On est en plein dans l’événement
du jour en cette journée du 10 octobre qui est la journée de la santé mentale.
Le voilà le SEUL problème qui ronge le monde : les détériorations à
répétition du psychisme qui est devenu, chez pratiquement tout le monde, le
cadavre d’un noyau de cerise. Noyé dans son psychisme affecté, l’homme ne peut
plus différencier et affirme tout et son contraire sans même savoir qui est
tout et à quoi il sert. La vie flotte sans gouvernail sur les écumes des mers
et échoue inévitablement dans le ventre des baleines où s’écrase sur les récifs
qui s’érigent à la surface des océans. La dualité entre le conscient et l’inconscient
ronge les cerveaux et les rend inopérants. Les impôts, les Dolipranes, les
voitures électriques, les amphétamines, France-Inter et les corps bronzés ne
sont que des supercheries pour humilier toutes ces foules sans pensées. Si vous
ne comprenez rien à ce que j’écris, vous pouvez toujours, après avoir acheté
votre journal, pousser la porte du cabinet de Freud pour savoir si vous êtes. Vous
allez être surpris. Je n’en dis pas plus parce qu’on ne dévoile jamais la fin d’un
roman de gare, hitchcockien.
L’image – et le son – n’ont
pas trahi les turpitudes d’une Assemblée en débandade qui n’a rien d’autre à
faire que d’occuper le vide sidéral de l’hémicycle où, pour ces jeux du cirque,
les lions croquent à pleines dents les jeunes vierges sous l’œil hilare de Caligula
et sous les hourras des foules enfermées dans leur stupidité. Médiapart, le torchon
à cul des cerveaux purulents, crie haut et fort que l’extrême droite a sauvé
Barnier. Seuls les alcooliques et les camés voient une extrême droite sur les
bancs de l’Assemblée, ceux-là même qui ferment les yeux sur l’extrême gauche
repoussante, hargneuse et haineuse, tout comme ses alliés socialos, communistes
et écolos, qui préparent une dictature sanglante pour achever la France démembrée.
Si nous en sommes arrivés au point où nous sommes arrivés, c’est que des gros
cons ont voté Hollande puis Macron, même si c’était tout aussi con d’avoir voté
Sarko et Chirac. L’élection est et a toujours été le résultat d’un bourrage de
crâne et non la volonté d’un peuple libre. Depuis des siècles, les cerveaux sont
pollués et personne de songe à les envoyer au pressing. L’errance de l’homme
sur les chemins boueux ne prendra jamais fin si chaque individu ne prend pas la
décision de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir,
pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Tous les restes sont hors sujets.
L’actuel président de la République
française n’a plus sa place à l’Élysée. Porté, par je ne sais qui, sur le trône
qu’occupaient jadis les François, les Henri et les Louis, entourés de courtisans,
de maîtresses et de félons, cet enfant au psychisme inabouti n’a rien d’un chef
d’État. Il ment. Il se contredit. Il est en permanence dans le déni et vit dans
son rêve sous les jupes de sa maman qui l’a détruit. Hier, lors de la
commémoration du tragique 7 octobre, il a été copieusement sifflé et seuls ceux
qui espèrent encore obtenir une toute petite place dans la porcherie continuent
à le courtiser. Macron, c’est fini. Et lorsqu’on voit que le puéril et insignifiant Hollande va tout faire pour succéder à celui qui lui a succédé, le chaos
devient assourdissant. Et il y a bien pire. Mélenchon et son armée de fantassines-fantassins
est en embuscade et va à tous les coups emporter la mise. La RFI (République
Française Islamique) va bientôt régner. Pleurez pauvres gens. Vos flots de larmes
ne remplaceront jamais votre ignorance et votre bêtise.
