vendredi 11 juin 2021

anniversaire • la mezzo-soprano américaine, risë stevens, aurait 108 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ris%C3%AB_Stevens

 



Rise Stevens performing Séguedille: Près des remparts de Séville from opera Carmen (1947)

 



"Che farò senza Euridice?" from Christoph Willibald Gluck's "Orfeo ed Euridice."

 

Sung by Risë Stevens with the orchestra of the Rome Opera House conducted by Pierre Monteux. Recorded for RCA Victor in 1957.

 



Rise Stevens in one of her most famous roles singing an aria from "Samson and Delilah." It comes from a 1954 recording of highlights from the opera in which the NBC Symphony is conducted by Leopold Stokowski.

 



RISE STEVENS SINGS - Je dis que rien ne m'épouvante (Micaela) - Carmen of Georges Bizet - 1949

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • orange et moi…

Hier, à 22 heures pétantes, Orange a coupé toutes ses connexions. Plus d’ordinateur, plus de télé, plus de téléphone - fixe et portable - Pour des raisons que j’ignore - je ne comprends rien à l’informatique et je ne veux surtout pas comprendre - j’ai réussi à aller sur la page « Orange et moi » sur mon smartphone. Et j’ai pu lire que ma connexion Wi-Fi était interrompue jusqu’à ce matin en fin de matinée pour travaux de maintenance dans mon secteur. Est-il possible qu’Orange n’ait pas pensé à informer sa clientèle - qui lui permet d’exister - de ce fait qui va plus loin qu’un désagrément, puisque subitement et pour 12 heures minimum, je suis injoignable et je ne peux joindre personne. Orange sait-il - ou sait-elle - ce qui peut se passer dans la tête des gens quand un proche ne répond pas ? Orange sait-il - ou sait-elle - que sa désinformation est un acte très net de dictature, celle qui envahie chaque jour la France. Le peuple se rend-il compte que dans le monde de l’objet connecté, le terrorisme est encore plus fort. Plus besoin d’armes sophistiquées, de missiles de roquettes, de bombes atomiques ? Il suffit à l’envahisseur d’appuyer sur un bouton ou de couper un fil pour stopper le réseau électrique. C’est valable pour une maison, un appartement, un immeuble, une ville, une région, un pays, un continent et pour la terre dans son intégralité. Cela a déjà commencé - et chez Orange ! -. Cela deviendra monnaie courante et dans un temps très proche, le terrorisme triomphera proprement et sans violence. Il coupera l’électricité et la rétablira après la mort par la nuit, par l’angoisse, par l’isolement, par l’arrêt brutal des machines qui tiennent en vie, par l’impossibilité de converser, de commercer et d’accomplir les gestes les plus simples, par l’arrêt de toutes les activités, par la fin de tout ce qui dépend de l’électricité. Le monde, en votant pour des Rois, en ayant rarement accédé à l’âge adulte, en pérorant dans la naïveté, aura choisi sa mort et je ris en le regardant l’assumer.

jeudi 10 juin 2021

vu à travers le tube (bis) • vais-je être mis aux arrêts et fusillé au lever de l’aube ?

     

On ne cesse de dire, d’écrire, de répéter que le gifleur du Roi de France - moi, j’ai trouvé ça amusant et mérité - avait « Mein Kampf » dans sa bibliothèque et que cela vaut une pendaison plus une décapitation alors que le livre est vendu dans toutes les librairies, chez Amazon et chez Rakuten. Moi j’ai 3450 ouvrages de Freud qui « a violé sa petite fille ou sa sœur ou sa grand-mère », et 5643 enregistrements de Wagner - ami intime d’Hitler - dirigés par « l’horrible nazi » Karajan et « l’horrible nazi » Furtwängler, entres autres…  Et de plus, cerise sur le gâteau, ma voisine de palier vote Le Pen. Vais-je être mis aux arrêts et fusillé au lever de l’aube ?    


anniversaire • création de « tristan et isolde », opéra de richard wagner, il y a 156 ans aujourd’hui

Ludwig et Malwine Schnorr von Carolsfeld

dans les rôles de Tristan et Isolde

lors de la première en 1865



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tristan_und_Isolde

 



TRISTAN UND ISOLDE Richard Wagner, 1865 Act II Liebesnacht (Love Duet)

 

Tristan: Siegfried Jerusalem

Isolde: Waltraud Meier

Conductor: Daniel Barenboim

Director: Heiner Müller

 

Bayreuth, 1995

 

 



