mardi 6 février 2024

vu à travers le tube • stagnation…

Depuis sa vie dans les cavernes, l’homme n’a pas bougé d’un demi-pouce. À l’époque de l’intelligence artificielle – ce qui est bien normal puisque l’intelligence naturelle stagne depuis toujours – l’homme conserve jalousement son ignorance et sa superbe perversité. Alors que le peuple ne trouve plus de médecins, alors que les urgences sont saturées, alors que les médicaments indispensables ne sont plus fabriqués, le monde entier s’est mis en berne parce que le Roi d’Angleterre a un cancer, comme la France se met en berne quand Mbappé a un bobo à un orteil. Et puis, autre catastrophe, Bayrou revient en politique. Ministre de la Culture, peut-être – pas sûr -, où l’envie irrésistible de succéder à François 1e. La partie n’est pas gagnée mais… rien n’est impossible dans un monde fracassé qui avance en ne cessant de reculer dans le noir de l’ignorance. Et cet égorgeur de la gare de Lyon-Paris à qui les médias font une publicité monstre ? Pourquoi tergiverser ? Ce psychopathe au dernier degré doit être jeté au milieu de l’océan pour finir ses jours dans le ventre des requins sans autre forme de procès. Et il y en a tant d’autres qui devraient subir le même sort. Et puis il y a aussi tous ses gogos qui attendent et réclament un gouvernement complété. Du calme, ça vient. Et en quoi ce gouvernement enfin installé va-t-il changer quoi que ce soit ? C’est le Roi qui décide. C’est lui qui décide seul avec sa maman qu’il a épousée. En France et presque de partout ailleurs, ça ne sert à rien un gouvernement, pas plus qu’un parlement. Tous les pays ont des chefs dictateurs, désignés ou non. Et ceux qui ne sont pas chefs – tous les autres – n’ont qu’un devoir : celui de subir et de se taire. Et ça ne doit pas déplaire puisque c’est ainsi depuis le début des mondes.     

lundi 5 février 2024

vu à travers le tube • freud, rien que freud…

Ils étaient au centre de rétention de Lille-Lesquin. Ils ont saccagé les téléphones. Ne pouvant plus papoter avec leurs complices terroristes de France ou de l’étranger, ils ont fait appel à la Justice qui les a libérés et rendus à la rue où ils vont pouvoir trancher les cous à volonté. Comment comprendre que nos institutions encouragent la vermine à nous dévorer ? Masochisme, déchéance ou ignorance ? C’est la vision du monde qu’il faut changer. Et le seul moyen d’y arriver, c’est bien de changer, du tout au tout, le psychisme des z’inhumains que l’on persiste à nommer « humains ». Et peu importe si vous ne supportez pas de lire son nom, seuls les travaux de Freud peuvent nous sauver. Freud, rien que Freud.

dimanche 4 février 2024

le puits au fond du jardin • psychanalyse…



 

Un psychanalyste ne passe pas sa vie sur les plateaux des tristes rigolos. Gérard Miller n’est pas psychanalyste. Une mère qui prétend, en parlant de ses enfants, qu’il faut de la distance, de l’indifférence, qu’il faut s’en foutre et qu’il faut les faire garder le plus souvent qu’on le peut, ne peut embrasser la profession de psychanalyste. Corinne Maier est peut- être un écrivain, mais en aucun cas une psychanalyste. Trouver un psychanalyste authentique et freudien – obligatoirement – est un parcours de combattant. La plaque sur la porte d’entrée est le plus souvent un attrape-nigaud. Méfiance, car la thérapie mal appliquée peut vous conduire dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Seuls les thérapeutes qui ont été longuement analysés peuvent appréhender votre confiance. Vous les trouverez sur le site de la SPP (Société Psychanalyste de Paris). Si certains, parmi les autres, arrivent à vous apporter quelques choses, ce ne peut être qu’un flot de pansements sur une jambe de bois. Les médecines de substitutions – dans mon immeuble, elles remplissent les deux premiers étages – ne sont que des mauvaises farces de charlatans, farces qui ont un succès considérable, les masos ignorants couvrant largement la surface de cette pauvre terre. Tout individu, qui qu’il soit et d’où qu’il vienne, devrait faire suivre son psychisme tout au long de sa vie. Cela éviterait la plupart des conflits, des violences et des guerres éternelles qui font les délices des puissants. Depuis le début des temps, l’organisation de la vie est une erreur. Une erreur terrifiante puisqu’elle n’a changé en rien tout au long des siècles. L’homme reste veule, peureux, menteur, méchant et violant. Quand il ne se réfugie pas sous les jupes de la femme coupable qui l'a trahi en l’éjectant méchamment de son ventre sans lui demander son avis, il court réclamer la protection de son dieu qui ne peut lui répondre puisqu’il n’existe pas. Son dieu n’est que l’invention de son psychisme. Et ça, tout particulièrement, ça se guérit.       


