mardi 31 décembre 2024

vu à travers le tube • le grand moment de vérité est proche…

Tous les journalistes, tous les chroniqueurs et tous les commentateurs de tous les postes et toutes les télés, se posent la même et primordiale question pour la vie de tous : « Mais qu’est-ce que l’enfant déséquilibré, au psychisme inabouti, qui a épousé sa maman toute ridée, va dire aux têtes vides des français, ce soir, sur toutes les radios et sur toutes les télés, à vingt heures précises, après un soupçon ridicule de Marseillaise, alors que depuis sept longues années, il n’a su qu’imiter la tirade du Cid, qui, comme chacun le sait, n’est qu’une invention d’un poète qui avait travaillé l’art de la versification et de la dramaturgie ? » Moi, je ne me pose pas la question. Je sais. Il va dire que, tel Hercule, il a été capable, en solo et devant les caméras, de construite une cathédrale en cinq ans, et qu’il a gagné toutes les épreuves des jeux du cirque parce qu’il est un athlète complet et même se vanter de la présentation de la manifestation sportive qui n’était pourtant qu’un hommage appuyé à la pornographie des gens dont le sexe est incapable d’assurer son identité. Il va dire aussi qu’il va partir, à la tête de son armée, à la conquête de Moscou et ramener à Paris, le tsar félon Vladimir, qui ne cesse de chatouiller son ami de cœur Volodymyr, un autre félon qui a jeté son pays dans la corruption. Il va dire aussi qu’il aime les français et qu’il est navré qu’ils soient violentés ou tués à chaque coin de rue, de nuit comme de jour, alors que sa police veille en se planquant de partout sauf dans les coins de rue parce qu’ils sont trop exigus. Il va dire aussi qu’il est navré d’avoir pu sauver « Les Folles Journées de Nantes », parce que son choix est que l’argent qu’il vole aux français doit aller en priorité aux pauvres pays d’Afrique dont les habitants viennent chez nous, en barques à rames, pour nous étrangler et nous manger après nous avoir embrochés. Il va dire aussi qu’il nomme à gogo des Premiers ministres, parce que les français ne comprennent rien à sa merveilleuse politique et qu’il préfère qu’ils s’en prennent à plus petit que lui, ceux à qui il a légué ses piètres compétences. Il va dire aussi beaucoup d’autres choses très importantes. Nous aurons enfin des nouvelles de son chien et de son hamster et peut-être la vérité sur ses relations avec sa maman. Mais ça, j’en suis moins sûr !


lundi 30 décembre 2024

vu à travers le tube • les sauvages et kaufmann…

 

100 000 policiers et gendarmes vont être de service, le soir du réveillon, pour tenter d’intercepter les populations très fournies de voyous qui vont malmener les bien et les personnes. Ceux qui sont dans la page et non dans la marge ont déjà commencé et beaucoup crient les slogans : « On va les tuer ! »  Et depuis quelques années, certains même, des ânes gauchistes et islamistes illuminés par Mélenchon, manifestent en portant des pancartes « La police tue ! » Soyons claire, juste et sans pitié. Cette race n’a rien à faire sur la terre. Si à chacune de leurs apparitions la police tirait à vue et à balles réelles, leur nombre diminuerait considérablement jusqu’à disparition. Et ce ne serait que justice, une justice juste. Mais, jamais cela ne se fera pas, parce qu’on est à la mode du respect de l’irrespectueux et des droits des criminels, au détriment des droits de l’homme.

 

Chanter Turandot n’est pas une mince affaire pour le couple vedette, les voix étant sans cesse tendues à l’extrême. Mais, tout de même, avant, dans les années de ma jeunesse, Corelli, Bergonzi, di Stefano, Domingo, faisaient front sans marquer la moindre peine, dans le respect de la nuance et de la musicalité. Au Staatsoper de Vienne, Kaufmann a crié ses notes les unes après les autres et le miracle est qu’elles aient toutes été émises. Mais le voir forcer ainsi mettait fort mal à l’aise. Le rôle n’est plus dans ses cordes et nous allons devoir attendre qu’il soit un authentique baryton à la Tito Gobbi. Sa partenaire, la princesse râleuse et revêche, ne chantait pas si mal, mais elle était trop belle déguisée en Mélisande. Quant à Armiliato, il aurait pu éviter d’étirer les mouvements, cela aurait facilité la tâche à tout le monde. Bref, l’opéra s’est arrêté dans les années 1960. Depuis, qu’en reste-t-il ?   

