On me dit que les rues de la France vont être submergées aujourd’hui dimanche. Non pas par les eaux des ruisseaux, mais par des marées humaines qui vont défiler en cadence dans une marche pour la paix dans le monde et peut-être à Gaza. On me dit qu’il y aura Adjani dans la foule, ce qui va considérablement la faire grossir, les marcheurs ne voulant pas rater l’occasion de voir l’actrice en vrai, surtout qu’on me dit aussi que son visage n’est plus Adjani depuis sa maltraitance permanente. Je ne comprends pas le pourquoi de ces marches pour la paix puisque depuis le début des mondes, il n’y a pas eu un seul jour sans guerre – de religion quasi exclusivement – et que cela perdurera – quoiqu’on fasse – jusqu’à la fin des temps, l’homme étant de nature sauvage et guerrière. Quand l’homme qui ressuscitait les morts – je me demande pourquoi – a déclaré qu’il fallait s’aimer les uns les autres et laisser venir à nous les petits enfants, il a inventé les orgies et toutes les saloperies. Beaucoup l’ont écouté, croyant que leur Dieu falot et imaginaire avait ordonné à son fils de descendre sur terre pour sauver les hommes. Non seulement le pauvre malade, mort cloué sur une croix, n’a rien sauvé, mais il a tout détraqué, tout détraqué ce qui était déjà fort détraqué avant son arrivée dans une étable au milieu des vaches et des rois marginaux. On me dit. Tous les jours, on me dit. Et rien ne se passe. Le monde qui croit progresser, régresse à grande vitesse. Quand va-t-on regarder ce qu’il faut voir ? Quand va-t-on entendre ce qu’il faut écouter ? C’est derrière l’image qu’est l’image. C’est dans notre psychisme où se déroule la guerre entre le conscient et l’inconscient que se joue notre histoire. C’est parce que l’homme refuse de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser, que nous en sommes là, comme Laura et Dale de retour à la maison, comme Eve et Villanelle, deux femmes en une dans le pire des tourments. Le psychisme est la fondamentale. Il n’a rien à faire des politiques illusoires, du fantasme des religions purulentes, des morales castratrices. Seule la pensée aboutie peut nous sortir de la mélasse dans laquelle nous nous enfonçons et suffoquons. Un peu de courage : tous en thérapie !
dimanche 19 novembre 2023
samedi 18 novembre 2023
vu à travers le tube • le referendum tombe à l’eau…
La perversité de l’ado ou enfant – difficile à discerner –, au psychisme inabouti qui se dit Roi de France alors qu’il n’a obtenu – selon de vrais calculs authentiques – qu’à peine 18% de suffrages, a été, hier, à son comble. Tout était prévu et bien organisé. L’enfant qui n’avait pas le courage d’avouer qu’il ne voulait pas de référendum sur l’immigration, a retourné facilement les chaussettes de ses soumis et de son opposition qui ont immédiatement annoncé à la presse qu’il était sage de ne pas organiser cette consultation. Bardella (RN) a été le seul à ne pas lécher les pieds du Roi. Merci Bardella. Donc, sous l’ère Macron, il n’y aura jamais de referendum. D'ici à 2027 – quand l’enfant prendra sa retraite – la France sera à genoux devant les Frères, et nous vivrons comme en Afghanistan. Après tout, pourquoi pas. Un peu de rigueur et d’exigence n’a jamais fait de mal à personne. Moi, je m’en fiche éperdument. Je serais mort et heureux de l’être. Ici, sur terre, la vie n’a pas plus de valeur que ce morceau de papier cul que les naïfs glissent dans la fente des boites à coucou de Johnny. 8h34. Il est temps que je mette mes chaussures pour me rendre chez mon Leclerc, prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier. À demain… j’espère !
vendredi 17 novembre 2023
vu à travers le tube • chiottes, ciotti, injustice…
Ciotti n’ira pas à Saint-Denis, chez les Rois criminels. L’obsession du palabre sans lendemain du Roi actuel, le dégoute profondément. S’adressant l’ado au psychisme inabouti, Ciotti dit : « En démultipliant les initiatives extérieures au champ institutionnel, vous participez à les affaiblir et à nourrir la crise de la démocratie ». Il n’a pas tort, Ciotti !