Le désastre, dans ce monde, est
l’aveuglement, le déni et les fuites incessantes. Le président de la France est
une vaste fumisterie, un enfant indécent au psychisme fracturé, qui demande au
peuple israélien de se laisser exterminer par les terroristes dont il se fait
le complice. Il n’est même pas capable de voir le danger que représente le barbare
Mélenchon, qui attire de plus en plus de fanatiques comme les confitures attirent
les guêpes picotantes. Sa cécité l’empêche de réagir à la réélection du
dictateur tunisien, avec plus de 90% de suffrages. Son jugement altéré lui fait
dire le contraire et son contraire simultanément. Et si l’on observe l’Assemblée,
un ramassis de handicapés, on constate que la France n’a jamais été aussi mal
gouvernée. Et moi, l’ancien fervent socialiste, j’en viens à me demander si un
dictateur féroce et intraitable ne serait pas la bonne solution pour les français
tombés en léthargie qui regardent sans bouger le sourcille, le vieux repoussant
Mélenchon s’approcher des portes de l’Élysée. Il est vrai, qu’avec lui, ils vont
être servis. En attendant, le soutient à Israël est la seule attitude à adopter
pour que le monde puisse encore accueillir le Père Noël en cette fin d’année.
Pour finir ce puits, je réitère la seule vérité puisque c’est la mienne :
Freud est le recours au désastre humain. Le seul. Les autres propositions ne
sont que des fantasmes dus aux déformations des psychismes non soignés.
Emmanuel Macron, cet enfant
immature au psychisme inabouti – et qui sert de Roi à la France – vient de
signer une alliance indéfectible avec Mélenchon et ses amis islamo-gauchistes
en exigeant que plus aucun pays arme Israël qui est en passe de terrasser les
terroristes Hamas, Hezbollah, et bien d’autres, qui pourrissent la vie des
peuples du moyen orient depuis des décennies. Ce triste comédien ne fait rien –
sinon mouvoir sa langue – depuis sept ans et voilà qu’il prend la parole pour
insulter les victimes du 7 octobre 2023, en soutenant ouvertement les criminels,
violeurs de femmes et d’enfants. Toutes guerres, depuis le début des temps, ont
leurs aléas et leurs dommages collatéraux. Elles n’auraient donc pas exterminé les
peuples sous les Louis, les Henri, les François, pour lesquels on a érigé des
statuts ? Israël joue sa survie. En deux et trois mots assassins, Macron
le raye de la carte. Qui peut croire que l’on peut – et surtout que l’on doit –
négocier avec des terroristes ? Seule la mort peut en débarrasser la
planète. Alors, OUI : « HONTE A MACRON ET HONTE À CEUX QUI LE SOUTIENNENT. »
« Cela fait un an
qu’Israël se bat pour son existence. Cela fait un an que la haine contre les
juifs se déploie partout et imbibe la France. Cela fait un an que nous sommes
seuls avec notre douleur. Ce qu’Emmanuel Macron vient de faire est
irresponsable. » (Rachel Khan)
Les prévisions politiques
sont comme les prévisions météorologiques, elles changent toutes les trois minutes.
Hollande, le lâche, le traitre, qui a largement participer au lynchage et à l’agonie
de la France, a l’intention de se représenter à la présidentielle de 2017. Et
pour cela, lui qui copule avec Mélenchon, va jeter son dévolu sur une gauche « de
progrès » et quitter son amant de circonstance. Je n’en crois pas un mot,
parce qu’avant 2017, il va passer des milliers de trois minutes et les
terroristes civils et religieux seront largement majoritaires. Et moi, fort
heureusement, je ne serai plus.
Pour continuer avec cette gauche infâme, Mélenchon – je parle de Mélen-Chien – a
donné l’ordre aux étudiants de toutes les universités et grandes écoles de France
de planter de partout des drapeaux palestiniens à l’approche du 7 septembre,
pour honorer Hamas, Hezbollah et tutti quanti, ses amis terroristes et
génocidaires. Et, comment juger cet homme qui ressemble à un homme et qui n’est
pas un homme ?
Pour plus de clarté dans mes
propos, je rappelle qu’avant de cesser de me rendre aux urnes – il y a quarante
ans - j’ai voté socialiste, plus d’une vingtaine d’année. Jamais je ne me le
pardonnerai !