dimanche 29 décembre 2024

le puits au fond du jardin (bis)• freud à la prison…



 

La prison, c’est la punition. La réinsertion, c’est le complément qui doit entrer en fonction à un certain stade la de peine et sous le contrôle des psys freudiens. La prison, c’est la souffrance dans un cachot noir avec un boulet de cinquante kilos au pied et ailleurs si nécessaire. Le prisonnier ne peut avoir aucun droit à la dignité puisqu’il est cage pour ne pas avoir respecté la dignité humaine : violence, viol, meurtre. Donc, ceci bien compris, il y a des milliers de places dans les prisons, car je ne vois pas ce qui empêche de mettre dix voyous dans un périmètre qui en contient trois. Et si on posait le problème autrement ? Au lieu de rabâcher toujours les mêmes litanies, et si on faisait en sorte que les prisons deviennent inutiles, en éradiquant la délinquance, grâce à la thérapie psychanalytique freudienne qui permet à l’enfant de passer au stade d’adulte. Tant que la race des adultes n’aura pas pris le dessus, rien n’avancera, rien ne pourra être résolu. J’en ai assez de ne rencontrer que des enfants sales, ignorants et mal embouchés.   

le puits au fond du jardin • la véritable histoire de la chèvre de monsieur seguin…

 



 

Sur un plateau fromage, on n’y voit que des fromages de toutes les couleurs et de toutes les odeurs, ce qui n’est pas forcément très agréable. Sur les plateaux télés, on y verra bientôt plus que des femmes de toutes les couleurs et de toutes les idées. Il suffit de regarder l’écran et d’écouter le poste pour constater que la femme s’amplifie et que l’homme se réduit. Elle était la seule à avoir le pouvoir de fabriquer la marmaille et donc de s’inscrire dans la race supérieure. Demain, elle sera au sommet de tous les pouvoirs et régnera sans pitié sur le peu de restes qu’il restera de l’homme. On a commencé par inverser les sexes, les mélanger, les dénaturer, et maintenant, ce superbe gloubi-boulga va obéir, sans broncher, à l’unisexe IA. Le monde ne peut obéir à deux intelligences antagonistes. Il faudra bien choisir. C’est la plus élaborée, la plus musclée, la plus performante qui va gagner.  C’est pourquoi, très bientôt, en place des vaches qui regardent passer les trains, les prés seront saturés de petits bonshommes et de petites bonnes femmes, attachés pas le coup à un piquet et qui brouteront pour écouler le temps, sous l’œil attentif de Monsieur Seguin.

samedi 28 décembre 2024

le puits au fond du jardin • les prisons et freud…

 



 

