PS : la psychanalyse est enseignée dans les universités françaises. Une reconnaissance administrative, c’est déjà ça…
PS : la psychanalyse est enseignée dans les universités françaises. Une reconnaissance administrative, c’est déjà ça…
Allemagne. On aime la faribole au diocèse de Cologne. Des milliers de connexions à des sites pornographiques auraient pour origine ce lieu de méditation. Je comprends les accusés. Ce ne doit pas être rigolo d’être au service d’un Dieu fantôme. Ces gens-là ont besoin de se défouler et ils vont chercher leur plaisir là où ils peuvent le trouver. Que ceux qui n’ont jamais péché leur jettent la première pierre.
Mare de recevoir des conseils quand je ne les demande pas. Le Roi de France et sa bande : « Il fait chaud. Les vieux doivent s’enfermer dans leur chambre, fermer les volets, rester dans le noir, et boire un litre d’eau toutes les trois minutes, pendant tout le temps de la pandémie : le soleil qui brille. » Les vieux - dont je suis - t’emmerdent Roi de France. Occupe-toi de ton inaboutissement psychique et de ta maman - une vieille - que tu as épousée et cesse de nous faire chier. Aujourd’hui, tout est prétexte à conseils avant obligation, quel que soit le sujet. L’inquiétude n’est ni la chaleur, ni les incendies, ni les inondations, mais l’infantilisation de la masse pour mieux introduire la dictature qui sera très bientôt la règle dans tous les pays de la planète. L’inconscience a vaincu le conscient. Freud se sera bougé le cul pour rien. L’ignorance est la devise des peuples et de leurs bourreaux. Alors qu’il aurait suffi de pousser la porte du cabinet du psychanalyste pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et la traverser. La face noire du monde en aurait été changée !
Sarko a désigné son poulain pour la prochaine élection du Roi de France :
Darmanin. S’il le croit ! J’aurais aimé qu’après la fin de règne de l’ado
au psychisme inachevé, les français songent à inventer la Démocratie. Apparemment,
ce n’est pas encore pour cette fois. Décidément, cette pauvre France en lambeau
vit ses derniers jours avant une dictature à la King Kong-1 et sans doute pire.
Parce que l’inertie des français pourrait bien amener au pouvoir une Rousseau
qui saurait très bien leur faire baver leur lâcheté.
Le maire de Toulouse a interdit le spectacle de Dieudonné sous prétexte d’effet provocateur et de spectacle malsain. Comment c’est individu ignorant - le maire - peut-il interdire un spectacle auquel personne n’est obligé de se rendre ? Sans doute parce que cela arrange bien sa tambouille politique et que cela le montre comme un grand moraliste qui s’occupe bien de ses petits poussins crétins. La liberté d’expression, c’est pour tout le monde et pas seulement pour des humoristes gauchiasses-mélenchiens de France Inter. C’est ça la dictature. Et tout le monde se tait.
Mare de toutes ces conneries. Je sors. Et je suis sûr que vous savez où je vais.
Des écolos - ces grands et dangereux malades de notre fin de civilisation - ont dégradé la statue de Ludwig van Beethoven qui se trouve sur la place centrale de sa ville natale : Bonn. Cet homme de génie, aurait-il un quelque rapport avec le réchauffement climatique ? Aurait-il proféré quelques injures à l’encontre de ces tarés ? Aurait-il composé une œuvre relatant leur psychisme fracassé ? Non ! C’est que ces dangereux criminels ne s’attaquent qu’aux faibles. Comment une statue pourrait-elle mettre son pied dans leur cul ?
Les catastrophes, les immondices, les exactions, les meurtres, les viols, couvrent la terre d’un épais manteau de sang. Et au centre du potage inodore, la France titre ses Unes avec le grand retour de Mbappé, un joueur de ballons, enfant multimilliardaire, acclamé par les foules asservies et ignorantes, et le grand débarquement de Charles III - quel était donc le numéro de De Gaulle ? - Roi du royaume d’Angleterre, qui va venir saluer la tour Eiffel avec sa couronne et son sceptre, ce qui va encore bloquer la circulation dans le quartier. En France, on papote aussi beaucoup autour du massacre de la jeune femme de Cherbourg et on évite de rappeler la disparition, depuis une dizaine de jours, d’Abdel Fedala, le fils d’un des plus grands gangsters marseillais. Aucune presse - même pas mon JDD - n’a mentionné, ce matin, le beau film qu’Arte a proposé hier soir, « Gilbert Grape », avec Depp, Di Caprio et Lewis, du suédois Hallström. Comme toujours, en France, tout va bien. Le Samu est en grève. Le 15 ne répond plus, Les urgences ferment. Les médecins en tous genres sont aux abonnés absents et, courgettes sur le rôti, elle - la France - va doubler, voire tripler, sa population avec du rugby, puis, je ne sais plus, puis les jeux olympiques, alors qu’elle n’a ni les structures, ni les finances pour ces genres de fumisterie. Comme je l’écrivais il y a onze jours, « Ne pète pas plus haut que ton cul » me répétait sans cesse ma grand-mère Florine, qui était et est toujours le personnage le plus sensé que j’ai rencontré sur cette terre en 80 ans. La France n’entre jamais dans ces considérations d’un âge révolu. Et puis, hier, un enfant a été « oublié » sur une aire d’autoroute, en Mayenne. Comme vous avez tous compris, je ne dirai pas ce que j’en pense.
