vu à travers le tube • freud n’est pas passé par là…

Nos glorieux anciens qui aujourd’hui vivent morts depuis des siècles, n’avaient pas nos problèmes. Quand ils changeaient de roi – toujours après la mort de celui qui était en place, sauf pour ce pauvre serrurier Louis XVI qui aimait beaucoup sa jolie et futée Marie-Antoinette de Sophie de Coppola – c’était dans la continuité. Que ce soit ce roi-ci ou ce roi-là, les français restaient des soumis qui devaient travailler comme des abrutis pour payer les orgies fastueuses des cours royales. Ils restaient pauvres de père en fils, sauf lorsqu’ils avaient la chance de marier leur petite fille à un gros porc con de bourgeois. Aujourd’hui, les changements de pouvoirs sont radicaux et brutaux. Après Hollande, la belle endormie, réveillé il y a trois jours par le prince Mélen-chien qui lui a déclaré sa flamme, un jeune petit arrogant marié à sa maman s’est fait élire par des cerveaux vides de sens, en leur mentant effrontément. Et nous en sommes là aujourd’hui, tous sur le cul entrain de tenter de réaliser ce qui nous arrive devant les invasions barbares et les violences perpétrées par une grande majorité de bambins des crèches et des maternelles qui ne jouent plus à la poupée ni même aux jeux sexuels du papa et de la maman, mais au plantage des lames d’opinels dans les ventres de toutes ces chaires dont la tête ne leur revient pas. En France, on ne parle que de République et de Démocratie, alors que ces deux mots ne sont toujours pas dans les Larousse et Robert, petits et grands, et cette dictature déguisée depuis la révolution ratée de 1789, devient, tout doucement dictature réelle et sans concession. C’est en 2027 que le ciel va tomber sur les têtes et que l’heure viendra de payer. L’épisode Bardelle-Le Pen ou Mélenchon-Panot sera de courte durée. L’épisode Macron est déjà terminé. Et si nous en sommes là, ce n’est pas par la faute des écrans, des réseaux sociaux ou de ce genre de modernités imbéciles, mais seulement parce que les enfants n’ont plus de parents et que devenus parents, ils seront incapables de reconnaitre un enfant. Et moi, je constate, une fois encore, que Freud n’est pas passé par là.

vu à travers le tube • une histoire de crapaud…

Ça bouge du côté de chez l’illustre Assange, abandonné par les traitres et les lâches. Prudence. Attendons.

 

Le débat Attal-Bardella-Bompard est un faux semblant, un trompe-l’œil. Il ne peut rien sortir d’une confrontation entre trois spécimens de races différentes. L’entente entre les races est une illusion malsaine qui entretient les conflits et les guerres et évite le sujet fondamental qui est celui de l’état délabré des psychismes. Si je votais – je ne vote pas (plus) -, je voterais Freud pour la mise en place de sa thérapie psychanalytique, ou Wagner qui a su si bien relater, avec grande précision, la création de l’homme et son fulgurant parcours de voleur parmi les immondices, en compagnie des dieux menteurs, et la fin des deux entités, dans les feux de l’éclair, le fracas du tonnerre, sous les flots submergeant des océans, pour s’achever dans le néant où règne le silence éternel auquel le monde aspire depuis le début des temps.

 

Pour en revenir au faux semblant et au trompe-l’œil, rien que la sale gueule de l’immonde Bompard me contraint à me diriger sur une autre chaîne, TCM Cinéma par exemple, où l’immense Alfred Hitchcock propose la rencontre entre Grace Kelly et Gary Grand, dans « La Main au collet », film d’un humour intelligent et irrésistible de 1955, que j’ai déjà vu un nombre innombrable de fois. C’est tout de même plus sérieux que de coller son nez sur un écran où trois gugus de troisième catégorie, ignorants et sans pénis, vont raconter des salades avariées que même un crapaud dégénéré refuserait d’avaler.   

