui soufflent près du soleil. Puis un autre à suivi. Et voilà qu’ils ont traversé les océans et les mers et se sont retrouvés au-dessus des territoires des cow-boys et des indiens. John Wayne n’étant plus de ce monde, il n’a pu dégainer pour effrayer ce jouet qui n’oserait même pas s’approcher de mon petit poisson rouge qui nage béat, dans son petit verre d’eau. Et voilà que les cow-boys, aussi atteints que Zelenski, déclarent la guerre à la Chine. Chouette ! Quel beau feu d’artifice le crétinisme va nous offrir !
Tous les journaux de toutes les sortes s’en emparent. Canet et Cotillard font l’objet d’une enquête secrète. Depuis qu’ils ont emménagé en Gaule, ce ne serait plus tout à fait comme avant et on se demande vraiment comment c’était avant, seule solution pour tenter de savoir ce qu’il peut bien se passer en ce moment et ce qu’il pourra bien se passer après. Et pendant ce temps, on laisse se concrétiser la nouvelle loi sur les retraites et, plus grave, on ne pipe mot sur l’augmentation faramineuse et scandaleuse de l’électricité dans un pays où le tout électrique est fortement recommandé avant d’être inscrit dans la constitution avec de lourdes peines de prison pour les récalcitrants. En France - je le rappelle -, il est formellement interdit de récalcitrer.
Le Roi cogite, pense son peu de pensées guidées par le petit cercle dans lequel il est enfermé. Son cercle est l’anneau que l’on met au doigt pour se priver de liberté et aussi l’anneau du nain qui donne l’illusion des pouvoirs les plus extravagants. Et s’il sort de son cercle, le Roi se rend dans un cercle miroir - il y en a des flopées -, en voyageant dans un objet volant identifié et surprotégé. D’un espace fermé, il passe à un autre espace fermé grâce à un objet fermé. Jamais le Roi n’a vu, ni entendu, ni touché, les millions de vraies gens qui tournent inlassablement autour de son cercle en cherchant en vain l’entrée, sauf en rêve, soit déformés. Les peuples ont toujours été gouvernés - manipulés et exécutés - par des extra-terrestres lâches et peureux, enfermés dans leur corps, inconscients de leur conscient, dépourvu d’un psychisme abouti, des extra-terrestres qui ignorent qu’il existe une terre planète sur laquelle pleurent des malheureux à qui on ne dit rien parce que savoir, c’est atteindre le pouvoir. Le monde a toujours été ainsi. Il le sera toujours et ce n’est ni les Dieux, ni les Rois qui changeront les choses, parce que ces deux nocivités ne sont que des mirages qui passent en semant le désespoir. Et c’est pour ces raisons que dans peu de temps, les peuples s’agenouilleront puis s’aplatiront en criant dans le désert de leur pensée : « Merci Mon Dieu ! Merci Mon Roi ! » Et ils crèveront heureux.
Borne bornée est à l’écoute des français a-t-elle dit sur la 2. N’êtes-vous pas rassurés et contents, français qui passez votre temps à critiquer votre bon Roi qui fait tout pour votre bonheur ? Hier soir, il s’est glissé dans la vieille peau de sa vieille Première Godilote pour vous dire combien sont bonnes et nécessaires les punitions qu’il vous inflige. Il fait beau, le soleil brille, les oiseaux chantent, les carottes rougissent au royaume de la macronerie.