La dure actualité se
bétonise. Il devient impossible de faire les différenciations, le tout étant
noyé dans le noir le plus profond, tel celui de mon puits au fond de mon
jardin. La justice libère l’assassin d’une fillette de quatre ans avec deux ans
d’avance. Je ne sais dans quel coin de France, un étranger squatte une maison
et la transforme en une plateforme de vente de produits hallucinants, sous les
yeux des habitants et sous l’œil indifférent de ceux qui doivent faire
respecter la loi. Il ne se passe pas un jour sans son lot de meurtres au
couteau ou à la kalachnikov. Les cartels et les musulmans prennent possession
du territoire sans que quiconque se pose la moindre question. Le nouveau
ministre de l’Intérieur semble très déterminé dans sa volonté de châtier la
vermine. Il se fait assassiner, même dans son propre camp. Et puis, Sciences
Po, l’école de prestige qui forme les futurs dirigeants, est violentée et déshonorée
par des jeunes crétins voyous qui hurlent des slogans qui les marquent à jamais
du sceau de l’ignorance la plus crade et la plus dégradante. Le directeur de l’établissement
est absent. Le ministre concerné aussi. Les professeurs se réfugient dans les
toilettes. Le Roi de France tourne la tête. Qui va oser s’emparer de ces
grosses merdes pour les exposer nus, aux pieds de la Tour Eiffel et leur faire
subir le châtiment du fouet qui est un excellent moyen de faire circuler le
sang impure qui abreuve leurs sillons.
Je pense ce que j’écris.
Mais, je pense aussi que si les parents avaient appris avant de pondre et que
si Freud était au centre des préoccupations de chacun, nous n’en serions pas là,
tout en bas, dans le trou, dans l’enfer des excréments. Pouah ! L’être
humain me dégoute.
Le 3 octobre 1963, il y a 61 ans aujourd’hui, était
créé à New York, le Concerto pour violon d’Alberto Ginastera
En savoir plus…
Le Concerto pour violon de Ginastera résulte d'une
commande de l'Orchestre philharmonique de New York à l'occasion de sa première
saison (1962- 1963) au Lincoln Center. Achevé seulement en septembre 1963 -
trop tard pour le concert prévu -, il est présenté en première le 3 octobre de
la même année avec Leonard Bernstein à la direction et Ruggiero Ricci au
violon. En plus du grand orchestre habituel, la partition ne requiert pas moins
de sept percussionnistes maniant une cinquantaine d'instruments. Ironiquement,
le long passage où ils jouent en plus grand nombre, au début du troisième
mouvement, s'avère le plus doux du Concerto .
C'est le soliste qui ouvre le premier mouvement avec une importante cadence
dont le but consiste à « introduire les matériaux de base du concerto dans un
style rhapsodique et virtuose », selon les termes du compositeur. La seconde
partie du mouvement comprend six « études » : la séquence préétablie de sons
(ou série) sur laquelle se fondait la cadence y est variée sur le plan de la
texture ou de la technique de jeu. Ginastera décrit le deuxième mouvement comme
« teinté de forts accents poétiques et d'un lyrisme exalté ». À l'instar du
premier mouvement, le troisième est construit en deux parties : la première «
doit être exécutée à vive allure, en un murmure à peine audible et mystérieux
»; la seconde est un perpetuum mobile impulsé par les tambours, mais
ensuite repris par le soliste dans un incessant mouvement de doubles croches -
sans lui laisser aucun répit -, qui le mèneront tout droit vers l'étonnante
mesure finale.
(Robert Markow)
Alberto Ginastera, Concerto
per violino e orchestra, Op.30 (1963).
