dimanche 7 janvier 2024
vu à travers le tube • scènes de la vie courante…
samedi 6 janvier 2024
le puits au fond su jardin • faire avec ou se bouger le cul…
Les français croulent sous les lois dont le nombre insensé explose à la figure des juristes qui ne savent plus comment interpréter leurs contradictions. Aujourd’hui, les coupables sont innocents, les innocents coupables. Depuis le péché originel, né dans le ventre de la femme, la femme coupable étant sa culpabilité au monde entier et se croit toujours innocente. Le monde en reste sonné. Sa peur viscérale crée sa cécité devant les définitions. Selon les courants de pensées, absentes depuis longtemps, l’homme n’est plus l’homme, la femme n’est plus la femme, l’enfant, écrasé, cherche s’il est homme ou femme. L’homme est coupable de tous les maux, la femme est innocente de ses actes. Pourquoi pas ? Mais comment assimiler et intégrer l’injustice, la perversion, le sadisme, comme les nouvelles vertus de la vie commune ? Après vingt et un siècles de « aimez-vous les uns les autres » et de « laissez venir à moi les petits enfants », mélange des sexes en action et pédophilie déclarée, comment dénoncer ce mal qui était bien et ce bien qui est devenu mal parce que trop bien pour être bien ? Mais aussi, comment dénoncer ce bien qui était mal et ce mal qui est devenu bien parce que trop mal pour être mal ? La confusion totale domine tout, actes et sentiments. Le miroir est défectueux. Son reflet est trompeur. Et personne n’est capable de le briser. Alors, reste Freud pour revenir aux fondamentales. Apprendre à vivre avec l’ignoble : la femme qui a conçu l’homme et l’a jeté au sol comme un malpropre, un indésirable, un empêcheur de satisfaire ses plus bas instincts. On en est là aujourd’hui. Ici. Faire avec ou se bouger le cul…
vendredi 5 janvier 2024
le puits au fond du jardin • qui sème le vent récolte la tempête…
Que l’on regarde à droite, à gauche ou ailleurs, il n’y que guerres ou menaces. Détruire le monde semble être la jouissance suprême de tous les chefs de tous les pays. Et si on y rajoute la pluie qui veut rayer de la carte de nombreux villages et villes de France étouffés davantage par le béton que par les rivières qui sortent de leur lit, la guerre de succession chez les Delon, la guerre de la délation contre Depardieu, la guerre pour l’extermination de la musique classique, la guerre contre le mâle blanc, la guerre contre la civilisation blanche, la guerre triomphante menée par l’Islam et ses dérivés, la pitoyable guerre que mène la femme contre l’homme, la guerre des pensées, la guerre des relations, on comprend facilement que ce monde est invivable et l’on comprend, la morosité, le désespoir et la souffrance des peuples. Comment peut-on comprendre que Macron et Borne, vomis par la population, soit toujours au pouvoir ? Comment comprendre que l’on laisse Macron tenir, ce matin, son premier meeting de campagne pour les élections européennes – avec le plein d’huiles étrangères - ? Comment comprendre que les peuples ne cessent d’être manœuvrer ? A quoi servent donc ces soi-disant progrès scientifiques qui devaient libérer le monde et lui laisser le temps de savourer quelques une de ses tranches de vie ? L’échec est total et pas une solution ne pointe à l’horizon. Moi, je vous propose Freud et je suis le seul. Vous n’en voulez pas ! Et bien laissez-moi le plaisir d’observer votre chute vertigineuse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Qui sème le vent récolte la tempête !
