
Hier, BFMTV
recevait pour la 432ᵉ fois Sandrine Rousseau qui n’est ni la mère,
ni la sœur, ni la fille de Jean-Jacques, un écri-philo-musicien qui a abandonné
ses cinq enfants à l’hospice. Je ne suis pas sûr que la chaîne batte France Inter,
la radio des potaches de la posture. Los Angeles brûle, Mayotte retrouve l’œil
du cyclone et l’Algérie dénonce la France qui la titille. Bayrou s’apprête à
prononcer son discours de politique générale avec l’abolissement de la réforme
des retraites pour satisfaire les saloperies de socialos ou son renforcement
pour satisfaire les droites incapables d’unir leurs avis. Aujourd’hui, pour l’opinion,
restent deux hommes sur notre sol, Le Pen mort, métamorphose progressive de la statue
de pierre du Commandeur, et Rotailleau, chevalier sans peur et sans reproche à
qui on a confisqué son épée. C’est peu et pas grand-chose. La lâcheté de tous
est la dominante d’un mineur chopinesque qui nous entraîne dans les méandres
des bas-fonds qui conduisent irrémédiablement dans le noir du fond de mon puits
au fond de mon jardin. Même pas une âme décente pour relever le défi.
Alexia T. sur
Allociné : J'ai dû
me forcer pour la regarder, à part les 2 ou 3 premiers épisodes de la saison 1 -
à la rigueur - tout le reste est d'un ennui, d'une vulgarité et d'une nullité
comme j'ai rarement vu. Si on souhaite voir une série sur la thématique des
"pourritures", un "House of Cards" par exemple est mille fois plus
intéressant et bien mené que cette daube sans nom : dans "Succession"
le scénario, les acteurs et les dialogues sont tout simplement minables, je ne
comprends donc absolument pas que cette série soit ainsi encensée (ou alors, il
y a une série géniale qui porte le même nom et on ne parle pas de la même). Finalement : une véritable parodie, mais non intentionnelle (je n'ai même pas ne
serait-ce que souri à un seul instant, car aucun humour, sauf si on aime la
beaufitude) une succession, oui… de clichés aberrants et de médiocrité qui
est carrément une insulte à l'intelligence du public. À fuir…
Alexia T.
dit vrai. Mais, moi, je serais plus méchant. Nul et à fuir est encore trop
gentil pour cette grosse merde indigne.