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mercredi 21 février 2024

le puits au fond du jardin • tunnel...



 

 

L’actualité de ce matin est la même que celle d’hier et en pire. Et c’est ainsi chaque matin. Les injonctions terrifiantes des pouvoirs et l’aveuglement des sujets laissent au monde un immense tableau de déjections pétrifiantes qui se meuvent dans les ténèbres qui couvrent l’univers. Comprendre les leçons de Molière ou de Shakespeare, comprendre la vérité criante – hurlante – du final de Twin Peaks, comprendre le lien établi entre soi et soi dans le long cheminement de l’Art de la Fugue dont Jean Sébastien Bach a patiemment fixé les notes, sur et entre les lignes de ses portées. Comprendre, est-ce trop demander ? Apprendre à faire, parce qu’il est impossible de faire sans apprendre, est-ce une telle torture que tout est prétexte pour y échapper ? Vivre hors de la machine à broyer est-il un manquement aux lois scélérates des hommes ? En vain, je cherche un homme et je ne trouve que des enfants, des enfants incapables de franchir le pas, un monde d’enfants gouverné par des enfants, un monde qui torture et qui tue. Et tout cela parce que, avant Poutine, avant Kim Jong-un, avant Macron, c’est l’ignorance qu’il faut éradiquer et pour cela couper toutes les langues qui ne savent qu’éjaculer leur venin. Le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin est plein. Les cris de ceux qui y sont tombés transpercent la nuit. Il suffirait de si peu ! Analyser le psychisme fracassé de l’homme, en réunir les morceaux restants et passablement vivants, et tout recommencer en prenant bien soin au lien qui relie son conscient à son inconscient. Et si les religions sont bannies à tout jamais, peut-être restera-t-il une lueur, toute petite, au bout de l’interminable tunnel. Pour le savoir, il suffit d’essayer.

 


samedi 17 février 2024

le puits au fond du jardin • regarde la lune et pas ton doigt…

 
 
Navalny n’était tout de même pas si net. Avant d’entrer en dissidence avec son tsar, il était plutôt du côté des terroristes. Le dictateur s’est vengé comme l’aurait fait son prédécesseur Yvan de Terrible. Et cela ne justifie en aucun cas qu’un État – voir plusieurs – se mêle des affaires d’autrui, sauf s’il souhaite avidement l’avènement de la troisième guerre mondiale, ce qui semble le cas du jeune ado au psychisme inachevé, réfugier sous les jupes de sa maman, qui insulte le maitre du Kremlin à cor et à cri. Comme me le disait très justement ma grand-mère Florine : « Ne t’occupe pas de ton voisin, tu as suffisamment à faire avec toi-même ! » Et j’espère que vous savez que le voyou Zelensky fait la tournée des gogos pour recueillir leur obole qui se monte pour la France à quelques centaines de milliards alors que la plus grande partie de son peuple est surendettée et que les paysans ne savent plus à quels saints se vouer tant leur détresse est surréaliste. Pauvres imbéciles qui votent pour tous ces va-t’en guerre aux cerveaux complètement laminés.

 

Si le monde bien comme il faut, le monde bien sous tous rapports, le monde des curés qui copulent avec les bonnes sœurs, tentent d’assassiner Cnews, c’est que la chaine aborde des vrais sujets, ceux qui intéressent les français et tente de faire comprendre à quel point la France ne cesse de s’effondrer. Moribond et au bord de la dictature Kim Jong-unième, le pays sombre de plus en plus vite dans le noir du trou du fond de mon puits et les imbéciles ignares du pouvoir poussent si fort que bientôt, ils seront engloutis avec lui. Après l’ignoble Macron, sera l’inconnu. Le Pen ne sera pas élue. Le vide sidéral devra être comblé. Et c’est peut-être bien là que s’engouffrera Mélenchon. C’est alors que les français, incapables d’inventer la démocratie, vont crier tous en chœur et en mesure : « Au secours Poutine ! » ou un autre Kim Jong de service, un vrai Mélenchon authentique. Irréversible le malheur, surtout quand on l’a si bien cherché !    

vendredi 16 février 2024

le puits au fond de mon jardin • un songe…

 



 