Abdel Fedala, avocat, fils d’un célèbre truand marseillais, est recherché par la police depuis le 3 août dernier. Il aurait fui après avoir renversé et blessé grièvement une femme à la sortie d’une boite de nuit. Il aurait dû rejoindre prochainement son amie d’enfance Barbara qui attend un enfant de lui. Sa famille n’ayant aucune nouvelle de lui, il se peut qu’il soit en fuite, peut-être en Suisse, ou qu’il se soit suicidé. Barbara, que je n’ai pu joindre sur son smartphone, serait très déprimée. Il est bien vrai que la vie n’est pas toujours très belle…
Je pense à ce concert de 2003, à
Lucerne, où Claudio Abbado - un homme authentique, une rareté - dirigeait la 2e
Symphonie de Gustav Mahler. Je pense à son visage tourmenté, à son regard
incisif, à son geste caressant les lignes mélodiques. Je pense à ses
extraordinaires musiciens qui ont joué avec un bonheur infini et en parfaite cohésion
avec la pensée du maitre incontesté. Elle est là la vie. Elle n’est nulle part
ailleurs et surtout pas dans les absurdités, dans les mensonges, dans les dénis
et dans la puanteur de ceux qui vous parlent politique - élus, journalistes,
chroniqueurs, bavardeurs incorrigibles - en vous faisant croire qu’ils vont vous apporter le
bonheur. Le bonheur est en vous, rien qu’en vous. À vous de le trouver - voir
par ailleurs ma tirade sur Freud -. Les autres, tous les autres ne sont rien,
que des riens qui valent moins qu’un vieux morceau de papier cul. Ils ne sont
que des morts décomposés qui n’ont jamais réussi à trouver la vie, celle qui, vivante, est la seule à vous permettre de vivre.
C’est amusant de voir que l’Ukraine et la Russie se titillent à coup de drones, comme on s’amusait, quand j’étais tout petit, à s’envoyer des avions en papier dans la cour de récrée. L’homme n’a jamais grandi. Il est resté un éternel enfant qui est persuadé que la vie est un jeu sans fin. L’Ukraine et la Russie jouent aux soldats de plombs comme cela s’est toujours fait. D’un côté l’enfant au psychisme inabouti créé des conflits appelés guerres pour tuer le plus possible de gens qui n’ont rien à faire des guerres, et de l’autre, ce même enfant - toujours aussi inabouti - invente des sciences pour prolonger la vie et laisser sur le tapis des millions de handicapés physiques et mentaux qui attendent et attendent la mort, sans rien faire. Et c’est d'ennuis qu’ils meurent la plupart du temps. Au fond, ce n’est pas si mal la guerre. Ça permet de mourir tôt et de débarrasser la terre du trop-plein d’humains qui n’ont jamais été humanisés. On nait taré. C’est une évidence. Aussi faut-il se déconstruire pour se reforger, se refabriquer, se régénérer. Pour cela, il ne faut pas attendre pour pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et le traverser. Macron, Mélenchon, Salamé, Ruquier, Biden, Poutine, Napoléon et Louis XIII, ne l’ont pas fait. Je vous laisse voir dans quel état on est. Plus on s’enfonce, plus le remède proposé nous pousse vers le fond. Et cela n’a pas l’air de nous traumatiser puisque nous persistons dans le déni le plus absolu. Tant pis. Je n’y peux rien. Je vous laisse. Désolé. C’est l’heure de mon café que je vais aller prendre chez mon Leclerc, non sans avoir salué ma voisine de palier. A demain, à moins que…
J’ai écrit quelque part sur Facebook et suite à une publication, que tout le monde avait besoin d’un psy. Et ajoutant qu’il était préférable, pour moi et pour l’humanité, qu’il soit freudien, j’ai provoqué un tremblement de terre et une nana déglinguée, affirmant que Freud ne produisait que des dégénérés, des abrutis, des psychopathes et tous les repoussoirs de la terre, m’a traité de tous les noms en affirmant que mon état désespéré n’était pas étonnant parce que je publiais des articles qui traduisaient mon amour indéfectible pour l’extrême droite. Je n’ai pas eu le temps de lui répondre que j’étais socialiste depuis bientôt 80 ans et que je n’avais pas l’intention d’en changer, même si mon parti a disparu dans l’univers. J’apprécie et je suis régulièrement les « mousquetaires » de Christine Kelly sur Cnews, parce que j’aime l’intelligence et les sujets traités à fond. Ceci ne m’assimile nullement à un quelconque parti. Et je ne voterai en aucun cas pour Le Pen ou Zemmour - ou pour qui que ce soit -, parce que je ne vote pas. En monarchie totalitaire, on ne vote pas. Donc, je n’ai pas eu le temps de lui répondre parce que je ne sais pas comment on doit s’adresser à une folle excitée pour tenter de lui faire comprendre ce qu’on voudrait qu’elle comprenne. J’ai préféré me séparer d’elle pour toujours en la bloquant. Ceci étant réglé, je vais sortir prendre mon café et regarder passer les gens sans importance. Ce sont souvent eux qui ont du bon sens !