jeudi 4 janvier 2024
vu à travers le tube • peut-être ou pas…
mercredi 3 janvier 2024
vu à travers le tube • un espoir…
L’eau ne s’infiltre plus dans les sols. Le Pas-de-Calais en fait les frais. Et, à part les hommages de circonstances, les pleurs des victimes à la télé, les commentaires des ânes handicapés, personne ne veut régler ce problème qui est le problème de tous. Solutions : pendons les maires qui continuent la distribution des permis de construire ; quand nous détruisons une vieille bâtisse, remplaçons-la par une forêt d’arbres à feuilles et non par un nouvel immeuble ; interdisons le béton et cassons celui qui couvre les sols ; remettons de l’herbe dans les cours de récré ; remplaçons les routes et autoroutes par des chemins de terre et échangeons les voitures par des chevaux de traits. Et plein d’autres et bonnes choses. En place du besoin immédiat, peut-être retrouverons-nous ainsi l’usage de la pensée. Le chemin à suivre n’est ni celui des droites, ni celui des gauches, ni celui des centres, ni celui des extrêmes, mais seulement celui du bon sens. Il est vrai que le bon sens, plus personne ne sait ce que c’est. Un petit bonus conseillé : au lieu d’admirer Mbappé, essayez donc Bach ou Mozart, Wang ou Jansen, Abbado ou Gražinyte-Tyla. Et si vous adoptez pour fondamentale Freud, la terre se remettra à tourner dans le bon sens. Vous voyez qu’il y a un espoir !
mardi 2 janvier 2024
le puits au fond du jardin (bis) • la terreur s’est installée…
Les 68 042 591 français sont pendus à ses baskets. Ils ne mangent plus, ne dorment plus, ne copulent plus. Ils sont dans la terreur en attendant sa décision. Va-t-il remanier ? S’il remanie, sera-ce un peu, peu, moyennement, davantage, beaucoup, très beaucoup, passionnément ? Mais qu’est-ce donc cette fébrilité mêlée à cette angoisse ? Moi, je m’en fous. Remaniement ou pas, rien ne changera. Le chef absolu et sans autorité, c’est lui et rien que lui. Que Borne soit remplacée par l’épicier de la rue de Varennes ou par ma voisine de palier, c’est lui qui imposera son absence d’idées et de convictions et la France poursuivra sa chute dans le noir du trou du fond de mon puits. Et pourquoi personne n’avait compris qu’on ne pose pas le cul d’un enfant au psychisme inabouti sur le trône d’un pays monarchique dictatorial, sans créer les pires des ennuis. Cet enfant a besoin d’une longue thérapie psychanalytique pour lui permettre d’éclaircir sa vision des choses de la vie pour lesquelles il est incapable de faire la moindre différentiation. Désolé de l’écrire ici, mais je prétends qu’un homme est un homme, qu’une femme est une femme, qu’un coq est un coq et qu’une poule est une poule. Je ne suis pas sûr que l’enfant partage ma conviction. Vous l’avez voulu. Vous l’avez, grâce à toutes ces élections tronquées. Pour la prochaine fois, réfléchissez ! Vous risquez – c’est même sûr – de bien vous tromper. Moi, je ne vote pas. Je ne joue pas à ce jeu pervers et morbide. Je vis ailleurs, loin de tout ce bordel, avec Schubert et Mahler, Vanzo et Sarroca, Rattle et Abbado, Villanelle et Eve, Saul et Kim, Berg et Webern et quelques copines et copains qui piquent-niquent au fond de mon jardin.
le puits au fond du jardin • les lâches se renient…
Les signataires de la tribune en soutien à Depardieu se renient, se défilent et se flagellent à la queue-leu-leu. Voir le grand Jacques Weber qui déclare que sa signature était un autre viol. C’est quoi ce cirque ? Ils avaient oublié, dans leur plaidoyer – disent-ils -, de mentionner les pauvres victimes détruites à vie et qui réclame la découpe du cou de leur bourreau. Quelles victimes ? Celles qui ont déclaré l’être ou celles qui ont été réellement approchées, frôlées et peut-être violées ? Où sont les preuves de ce qui n’est, pour le moment, que divagations de femmes psychopathes qui rejouent les scènes de vengeances de la princesse Turandot ? On me dit qu’il y a une justice en France et que c’est pour cela qu’il est interdit de faire justice soi-même. Par contre, on ne me dit pas que la délation est une saloperie qui devrait être lourdement punie par la loi. Depardieu, à ce jour, est innocent des crimes qu’on lui impute et il le sera jusqu’à ce qu’un tribunal reconnu le condamne pour avoir trop été insolent. L’insolence a toujours été la contrepartie des tyrannies et des dictatures qu’on nous prépare.