vu à travers le tube • du grand théâtre au rougeoyant crépuscule…

Que de conneries et d’insanités peut-on entendre en cette période où les esprits décérébrés et pollués se démènent et se surpassent pour tenter d’avoir un siège au Grand Théâtre de L’Hémicycle. Je ne sais pas pourquoi ils ne font pas comme tout le monde : la queue au guichet. Et l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France et que son premier serviteur avait sommé de se taire, a écrit, ce matin, à tous les français pour leur dire qu’il était le seul recours face aux caligulaistes et aux borgiaistes, des monstres venus des enfers de Satan, qui veulent le pouvoir pour les posséder dans la totalité de leur intégrité. Moi aussi, français, je vous adresse ma lettre : que vous votiez pour les primates sauvages où pour le gentil petit enfant, vous vous fourrez le doigt dans l’œil qui ne voit rien – comme l’autre – depuis votre conception dans le ventre de la femme coupable. Moi, je suis voyant et entendant. Je ne vote pas. J’écoute Tristan, j’entends Manon et Mignon et je pense souvent à la lettre que Richard Wagner – un des rares génies de tous les mondes – a écrit aux français, dernièrement, et qui se résume ainsi. Avant de glisser votre papier cul dans l’urne, rendez l’or aux filles nues qui batifolent dans les eaux du Rhin et supporter les conséquences de vos ignorances permanentes et crades : le crépuscule de vos dieux phantasmes, ainsi que celui de votre race infâme, qui jamais n’aura été achevée.

vu à travers le tube • psychanalyse…

Je perds chaque jour une bonne dizaine d’ « amis » facebouquistes qui fuient à la lecture de mes tubes et de mes puits où j’exprime dans la clarté la plus absolue mon soutien indéfectible au Rassemblement National de Bardella, soutien qui se renforce systématiquement chaque fois que j’écoute France Inter, France Infos, BFMTV, le « C’est à vous » de la dinde-bécasse Lemoine et de son copier-coller Cohen. Je ne vote pas Bardella. Je ne vote pas Mélen-chien, je ne vote pas Macron-Attal. Je ne vote pas depuis plus de 40 ans. Avant, je votais socialiste. Le mouvement a disparu. Je suis orphelin et je me pose de sérieuses questions sur mes parents morts et incinéras. La France – qui n’est plus la France – est tombée si bas, que je n’hésite pas à affirmer que les coupables ne peuvent être que ceux qui ont voté et que ceux qui ont encore le culot de voter et qui ne font que précipiter la chute de ce pays, glorieux sous les gaulois. Je suis de près les campagnes électorales. C’est à celui qui parlera le plus fort et qui fustigera le plus ses adversaires ennemis. C’est à celui qui dira le plus de mensonges. C’est à celui qui sera le plus haut placé dans la perversité. Je ne crois pas un seul mot de ce que racontent ces splendides crétins qui bourrent les crânes jusqu’au vomissement. Si voter librement pour ses propres convictions était possible, ça se saurait. Le monde des votants n’a aucune liberté. Il exécute les ordres, surtout ceux venant des fanges qui se rient d’eux. Pour sauver la France, il faut inventer la Démocratie et mettre en pratique, dès l’apparition de l’embryon dans le ventre de la femme coupable, la thérapie du seul homme qui ait inventé quelque chose d’utile : la psychanalyse du grand Sigmund Freud. Alors, le monde changera…   

vu à travers le tube • l’incroyable histoire que raconte isolde…

Notre pseudo république et notre pseudo démocratie ne cessent d’humilier les peuples. Heureux les simples d’esprit que l’on persuade que voter est un acte citoyen et que celui-ci a une chance de cocu de pouvoir choisir son bourreau, son maître absolu. Le vote est déjà une lâcheté par le fait qu’avant de déposer son papier cul dans l’urne, le gugus et la, sont déjà si formatés qu’ils choisissent les ignobles menteries du plus pur et du plus séduisant charlatan. Et puis, l’élection à deux tours est une vertigineuse faille constitutionnelle, puisque le deuxième tour n’est plus qu’un arrangement pervers entre faux-amis et n’est en rien représentatif de la volonté du peuple Et de plus, cette fois-ci, les votants devront voter pour un Premier ministre, ce qui n’est prévu en aucun cas par la loi. Alors, comme je le fais depuis plus de quarante ans, ce dimanche, j’irai à la pêche et le dimanche suivant aussi. Sauf si, comme elle me l’a promis, Isolde vient me chercher pour me conter, une fois encore, son incroyable histoire avec le Chevalier Tristan.      