Le policier mis en cause dans la mort de Nahel est sorti de prison. 4 mois de prison pour un homme qui n’a fait que son devoir, tenter d’arrêter un voyou. Et la mère du malfaisant d’organiser une manifestation ce dimanche, pour que l’on remette en prison l’honnête homme. Si, en France, il y avait une Justice, un pouvoir compétent, cette manifestation serait interdite et la femme arrêtée pour trouble à l’ordre public.
jeudi 16 novembre 2023
vu à travers le tube • belatar, benalla et plus…
L’ado au psychisme inabouti qui occupe les fonctions de Roi de France a donc pour conseiller le néfaste humoriste Yassine Belatar, un thermomètre aux vapeurs sulfureuses, ayant été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour menaces de mort, en septembre dernier. Il y avait déjà, auparavant, le truand Alexandre Benalla. Belatar, Benalla, des voyous de la pire espèce que le Monarque aime fréquenter. Et par deux fois, cette ignoble populace qui a mis l’enfant détraqué au pouvoir. Il y a une grande partie de la population qui n’a vraiment rien dans la tête. Et dire qu’une autre partie, encore plus fracassée, voudrait assoir Mélenchien sur le trône du Château de l’Élysée et le voir jouer dans les jardins avec ses chiottes et ses chiots. Je suis fier de ne plus voter. Je pourrai ainsi mourir sans être complice de la déchéance de la France. Cela fait bientôt 80 ans que j’attends l’invention de la Démocratie. Et comme cela n’arrivera jamais, je me demande si une bonne dictature inflexible ne serait pas la solution pour remplir enfin les cerveaux vides. Je préfèrerais que l’on s’intéresse à Freud, parce que sa thérapie est la seule capable d’ouvrir les pensées et dévoiler les faux-semblants. Mais, les peureux et lâches influents en ont décidé autrement. C’est en nourrissant intelligemment l’individu qu’on élève les peuples. Et pourquoi faisons-nous tout le contraire, depuis notre avènement ?
mercredi 15 novembre 2023
vu à travers le tube • retour en arrière…
Le jeudi 21 décembre 2017, j’écrivais : « Le monde – ce qu’on observe sur la terre – n’a rien – rien – de beau et d’attirant. Les arbres, les petits oiseaux, les petits monstres pondus par la femme, sont des arbres qui cachent la forêt où se terrent les forces inconscientes de l’humanité. Qui pourrait oublier : « Fire walk with me ! » (Feu marche avec moi ), qui est l’image du parcours des hommes de toutes conditions. Nous naissons inconscients, angoissés, incultes, trouillards, égoïstes… sans miroir, handicapé à 100%. La femme pondeuse peut, elle seule, y remédier alors que jamais personne n’a su – ou n’a voulu – le lui dire. Il ne sert à rien de donner le sein au rejeton si elle ne lui donne pas simultanément le regard, miroir où il pourra voir son regard et entrer dans la compréhension. Il ne sert à rien de lui dire si les mots ne pénètrent pas ses maux avec lesquels il est sorti de la chambre rouge où il croyait reposer éternellement et sans la moindre pensée. Il faut lui montrer la porte où le feu fond la glace et découvre le lien qu’il devra consolider pour espérer vivre en harmonie avec lui. Les autres ne sont pas. Ils ne peuvent être, sauf si le reflet de son regard fait l’unanimité avec lui et si les deux forces unies entrent en capacité d’affrontements positifs. Les lois – si lois il doit y avoir - ne peuvent être qu’à l’image du croisement des regards. Sans cela, toute construction sera irrémédiablement massacrée par le vent qui prend naissance dans la forêt, élément naturel, impitoyable et imprévisible qui régit toutes les vies. Nous sommes loin du compte puisque nous ne sommes pas encore partis et ce ne sont pas les Héros et les Rois qui vont siffler le départ de la vie ! »
Peut-être qu’aujourd’hui j’écrirais différemment, mais je ne crois pas que j’en changerais l’esprit. Rien n’a changé depuis cinq ans. Bien au contraire puisque le gouffre de la fêlure s’est encore accentué. Décidément ce monde est une belle erreur.