Wagner, Tristan et Isolde (Mort d’Isolde)

 

Isolde: Waltraud Meier

Conductor: Daniel Barenboim

Director: Heiner Müller

 

Bayreuth, 1995

 



Wagner, Tristan et Isolde

 

Tristan: Wolfgang Windgassen

Isolde: Birgit Nilsson

Kurwenal: Gustav Neidlinger

Marke: Martti Talvela

Melot: Reid Bunger `

Brangäne: Grace Hoffman

Bayreuth Festival Orchestra and Chorus

Karl Böhm, conductor

Wieland Wagner, director

 

Live recording at Bayreuth Festspielhaus

July 24,1970

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • pauvre monde…

Et voilà qu’une marmite de crétins s’en prend à Karajan et exige que l’on débaptise la place salzbourgeoise qui porte son nom, en raison de son « passé nazi ». Il faut alors débaptiser toutes les rues, toutes les places, tous les monuments et lieux qui portent de nom des Rois, des Empereurs, des Dieux, des Élus, des Philosophes, des Scientifiques, etc… qui ont eu ou ont influencé le pouvoir et mené ce monde au désastre d’aujourd’hui. Et il ne restera que du vide. Du vide plein de vide. Et ce sera à l’image du cerveau et de la pensée de l’homme d’aujourd’hui qui ressemble étrangement à celui d’hier. Maudite soit la femme qui pond le malheur, puis le malheur et encore le malheur…   


mercredi 9 juin 2021

anniversaire • la soprano roumaine, maria cebotari, nous a quittés il y a 72 ans aujourd’hui. elle était âgée de 39 ans



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Cebotari

 



"Es gibt ein Reich"; ARIADNE AUF NAXOS; Richard Strauss

 

Maria Cebotari--soprano

Wiener Philharmoniker

Herbert von Karajan--conductor

 



Maria Cebotari, E Susanna non vien... Dove Sono (Marriage of Figaro)

 

Felix Prohaska leads the Vienna Philharmonic

Josef Krips, the London Philharmonic.

 

1940

 



Richard Strauss Der Rosenkavalier (Mir ist die Ehre widerfahren)

 

Octavian - Tiana Lemnitz

Sophie - Maria Cebotari

Grosses Rundfunkorchester Berlin

Artur Rother, conductor

 

eichsrundfunkgesellschaft, 1943

 



Richard Strauss, Salome "Es ist kein Laut / Ach! du wolltest mich nicht"

 

Maria Cebotari as Salome,

Juliuz Patzak as Herodes

Elisabeth Höngen as Herodias

conducted by Clemens Krauss.

 

1947

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • la gifle…

Alors que tous les bâtards de la politique et de la télé y ont vu une attaque à la République et ont eu le culot d’affirmer que c’est nous tous - qui composons le peuple de France - qui avons été giflés, je pense que cette gifle - signe suprême de l’humiliation - était bien méritée et que le Roi de France, du fait de son insolence permanente, l’avait bien cherchée. Aussi, je m’en réjouis même si je sais que cela ne sert à rien. Le Roi retrouvera son trône dans les mois prochains. La dernière fois que j’ai vu quelqu’un donner une gifle à quelqu’un, c’était en 1974 quand j’ai assisté au conflit entre Jean Douléan et sa fille qui, vexée et humiliée, s’est réfugiée chez sa mère, en Angleterre. Cette histoire a passionné beaucoup de gens et beaucoup de gens s’en souviennent encore.

 

Cette gifle du 8 juin pose encore et encore la question de la violence permanente au sein de la société. Si le discours politique et journalistique n’était pas aussi violent dans tous les sens du terme, si les injustices ne cessaient pas de s’amplifier, si les gens de pouvoir étaient respectueux envers ceux qui le leur ont donné, si la pauvreté intellectuelle, mentale, psychique et financière n’était pas majoritaire dans ce pays qui s’effondre un  peu plus chaque jour, si les gens épris de justice et de liberté parlaient et criaient plus fort que les autres, si les remèdes aux problèmes n’étaient pas que des pansements sur des jambes de bois, si l’honnêteté et la sincérité guidaient tous les pas des hommes et des femmes qui ont des responsabilités, ce mardi 8 juin 2021, le Roi de France n’aurait pas été giflé, parce que depuis très longtemps, il n’y aurait plus de Rois en France. Au lieu de gloser sur des faits sans importance, pensons donc à inventer la démocratie, celle qui replace l’homme - et rien que l’homme - au centre de la vie en éradiquant l’ignorance et en rétablissant l’égalité et la liberté. Pour cela, je le redis, chacun devrait pouvoir pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est à cette seule condition que s’opérera la première vraie révolution, celle qui donne la vie et qui ne laisse personne au bord du chemin.  