lundi 1 janvier 2024
vu à travers le tube • le carrosse et la citrouille…
Je n’ai pas vu, ce matin, au travers de la baie de mon salon, le moindre changement L’immeuble d’en face ne s’est pas effondré. Les trains entrent toujours en gare, toujours en retard. Les trois ronds-points sont toujours bien fixés. Le tabac est ouvert, comme à son habitude. Le cantonnier est passé à 8h15 comme chaque matin. Et comme chaque matin, à 8h15, le voisin du 7e a sorti son chien. Pour ma part, j’ai toujours mes deux jambes et ma dent de sagesse n’a toujours pas repoussé. Alors qu’est-ce donc ces balivernes que l’on entend dans les postes et dans les écrans depuis hier ? À minuit pétant, le monde aurait dû changer du tout au tout, parce qu'à l’heure où le carrosse devient citrouille, les peuples font des vœux. Depuis les débuts des mondes, les carrosses sont toujours devenus des citrouilles et je ne vois pas en quoi et pourquoi cela devrait changer puisque le monde, tel qu’il est, l’est pour l’éternité. Le mauvais génie, sortit tout droit des contes d’Andersen, aurait débité sa litanie, dans la nuit, auprès d’un arbre mort et d’un tas de chiffons de toutes les couleurs. C’est ma voisine de palier qui m’a raconté. Il a promis le bonheur à tous, dès ce matin. Voilà. C’est fait. Vous voyez que c’est simple le bonheur. Aussi simple que la pensée de l’enfant au psychisme inabouti qui s'imagine être Roi.
dimanche 31 décembre 2023
vu à travers le tube • encore et encore…
Encore un changement d’année ! Le quatre-vingtième pour moi. Sans doute le dernier. Tradition oblige, on s’impose le bilan en le tronquant pour éviter les désagréments. Pendant ces longues années, je n’ai pas vu de changement à part des peccadilles comme le téléphone à manivelle avec opératrice qui est passé au smartphone tactile, ou les vaches dans les prés qui ne sont plus visibles parce qu’elles pètent comme les humains et aussi parce qu’il n’y a plus de prés, ou encore la galette 78 tours, où passaient tous les messages, qui ont cheminé, étape par étape, pour aboutir au numérique ou ne passe que ce que veut bien l’ingénieur du son, soit rien. Il y avait aussi le poste où l’on entendait la voix de Jean Nohain (Jaboune) et de la délicieuse Mireille, remplacé aujourd’hui par l’écran ou sévit dangereusement Lemoine (Anne-Elisabeth), la bêtise incarnée. Bref, je n’ai pas vu de changement alors que le monde a changé. Du cercle tracé scrupuleusement au compas, il est passé au gribouillis universel qui gribouille les pensées et met l’homme à terre. Si je ne l’ai pas vu, c’est que je n’ai pas voulu voir et que je réalise, aujourd’hui, que je vis dans un monde qui m’est totalement étranger où l’invasion des barbares, les guerres de religions et les pouvoirs totalitaires continuent paisiblement leur petit bonhomme de chemin.
samedi 30 décembre 2023
vu à travers le tube • 90 000 ! excessif ou pas ?
vendredi 29 décembre 2023
vu à travers le tube • en sortir ou pas…
25 indiens – des Comanches, je crois – éraient arrivés en avion sur le sol français pour faire des scalps de femmes blanches, rite ancestral très prisé. La police les a arrêtés. Un juge les a libérés. Un autre juge a annulé leur libération. Mais, pas fous, les fans des peaux blanches se sont volatilisés dans la nature et pour les retrouver, il va falloir chercher et suivre la trace des scalps, seule piste sérieuse pour les mettre au cachot avec les rats. Il n’y a que dans les westerns américains où les cowboys pourchassent les Indiens pour voler et violer leurs squaws à tresses, avec John Wayne et Cochise, que j’ai vu un pareil bordel. Ne pas oublier que le bordel, c’est le moteur de la France. Difficile de faire autrement avec un enfant inabouti psychiquement qui ne dévisse pas son cul du trône des glorieux Rois de France.