vu à travers le tube • vous êtes mal barrés…

Pauvres français ! C’est le bordel. C’est l’anarchie. C’est la guerre civile. C’est en votant qu’ils ont provoqué le cataclysme. Le papier cul glissé dans l’urne est une arme plus dangereuse que la bombe atomique. Comment ont-ils pu, par deux fois, voter Macron, un ado au psychisme inabouti qui a épousé sa très vieille maman ? Comment ont-ils pu donner les pleins pouvoirs à des menteurs ignorants et plus ou moins pervers depuis l’avènement de la constitution – la Ve – du militaire à la retraite ? Comment peuvent-ils ériger des statuts de pierre à l’effigie des dictateurs François 1^e, Louis XIV ou Napoléon, alors que Claude Debussy ou Pierre Boulez sont totalement inconnus des habitants des montagnes, des plaines, des villes et des champs ? Le pays des droits de l’homme – pardon, je plaisante ! – est devenu le pays des droits des criminels et des tarés. Hollande et Poutou se sont mariés. Glucksmann a signé le pacte du diable avec les terroristes islamiques. Attal a sommé le Roi de rester dans son lit. L’ère de la copulation jouissante entre la carpe et le lapin est arrivée. Et le sujet vital reste le nez d’un petit fouteux milliardaire sans intérêt ! Quelle honte ! Et, bien pire. Ils sont nombreux à affirmer que l’arrivée de Bardela à Matignon, leur donnera le droit de ne pas respecter la loi. Et, c’est L’Éducation nationale qui l’a affirmé en premier. La France est vraiment peuplée de gros cons submergés par leur crasse imbécilité. Vous êtes vraiment mal barrés. Moi, je m’en fou. J’approche de la fin de ma consumation.    

vu à travers le tube • retomber sur le cul…

Oui, l’abruti de Mélenchien et sa clique de chiottes et de chiots sont coupables d’antisémitisme et poussent les cerveaux vides vers les innombrables formules de crimes, les plus odieux de préférence, comme celui de cette petite fille, violée par des schizophrènes du même âge, et dont les presses ne parlent que de ça. Tant que les condamnations ne seront que verbales, rien ne changera. Il faut entrer dans le chenil, une nuit de pleine lune, et mettre de feu à ce tas d’ordures. Cependant, il me semble que les vrais et authentiques coupables ne sont que les parents des puants rejetons. Qui ont formé, qui ont éduqué, qui ont forgé la pensée, de ces monstres et leurs comportements ? Qui est responsable de la marmaille dont on ne sait même pas pourquoi on l’a pondue ? Qui est responsable de cette jeunesse handicapée qui se meut dans les détritus des cités ? La base, la fondamentale, des comportements ne s’acquièrent qu’à la maison. L’école n’est que le complément, le savoir indispensable pour comprendre les rouages de la société. Oui, à la base, les parents sont les seuls coupables. Ils sont coupables parce qu’ils pondent comme bon leur semble. Ils sont coupables parce qu’ils sont ignorants et que – fait gravissime – ils ne le savent pas. Élever un enfant n’est pas une mince affaire. Pour qu’il trouve son équilibre, il a besoin d’un amour indéfectible doublé d’un guide, une mère – la chair de sa chair – attentive, aimante, imperturbable et intraitable, qui trace les lignes à ne pas franchir et qui jamais, quoi qu’il arrive, ne cède au moindre caprice. C’est l’équilibre des parents qui fait l’équilibre des enfants. C’est pourquoi les parents des voyous-monstres précités doivent être arrêtés, jugés et finir leurs jours dans les cachots de la pseudo-République. Tout le reste n’est que politique et ne sera donc jamais réglé. Votez ! Votez ! Votez ! Vous retomberez toujours – sur le cul – à l’endroit d’où vous avez décollé et souvent un peu ou encore plus bas.