mardi 14 novembre 2023
vu à travers le tube • voir ce qui n’est pas vu…
lundi 13 novembre 2023
vu à travers le tube • inconscient…
dimanche 12 novembre 2023
vu à travers le tube • ignoble…
samedi 11 novembre 2023
vu à travers le tube • stupidité et ignorance…
La France est gangrenée par ses élus, quel qu'en soit le bord, ses journalistes et ses commentateurs professionnels qui pullulent sur les ondes et les écrans. Les débats continus sur les chaines d’informations continues sont affligeants par l’aplomb de ces moulins à paroles ignorants. Et si on a le malheur de brancher la radio ou la télé, on se retrouve de suite à l’église pour le catéchisme ou à l’école pour la morale et la politesse assénées aux années 50. La France ne cesse d’avancer à reculons. Et nous, on marche dépourvu, dans cette parodie de parodies sans fin.
vendredi 10 novembre 2023
t'a-t-on dit...
t’a-t-on dit
que tu es un porc
parce que ton corps
est pourvu d’un épi
t’a-t-on dit
que ton épi se dresse
parce que sa détresse
est le moteur de ta vie
t’a-t-on dit
que c’est la liberté
que tu dois trouver
pour vivre la vie
que ton corps enserre
et que tu dois tuer
pour pouvoir libérer
celle qui t’est si chère
Poèmes improvisés en vers et parfois en prose
Hervé Auguste Gallien
vu à travers le tube • effrois et effarements…
La marche contre l’antisémitisme, de ce dimanche, est devenue la marche crapuleuse des crapules de la politique qui n’ont rien à faire des massacres perpétués contre Israël dignes de la période hitlérienne. L’unité voulue – ou pas – par les deux corbeaux du perchoir, est passée dans les oubliettes et fracture encore plus la France fracassée et agonisante, sous les yeux de son Roi maudit qui aura achevé la mourante sans que le peuple élève la voix. Les seuls qui aboient haut et fort sont les chiottes et chiots de Mélenchien. Ça ne compte pas. Ce sont des animaux des plus mauvais cirques. Qu’on m’explique pourquoi Serge Klarsfeld, le chasseur de nazis, se réjouit de la participation du RN au rassemblement et s’inquiète de la résurgence d’un antiféminisme chez les animaux sauvages que je citais précédemment.
Le très sérieux magazine Géo nous informe de la découverte d’un animal hybride issu d’une copulation entre un renard et un chien domestique. Et voilà où nous mènent le wokisme, le LGBTQSKN, et l’immonde connerie de leurs satellites. Le bébé qui résulte de leurs amours ne peut être baptisé, car il n’est pas identifié. On ne sait même pas s’il s’agit d’un rechien ou d’un chienard. Ce qu’on sait, par contre, c’est qu’il est bien le fruit de deux homos.
jeudi 9 novembre 2023
vu à travers le tube • les corbeaux de la fontaine…
mercredi 8 novembre 2023
vu à travers le tube (bis) • chiottes et chiots et toute la suite…
vu à travers le tube • et hop ! et plus…
Au début des mondes, les guerres ont commencé entre les anges et les démons. Les anges avaient des ailes, les démons des doigts crochus. Tout de suite, il y a eu les traitres. Des anges et des démons ont copulé entre eux et se sont multipliés. Aujourd’hui, on n’arrive plus à les discerner. Les gentils sont méchants. Les méchants sont gentils. Les gens de droite sont à gauche. Les gens de gauche sont à droite. Les hommes sont des femmes. Les femmes sont des hommes. La parole s’est désolidarisée de l’acte. L’acte s’est désolidarisé de la parole. Le mélange des genres brouille la vue, parasite le son et interdit le discernement. Discerner, c’est faire la part des choses, en faire le tri et bien les séparer en toute sécurité. Comprendre l’autre est un travail acharné de toute une vie. Quand jésus a dit : « Aimez-vous les uns les autres ! » il a fait une terrorisante boulette, car il prônait le mélange des genres, des races, des idées, de toutes les innombrables incompatibilités. Jésus n’était qu’un ado inabouti prisonnier de ses origines : une mère vierge et un père sans sexe. Voir et entendre, c’est accéder au stade adulte, ce qui n’est possible qu’en ayant la capacité de s’identifier précisément. Le travail d’identification ne peut se faire sans l’aide d’un sachant spécialiste du psychisme. J’en arrive donc à ma conclusion, qui ne cesse d’agacer les populations et leurs gourous. Sans ouvrir la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, l’homme ne sera jamais homme. Toujours, il restera le petit enfant coincé sous les jupes de sa maman et toujours, il manquera cruellement de discernement pour mener sa vie et – souvent – celle des autres, au port d’attache qui est le sien.