samedi 3 février 2024

le puits au fond du jardin • dire ou ne rien dire…



 

Que dire quand on n’a rien à dire ? Qu’écrire quand les mots qui viennent sont ceux de la veille ? Est-il utile et salutaire de redire toujours les mêmes choses, surtout que le répétitif n’est que le fait de tourner en rond ? Le cercle, la boucle se ressasse sur elle-même pour tourner court à l’imagination. L’or volé au Rhin est retourné dans son berceau, signant ainsi le crépuscule et la fin, des dieux et des hommes, puisqu’il semblerait que ces deux entités opposées soient liées à tout jamais, l’homme n’ayant qu’inventé une représentation de son imagination, sa propre vérité, mensonge pour les autres. Être ou pas, c’est la même chose, les morts jouant aux vivants puisque les vivants sont morts. Ainsi interfèrent la vie et la mort, sans frontières et sans savoir qui vit mort ou qui est mort en vie. Les progrès de la fascinante et inutile technologie sont inversement proportionnels à l’évolution des psychismes qui se dissout au fil des temps. L’homme a sacrifié sa propre pensée aux flots des océans parce que jamais il n’a su la maitriser. Les guerres éternelles viennent des images contradictoires qu’on se plait à contempler et auxquelles nous ne cessons de nous identifier, comme si nous n’avions pas assez à faire avec notre propre identification. Continuer à se donner des chefs, qu’ils soient dieux ou hommes, est le reniement de ce que nous sommes. Être soi, c’est se chercher, se trouver, se regarder, s’aimer et se dissoudre en soi. La vie prend alors tout son sens et sa puissance peut égaler celle de ces innombrables dieux qui n’ont apporté sur terre que misères et déceptions.


vendredi 2 février 2024

vu à travers le tube • attal-macron, macron-attal et les non-sages…

Il est évident qu’Attal est anti-Macron et qu’il a l’audace de l’honorer tout en le trompant. Et c’est ce qui fait sa prestance et sa popularité. Ça ne va pas durer, ledit Macron écrasant sans pitié tout ce qui s’érige sur son parcours solitaire et criminel. Les agriculteurs rentrent provisoirement dans leur ferme parce qu’Attal a su trouver les mots adéquats alors que ceux de Macron ne font que les pousser à la révolution. Pourtant, les deux compères disent les mêmes choses tout en disant le contraire. La proximité du salon de l’agriculture et des inutiles et ruineux jeux olympiques ne laissaient guère le choix à nos deux autorités mortes de trouilles : céder ou faire semblant afin que ces deux manifestations se déroulent dans de bonnes conditions. Rien n’est joué. Peut-être même que tout commence. La suite ne va guère laisser de temps pour se manifester. Bravo aux paysans de France qui ont su, le temps d’un instant, être les maîtres des horloges en place de l’ado au psychisme inabouti qui se cache sous les jupes de sa maman. Pour ma part, ce qui m’a fait sauter de joie, c’est le coup de bâton donné aux sinistres écolos en annonçant la mise en pause du plan Ecophyto, visant à réduire l'usage de pesticides. Tout ce qui peut clouer le bec à ces tarés, rallonge ma vie de plusieurs décennies.

 

Quand va-t-on cesser de nommer « Sages » les vieillards corrompus du Conseil Constitutionnel. Je me demande s’ils vont encore être consultés sur l’attitude du Sénat remettant en cause la censure scélérate qu’ils ont opérée envers la loi immigration. En effet, les sénateurs centristes ont déposé un texte reprenant les nombreuses mesures que les constitutionnalistes – à vérifier -, ont jetées dans le bûcher des forfaitures.