I. Cadenza II. Studio I per gli accordi:
Allegro [04:27] III. Studio II per le terze: Allegretto [05:47] IV. Studio III per gli altri intervalli: Lo
stesso tempo [06:31] V. Studio IV per l'arpeggiato: Lo stesso
tempo [07:13] VI. Studio V per gli armonici: Andante [07:56] VII. Studio VI per i 24 quarti di tono:
Larghissimo [09:39] VIII. Coda: Maestoso [10:35] IX. Adagio per 22 solisti (as an hommage to
the soloist of New York Philharmonic) [11:30] X. Scherzo pianissimo - Sempre volante,
misterioso e appena sensibile [20:03] XI. Perpetuum mobile - Agitato e allucinante
[24:42]
Salvatore Accardo, violino
Hopkins Center Orchestra -
Congregation of the Arts diretti da Mario Di Bonaventura
Les habitudes peuvent être
secouées et lorsqu’elles disparaissent pour faire rayonner l’imprévisible, l’incroyable,
l’impossible, c’est plutôt jouissif. Et c’est bien la journée d’hier qu’elles
ont choisie pour prouver, par deux fois, que l’imagination la plus débridée
peut être une inconcevable réalité. À commencer par la chute aux enfers de l’imbuvable
héros des cerveaux handicapés, Mbappé, qui n’a même pas été capable de faire
face à l’armée lilloise qui voulait – et qui a eu – sa peau. Jouissif. Et pour
suivre, l’impensable rire sincère et à gorge déployée de la poissonnière Panot
aux titillements subtils du très sérieux et très austère chef du nouveau
gouvernement. Je ne savais pas que Panot pouvait esquisser un sourire et qu’elle
pouvait éprouver le moindre sentiment. Barnier l'a obligé à se révéler. Jouissif.
Je m’arrête là pour ce matin.
Mon Leclerc m’attend. Mais avant d’y aller pour prendre mon café, je ne vais pas
manquer de passer saluer ma voisine de palier, comme chaque matin. Elle n’a
plus d’âge. Elle a connu Carnot, Wilson, Herriot et même Bernadotte. Elle est
au courant de tout. Avant Europe 1 ou Cnews, c’est elle mon informatrice analysante.
C’est pourquoi je peux écrire si vrai dans mes tubes et dans mes puits et que
je ne peux compter le nombre effrayant de mes fidèles fans.
Quand on n’a rien à dire, on
se tait. Quand des terroristes primaires et sauvages perturbent les réunions de
travail, soit on se retire en attendant qu’on leur ait administré les médicaments
nécessaires, soit on fait intervenir les forces de l’ordre pour les mettre au
trou. L’hésitation, le ni oui ni non, le je sais mais, ne sont pas de mise
lorsque qu’il est impératif de sauver un mourant. Ici, une, la France. La
rupture Barnier n’aura été qu’un mot parmi les rares entendus. Un mot de trop
malgré ce désert verbal vertueux. On sait maintenant. On a entendu. La rupture
n’a même pas réussi à être un embryon. Elle a vite été remplacée par la
continuité de l’indécence de la politique Macron, celle de cet enfant immature
dont le psychisme est inabouti, et qui a tellement honte que certains continuent
à le suivre qu’il ne cesse de se cacher. C’est de l’étranger, qu’il débite ses
vers raciniens, comme au théâtre où triomphait Jouvet ou Bernhardt, lui-même
comédien raté et qui pourtant ne quitte jamais la scène pour fuir les réalités.
Si je devais retenir un moment un peu sérieux de cette séance morne, c’est celui
de Le Pen qui, sur un ton ferme, a donné un sens au désir du peuple français.
Si l’on doit reparler de l’arc républicain, elle y est la seule inscrite. Les
autres, hors du champ, ne sont que des valets de pieds vermoulus qu’il faudra
songer à utiliser cet hiver pour illuminer la cheminée de mon salon François 1e.
Cette guerre est celle d’Israël.
Le 7 octobre 2023 ne sera jamais oublié et la vengeance ne sera jamais assez
terrifiante. Les parlotes autour des tables rondes ne sont que des prétextes
pour fuir les réalités et dévoiler les lâchetés. Laissez Netanyahou terrasser
les terroristes puisque les donneurs de leçons n’en ont pas le courage. Quant aux
dégâts collatéraux, ils sont inévitables. Ils sont le lot de toutes guerres, du
grand Jules César au petit Napoléon. Si vous ne voulez plus de guerres, c’est
le psychisme de l’homme qu’il faut changer. En le reforgeant intégralement, le
monde ne marcherait plus sur la tête puisque la nature lui a donné deux pieds. Rassurez-vous.