vu à travers le tube • horreurs absolues…

Ce matin, l’horreur absolue, à deux reprises, dans notre pays où les gazouillis des oiseaux enchantent nos vies. 1. A Courbevoie – un village paisible et bien français – une toute petite fille de 12 ans a été violée par trois petits merdeux de 12, 13, et 14 ans. Est-ce imaginable ? Est-ce inimaginable que ces bêtes sauvages finissent leurs jours dans un cachot noir avec pour seule compagnie quelques gros rats gris de Paris ? Est-ce inimaginable que leurs parents soient arrêtés et condamnés, sans jugement, aux travaux forcés à perpétuité jusqu’à ce que mort s'ensuive ? 2. Autre horreur absolue : Mbappé, le bourreau des ballons, le bourreau des cœurs des simples d’esprits, s’est cassé ne nez. Et alors ? Qu’est-ce qu’on en a à foutre ? Les français feraient mieux de se préoccuper de l’invasion des traites et des salauds de la gauche voyou qui risque bien de nous imposer la pire des dictatures. Il est vrai que les français sont des imbéciles heureux dont la réputation de naïveté et de lâcheté a déjà fait dix mille fois le tour du monde.      

vu à travers le tube • sauve qui peut !

Pour moi, qui ait 80 ans, je n’aurais jamais osé imaginer que je connaîtrais pire que les pires des horreurs. Tout d’abord la chute du nez du petit con de Mbappé, qui ne peut se comparer, en aucun cas, au brillant et sachant nez de Cyrano. Et ensuite, cette comédie sans lois ni règles, qui est entrée dans le tragique dont la France ne pourra se remettre. Les guerres d’égos et de psychismes fracassés s’engagent sur tous les fronts. Des crimes de langues stupides et indécentes, elles vont passer rapidement aux crimes de sang. Le misérable enfant au psychisme inabouti qui tète le sein de sa maman qu’il a épousée, aura enfin montré son visage de haine et d’enfant gâté. Il a porté le coup fatal et va devoir le payer. Son châtiment devra être exemplaire, même si l’exemple a toujours été d’une grande inutilité. Une gauche fascinée par le dictateur sanguinaire Hitler-Mélenchien et sa horde de chiottes et de chiots, dont des repris de justices, des frappeurs d’épouses, des kékés ou kékettes où l’on retrouve dans cette marmite d’excréments, un certain Hollande qui n’a aucune honte à trahir encore et encore ce peuple immature de planches sans roulettes. Un centre macronneux-bayrouïste morts depuis mille siècles. À droite, des incompatibles compatibles dans le déni le plus absolu. Toute cette merde désignée par un peuple de marionnettes au long nez pinochiotien qui refuse depuis le début des temps d’apprendre les éléments les plus élémentaires de la connaissance et qui se sera trompé toute sa vie de peuple soumis dans tous ses actes et tous ses phantasmes puérils. Comment cette débile et effrayante histoire va-t-elle finir ? Je ne sais pas et je ne vois pas comment je pourrais le savoir. C’est vraiment triste ce monde où survivent des têtes vides incapables de voir, d’entendre, d’écouter, de regarder, des mécaniques sans rouages, des pantins sans articulations. Et quand je pense que cet imbécile d’homme pense que l’humanité – quel mot bizarre ! – a fait des progrès depuis l’homme-animal. Il est vraiment ignorant ce pauvre taré !        

vu à travers le tube • fin…

Élus, faux-culs ! Tous ! On se vire, on se rallie, on se frappe, on se bisouille, aussi facilement qu’on fait caca dans le bidet. T’as voté pour le farouche taureau, il se métamorphose en agnelet. T’as voté pour la mignonne bergère, elle se transforme en grimaçante sorcière. Tu comprends rien de rien et tu votes quand même. T’es ignorant et tu enseignes. T’es gros connard et tu triomphes dans l’univers. Va te faire foutre.