jeudi 1 février 2024

vu à travers le tube • anatomie de la chute…

Le peuple et ses dirigeants ne veulent pas comprendre que le cancer foudroyant de la France, c’est la psychose ravageuse de l’écologie et l’invasion barbare de l’immigration. C’est de même pour nombre de pays. Il est vrai que, plus grave encore, c’est l’ignorance généralisée qui pousse les masses et les intellos sur les chemins détournés où l’on ne rencontre que les sorcières et les monstres de nos beaux contes de fées destinés aux adultes assumés. Parmi les milliers d’aberrations vérifiées, de la journée d’hier, il restera l’image des chars d’assauts du Roi de France face aux tracteurs des paysans qui n’ont plus les moyens de nourrir leur famille et de vivre décemment, alors qu’ils sont les seuls à travailler sans interruption du premier au dernier jour de l’année, pendant que les représentants du peuple – députés et sénateurs – augmentent leurs confortables revenus sous prétexte qu’ils auraient des frais de poche exubérants. Et le Roi, cet ado poisseux inabouti qui se réfugie sous les jupes de sa maman qu’il a épousée, profite de leur détresse pour les arrêter et les mettre en garde à vue. Jamais la France n’a fait preuve d’autant de lâcheté. Honte à tous ceux qui se précipitent aux urnes pour donner des pouvoirs à ces misérables excréments. La France est passée totalement à côté de la démocratie. Sa dictature inavouée est bien pire que celle des pays totalitaires, parce que chez eux, la couleur est annoncée. Rien n’arrêtera la chute déjà bien amorcée. Le noir s’étend lentement et sûrement. La fin de ce monde est une aubaine, car elle peut laisser espérer un nouveau monde à venir, un monde où l’humain – s’il n’est pas robot-inintelligence artificielle - , n’inventera ni la roue, ni la corde à sauter, mais s’occupera uniquement de son psychisme, s’il ne veut pas reproduire les incompréhensibles erreurs de toutes les civilisations. J’espère que les nouveaux peuples retrouveront dans les bas-fonds, au moins un exemplaire de l’œuvre de Freud ou, peut-être, de Dolto.  Cela pourrait considérablement les aider.   


mercredi 31 janvier 2024

vu à travers le tube • les confusions scélérates…

Être français en 2024, c’est être homosexuel et Premier ministre. C’est ainsi que l’on pourrait résumer le débit assumé du jeune Attal qui a affirmé son appartenance servile au mouvement macronien des macronistes de l’ado au psychisme inabouti qui a élu domicile sous les jupes de sa maman. L’homosexualité n’est ni une tare, ni une maladie. Ce n’est qu’un inaboutissement du psychisme qui empêche les différentiations. Qui se ressemble s’assemble. Et il semblerait bien que le duo qui décide au sommet – l’un décidant, l’autre répétant les décisions – ne puisse que continuer à plonger la France dans la confusion. C’est la confusion qui tend le fil de la destinée et qui, cédant sous le poids des contradictions, provoque les tempêtes qui engloutissent jusqu’à recouvrir le monde. Nous en sommes là et les horizons fermés à tout jamais, ne laissent plus passer la moindre ombre qui pourrait réveiller les morts qui ne sont pas encore sous terre. La confusion est essentiellement dans l’identité que nous nous sommes données. Nous croyons la France républicaine et démocratique alors qu’elle n’est qu’une banale dictature où le roi-dictateur fait régner multiples confusions qui s’entrechoquent, se contredirent et sèment le désordre, la panique et le malheur. C’est le système électoral qu’il faut changer du tout au tout, en responsabilisant lourdement les élus qui ne tiennent pas leurs promesses. Chacun devrait savoir que les problèmes sociétaux sont liés étroitement aux décideurs élus, et que donc la question qui se pose est : « Qui les a élus ? » Peuple de France, TU es responsable de la chienlit actuelle. Moi, pas, je ne vote pas. Je ne vote plus. Tout le monde devrait savoir que le peuple est une somme d’individu. Changer le pouvoir, c’est changer le peuple, c’est changer l’individu. Et c’est donc par ce dernier qu’il faut commencer. Et pour le changer, il faut le débarrasser de ses oripeaux, de ses faux-semblants, de ses représentations psychiques. Il ne cesse de croire ce qu’il ne croit pas. Il ne cesse d’âtre ce qu’il n’est pas. Les confusions sont abyssales. Aussi, je me répète et j’en suis désolé. Pour se trouver, pour être soi-même, il suffit de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Ce n’est vraiment pas très compliqué.  