Ce matin, je vous éviterai mon beau discours sur Freud et les vertus de sa thérapie
psychanalytique qui s’impose à tous les individus.
Scènes de ménages. Pour
vouloir évincer le couple Louise (congolaise) et Jalil (algérien), M6 est accusée
de racisme – qui n’est pas accusé de racisme ? -. alors que l’explication
est ailleurs. Le couple et ses sketchs sont nuls comme sont nuls tous les autres couples
et leurs sketchs, à l’exception d’Emma et Fabien. Voilà encore un faux procès
qui ne résout en rien le problème du fil qui coupe le beurre.
Ce qui est incroyable dans ce
monde de tarés intégraux, c’est que, alors que Barnier n’a pas encore parlé,
les jounaleux, les chroniqueux, les commentateux ont écrit son discours mots
pour mots et l’ont déjà soit pendu, soit érigé en statut. Le pauvre homme
aurait mieux fait de rester dans ses montagnes savoyardes pour y finir ses
jours bien peinard. La horde crasseuse et putréfiante veut – et peut-être, va –
le manger tout cru. Et pendant ce temps, l’enfant regarde la tété dans les
dorures de l’Élysée, bien caché sous les jupes de sa maman.
Les fans de Macron, cet
enfant immature au psychisme inabouti, qui jadis formaient une majorité, s’émiettent
peu à peu en se transformant en petits pâtés prêts à être consommés. Face aux problèmes
que rencontre la France, ils se disloquent au lieu de s’unir en une force
puissante, qui avec la complicité des droites molles et des droites dures, pourrait
donner un coup d’arrêt brutal et sans concession aux terroristes
mélen-chiennistes qui rongent notre pays et qui vont finir par le mettre à feux
et à sang pour y installer, tranquillement, la pire des dictatures avec leurs
potes islamistes. Avez-vous envi d’être obligé de prier Mahomet quatre fois par
jour et de voir vos femmes, vos filles et votre grand-mère disparaître
intégralement sous un immense drap noir comme les fantômes qui hantent les placards
des sorcières et de leurs balais terrifiants ? Peut-être, aujourd’hui,
faudrait-il soutenir Retaillleau pour que ses paroles deviennent des actes et
que nous en venions enfin au référendum pour savoir si les français désirent
ardemment accueillir toutes les infirmités du monde. Accueillir, c’est comme
mettre un enfant du monde. Pour cela, il faut apprendre. Et comme l’ignorance
terrasse la France, avant de nous laisser prendre au piège, construisons des
écoles et évitons les évasions dans les buissons.
Le journal Le Monde est en
deuil. Inconsolable, il a titré « Hassan Nasrallah, chef charismatiquedu Hezbollah depuis plus de trois décennies, tué par une frappe israélienne. »
En éliminant cette saloperie de terroriste, Israël a remporté sa première
grande victoire et on ne peut que souhaiter qu’il poursuive, jusque dans les
coins les plus reculés, sa traque aux vermines de ce genre et à tous leurs suppôts.
Et que cessent les jérémiades des inconscients ignorants qui croient que la
paix viendra en se mettant autour d’une table. Il y a des moments où seules les
armes ont le pouvoir de mettre fin aux conflits que provoquent les psychopathes
qui gouvernent le monde.
Peut-on, pour autant, en
oublier l’assassinat par la Justice française de Phillipine et les innombrables
faits semblables qui jonchent la France décadente ? Peut-on, pour autant,
oublier l’incompétence et la perversité des psychopathes que les français mettent
au pouvoir ? Comment comprendre que les lois permettent que des terroristes
structurés puissent avoir accès aux fonctions de maires, députés, ministres ou
roi prochainement, probablement ? Mélen-Chien, ses chiottes et ses chiots,
ne cessent d’enfreindre les lois et d’installer le fascisme et les craintes des
opposants restent lettres mortes. Ce sont pourtant bien eux qui vont conclure
la fin de cette piteuse Ve République et instaurer une dictature qui n’aura rien
à envier à celle du petit gros et gras Kim Jong-un. Et surtout pas de larmes
SVP. Les français l’auront voulu.