On (ré)apprend donc que les occupants des prisons de France – lieux où l’on enferme les méchants pour les punir – ont reçu – comme chaque année - leurs cadeaux de Noël, le père Noël usant de tous les moyens illégaux pour faire parvenir ses colis en mains quasi propres, au moyen de drones et d’une armée de complicités, sous les yeux indifférents des gardiens qui disent être impuissants, alors qu’ils sont chargés de surveiller et de botter le cul  des récalcitrants lorsque cela devient indispensable. Ainsi, cette année, c’est plus 150 drones qui ont déversé en une demi-journée, dans la cour de récréation d’une de nos prisons, multiples paquets de cigarettes, de sachets de poudres blanches, des centaines d’opinels toutes tailles, des fusils à canons sciés, des mitraillettes de la vieille Gestapo, des kalachnikovs derniers modèles, des smartphones Android, et quelques autres objets inoffensifs mais indispensables au confort des pensionnaires de leur hôtel 4 étoiles. Et l’autorité pénitentiaire ne pourrait rien faire contre cette racaille ? Et les ministres de l’Intérieur et de la Justice, et le Roi de France, ILS FONT QUOI ? Et si on transformait les prisons en cachots noirs et plein de rats et qu’on remettait en vigueur les boulets de cinquante kilos aux pieds des récalcitrants ? Et si les promenades ne faisaient plus partie du programme ? Et si les repas n’étaient plus que de l’eau sale et du pain sec comme Borne ? Il faut savoir ce que l’on veut. On ne peut pas être dedans et dehors. Et si on vidait les prisons des étrangers et de tous ceux qui n’ont pas commis de violences physiques ? Les délits financiers devraient être punis par des amendes plus grosses que le bœuf de la fable et qui iraient directement dans la poche de ceux qui ont été lésés et de ceux qui travaillent pour une bouchée de pain. Et si on faisait en sorte que l’homme fasse grandir l’enfant handicapé qui vit en lui ? Et si on construisait un monde d’adultes conscients et responsables ? Il est vrai que c’est difficile puisque Freud est considéré comme un moins que rien qui a couché avec sa mère ou sa sœur, je ne sais plus, mais c’est pareil. Le maître de la psychanalyse est pourtant notre seul sauveur. Si seulement le monde entier poussait la porte de son cabinet pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser, les choses changeraient si vite que tous les politiques et les obsédés du pouvoir, se retrouveraient au chômage pour l’éternité. C’est si beau et si juste que personne ne veut tenter l’aventure. Il est vrai que tous ces héros des viols et des guerres ont une trouille bleue d’un petit bonhomme inoffensif qui a inventé un thérapie toute simple et d’une efficacité redoutable pour vivre notre vie et ne pas la vivre mort comme c’est le cas de la quasi-totalité des êtres, aujourd’hui.    

vendredi 27 décembre 2024

vu à travers le tube • hors de l’écran…

C’est insupportable ces interminables vacances où, aux fêtes de Noël succèdent les fêtes du nouvel an, où des milliers – plus probablement – d’automobilistes inconscients se ruent sur les autoroutes, jusqu’à les bouchonner, pour vite dépenser dans les stations, les fortunes qu’ils n’ont pas, et vite poser leurs fesses sur les tire-culs, pour vite se retrouver à l’hôpital avec une jambe cassée ou un pied gelé, où, mieux, aller dormir à la morgue après s’être trouvés ensevelis pas l’avalanche qu’ils ont déclenchée. C’est insupportable ces radios et télés qui changent leurs programmes et nous collent sous le nez des horreurs imbuvables, des redites des plus mauvais moments de l’année, des films surfaits et des flots de compassions pour le monde entier. Même chez mon Leclerc tout est bouleversé. On n'y trouve plus que des pères Noël en chocolat ou en chaire et des grappes de marmots chialant, hurlant et vociférant contre leurs parents qui veulent à tout prix les faire pâmer de  joie devant les guirlandes clignotantes des bals du 14 juillet au bord de la Marne, sous les bombes des allemands.

 

Il semblerait que les acteurs soient sortis de l’écran et que depuis que les réalisateurs se sont affranchis des lignes géométriques, ils aient trouvé la sortie. Savent-ils que la vie n’est pas hors des lignes et que hors de l’écran, on ne fréquente que la mort ?


jeudi 26 décembre 2024

vu à travers le tube • de tout et de rien…

Mais pourquoi donc l’Orchestre Philharmonique de Vienne compte-t-il si peu de femmes ? Depuis des années, les vagues de contestations se succèdent et personne vient y remédier. Pour le concert du Nouvel An, ce sera encore un homme : Muti, pour la 7e fois. Miracle ! En mai 2025, la cheffe d’orchestre lituanienne Mirga Gražinytė-Tyla deviendra la 1e femme à diriger le Philharmonique de Vienne pour des concerts d’abonnement. Je l’ai vu à Lucerne diriger la 2e de Mahler. C’est bien un miracle. Une grande parmi les plus grands, et peut-être encore plus grande !

 

Son TGV roulait à 300 km/h. Le conducteur a ouvert la portière de sa cabine et s’est jeté. Il est mort bien sûr. Je salue son courage. Le train s’est arrêté tout seul.

