Dans un monde qui s’écroule sous les coups de couteaux frappés dans le dos, Wauquiez abandonne sa région pour entrer de pleins pieds dans le monde des fous, bouffons gesticulants autour des rois pour les distraire de leurs égos pervers vampiriques, ici autour d’un enfant perdu, au psychisme inabouti, entré dans la folie avec sa maman pas très nette, bien avant d’avoir menti pour être sur le trône, ici, pour le distraire de ses phantasmes ravageurs qui, instable sur les deux rives, finit par se retrouver le nez dans le ruisseau. Privés de leur locomotive, les wagons s’écrasent les uns contre les autres et personne ne voient qu’ils laissent le grand vide que les dictatures auront vite fait de combler. Les chiottes et chiots de Mélen-Chien sont à l’affut et quand Panot et Bompard seront ministres, couchés au pieds du précité, statut de pierre du Commandeur – Castets n’étant qu’un alibi -, nous porteront tous, nous, enfants de Voltaire et Hugo, un pyjama zébré et connaîtront le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin qui est déjà trop plein. Les peuples n’ont pas fait confiance à Freud. Ils vont amèrement le regretter.