Gaîtée Lyrique. Moi, je trouve que la police n’a pas été assez brutale avec les voyous – des mineurs abandonnés, pour la moitié majeure, par je ne sais qui ni quoi, et ce n’est pas mon problème – qui ont saccagé le théâtre, ruiné les commerces et menacé de viol la commerçante qui a tenté de défendre sa brasserie. Cette racaille ne méritait que d’être jetée dans la Seine avec les responsables des associations « humanitaires » - quelle blague ! – qui touchent des subventions faramineuses pour vendre la France aux hordes sauvages. Cela n’a pas été fait. Ils vont recommencer.
Algérie. La France est à genou devant son ancienne colonie qui ne cesse de la traiter en esclave. Le plan Bayrou pour répondre aux outrages est une trahison au bon sens et au courage qui fait tordre de rires le gouvernement algérien qui veut la peau de Rotailleau et qui l’aura. L’autre, le minable gugus qui gouverne la France, l’enfant au psychisme inachevé, ne pipe mot. Il est trop occupé par les essais de son nouvel uniforme de chef des chefs des armées, rutilant de brillances, qu’il va revêtir pour assiéger Moscou et mon ami Boris Godounov, mort dix mille fois sur la scène du Bolchoï. Le pleutre va-t’en guerre devrait, lui aussi, être jeté dans la Seine avant que sa veulerie ne nous entraine dans le noir du fond de mon puits.