mardi 30 janvier 2024

vu à travers le tube • une fin de civilisation…

Le discours en Suède de l’ado au psychisme inabouti va se télescoper avec celui de politique générale du Premier ministre Attal. Ils seront inaudibles, couverts par les vrombissements des moteurs des tracteurs des paysans. Dans un moment crucial pour la survie du pays, le dictateur fuit. Après l’inde, c’est la Suède, puis sera Bruxelles pour discourir et ne pas agir, alors que sa place est à Paris, mieux, sur les routes de France, aux côtés des délaissés, pour leur affirmer que plus jamais un poulet venant d’Ukraine ne franchira nos frontières supposées. Plus coupable que la cour royale et ses dérivés, les oppositions qui ne cessent d’aboyer, ne sont même pas capables de casser les chaînes qui les maintiennent loin de la maison, pour mordre et dévorer les excréments qui empêchent de remettre les têtes où elles auraient dû toujours être et non plus à la place des pieds. Avec les agriculteurs, les taxis, le personnel communal d’Annecy, la CGT entre dans la danse en déposant un avis de grève de 6 mois, dès ce lundi et d’autres vont suivre. Le temps n’est plus aux mots, mais aux décisions immédiates sous forme de pansements géants, parce que pour régler tous ces innombrables problèmes, les appartenances politiques ne sont que des piteuses illusions. Changer le monde atteint d’un cancer en phase terminale, demande autre chose qu’un jeu d’enfants. Trouver le chemin à prendre demande discernement et connaissance des fondamentales. Seuls les esprits éclairés, seuls les psychismes élaborés, sont capables de bouger les pions. Le problème est de les trouver parmi les peuples morts avant leur naissance et dont la vie est la pire des illusions. Je ne vois que la sagesse d’Abbado. Il est mort. Ou l’innocence ravageuse de Wang. Elle est trop jeune. Il ne reste donc que Freud, toujours bien vivant au travers de sa thérapie psychanalytique qui pourrait renverser le monde si le monde, mort de trouille devant les réalités exposées par le maître, ne le fuyait pas comme la peste, préférant rester dans son état naturel : l’ignorance. Et c’est bien l’ignorance des peuples qui augure la fin proche de notre civilisation.


lundi 29 janvier 2024

vu à travers le tube • noir, noir, noir…

De partout, on annonce un lundi noir. Pourquoi la question « pourquoi ? » est-elle bannie de notre vocabulaire, comme Freud est banni de la solution ? En quoi ce lundi noir se différencie-t-il des autres jours, alors que tous les lundis sont noirs depuis le début des temps, comme sont noirs les mardis, les mercredis, les jeudis, les vendredis, les samedis, et les dimanches ? Depuis toujours, nous vivons dans le noir puisque nous refusons de mettre notre psychisme au centre de toutes nos pensées, de tous nos désirs et de toutes nos décisions. Celui qui n’a pas appris à relier son conscient à son inconscient est un être mort, car la vie ne peut surgir que de cette connexion. Et passer sa vie à rencontrer des morts qui se croient vivants n’est pas une partie de plaisir. Le problème des agriculteurs est le problème du monde : ignorance personnelle, ignorance des élites, ignorance des sociétés, ignorance générale qui conduisent en effet aux lundis noirs et surtout dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent tous les échecs du monde, de ce monde qui a rejeté Freud et sa thérapie psychanalytique, seul remède à la régénérescence de ce monde en perdition. C’est l’homme qu’il faut sauver. C’est l’homme qu’il faut remodeler. C’est l’homme qu’il faut transformer pour qu’il devienne authentique, pour qu’il devienne homme, l’homme qui pense et agit en homme conscient de ses représentations psychiques.   

dimanche 28 janvier 2024

vu à travers le tube • deux ou trois choses insignifiantes…

À Grésy-sur-Aix en Savoie, des inaboutis psychiques qui défendent la souffrance des asticots ou petits poissons vendus chez Decathlon et destinés à être accrochés au bout de la ligne des pêcheurs pour attirer le gros poisson qui atterrira dans notre assiette pour le bien-être de notre estomac, ont manifesté leur colère en bloquant les portes du magasin et en malmenant les clients. À leur inaboutissement, se superpose la connerie dévastatrice de cette fin de civilisation.