mardi 8 juin 2021

anniversaire • le compositeur allemand, robert schumann, aurait 211 ans aujourd’hui



 



En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Schumann

 

 



Jonas Kaufmann and Helmut Deutsch performed Robert Schumann's song-cycle "Dichterliebe" Op. 48 as part of the @BayerischeStaatsoper's 4th Monday concert on April 27 2020 in front of an empty national theater

 



Schumann Piano Concerto in A minor Op. 54

0:00 Allegro affettuoso

15:15 Intermezzo: Andantino grazioso

20:34 Allegro vivace

 

Yuja Wang, piano

Wiener Symphoniker

Lorenzo Viotti, conductor

Vienna Wiener Konzerthaus

 

Jan 31 2019

 



Robert Schumann Symphony No 4 in D minor, Op 120

 

Vienna Philharmonic Orchestra

Leonard Bernstein, conductor

 



Robert Schumann - Kinderszenen Op. 15, "Scenes From Childhood", 1838.

00:38 Scene No.1 | Von fremden Ländern und Menschen (Of Foreign Lands and Peoples

02:09 Scene No.2 | Kuriose Geschichte (A Curious Story)

03:15 Scene No.3 | Hasche-Mann (Blind Man's Bluff)

03:48 Scene No.4 | Bittendes Kind (Pleading Child)

04:38 Scene No.5 | Glückes genug (Happy Enough)

05:17 Scene No.6 | Wichtige Begebenheit (An Important Event)

06:09 Scene No.7 | Träumerei (Dreaming)

08:43 Scene No.8 | Am Kamin (At the Fireside)

10:02 Scene No.9 | Ritter vom Steckenpferd (Knight of the Hobbyhorse)

10:43 Scene No.10 | Fast zu ernst (Almost Too Serious)

12:12 Scene No.11 | Fürchtenmachen (Frightening)

13:52 Scene No.12 | Kind im Einschlummern (Child Falling Asleep)

15:31 Scene No.13 | Der Dichter spricht (The Poet Speaks)

 

Vladimir Horowitz in Vienna, 1987.

 

 

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • les restes ne sont rien… rien… rien…

Delfraissy, un des nombreux logiciels de l’enfant immature Roi de France, persiste à jouer les trouble-fêtes. Il annonce aujourd’hui la 4e vague pour septembre. Il s’agit sans doute d’un complot - comme le complot de Mélenchon - pour que les français restent bien sages à la veille du renouvellement de leur Roi qui sera reconduit. Et voilà qu’après tous ces maux qui se multiplient, le mot « complot » prend la tête du langage politico-journalistique. Dans ce domaine - et dans bien d’autres - qui pourrait me dire qui ne complote pas. Moi, je déteste Alagna et Callas et je ne rate aucune occasion pour le dire et le redire en espérant les évincer de la chose publique, chose que je n’ai toujours pas réussie. Et oui ! Je complote, je complote, je complote, alors que d’autres nagent sans soucis dans des complotistes différents ou semblables au complotisme d’un Mélenchon, vieillard hargneusement maladif que je ne l’aime pas, comme je n’aime pas ses amis et ses ennemis. Je le redis : voter pour un homme - ou une femme -, c’est désigner son bourreau et ceci, quelque soit son bord politique. Le fait d’être élu aliène les pensées et les cerveaux et personne n’a jamais pu sortir de ce schéma destructeur, poison violent pour les populations. Tant que personne ne se rendra compte du danger de l’élection qui nomme toujours des petits chefs incompétents, alors qu’elle devrait approuver - ou non - des idées réalisables et positives pour l’égalité et la liberté de tous, la France - comme les autres pays - poursuivra son naufrage sans retour possible. Si l’on veut des hommes et des femmes qui prennent des décisions à notre place, il est impératif que ceux-ci aient accédé à l’âge adulte, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui et depuis le début des temps. Et le chemin pour y accéder est le cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est la seule solution. Les restes ne sont rien… rien… rien…  


lundi 7 juin 2021

anniversaire • le chef d’orchestre américain, george szell, aurait 124 ans aujourd’hui



 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Szell

 



Messa di Requiem by Giuseppe Verdi

 

Gabriella Tucci, Soprano

Janet Baker, Contralto

Pierre Duval, Tenor

Martti Talvela, Bass

 