Mais comment puis-je me tromper à ce point ? Moi qui croyais qu’en ce vendredi 18 février de l’année 2024, après l’avènement du magicien mort cloué sur une croix pour racheter tous nos vilains péchés et nos vilaines pensées, que le problème de la France était la misère de ses chefs encore plus misérable que la misère de son peuple scandaleusement anémié, l’attaque contre la liberté de la presse, les fins de mois des contrôleurs SNCF, la mort annoncée des paysans de toutes espèces, l’islamisation du pays en route pour la  charia, les gros rats dans les rues de Paris, la montée fracassante des égorgeurs dans les centres-villes, la mutation des hommes en violeurs de toutes les femmes de tous âges, la dangereuse succession du Roi Macron en une dictature à la Kim Jong-un de Mélenchiien ou l’une ou l’un de ses chiottes ou chiots, la généralisation de l’ignorance, et surtout, le retour de l’humain à la condition animale, je m’aperçois qu’il n’en est rien. Le malheur, le plus grand malheur qui puisse arriver à la France, malheur irréparable dont la nouvelle est tombée dans la nuit du 15 au 16 sur les ondes radios et dans les écrans télés : Mbappé, le grand, l’immense, l’énorme figurine des supers marchés, le héros de la frappe du ballon, le gourou des foules abruties, quitte le PSG, où durant des années, il s’est posté en embuscade devant une cage, a attendu patiemment qu’un subalterne pose le ballon devant son pied et a tapé, tapé si fort que le ballon est entré dans la cage. Un vrai héros. Dans un autre monde et dans une autre époque, j’ai connu des héros, des vrais, des pensées dont j’ai tenté de suivre les valeurs. Puis-je citer, Ozawa, qui vient de mourir ; Abbado, qui est mort ; Hitchcock qui a réinventé le cinéma ; Godard, qui l’a déconstruit pour le reconstruire différemment ; Molière, qui a beaucoup observé la femme – ridicule ou savante - ; Modigliani, qui a déformé les corps ; le Marquis de Sade, qui a couché sur le papier le psychisme des hommes ; Dumas, qui a conté les aventures mouvementées d’Edmond Dantès ; Freud, qui a analysé les rouages de la machine humaine et les a synthétisés dans sa thérapie psychanalytique. Et quand je constate qu’un bonhomme sans importance qui tape dans un ballon est le modèle du monde, je ne peux croire que je vis dans ce même monde. Et je ne puis m’empêcher de me poser la question qui me hante depuis que la femme coupable m’a expulsé de son ventre : suis-je ou ne suis-je pas ? J’ai peut-être enfin ma réponse : je ne suis qu’un songe qui s’estompe chaque jour en tombant dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est tout pour aujourd’hui.       

mardi 13 février 2024

le puits au fond du jardin • brunehilde et la suite…

 



 

Une vague d’indignation parcours la terre comme si le monde découvrait soudain le miroir qui lui renvoie la laideur de son image. Trump aurait tenu des propos affligeants et irresponsables. Waouh ! Quand donc et à propos de qui et de quoi ? L’entre-soi n’est pas un crime. C’est une protection et une richesse. Et pourquoi les fourbes se taisent-ils lorsque Macron, Mélenchon, Bompard, Panot, Biden, Zelenski, Duhamel (BFM), Salamé, Ruquier, les culs terreux de la télé, les culs véreux de la politique, les culs éclatés du cinéma, les culs publics exposés et explosés, ouvrent la bouche pour cracher leurs vermines ? Les peuples s’indignent pour la bagatelle alors qu’ils se terrent devant l’humiliation que leur infligent leurs chefs. La lâcheté, l’ignorance, l’indécence, les tiennent entre leurs griffes. Se dégager, rentrer chez soi et fermer la porte à double tour jusqu’à ce que la race des loups s’éteigne à tout jamais. Mayotte relance le sujet de plus en plus vivace. L’étranger, l’immigration, doivent être combattus sans relâche. Apprendre à comprendre que la vie n’est que soi et que les autres ne sont que projections et fantasmes est le chemin le plus court pour grandir et franchir le cap. C’est en adulte que l’autre peut être abordé. C’est alors que de fantasme, il pourrait devenir richesse si l’on triomphe de cette ignorance latente qui plonge le monde dans le lourd sommeil de Brunehilde et de la suite connue de tous.     

dimanche 4 février 2024

le puits au fond du jardin • psychanalyse…



 

Un psychanalyste ne passe pas sa vie sur les plateaux des tristes rigolos. Gérard Miller n’est pas psychanalyste. Une mère qui prétend, en parlant de ses enfants, qu’il faut de la distance, de l’indifférence, qu’il faut s’en foutre et qu’il faut les faire garder le plus souvent qu’on le peut, ne peut embrasser la profession de psychanalyste. Corinne Maier est peut- être un écrivain, mais en aucun cas une psychanalyste. Trouver un psychanalyste authentique et freudien – obligatoirement – est un parcours de combattant. La plaque sur la porte d’entrée est le plus souvent un attrape-nigaud. Méfiance, car la thérapie mal appliquée peut vous conduire dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Seuls les thérapeutes qui ont été longuement analysés peuvent appréhender votre confiance. Vous les trouverez sur le site de la SPP (Société Psychanalyste de Paris). Si certains, parmi les autres, arrivent à vous apporter quelques choses, ce ne peut être qu’un flot de pansements sur une jambe de bois. Les médecines de substitutions – dans mon immeuble, elles remplissent les deux premiers étages – ne sont que des mauvaises farces de charlatans, farces qui ont un succès considérable, les masos ignorants couvrant largement la surface de cette pauvre terre. Tout individu, qui qu’il soit et d’où qu’il vienne, devrait faire suivre son psychisme tout au long de sa vie. Cela éviterait la plupart des conflits, des violences et des guerres éternelles qui font les délices des puissants. Depuis le début des temps, l’organisation de la vie est une erreur. Une erreur terrifiante puisqu’elle n’a changé en rien tout au long des siècles. L’homme reste veule, peureux, menteur, méchant et violant. Quand il ne se réfugie pas sous les jupes de la femme coupable qui l'a trahi en l’éjectant méchamment de son ventre sans lui demander son avis, il court réclamer la protection de son dieu qui ne peut lui répondre puisqu’il n’existe pas. Son dieu n’est que l’invention de son psychisme. Et ça, tout particulièrement, ça se guérit.       