 

154 ans après le siège de Paris - épisode de la guerre franco-allemande de 1870 -, les agriculteurs reprendront le processus dès demain et comptent bien isoler les parisiens du monde et les regarder périr lentement par la soif et par la faim, ce qui ne sera pas vraiment dramatique quand on songe qu’ils pourraient bien terminer leur vie, rongés par les gros rats sales de Paris qu’affectionne particulièrement Madame Hidalgo.  

 

Les doutes sur l’avenir de la voiture électrique se font de plus en plus insistant. Si l’on fait bien les comptes, l’engin du futur serait bien plus polluant que la bonne vieille Traction avant. L’Europe serait en train de revoir sa politique, en différant la date de l’interdiction des véhicules à combustion. Voilà une bonne nouvelle. Je vais pouvoir ressortir ma 2 Chevaux de 1958 et parcourir les routes de France en tripotant mon essuie-glace manuel. Et puis, quelle chance : pas de clim’.     

samedi 27 janvier 2024

vu à travers le tube • l’ado inabouti…

Attal semblait faire bouger les lignes de l’Éducation nationale. Le Roi l’a vite déplacé. Les agriculteurs réclament le droit de ne pas mourir, en bloquant des routes et en bousant les préfectures. Imitant Louis XVI, le Roi fuit le problème, pas à Varennes, mais à l'Inde. Avant, il aura réussi à faire voter une loi qu’il ne voulait pas, une loi qui aurait peut-être – pas sûr – limiter le désastre de l’immigration, et la faire détricoter par les menteurs pervers du Conseil constitutionnel. On pourrait écrire un livre de 2430 pages avec les méfaits de ce genre, engendrés par les « sans foi ni loi » qui nous gouvernent depuis des siècles. Les grèves, les manifestations, les révolutions, ne servent à rien. On retombe toujours sur nos pattes cassées : la soumission au monarque totalitaire que nous nommons ou qui se nomme lui-même. Cela ne changera pas, sauf si les ados inaboutis que nous sommes, décident enfin de franchir le pas : consulter Freud pour devenir adultes. Combien d’individus savent qui est cet homme – le seul probablement depuis le commencement des temps – et ce qu’on y fait dans son cabinet ?


vendredi 26 janvier 2024

vu à travers le tube • la france, c’est fini…

Le Sage est celui qui a la capacité de comprendre et de juger justement toutes choses. Dans la monarchie totalitaire macroniste, il est le valet de pied du pouvoir, le modèle de la soumission, comme savent si bien le faire Fabius et Juppé. Alors que l’enfant au psychisme inachevé est en cavale, le club des retraités a donné les clés de la France aux fidèles des Frères Musulmans et aux voyous et criminels que nous envoient les pays étrangers. La droite a été trahie honteusement. La gauche, qui défend les violeurs et les bourreaux des corps, trahie aussi, puisqu’elle ne veut pas de loi réglementant l’immigration. Seul le pouvoir et ses soutiens robotisés crient victoire, le texte censuré ayant été vidé de sa substance droitière. Une fois encore, les imbéciles du pouvoir auront fait le jeu des droites dures qui restent, pour moi, socialiste de souche, convaincu et orphelin, une excellente chose. Seul – si l’on excepte Freud – un référendum sur l’immigration pourrait sauver momentanément la France à l’agonie. Mais l’enfant ignorant et capricieux n’en veut pas. Il aime savourer les souffrances. Et comme il est le seul à décider de notre sort à tous, c’est foutu. Bof ! Elle – la France – aura eu de beaux jours avec Lully, Rousseau, Jouvet, Beaudelaire, Bardot et Huppert. Ce n’est pas si mal. Elle peut disparaître sans regret, ce qui sera fait dans moins de deux décennies. Tant mieux et je m’en réjouis.    