Cleveland Orchestra & Chorus

George Szell, Conductor

 

05.II.1968

 



Beethoven Symphony No. 5 in C minor

I. Allegro con brio (C minor) 0:00

II. Andante con moto (A Major) 7:56 I

II. Scherzo. Allegro (C minor) - Trio (C Major) 17:55

IV. Allegro (C Major) 23:36

 

Chicago Symphony

George Szell, conductor

 

1961

 



Symphony No. 8 in C Minor by Anton Bruckner

1. Allegro moderato

2. Scherzo: Allegro moderato - Langsam

3. Adagio: Feierlich langsam, doch nicht schleppend

4. Finale: Feierlich, nicht schnell

 

Cleveland Orchestra

George Szell, Conductor

 

1964

 

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vu à travers le tube • je ris ou je pleure ?

Je ris ou je pleure ? C’est la question. Mélenchon en a encore sorti une, comme il en sort régulièrement. Il s’est attiré, hier, une volée de bois vert et peut-être un passage devant les tribunaux. Je ne sais pas vraiment ce qu’il a dit - un attentat la veille des « monarchielles » ? -. Ce n’est pas grave. Il ne dit que des conneries. Ce vieillard est hargneux, pervers et menteur, trois ingrédients qui semblent lui convenir pour devenir Roi de France alors qu’il perd chaque jour un peu plus de la sympathie que certains lui avaient vouée. Et comme, avec Mélenchon, il n’a que des gugusses du même genre pour briguer au poste suprême - un trône maléfique qu’aucune révolution n’a réussi à éjecter, un trône qui gangrène la France depuis des millénaires et qui empeste les égouts comme ceux et celles qui posent leur cul dessus -, le pays est tombé dans l’impasse qu’il fallait fuir. C’est trop tard. La marche arrière, le retour n’est pas pour le peuple de France qui vote, qui vote, qui vote à en perdre le souffle, pour des ignobles crétins qui le soumettent à grands coups de fouet. Je ne me sens pas concerné par ce pays malsain. Je n’ai ni demandé à naître, ni demandé à naître sur ce continent. La seule coupable est la femme. La femme qui m’a jeté hors de son ventre sans me demander mon avis. Je ne me sens pas coupable, car je ne suis complice de rien. Je ne vote pas, ni pour Mélenchon, ni pour Le Pen, ni pour Macron ni pour les autres. Je ne crois pas en l’homme inabouti. Je ne crois pas au principe : « Je dis, tu fais ! Je commande, tu obéis ! Je suis le maître, tu es l’esclave ! Je décide, tu subis ! » J’irai voter le jour où l’on me proposera des idées et des méthodes pour les appliquer, des idées justes instaurant l’égalité entre tous, des idées aboutissant à l’invention de la démocratie, des idées qui banniront à tout jamais la pauvreté intellectuelle, la pauvreté de l’esprit, la pauvreté de la pensée et par la force des choses, la pauvreté financière. Je crois vraiment que j’ai le temps de mourir deux ou trois cents fois avant que mon rêve se réalise… s’il se réalise ! Pauvre pays noyé dans l'ignorance...


dimanche 6 juin 2021

le puits au fond du jardin • « je vous ramène à la maison ! »

 



 

J’eusse - vais-je être lapidé pour ce français surfait ? - aimer prendre la plume pour écrire ma pensée, la plume d’oie trempée dans l’encre noire de l’encrier de l’école des temps passés, dessiner les mots et les lier en phrases pour fixer sur son socle, le passé et l’avenir des existences inutiles. Je n’ai rien appris à l’école. J’y suis peu allé. Je n’ai compris qu’au cinéma et à l’opéra. Le monde futur d’Alphaville chez Godard, Le Silence troublant de Bergman, le miroir brisé de Vertigo conté par Hitchcock et surtout le retour à la maison de sa Marnie, la folie mortelle du pouvoir de Boris chez Moussorgski, la trahison de la femme dans Lohengrin de l’immense et génial Wagner et le non-amour de son Tristan et Isolde, la gloire stupide et dangereuse de Siegfried et, dernièrement, le rêve de Cooper dans le fabuleux récit psychanalytique de Twin Peaks. Les mots et maux de la vie. Les restes ne sont que lâchetés, confusions, faux-semblants, illusions néfastes, désillusions permanentes. Entendre une fois encore Cooper dire à Laura en lui prenant la main : « Je vous ramène à la maison ! »