 

Dans les Alpes, une famille skiait hors-piste. L’inévitable avalanche l’a emportée. Un ado de 14 ans est mort. Est-ce que ses parents seront jugés et condamnés ?

 

Darmanin compte bien combler l’insuffisance de la Justice. Déjà la présidente du Syndicat de la Magistrature lui a répondu. Elle n’entend pas laisser entrer la rigueur et la fermeté dans le système, les prisonniers devant être traités, selon elle, comme les clients du Burj-al-Arab à Dubaï. D’après-vous, qui va l’emporter ?


mercredi 25 décembre 2024

vu à travers le tube • dieu et ses ratés…

Les informations fusent de toutes parts. Les Frères musulmans s’infiltrent de partout, et, sans coups d’éclats, seront très bientôt au pouvoir en imposant la charia. Et Mélenchon et ses chiottes et ses chiots, n’y sont pas pour rien. Les pitoyables vers de terres écologistes et socialistes non plus. C’est pourquoi je me pose la question : « Pourquoi Dieu, le vieillard qui vit dans le haut des nuages sur son trône de fer, et qui a tous les pouvoirs inimaginables, a-t-il imposé son fils sur notre terre en le faisant passer par la fente d’une vierge qui a copulé avec un ange à ailes – ce qui fait qu’elle a trompé son Joseph de mari qui était artisan charpentier -, et qui, devenu grand par la taille, a déclamé - autant que Macron - des proses qui affirmaient qu’il était venu sur terre pour nous sauver ? » Nous sauver de quoi, puisque depuis sa mort sur une croix, rien n’a changé, mieux, tout a empiré. Nous avons eu Borgia, Caligula, l’Inquisition, Napoléon, Hollande, Macron et Dion.  Les guerres se sont amplifiées. Les ânes ont proliféré. Et les pantins vivent le cul sur des tire-fesses, les pieds sur des planches, tout en geignant que les routes sont glissantes et que les trains sont à l’arrêt parce qu’ils ne supportent pas le moindre petit flocon de neige. La morale d’ « Einstein on the beach », c’est peut-être bien cette représentation du réel : l’homme pantin, marionnette, immobile, au regard figé, qui se déplace par télécommande interposée et qui a perdu sa pensée et son âme. Dieu a raté sa mission. L’homme n’est qu’un rien inutile dans un univers super organisé. Pourquoi l’un et pas l’autre ?    


mardi 24 décembre 2024

vu à travers le tube • ça va être terrible…

Alors que l’Éducation nationale demande un chef autoritaire, tyrannique et sans concession, un vrai dictateur Kim Jong-unien, on lui colle une vieille dame, lesbienne disent certains, de gauche, de cette gauche molle qui assèche les cerveaux et qui va devoir faire face à un ministère poids lourd, sous le nom de « Madame 49.3 ». Quelle honte pour la France et pour ses enfants. Et que dire de ce retour de Valls le traitre, celui qui a tenté de corrompre l’Espagne et qui s’est fait encorner en plein milieu de la corrida ? Les socialistes ne sont pas contents. Ils n’ont pas de représentants de leur parti peau de chagrin, trahison même du socialisme, et c’est tant mieux. Point fort, s’il en est un, point fort et s’ils ne sont pas bâillonnés, le duo Rotaillerau-Darmanin qui, je l’espère, vont virer les hordes sauvages et construire des cachots tous noirs et des gros rats dodus de Paris, pour tes enfants, pour les adolescents, pour les plus de dix-huit ans, sans limite d’âge, pour tous ceux qui ne font pas la différence entre un humain et une racine de pissenlit. Ce nouveau gouvernement à peu de chance de durer, alors il ferait bien de ne pas attendre le 3 janvier pour commencer le grand nettoyage de printemps, en désinfectant, avec Monsieur Propre, les campagnes, les villes, les plaines, les montagnes, les mairies et les Élysées, avec leurs occupants. Après, il sera trop tard. Mélenchon est en embuscade. Panot guette. Bompard ouvre sa braguette. Ça va être terrible… horrible ! L’enfant, lui, il aura déjà fait ses valises et mise maman dedans.



lundi 23 décembre 2024

vu à travers le tube • les fausses moqueries…

Ce que demandent les mahorais, ce n’est pas qu’en ce lundi 23 décembre 2024, la France revête son vêtement de deuil et pleure à chauds de larmes sur les promesses non tenues d’un enfant psychopathe, ils demandent du pain, de l’eau et un toit, éléments fondamentaux qui leurs sont refusés depuis des décennies. Et puis, ils demandent aussi qu’on jette dans l’océan les hordes de sauvages qui les violent et les massacrent pour prendre leur place et régner sur leur territoire. Rien ne se fera là-bas ni ailleurs. Et ceux qui pensent le contraire doivent aller à l’école.