 

Fin.       

vu à travers le tube (bis) • spectacle désolant…

L’enfant au psychisme inabouti a débité sa tirade. Le spectacle, vu et revu, a commencé en retard. C’était le même qu’en 2017, sauf que le décor était dans le néant, comme l’individu et comme le pays qu’il dirige avec dédain et déni. En sept ans, il a ruiné la France. Comment pourrait-il faire autrement aujourd’hui ? Il a décidé que, dans trois semaines, trois blocs occuperaient l’hémicycle. À gauche et à droite, les extrêmes fascistes et populaces. Au centre, le long fleuve tranquille des grands esprits qui coulera paisiblement au milieu de gentilles gens naïfs comme le petit Jésus sur la paille. Il sera là, au milieu de sa basse-cour, et dirigera son petit monde névrotique à coups de mots bien savants. Le bonheur ne sera pas dans le pré, mais dans le fleuve, à l’image des trois filles nues qui nageaient dans le Rhin pour surveiller l’or de Wotan. La ficelle est de plus en plus grosse. Les cerveaux vides vont-ils encore s’y laisser prendre ? Le spectacle aura encore été mauvais et affligeant. L’enfant s’est adressé à lui et à son phantasme d’être Dieu le père. Il croit être sur un trône alors qu’il n’est qu’au cabinet.    

vu à travers le tube • sur le cul…

La pièce de théâtre n’aura jamais été aussi mauvaise, jamais aussi repoussante. Cette fois, le caprice de l’enfant au psychisme inabouti aura fracassé la France qui n’est qu’au début de sa chute dans le noir du trou au fond de mon puits au fond de mon jardin. Les amis se déchirent. Les ennemis se bisouillent. Le vote – si cher à notre illusoire démocratie – aura été un flop puisque l’ensemble de la classe politique – niveau pitoyable maternelle – le rejette. L’hémicycle ne connaître pas une nouvelle majorité. Il y aura trois blocs de traitres : gauche islamiste et terroriste, centre en réanimation incertaine, droite ensanglantée. Et dans la rue, trois longues années de manifestations journalières pour réclamer le bombardement d'Israël et la mort de Jean-Marie Le Pen, dont le monde se fout et qui a déjà ses trois pieds sous la terre. AHURISSANT ! À VOMIR ! L’avenir est noir comme le noir du fond de mon puits et je m’en réjouis parce que depuis longtemps les français auraient dû anéantir ce jeune roitelet qui a son cul vissé sur le trône de l’Élysée depuis 2017 et qui aura fait plus de mal à la France que François 1^e, Charlemagne, Louis XIV, Napoléon et Robespierre réunis. Et n’oublions pas que la probabilité la plus probable et l’entrée en dictature totalitaire - dès la fin du règne du roi-enfant - du tribun hitlérien, Mélenchien, entouré de ses chiottes et de ses chiots soumis à leur maître. C’est rigolo d’observer cette chute vertigineuse, annoncée il y a bien longtemps et que personne ne voulait admettre, qui maintenant, laisse les ânes et les pantins naïfs et cupides, sur le cul.

 

Bof ! Moi, je vais mettre mes chaussures neuves et me rendre chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier. Belle est la vie ! 