jeudi 25 janvier 2024

vu à travers le tube • la révolte des paysans…

À l’Assemblée, on débat sur la stupide entrée de l’IVG dans la Constitution, alors que la France est en état de siège, ses forces vives, les paysans, n’en pouvant plus de travailler, sans relâche, pour perdre de l’argent, alors que ceux qui en ont, se payent du bon temps et ne cessent de demander plus.  Comment peut-on concevoir que ce soient les pauvres qui doivent nourrir les riches ? Comment concevoir que les gens de la terre nourricière soient dans une telle détresse ? Comment concevoir qu’aucun gouvernement n’ait mis bon ordre à ce scandale. Oui, la situation de ces gens est un scandale d’État. Et il ne peut y avoir de solutions parce que toutes les idées et les propositions sortent du même moule dont sont issus tous les politiques et leurs subordonnés. Je ne vois aucune différence entre le cerveau de Macron, de Le Pen, de Mélenchon, de mon boucher, de ma boulangère et du commissaire de ma police municipale. Ils sortent tous du même trou, celui de la femme coupable dont le psychisme est lézardé et fracturé à un tel point qu’il est en train de s’écrouler. C’est à l’homme qu’il faut s’attaquer. C’est l’homme qu’il faut reconstruire, qu’il faut rénover, qu’il faut régénérer. Et la seule proposition est l’uniforme à l’école, comme celui des bottes des marionnettes d’Hitler.  Moi, je propose Freud et sa thérapie psychanalytique, pour tous, afin d’apprendre à relier le conscient à l’inconscient pour permettre à l’homme de reconnaître les différentiations et de renouveler ses représentations. C’est tout. Heureux les simples d’esprit qui croient à l’animal politique !  


mercredi 24 janvier 2024

le puits au fond du jardin • l’autre chute…


« Anatomie d’une chute » rafle toutes les récompenses, dans le monde entier. Cette chute disséquée serait-elle celle du cinéma ? La laideur d’un chalet-refuge, un couple de tarés où la femme lesbienne alcoolique exaspère l’homme dépressif qui meurt dès les premières images, une caricature de procès dans un tribunal-asile psychiatrique, un couple chien-enfant qui observe ce bazar en se demandant ce qu’il fait là, et pour bien enfoncer le clou, une musique originale d’un farfelu ignorant. Justine Triet – incapable de bouger la caméra - s’est donné le premier rôle : la femme indécise et sans opinion n’ayant pas encore lu « La Philosophie pour les nuls ». Une caméra inexistante, des dialogues de marchés aux poissons, des caractères sans couleurs – excepté la démesure extravagante du méchant avocat -, de l’anti-cinéma, à moins que ce ne soit le cinéma d’aujourd’hui, celui qui ressemble tant au désastre de la civilisation. Bref, je n’ai vu qu’un banal reportage de France 3 sur une enquête policière ennuyeuse et un procès lu dans un roman de gare, pour laquelle il ne m’est jamais venu l’idée de me créer un frisson de compassion. Je retourne à Bergman, Bunuel, Hitchcock, Dumont, Lynch – encore Lynch -, Gilligan (Breaking Bad, Better caul Saul), Waller-Bridge (Killing Eve), Tolefdano et Nakache (En Thérapie) et quelques autres qui ont le pouvoir de me remplir. À force de sombrer, le monde ne voit même pas qu’il se vide du rouge de son sang dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. 

mardi 23 janvier 2024

vu à travers le tube • qui le veut ?

Les agriculteurs de France et d’Europe semblent reproduire le mouvement des gilets jaunes. En réponse à leur détresse, l’ado au psychisme inabouti qui vit sous les jupes de sa maman, les barde de contraintes infamantes, augment le prix de l’électricité et des médicaments et se prépare à abattre leurs vaches à lait parce qu’elles pètent dans les prés. Le blé pour le pain et l’avoine pour les ânes sont en voie de disparition. Il ne restera plus, pour les créatures de chaire, que la nourriture en 3D puisque la gente savante est incapable d’inventer le 7T ou le 10A. Et cet insoluble problème – bien pensé et bien voulu – n’est qu’une goutte d’eau dans un océan déchaîné où l’homme enchaîné vogue sur son vaisseau fantôme. Trahison ! Mensonge ! L’action n’est plus capable de rattraper les mots qui ont perdu leur sens. Qui est le pire ? Mélenchon ou Zelenski ? La femme coupable ou l’homme émasculé ? L’idée reçue ou l’ignorance ? La doctrine ou la bêtise ? Les fêlures de la terre nous plongent dans son centre où triomphent les feux cannibalistes. Triomphent aussi les marchands de vents et de rêves pendant que s’éteignent les lumières de nos fondamentales. Chercher, chercher encore, chercher toujours. L’ignorance n’a jamais sauvé qui que ce soit. Il faut apprendre, encore apprendre et toujours apprendre. Là-bas, dans un coin sombre du grenier se cache le trésor qui vaut plus que tout l’or du monde : Freud et sa thérapie psychanalytique qui sait comment reconstruire l’homme qui saura comment reconstruire le monde. Mais voilà. Qui le veut ?