 

Et le gouvernement du mou Bayrou ? Il en est où ? Et quand il sera, s’il en est un jour, quelle sera la durée de sa vie ? Si les français avaient des couilles, ils nommeraient Rotailleau dictateur, pour sauver le pays de la maladie qui le ronge depuis qu’une poignée de terroristes mélenchonistes ont séparé la tête du corps de Louix XVI, le roi bien-aimé des français et aussi, et c’est idem, de sa délicieuse Marie-Antoinette. Mais les français ne feront rien. Ils sont naïfs et lâches et atteints par le mou bayrousien.

 

Hier soir, sur une de mes 400 chaines télés, j’ai revu « Florence Foster Jenkins » de Stephen Frears. Je le préfère à celui de Giannoli parce qu’il est plus caustique, plus violent, plus théâtrale, plus humour anglais, plus réaliste et plus émouvant. Et puis, il y a le pianiste… irrésistible ! C’est une histoire vraie. C’est une tranche de vie de notre société. C’est la laideur et la puanteur que notre miroir nous renvoie.


dimanche 22 décembre 2024

vu à travers le tube • la pente, toujours la pente…


« J'ai l'honneur d'être à la place où les Français m'ont mis » a déclaré Emmanuel Macron depuis Djibouti. Le pauvre enfant psychopathe ment encore. Ce n’est qu’une toute petite poignée de français naïfs qui l’ont mis là où il est, sur le trône de France exaspéré par son derrière talqué de poupon. L’homme est bourré de failles psychiques. Le politique est véreux, pervers et ignorant. Il n’est qu’un pantin, acteur minable d’une mauvaise pièce de théâtre où ses tirades sentent la fadeur des mauvais dramaturges qui jonchent l’histoire. Cet enfant est dangereux. Et je me demande ce qu’il va arriver si un sursaut miraculeux ne met pas fin à ses incartades. Peut-être que le duel à l’ancienne, annoncé en direct sur TFX, le duel au glaive Bayou-Macron, va mettre fin à l’inquiétude des français quand tous deux vont s’effondrer avant d’avoir déclamé : « En garde ! Je te pique et je te découpe en tranches de melons ! » Nous serions enfin débarrassés du pire de l’histoire de France et les Majestés les plus séduisantes seraient de retour à la maison.

 

Mais comme nous n’en sommes pas encore à ce stade, pensons à nous protéger des petits fours, des petits chocolats, des petites pattes de langoustes, des petites pinces de homards, des petits rognons de coqs en pâte et des petits verres de gnôles de Soisson. Ils ne sont qu’illusions. Une fois la fête finie, la vie, la vraie, recommence avec la vieillesse qui s’est encore engouffrée dans la jeunesse périssant.       


samedi 21 décembre 2024

le puits au fond du jardin • décrescendo…


 


 

L’année se termine dans une fin de civilisation où les forces vives, celles qui se sont imposées à l’insu de ceux qui croyaient que la vie était un pré d’herbe verte où les vaches s’asseyaient pour regarder passer les trains qui avaient une locomotive avec des nuages de fumées et qui se sont faits surprendre - faute d’avoir observé - par une bande de brigands accoquinés avec les hordes islamistes et les psychopathes écologistes qui réclament à grands cris une vraie dictature qu’ils verraient bien inaugurer avec pour chef suprême le Robespierre du XXI° siècle, Mélenchon. Il n’y a pas de retour en arrière possible. Il n’y a pas de retour à la maison nécessaire à notre équilibre. Le fautif est le peuple qui ne cesse de voter pour des menteurs, des voleurs, des assassins, des criminels, et qui n’en tire jamais de leçon. Qui connait encore Villon ou Baudelaire, Mozart ou Wagner, Renoir ou Picasso, Godard ou Lynch ? Les rois de France sont toujours là et toujours morts parce que les vivants ne sont plus depuis longtemps. Freud a proposé la vie. On la vite exécuté. Alors tant pis. Vous y êtes parce que vous l’avez voulu. Surtout plus de gémissements. Souffrez de souffrir en silence puisque vos souhaits ont tous été exhaussés.    

    

vendredi 20 décembre 2024

vu à travers le tube • du théâtre au cinéma…

Tout est devenu mauvais théâtre, mauvais spectacle. Évincé de la Justice, Dupond M. se réfugie sur une scène de théâtre pour dire à son public – comment peut-on payer pour écouter cet ours mal léché ? – toutes les âneries qu’il a dites quand il était ministre. Pitoyable théâtre que ces scènes médiatiques et mélodramatiques autour de la dame qui a été violée contre son gré par une horde de coquins encouragés pas son mari et qui aura tenu le rôle principal dans tous les postes et télés, pour la joie des voyeuristes qui en ont eu pour leur argent et leurs désirs bien cachés. Dramatique, cet autre théâtre où l’enfant psychopathe est monté sur scène sous les quolibets du public terrassé par la soif et la faim et qui a tout de même eu la force de demander sa démission. Et lui, le petit enfant venu sans sa maman épousée, a pris dans ses bras, sous l’œil avisé et perverses des caméras, la dame éplorée qui a tout perdu par la faute de cet enfant, seul coupable du drame absolu. Quelques années avant, il avait vociféré devant ces mêmes gens : « Dans moins d’un an, votre ile sera débarrassée de ses bidonvilles et de ses crasses de sauvages qui viennent s’installer pour vous prendre votre identité ! » Les années ont passé et les bidonvilles ont prospéré et les crasses de sauvages se sont multipliés. Et l’enfant a osé dire qu’il n’était pas cyclone et qu’il n’y était pour rien alors qu’il y est pour tout, tout sans exception, par ses envolées lyriques qui n’ont jamais pondu de suite. Sa lâcheté est pire que les pires malheurs de la terre et les français d’une pitoyable naïveté ne l’ont toujours pas destitué. Et dans un autre théâtre parisien, le vieux Bayrou toujours aussi inconsistant a réuni les chefs de partis en évinçant la moitié de la France. Il ne lui reste plus qu’à démissionner avant que quelques gens lucides le poussent dans la rue à grands coups de pieds dans son cul qu’il ferait bien de protéger.

 

Du théâtre au cinéma, quand Arte eut la sagesse de proposer – c’était hier soir – le chef-d’œuvre absolu de Demy, mais aussi du cinéma, « Les Parapluies de Cherbourg », fusion parfait de la musique et de l’image, de la couleur et des sentiments, évocation magistrale de la souffrance de l’absence et de la subtilité des sentiments où les blancs vont se superposer, s’additionner dans une éblouissante pureté, en éclairant l’écran de la robe du mariage, de la station-service et de la neige qui tombe en hiver pour clore ce film sublime dans l’interaction de ses éléments. On est loin des riens d’aujourd’hui.  


jeudi 19 décembre 2024

le puits au fond du jardin • il ne reste plus qu'une ou deux pages…

 



 

J’aimerais qu’on m’explique pourquoi le vieux politicard indécis, aux idées flous qui donnent le tournis et qui met trois jours à dire ce que tout en chacun dit en un demi-instant et qui est toujours content de lui, surtout qu’il s’est couronné Premier ministre sous les yeux éberlués de l’enfant qui n’a jamais eu l’habitude d’être contrarié, convie tous les partis de l’Assemblée, aujourd’hui à 14 heures, sauf LFI et RN qui représentent la quasi-moitié des français. Encore un goujat imbécile et ignorant qui ne va pas faire long feu. Et que l’on cesse de changer de gouvernement alors que la seule solution est la démission du président, l’enfant au psychisme inabouti qui préfère de loin sa vielle maman toute ridée qu’il a épousée ou qui l’a épousé. La mauvaise et laide pièce de théâtre de buvard ne finira jamais et cela parce que les spectateurs assoupis sont incapables de quitter la salle pour retrouver le soleil et l’air vivifiant de la liberté.    

 

Il est le seul responsable, l’enfant. Le chauffeur de car agressé et humilié par quelques enfants retardés parce que leurs parents sont psychopathes comme l’immense majorité des parents, est convoqué par sa direction pour être sermonné et sans doute puni, alors que le même enfant dont je parle tant, devrait lui épingler la plus rutilante des Légions d’Honneur pour service rendu à la Nation en se substituant à des parents inconscients qui manquent à toutes leurs obligations. Cette affaire est un immense scandale qui s’ajoute aux piles infinies des scandales qui jonchent nos vies et qui sont provoqués par la négligence permanente d’un enfant que vous avez voulu pour président de notre pitoyable république. Et les autres coupables sont ceux qui ont oublié la gifle, le coup de pied au cul et le fouet alors qu’il aurait été si facile de mettre Freud au centre du manège. Mais comme le monde entier tremble devant son nom, l’ignorance crade en vigueur, ne pourra se résorber et nous sommes condamnés à subir les humiliations des nouveaux terroristes de tous âges qui battent de loin les châtiments des grands inquisiteurs de l’Église catholique qui a inventé avant tout le monde les questions : l’ordinaire et puis l’extraordinaire, celle qui est un peu plus chatouilleuse.    

mercredi 18 décembre 2024

vu à travers le tube • dans les tranchées de verdun…

 

Nous sommes bien au théâtre permanent, le bon comme le mauvais, même si le mauvais prime constamment. Le Premier ministre n’a pas de gouvernement et pourtant il a des ministres qui ne sont pas ministres et qui font comme s’ils l’étaient alors qu’ils n’ont aucun mandat puisqu’ils n’ont pas été nommés et qui sont considérés comme tels car les journalistes s’agglutinent autour d’eux et les pressent de questions pour connaître l’avenir de la France qui n’en a aucun parce que la vie du pays dépend de son président, un enfant dont le psychisme est inabouti, probablement parce qu’il a été altéré quand, à 15 ans, il a rencontré sa maman qu’il a épousée, alors qu’elle s’est mal conduite avec lui en enfreignant la loi. Le seul ministre nommé, le Premier, a dit que Mayotte n’était pas en France et il s’est pris une volée alors que je suis d’accord avec son dire, parce que Mayotte est une ancienne colonie d’esclaves qui a demandé son rattachement mais qui, à des années lumières de Pau, ne peut entrer dans les rouages d’un hexagone rachitique qui a déjà des difficultés pour survivre. Si je me reconnais – un peu, très peu – dans les populations qui vivent dans le village voisin de mon domicile, je ne vois pas comment je pourrais me reconnaître dans des gens qui vivent dans de la tôle et dont plus de la moitié ont moins de dix ans. Si les pantins du nouveau monde ont perdu leur identité, moi, je garde précieusement la mienne depuis plus de quatre-vingts ans et je n’ai pas l’intention de la brader. Je suis moi, dans mon cercle à moi, et personne n’a le droit d’y entrer. D’autant, qu’aujourd’hui, en 2024, j’ai une trouille monumentale. Si je sors dans la rue, je dois me retourner sans cesse par peur d’être suivi et si je vois arriver face à moi, un enfant ou un ado, je change vite de trottoir par peur d’être poignardé. Idem si je vois une femme. Elle m’accusera assurément d’avoir voulu la violer.  C’est pourquoi je passe mes journées devant la télé, les gens qui vivent dans l’écran ne pouvant en sortir pour me trucider. Et puis, avec eux, je peux parler. Ils ne me répondent pas et cela évite les querelles qui se terminent toujours en de terribles et horribles guerres de tranchées.  Bref, cela ne va pas m’empêcher d’aller chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier. La personne qui m’y accompagne et qui m'est chère, a une voiture blindée et moi je n’oublie pas de prendre, avec mon parapluie, le fusil de guerre que m’a légué mon grand-père qui a vécu longtemps à Verdun, dans les tranchées.