15 ans. Seul au volant d’un 4X4. Vitesse excessive. Collision. Un couple de sexagénaires tué. Pas lui, hélas ! Une Justice juste doit lui coller au moins 40 ans de bagne et autant pour ses parents indignes. C’est à cette seule condition que la France pourra ressortir sa tête d’ignare de la fosse à merde dans laquelle elle prétend vivre. Il y a bien Freud, mais personne n’en veut. Pauvre merde de bestiaux à deux pattes !
jeudi 28 décembre 2023
vu à travers le tube • le roi risque-t-il le cachot ?
mercredi 27 décembre 2023
mots en lien
Une sorcière détrempée a expiré une fois pour toutes. Personne ne sait quand ça a commencé. Sous les grandes eaux, elle a été emportée d’un coup et on n’y pouvait rien.
le puits au fond du jardin (bis) • le temps qui passe…
Les choses passent. L’une efface l’autre. La guerre en Ukraine a fait les Unes, les Secondes et les Tierces, pendant des mois. La guerre en Israël l’a complètement occultée. Et voilà que le grand Depardieu, gaulois de souche, a pris le relais, faisant oublier à tous les crapauds de la terre que le monde est sans cesse en guerre. Et patatras, voilà que les terrestres se détournent des guerres et du génie de Depardieu pour ne plus que se poser LA QUESTION de notre aire quatuorienne : où et quand Anne-Elisabeth copule-t-elle avec Bertrand ? Qui, maintenant, va être capable de détrôner ces deux imbéciles inutiles ?
le puits au fond du jardin • vivre en étant mort ou le en même temps macronien…
À Meaux, la voisine de cette femme et de ses quatre enfants, assassinés par son mari, n’arrive pas à comprendre que cet homme ait pu commettre ce quintuple meurtre. C’est pourtant simple, voisine. Si vous aviez appris à connaître Freud, si vous l’aviez fréquenté et si vous aviez suivi ses concepts, vous ne seriez ni étonnée ni épouvantée. Il ne s’agit que d’un humain qui a ôté la vie à d’autres humains par nécessité psychique. Notre psychisme a de nombreux et impératifs besoins et quand il n’est relié qu’à notre inconscient, comme c’est le cas pour des milliards d’humains, il peut être terrifiant. Et, comme de plus, le meurtrier était un psychopathe reconnu et laisser en liberté par la société ignorante et laxiste, il est passé à l’acte, comme passe à l’acte tous les psychopathes qui ne sont pas sous surveillances et contraintes permanentes. Il lui manque ce qui manque à ces millions d’humains, le lien solide et constant entre leur conscient et leur inconscient qui ne peut s’acquérir que chez Freud. La psychiatrie, science incomplète, se contente de donner des médicaments. La psychanalyse entraîne le patient sur un long – très long – chemin de vie, où le patient prend conscience progressivement et lentement que son inconscient le mène par le bout du nez et que son conscient doit et va se rendre maître du jeu. Il va comprendre que ce qu’il voit n’est pas ce qu’il voit, que ce qu’il entend n’est pas ce qu’il entend, que ce qu’il pense n’est pas ce qu’il pense et que lui-même n’est pas et n’a jamais été lui-même. Et c’est au bout d’un long processus que l’individu adviendra et sera en capacité de penser et de faire les différenciations. Nous sommes tous des psychopathes et nous devons tous pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher notre miroir. C’est quand nous l’aurons trouvé, que nous pourrons nous y regarder, nous y reconnaître et, acte suprême, le traverser. Alors, nous aurons gagné. Nous serons nous-même, même si le chemin sera encore long pour assimiler et assumer notre nouvelle et véritable personnalité, notre authentique fondamentale. Le père de famille meurtrier, la voisine, les journalistes, les commères, les commentateurs, ne vous parleront pas de cela, parce que leur ignorance flagrante et chronique, les entraine sur les chemins inverses, ceux où les peuples rampent parce que, bien que dit vivant, ils sont véritablement morts.