Brigitte Macron n’est donc pas un homme a dit la justice de feu Dupond-M. Et si on attaquait la justice en Justice, surtout qu’elle élude les relations que la dame de l’Elysée a eu avec un mineur, jadis !
Brigitte Macron n’est donc pas un homme a dit la justice de feu Dupond-M. Et si on attaquait la justice en Justice, surtout qu’elle élude les relations que la dame de l’Elysée a eu avec un mineur, jadis !
Les députés Renaissance disent ne pas savoir où ils vont. C’est facile pourtant. Ils vont où ils sont toujours allés, sur les chemins sans issus que leur montre l’enfant au psychisme inabouti qu’ils ont pris pour égérie. Ils devraient prendre conscience de leur inutilité mixée à leur immense connerie. Puisque Barnier prétend créer un nouveau gouvernement, qu’ils cessent de s’agiter inutilement et de vilipender le marmot qui leur offre gite et couverts depuis sept ans. L’avenir de la France est entre les mains des chiottes et des chiots de Mélen-Chien pour ne pas dire de Mélen-Chien lui-même, les français aimant les coups de bâtons et les humiliations. Pour éviter la terrible dictature qui nous attend, il ne reste que le RN (Rassemblement national), qui, s’il se débrouille bien, pourrait nous débarrasser du wokisme, de l’islamisme, des sexes ravagés et vidangés, des tueurs de rues, des pourfendeurs des lois de la République et de tout ce monde dit moderne, en pleine psychopathie et en retard d’une dizaine de siècle.
TPMP : « Moi je dirais que la gamine en avait besoin ». « Le nombre de commentaires dégueulasses, c'est grave, juste parce que la maman a un accent ». « Les gens sont à gerber », écrivent les internautes de X, scandalisés par les commentaires minimisant la violence d'une maîtresse sur une fillette de 3 ans. Qui sont les gens ? Eux, vous et moi. Il y a des mots qui demandent réflexions et qu’il serait judicieux de ne pas trop employer. Il est vrai que dans un monde sans limites où les pensants sont raretés, plus personne ne sait comment faire rentrer baudet à l’écurie.
Ils sont légion de marmites gaucho-islamiques à se demander à quoi peuvent servir leur vote, puisque l’enfant inabouti qui sert de roi à la France, a nommé Premier ministre un représentant d’une droite ultra minoritaire à l’Assemblée, alors que, eux, les gaucho-islamiques, se disent majoritaire après la forfaiture des additions. Moi, je ne me pose plus de questions sur les potages politiques. Je ne vote plus depuis plus de quarante ans. J’attends qu’un cerveau plein de lumière invente la Démocratie, celle où l’on ne voit pas sur les bancs de l’hémicycle des gens difformes qui donnent envie de vomir.
Le vieux monde entre à Matignon. La jeunesse ignorante et méprisante reste à l’Élysée. J’ai hâte de voir comment va se dessiner cette impossible cohabitation. Ce qui me réjouit, c’est que les chiottes et les chiots de Mélen-Chien l’ont dans le cul – les faux socialos aussi – et que l’on a rendu justice à Le Pen-Bardella qui vont désormais faire la pluie et le beau temps, ce que je trouve excellent. Je ne suis pas un ami de Barnier, mais, le vieux monde, c’est moi aussi et c’est pourquoi je peux affirmer que c’était le paradis par rapport à celui que je subis aujourd’hui. À l’époque de mon entrée dans la vie active, il n’y avait pas d’invasions islamistes, il n’y avait pas d’associations de femmes hystériques, il n’y avait pas de sexes factices ni de mariages entre deux vagins ou deux pénis, il n’y avait pas d’enfants qui égorgeaient les passants, il n’y avait pas de quartiers aux mains des trafiquants, il n’y avait pas de bobos nus dans les studios de France Inter, et personne n’acceptait de marcher les pieds en l’air. On était libre et on savait rester dans notre couloir pour ne pas gêner les voisins. C’était l’époque où j’étais dans la fosse de l’opéra, où j’allais au cinéma savourer Godard, Truffaut, Hitchcock, Bergman et Bunuel, admirer Brigitte Bardot et Jeanne Moreau, où je dévorais Les Cahiers du cinéma et Les Triomphes de la psychanalyse de Pierre Daco. Aujourd’hui, le monde inabouti et ignorant, vocifère des saloperies sur X et se croit intelligent parce qu’il passe son temps à recharger sa voiture électrique. La chute est impressionnante en si peu de temps. Je le vois en plongeant mon regard dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Les cadavres s’accumulent et les odeurs deviennent insupportables. Barnier a-t-il conscience du massacre qui ne cesse depuis l’aube des temps ? L’arrêter, c’est faire un choix. Une porte ne peut être qu’ouverte ou fermée !