Et voilà qu’on a retrouvé
Emmanuelle, le pire navet du cinéma de 1974. L’intrigue est d’un ennui mortel
et l’érotisme n’est qu’un triste coup de pub. 1974-2024, c’est kifkif. Cela fait
un navet de plus, le cinéma n’en étant plus à un près. Je préfère la perversité
de Walter White, le culot débridé de Villanelle, les multiples personnalités de
l’agent spécial Dale Cooper, les cauchemars de Marnie ou la perspicacité du
Docteur Dayan.
L’évènement du jour occulte
toutes les tares de ces pauvres humains dépourvus de l’essentiel, penser par
soi-même après s’être longuement nourri des éléments qui composent le monde et
qui le poussent à dériver avant même d’avoir quitté la côte. L’évènement est l’anniversaire
de Brigitte Bardot, l’icône du cinéma d’antan, mon cinéma, celui que j’aime
comme j’aime la femme qui contient toutes les femmes, jouissive et solennelle, pernicieuse
et intransigible, amoureuse et solitaire. 90 ans aujourd’hui. Je l’ai vue pour
la première fois, nue sur un cheval – ou un âne -, dans « Les Bijoutiers
au clair de lune » et du haut de mes 14 ans, dans une salle interdire au
moins de 16 ans, j’en suis resté amoureux pour l’éternité. Je souhaite un bon
anniversaire à cette grande dame qui, lorsqu’elle va nous quitter, éteindra mon
univers à tout jamais, mais aussi le monde qui est déjà dans l’obscurité.
Et puisqu’il faut revenir chez les tarés, comment dire à quel point Nétanyahou
à raison de ne pas écouter les ronds de cuir de l’ONU et les mots déplacés de l’enfant
au psychisme inabouti qui sert de roi à la France. Avez-vous vu François 1e,
Henri IV ou Napoléon, gagner des guerres autour d’une table après un échange
verbal avec des idiots en robes de chambres ? Non ! Ils ont tiré et
tué et ils ont gagné. Et puisque personne n’a le courage d’exterminer les
terroristes, félicitons plutôt celui qui, dans l’immédiat, emploie les bons
moyens pour qu’Israël et ses habitants ne soient pas rayés de la carte.
Et puis, si vous n’avez pas
eu le courage de voir et d’écouter, hier sur Mezzo, l’interprétation du « Chant
de la terre » par Sophie von Otter, Jonas Kaufmann et Claudio Abaddo, vous
avez perdu votre journée, mieux, une large tranche de votre vie. Je n’y peux
rien. C’est ainsi.
Depuis l’assassinat de Philippine, toutes les radios et télés commentent, à leur manière, ce sordide
fait de société où SEULS ceux qui votent les lois sont coupables. L’invention
des OQTF est un crime. Les contrevenants ne devraient pas avoir l’obligation de
quitter le territoire français. Ils devraient ne pas y être entrés et par
conséquence expulsés manu militari hors de nos frontières dans un pays
totalitaire qui a besoin de mains d’œuvre à moindre coût. L’affaire Philippine
est l’échec de Macron et de tous ceux qui l’ont précédé. L’affaire Philippine
est l’image de notre société où le peuple ne cesse n’être méprisé. Luc Ferry a
déclaré hier sur Cnews que la France ne pourra s’en sortir que si l’on instaure
la proportionnelle pour toutes les élections et que Macron démissionne sur le
champ. Je lui donne raison. Mais Ferry à oublier l’essentiel. Pour rénover la France
et la sauver, il faut, d’abord, rénover entièrement l’homme et pour le sauver, lui
demander de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour
le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser.