Il fait le
demi-tour du monde pour séduire ses pairs. Il vit dans les écrans de la
télévision quand il n’est pas dans les avions. Il parle sans interruption. Il
répète sans cesse les mêmes mots. Il saoule ses partenaires et les gens de la
planète. Il est en train de descendre sur Hiroshima, non pas pour constater les dégâts
de la bombe américaine, mais pour participer au G7 et décider quelles bombes ils
vont envoyer sur Moscou et Pékin sans se préoccuper de savoir à quelles bombes
russes et chinoises, ils vont être mangés. Il voulait ses avions. Grâce à Biden,
le déclencheur de guerres fatales, il les a. Que va-t-il en faire ?
Ils sont 20 000
et vont être 30 000 dans quelques heures. Ils sont réunis pour consommer de l’alcool,
de la drogue et du sexe, au son de bruits fracassants, sur un lieu interdit par
la loi. Depuis jeudi, ils occupent le terrain et comptent le restituer dimanche
dans la nuit. Au lieu de les arrêter et de les emprisonner, la police du Roi
les encadre et leur apporte les soins nécessaires à leur bien-être. Moi, si je
décide d’occuper la cuisine de ma voisine de palier, contre son gré, pour me
mijoter un petit crapaud aux lardons, je passe directement à la case prison.
La femme qui aurait
caché - castré - son garçon de 14 ans et 27 kilos, est passée hier dans tous
les écrans télés. Elle parle aussi bien que Macron et Zelenski et semble être
pourvue de la même perversité. Il est curieux, tout de même - qu’elle soit en
liberté, alors que, selon les presses, la maltraitance qu’elle a opérée sur son
enfant, dépasse les limites de l’entendement.
Les infos dans
les radios et les télés ne sont que violences de plus en plus violentes, décrites,
racontées et commentées dans la violence des débats superficiels et orientés.
Le monde n’est pas devenu fou : IL EST FOU. Et je n’ai jamais entendu le
moindre mot qui pourrait amener le calme et la paix. La violence, le mensonge
et le déni, sont dans la nature de l’homme. L’homme EST un animal féroce et
bien pire. Et ce n’est pas par le châtiment et la vengeance que les liens
jamais créés vont voir le jour. Personne ne voulant mettre au centre du débat
la thérapie de Freud, il n’y a pas de solution. Rien à ajouter !