Soit il a conscience qu’il n’y a pas de solution et que son incrédibilité va enfin être mise à jour, soit il sait, depuis 51 jours, qui il veut pour Premier ministre et il fait durer le plaisir – le sien – parce que l’annonce de son nom risque de provoquer un séisme. Il voulait Bardella pour rester au-dessus de la mêlée, pour le voir s’effondrer et débarrasser la France de gens plus intelligents et plus compétents que lui. Mais Attal s’est interposé et voilà l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, complètement défait. Où est le brillant jeune homme qui voulait révolutionner la politique ? Mais, c’était sans compter sur ses déficiences psychiques. S’il ne démissionne pas, il va être démissionné et cela lui laissera du temps libre pour pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Cela peut prendre vingt ou trente ans, mais après, il pourra retenter l’aventure, mais seulement si les français ont perdu la mémoire. Pauvre homme, à terre, sans le moindre bras charitable pour le remettre sur ses deux pieds. Ne l’a-t-il pas cherché le bougre flanqué de sa bougresse ? Tout à une fin. Et celle-ci n’est pas toujours heureuse !
Je suis de retour de Lucerne, l’autre monde, celui qui n’est pas illusion, celui qui n’est pas construit sur les remous des égouts, celui où les mots ont un sens, celui où les ressentis sont sans défaillance, celui où le chat est appelé chat, celui où l’esprit universel transcende les plus farouches individualités, celui où la valeur vaut, celui où la beauté est éclatante sans jamais trahir la réalité, bien au contraire, celui qui la sublime de la clarté de sa hauteur au plus sombre de sa profondeur, celui où les noms de Macron, Mélenchon, Mbappé, Cohen, Katerine ou Godrèche, croupissent au fond des poubelles et n’oseraient pas sortir le bout de leur nez. J’ai vu le grand, l’immense Sir Simon Rattle, donner une version épurée, ciselée et fondamentale de la 6e symphonie de Gustav Mahler, à la tête des incroyables et fabuleux musiciens du Symphonieorchester Des Bayerischen Rundfunks. J’ai entendu la beauté d’un tableau de Cézanne ou de Modigliani, d’un poème de Beaudelaire ou d’Hugo, j’ai vu et entendu ce qui me manquait encore. De retour dans le monde sale des petits enfants pervers et ignorants, comment pourrais-je ne pas me poser les vraies questions ? « La femme à la bûche, près de la cheminée, égrène les identités des codes… »
la femme à la bûche
près de la cheminée
égrène les identités
des codes qui trébuchent
les mots sont usurpés
par ceux qui les prononcent
au travers des meutes de ronces
pour choir dans les fossés
les mensonges boutés par la vague
engloutissent les pensées
qui hors des vérités
périssent par la dague
nous sommes et ne sommes pas
traversons sans bouger
si nous savons discerner
ce qui est et ce qui n’est pas
haG
Si l’enfant pitoyable – psychisme altéré, comportements juvéniles, incapacité de différencier – a démissionné son gouvernement, c’est pour lui permettre de se présenter aux législatives. C’est fait. Alors, qu’attend-il pour lui redonner ses fonctions. Celui-là ou un autre, qu’est-ce que ça change ? Ceux qui font confiances aux politiques, qui boivent leurs mensonges, sont dans le cas de l’enfant. Ce qu’il faut faire pour redresser la barre, le monde entier le sait, sauf les élus : supprimer l’élection du président au suffrage universelle, appliquer l’élection à un tour à la majorité relative et à la proportionnelle, incarcérer les délinquants dès la première incartade – qu’ils aient 10 ou 90 ans -, sur le champ et sans jugement, en en compressant dix dans une cellule de trois, tirer à vue sur tous ceux qui tentent d’échapper à la police, et, enfin, commencer toutes enquêtes concernant les mineurs par la mise en examen des parents qui auraient dû réfléchir à deux fois avant de passer à l’acte coupable, celui de pondre dans la plus totale ignorance des conséquences. Bref ! Comme le dit Fernandel : « On n’est pas sorti de l’auberge ! »
Dernier jour avant mon départ pour ma rencontre avec Gustav Mahler et Simon Rattle. Je vais oublier, pour un temps, les guignols tristes de la politique.