vu à travers le tube • clap de fin…

On me dit que le Premier ministre Attal est porté disparu depuis dimanche soir, 20 heures, et que l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France va annoncer, cet après-midi, qu’il met sa démission dans la balance en cas d’échec de son parti, aux législatives. On me dit aussi que le même enfant, ce même dimanche et à la même heure, apprenant le triomphe du RN, aurait fait un caprice. Il aurait jeté à la figure de sa vieille maman, qu’il a épousée, sa crème de marron-chantilly, et depuis, ferait une dépression. Il doit absolument consulter. Freud est toujours disponible. Et depuis que l’enfant précité a annoncé la dissolution, on était en droit de penser que les candidats aux législatives précipitées se seraient attelés à l’élaboration d’un programme efficace pour sauver le pays agonisant. Et bien non ! Ils n’ont toujours pas tiré la leçon. Ils continuent à s’invectiver et à s'insulter en cherchant les alliances contre-nature qu’ils pourraient bien s’approprier. Et tous, à l’unisson, poursuivent leur guerre insensée et puérile contre le FN qui a bien mérité son succès et la confiance de plus d’un tiers des français. Après des semaines d’injures et de menaces, voilà que cette pauvre gauche incompétente, malhonnête et débile se rabiboche avec les chiottes et chiots terroristes de Mélenchien. L’horreur absolue ! Pauvres français qui avez encore quelques années devant vous, je vous plains. Ce sont les cauchemars qui vont hanter, en permanence, votre fin de vie. Moi, je suis si vieux que je me retire. Plus qu’Intermezzo, Butterfly et Tosca, en fin de semaine, au Deutsche Oper Berlin et Mahler-Rattle à Lucerne, début septembre, et je pourrais enfin partir, loin de cette terre qui n’aura été qu’un champ de guerre et de mépris dans un monde d’abrutis.

vu à travers le tube • pulsion tragique…

Peu importe le résultat des élections. Le plus important, c’est la courte tirade cyranoïdienne de l’enfant au psychisme inachevé qui sert de roi à la France, débarquée toute fraiche à la télé, une heure à peine après les premières estimations, et qui a mis en joie tous les français quand le rejeton leur a dit tout de go : « Français, je vous aime trop pour vous laisser embarquer dans les enfers du vaisseau fantôme Bardella/Le Pen. Je vous offre gracieusement la dissolution de vos députés pour vous donner la chance immense de me donner à nouveau cette majorité dont vous m’avez malencontreusement privé, quand je me suis représenté à vos suffrages après mes cinq premières années que vous avez tant aimées. » J’espère que la caste des français qui n’ont toujours rien compris, ont compris, cette fois. L’enfant au psychisme inabouti ne joue que sur ses instincts, ne joue que ses impulsions, ne jouent que sur ses caprices et ne rêve que des coups d’éclats, comme au cinéma. Il n’est pas un excellant acteur parce qu’en place de jouer, il surjoue. Ces quelques mots de vingt et une heures n’étaient que l’expression de son ignorance et de son immense perversité. Il a joué au casino, tout son fric, toute son imagination déficiente. Lorsque la bille va se poser dans le trou de la machine à roulette, tout risque bien de s’effondrer et de produire le choc final : la mort définitive de la macronie et la disparition provisoire de soin créateur. Les pervers reviennent toujours sur le lieu du crime. Ce sera lui, lui l’enfant qui aura donné tous les pouvoir au RN et encore lui qui aura fracassé la France en mille morceaux.

 

Mais… cela a-t-il tant d’importance quand on voit les presque 10% obtenus par la violence et la haine des chiottes et chiots de Mélenchien ? Méfiance ! Le dictateur LFI est embusqué. Il va surgir d’un moment à l’autre.

le puits au fond du jardin (bis) • encore une mort assurée…

 

 

Ce matin sur Mezzo, Manon Lescaut de Puccini avec Netrebko et son inévitable ténor gueulard de mari. Insupportable ! Lui, est vraiment inaudible. Elle, est tombée dans la routine des belles voix sans expression. Où trouver aujourd’hui un ténor de la trempe des Bergonzi, Gedda, Vanzo, Jerusalem, Del Monaco ? Et, sur Mezzo ou Classica, avez-vous vu ce Ring pompeux et de mauvais goût jusque dans les couleurs et aussi ce Faust de cabaret où tout est faux ? Décidément, l’opéra a perdu ses serviteurs. Pour trouver quelques trésors dont personne ne parle, il faut faire le tour du monde. Exemple. L’an dernier, le Ring, Salomé, Elektra au Deutsche Oper Berlin. Dans cette bulle venue d’ailleurs, en l’absence totale d’imagination, l’opéra suit la trajectoire de la terre, son crépuscule et puis sa mort. Il est urgent de sauver la partition originale de l’Orféo, de Don Giovanni, de Pélléas, de Tristan et de Wozzeck !