Le cercle macroniste est obsédé par la victoire triomphante que risque de remporter le parti de Marine Le Pen aux élections européennes, alors que c’est lui qui ne cesse de l’abreuver de nouveaux partisans. Les propos tenus par les aboyeurs gesticulants et fébriles du premier meeting de campagne de ce cercle de fanatiques, sont sans objet, insignifiants et insultants pour une grande partie de la population. Si le RN n’existait pas, ces gens-là seraient muets parce qu’incapables de toutes propositions intelligibles. Le vieux Bayrou et le jeune Attal – et pas qu’eux – ont fait dans le creuset du pitoyablement minable. Quant à la jeune dame locomotive, elle n’est qu’une perroquette robotique qui répète sans cesse les propos de l’ado au psychisme inabouti qui a épousé sa maman qui l’a séduit alors qu’il n’avait que 15 ans, ce qui tombe sous le coup de la loi qui s’empresse de fermer les yeux. Il est vrai que la chute de la France, dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où grouillent les pus mortifères de la société, a commencé bien avant, depuis le règne de Mitterrand, quand il a nommé l’innommable Fabius premier Ministre et qu’ils ont trahi tous deux, les socialistes, disparus aujourd’hui. La marche à reculons du pays d’Hugo et de Voltaire est inexorable et je ne vois pas l’ombre d’une pensée qui pourrait l’appareiller. En abreuvant les écrans des vertus de Zelenski, de la glorieuse épopée des JO, du scellement de l’avortement, de la mise au ban du RN, le petit Napoléon amuse la galerie, détourne l’attention, se fout de la gueule du peuple, pour arriver à ses fins : poser son petit cul vermineux sur le trône de l’Europe et se nommer Empereur. Pendant ce temps, les médecins désertent, les médicaments se rarifient, les salaires ne font plus face au coût de la vie, les trains prennent des retards abyssaux, les cartels de la drogue gouvernent des villes entières, l’Éducation nationale pourvoit son manque de professeurs par des éboueurs handicapés, les pitoyables élus de tous bords alignent des mots que personne ne comprend, les femmes stupides et ignorantes émasculent les hommes et se collent leurs zizis sanguinolents au bas de leur ventre. Quand les différences s’estompent, quand l’uniformité triomphe, le crépuscule des hommes et des dieux est tout proche.