Ce ne sont sans doute pas les problèmes de la retraite, ceux de l’immigration, ceux des mensonges et dénis des politiques, ceux de la niche des journalistes et chroniqueurs, ceux de la destruction de la santé, ceux de l’échec de Mbappé, ceux du salaire de Ferrari, ceux de la vieillesse alzheimerienne de l’opéra, ceux de l’infantilisme du genre humain, qui posent problèmes. Ce qui pose problème, c’est la vision tronquée du monde qu’on nous présente, ce sont les images maculées qui couvrent l’image de notre pensée pour que nous restions bien sages aux ordres de la morale qui assomme le monde. Ce ne sont pas les ronds-points qu’il faut modifier, ce ne sont pas les chemins qu’il faut goudronner, ce ne sont pas les autoroutes qu’il faut élargir pour laisser passer les camions terroristes, c’est notre psychisme qu’il faut éduquer et pousser sur les sentiers de l’humanité. La société n’est que le groupement des pensées de l’homme. C’est donc à l’homme et exclusivement à lui qu’il faut s’intéresser. Savoir compter, lire et écrire, c’est bien, mais ça devient inutile si on est incapable de comprendre le fonctionnement de notre pensée et d’en maitriser le tableau de bord. Seule la psychanalyse, la thérapie de Freud, peut nous mener sur le chemin de la paix et de la liberté. Tous les restes ne sont que des riens, des inutilités, des insanités, des erreurs que l’ensemble de toutes les vies ne suffira pas à payer.
Hier, j’avais rendez-vous chez mon généraliste - à une heure trente de chez moi, n’ayant pas trouvé plus près - comme je le fais deux fois par an pour assurer la continuité de l'insuline que j’injecte dans mon corps tous les matins depuis vingt ans. C’est lui qui m’avait été recommandé par ma psy freudienne quand je faisais mon analyse et je ne le regrette pas. Mon généraliste fait partie de ceux qui n’en peuvent plus des politiques menées par le Roi de France. Il envisage de se déconventionner pour ne plus avoir à supporter la perversité, l’incompétence et le désordre de la Sécurité Sociale. Il m’a tout simplement annoncé que dans très peu de temps, la quasi-totalité des médecins fermeront leur cabinet ou passeront dans le secteur privé et qu’aucune solution de remplacement est prévue à ce jour. Voilà. C’est tout. Si l’on accumule tous les problèmes que rencontrent les français du bas (99%) je ne peux que me réjouir que certains - si peu - descendent dans la rue pour hurler leur désespoir et je ne peux que regretter qu’ils ne mettent pas le feu à l’Élysée et à ses dépendances, à l’Assemblée et au Sénat et à tous les lieux qui représentent l’autorité du Roi. Impertinence, mensonge et perversité, caractérisent le pouvoir en France et devant cette évidence, comment ne pas comprendre la violence qui s’est emparée de tous. Et cette violence ne sera salutaire que si elle fait table rase de tous les pouvoirs scélérats et ne renouvelle pas le « je tranche la tête du roi et je mets un empereur ».
Le cinéma français va-t-il mourir si vous n’allez pas voir le film de Guillaume Canet « Astérix et Obélix » ? se demande 20minutes.com. Il y a bien longtemps qu’il n’y a plus de cinéma français à part quelques rares films dans l’esprit Dumont, Moll, ou Dupieux - courte liste non exhaustive -, échappés de la mélasse que le peudo-monde du cinéma s’empresse d’oublier. A. et O. ne sont que deux gros cons qui font rire les cerveaux alambiqués dont le psychisme est falsifié. Moi, je ne ris qu’aux films improvisés qui montrent le minois des politiques, du Roi et de sa maman et aux jeux du cirque, violents et sanglants qui se déroulent dans l’enceinte de l’Assemblée nationale. Je ris aussi à la terrible imposture de Praud qui s’amuse à traumatiser ses chroniqueurs qui rougissent comme des enfants qui ont volés des bonbons à la menthe. A. et O., ce ne sont que la représentation de ces pitoyables scènes de ménages en costumes d’époque que l’on peut voir sur la 6. Ces immondices m’obligent à faire le lien avec les rigolos qui disent se battre contre cette énième er scandaleuse réforme des retraites alors que la seule bataille valable, celle qu’il faut absolument gagner pour sauver sa peau, c’est le révolte contre l’existence d’un Roi en reproduisant - définitivement cette fois - l’exécution du dernier de la race, celui qui portait dentelles et bouclettes. La démocratie, c’est le peuple gouverné par le peuple et non le peuple agenouillé devant un enfant et sa maman
Mezzo persiste à programmer « La Bohème » l’opéra joué récemment au Met. C’est affreux. À part le ténor que l’on remarque pour sa nullité, je n’ai même pas remarqué si c’était chanté, le tout croulant sous les froufrous. Que se passe-t-il à l’opéra ? C’est de plus en plus mauvais. Non pas parce qu’il y a souvent des metteurs en scène farfelus, mais parce qu’il n’y a plus d’unité. Chacun joue et chante dans son coin, alors qu’il s’agit d’une aventure collective où la star n’est pas la bienvenue. J’aimerais être directeur d’opéra. Je programmerais tout le répertoire avec une troupe d’artistes inconnus et au salut final, seul le buste du compositeur apparaîtrait sur scène pour être ovationné. Le véritable artiste est celui qui se met au service de créateur.