L’enfant immature au psychisme inabouti qui sert de roi à la France est parti en Serbie, laissant ainsi le pays agonisant aux mains du personnel de maison de l’Élysée, qui, s’ils sont capables de faire aussi bien que lui, ne sont pas prévus dans la constitution. Faute du gouvernement que l’avorton a dissous depuis une cinquantaine de jours, la France se trouve donc sans donneurs d’ordres, ce qui pourrait être problématique si l’armée russe débarquait où si Mélen-Chien demandait à ses amis islamistes d’en profiter pour envahir les lieux propices à un changement de régime, un changement de mentalité, un changement de pensée, un changement de structure, un changement d’appréhension de nos vies, afin de nous imposer l’autorité directe d’Allah. L’avorton-enfant est un des plus dangereux personnages de toute l’histoire de la France. Il parait urgent de s’en débarrasser. Il est vrai que les français ne semblent pas se plaindre de la situation ubuesque que nous vivons, parce que s’ils n’étaient pas satisfaits, il y a bien longtemps qu’ils se seraient manifestés d’une manière ou d’un autre. Un président psychopathe, un gouvernement non nommé, une Assemblée construite sur une tricherie, une justice qui absout les crimes, des hôpitaux sans personnels qui entassent les mourants dans les couloirs, la disparition des médecins, la suppression progressive des médicaments, une école défaillante, une police qui n’ose plus sortir dans la rue, des parents incapables d’élever leurs enfants, un laxisme généralisé et applaudi à tous les coins de rue. Et j’en oublie. Le désastre est tel que Ségolène ose proposer ses services et que Katerine se présente nu dans les studios de France Inter, qui – incompréhension totale – a encore quelques auditeurs.
La situation est si catastrophique que l’entendement est fracassé. L’éclair va surgir. Le tonnerre va gronder. Les mers vont s’emparer des terres et terrasser ces pauvres humains qui n’auront jamais su grandir. Il y avait pourtant le choix de Freud et le décrassement des psychismes. Personne n’en veut. Qu’y puis-je ?