Âge légal à la retraite, 64 ans affirme et répète Borne qui répète sur sa répétition que cet ordre n’est pas négociable. Réunir le Parlement ne sera donc - comme cela l’est depuis 1958 - qu’une représentation tout en vociférations rigolotes pour distraire les français, français qui sont incapables de démêler le vrai du faux parce qu’ils sont incapables de comprendre le lien entre leur conscient et leur inconscient. Pour eux, Borne a parlé alors que ce n’était que le Roi qui s’est glissé sous sa peau et qui s’est approprié son corps. Une ne lui suffit pas, c’est deux vieilles qu’il lui faut. La vérité : le Roi de France Micron II, adolescent au psychisme inabouti, a dit qu’il avait décidé que son peuple de merde devait travailler jusqu’à 64 ans. Point. Il n’a pas précisé les exceptions ni les nombreuses autres réformes qui interviendraient si la France n’était pas destinée à se disloquer prochainement sous les bombes déclenchées par les psychopathes qui gouvernent les mondes. Tous ! Les peules vont crever par leur faute parce que jamais l’être a su qu’il ne savait rien et que jamais il a été lui. Nous vivons un monde de fantômes où les vivants morts croisent et pénètrent les morts vivants, un monde où la pensée est absente et où le paraître triomphe de partout. Ne pas savoir ou ne pas vouloir pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser est un crime, le crime le plus odieux que l’homme ait pu utiliser depuis l’aube des temps. C’est ce que j’écris tous les jours, en vain, et c’est ce que je continuerai d’écrire jusqu’à mon dernier souffle. J’aurai au moins servi à quelque chose. J’aurai écrit la tranche la plus importante de ma vie, celle qui m’a fait rencontrer Freud, celle qui m’a permis d’échanger avec lui des années durant et de créer le lien entre mon conscient et mon inconscient : naître véritablement. Quoi que je fasse, c’est en connaissance de cause que j’agis. C’est en connaissance de cause que j’écris tous les matins et c’est en connaissance de cause que j’affirme que les mondes ne sont gouvernés que par des trous du cul devant lesquels les peuples ne savent que baisser leur froc.
Et c’est en connaissance de cause que je vais vous laisser pour rendre visite à ma voisine de palier et la saluer avant d’aller prendre mon café chez Leclerc où je noterai les comportements des morts qui saluent des morts, alors qu’ils ne savent même pas qu’ils sont morts.
Ce mercredi, une jeune femme de 19 ans a été violée dans un TER Lyon-Grenoble. J’attends que la France juge et condamne sévèrement le patron de la SNCF pour son incapacité à faire régner l’ordre dans ses trains.
J’en tombe sur le cul. Voilà qu’on nous annonce un nouveau record d’audience pour « Scènes de ménages », alors qu’il est rare de voir autant de perversions et de dégénérations en si peu de temps. À part Emma et Fabien qui restent représentatifs du psychisme humain, ce ne sont que larves sans pensées jouant sur la méchanceté la plus crade. Surtout courrez voir le nouveau couple. Ces deux crétins n’ont même pas honte de passer à la télé. J’attends que la France condamne ce cancer et le fasse disparaître des écrans.