Les jeux du cirque JDB (Jambe De Bois), commençant aujourd’hui, sujet unique des radios et télés pendant la totalité de sa durée que je ne connais pas – par négligence d’un sous-fifre, PBLVEPB n’a pas été supprimé -, l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France et qui fait semblant de chercher désespérément un Premier ministre et qui oblige les ministres qu’il a virés a travailler dans les conditions de ministres titulaires, poursuit la succession de ses caprices sous l’œil bienveillant de sa vieille maman toute ridée. Après avoir fait élire nombre de chiottes et chiots de Mélen-Chien, voilà qu’il les boute derrière le mur de la honte avec le RN de Le Pen et Bardella, les électeurs de ces deux groupes – qui pourtant n’ont aucune ressemblance, ni de près ni de loin – n’ayant pas glissé dans la fente de l’urne, le bon bout de papier cul, selon l’enfant. Est-ce une marque d'irrespect de la Constitution ? Est-ce une entorse à la Démocratie toujours pas inventée ? L’enfant joue seul. L’enfant est seul. Et quand sa maman sera décédée – ce qui arrivera probablement un jour prochain -, il n’aura plus personne pour le ramasser. Le système électoral français est dans la pire des perversités et les tas d’ignorants qui fréquentent les urnes, tombent dans le système vampirique et participent activement à la destruction des restes restants de la France originelle. Pourquoi en sommes nous là, là où nous en sommes aujourd’hui ? Parce qu’un pays ne peut fonctionner que s’il est composé d’adultes éclairés guidés par des adultes éclairés. Et, dans ce coin de l’Europe, ce n’est pas le cas. Pour remédier à tout cela, je ne cesse de proposer Freud. Ma voix se perd dans le désert de l’ignorance. Bof ! Les gens aiment la misère. Encore une perversion !
Castets a dit que Cnews dit que les noirs et les arabes sont méchants. Moi, je dis que Castets est une psychopathe dangereuse soumise au terroriste Mélen-Chien et qui s’était nommée Première ministre par anticipation. Je suis prêt à lui offrir une télé pour qu’elle puisse regarder la chaine de Bolloré et se faire sa propre opinion. Macron, qui s’est mis dans la tête dans son caca, continue de s’y enfoncer. Il va reconsulter aujourd’hui, je ne sais pas qui ni quoi. Il a dit qu’il ne voulait plus voir LFI ni le RN. Les salopards de LFI, je comprends. Mais le RN ? 80% des français sont d’accord avec ses idées, mais peu osent l’avouer. Et comme demain commencent les jeux du cirque des jambes de bois, le Premier ministre, le gouvernement et la marche normale des institutions, attendront. Macron, l’enfant au psychisme inabouti qui a épousé sa maman, aura été le pire des monarques de la Vᵉ République. J’espère que le peuple va le démissionner, le juger et le condamner. Et pourtant, je comprends tous ces dictateurs élus et même le dernier en date. Le peuple est si lâche qu’ils ont bien raison d’en profiter. J’entends par lâcheté, ce silence assourdissant qui amnésie la terre de France.
L’entente est impossible. Pourquoi le serait-elle ? L’eau ne cherche pas le compromis avec le feu. Elle l’anéantit. La France, échec impitoyable du pitoyable Macron, est ingouvernable. Je lui suggère de démissionner et si c’est au-dessus de son égo, de renommer ceux qu’il a démissionnés et qui font comme s’ils ne le savaient pas, et de gouverner par décrets et 49.3 jusqu’à la prochaine dissolution possible, et, entre-temps, de changer la loi électorale en supprimant l’élection du président au suffrage universelle et de réglementer toutes les élections, à un seul tour, à la majorité relative et à la proportionnelle intégrale et en précisant que toute campagne électorale mensongère sera punie par la loi. On pourrait aussi rajouter que tous les élus sont, de fait, dans l’arc républicain et que si le doute s’installe et subsiste, il sera nécessaire de mettre ces affaires dans les mains de la justice, une justice juste qui condamne et qui met en prison même si elles sont pleines, le tassement sur le tassement étant une possibilité salutaire pour les délinquants en tous genres. Revenir aux lois en supprimant tous les aménagements et toutes les exceptions. Ne garder les prisons que pour les peines en dessous d’une année et réhabiliter le bagne – sur une île déserte - pour celles supérieures à un an. Les changements de mentalité deviennent plus qu’urgent et tout de ce que je viens de suggérer pourrait être évité si chaque individu de 7 à 107 ans, acceptait de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Mais, ça, c’est une autre histoire que je ne connaîtrai pas de mon vivant, ni mes enfants, n’y mes petits-enfants, n’y mes arrières-petits-enfants, que je n’ai pas.