samedi 3 février 2024

le puits au fond du jardin • dire ou ne rien dire…



 

Que dire quand on n’a rien à dire ? Qu’écrire quand les mots qui viennent sont ceux de la veille ? Est-il utile et salutaire de redire toujours les mêmes choses, surtout que le répétitif n’est que le fait de tourner en rond ? Le cercle, la boucle se ressasse sur elle-même pour tourner court à l’imagination. L’or volé au Rhin est retourné dans son berceau, signant ainsi le crépuscule et la fin, des dieux et des hommes, puisqu’il semblerait que ces deux entités opposées soient liées à tout jamais, l’homme n’ayant qu’inventé une représentation de son imagination, sa propre vérité, mensonge pour les autres. Être ou pas, c’est la même chose, les morts jouant aux vivants puisque les vivants sont morts. Ainsi interfèrent la vie et la mort, sans frontières et sans savoir qui vit mort ou qui est mort en vie. Les progrès de la fascinante et inutile technologie sont inversement proportionnels à l’évolution des psychismes qui se dissout au fil des temps. L’homme a sacrifié sa propre pensée aux flots des océans parce que jamais il n’a su la maitriser. Les guerres éternelles viennent des images contradictoires qu’on se plait à contempler et auxquelles nous ne cessons de nous identifier, comme si nous n’avions pas assez à faire avec notre propre identification. Continuer à se donner des chefs, qu’ils soient dieux ou hommes, est le reniement de ce que nous sommes. Être soi, c’est se chercher, se trouver, se regarder, s’aimer et se dissoudre en soi. La vie prend alors tout son sens et sa puissance peut égaler celle de ces innombrables dieux qui n’ont apporté sur terre que misères et déceptions.


mercredi 24 janvier 2024

le puits au fond du jardin • l’autre chute…


« Anatomie d’une chute » rafle toutes les récompenses, dans le monde entier. Cette chute disséquée serait-elle celle du cinéma ? La laideur d’un chalet-refuge, un couple de tarés où la femme lesbienne alcoolique exaspère l’homme dépressif qui meurt dès les premières images, une caricature de procès dans un tribunal-asile psychiatrique, un couple chien-enfant qui observe ce bazar en se demandant ce qu’il fait là, et pour bien enfoncer le clou, une musique originale d’un farfelu ignorant. Justine Triet – incapable de bouger la caméra - s’est donné le premier rôle : la femme indécise et sans opinion n’ayant pas encore lu « La Philosophie pour les nuls ». Une caméra inexistante, des dialogues de marchés aux poissons, des caractères sans couleurs – excepté la démesure extravagante du méchant avocat -, de l’anti-cinéma, à moins que ce ne soit le cinéma d’aujourd’hui, celui qui ressemble tant au désastre de la civilisation. Bref, je n’ai vu qu’un banal reportage de France 3 sur une enquête policière ennuyeuse et un procès lu dans un roman de gare, pour laquelle il ne m’est jamais venu l’idée de me créer un frisson de compassion. Je retourne à Bergman, Bunuel, Hitchcock, Dumont, Lynch – encore Lynch -, Gilligan (Breaking Bad, Better caul Saul), Waller-Bridge (Killing Eve), Tolefdano et Nakache (En Thérapie) et quelques autres qui ont le pouvoir de me remplir. À force de sombrer, le monde ne voit même pas qu’il se vide du rouge de son sang dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. 

samedi 6 janvier 2024

le puits au fond su jardin • faire avec ou se bouger le cul…

 



 

Les français croulent sous les lois dont le nombre insensé explose à la figure des juristes qui ne savent plus comment interpréter leurs contradictions. Aujourd’hui, les coupables sont innocents, les innocents coupables. Depuis le péché originel, né dans le ventre de la femme, la femme coupable étant sa culpabilité au monde entier et se croit toujours innocente. Le monde en reste sonné. Sa peur viscérale crée sa cécité devant les définitions. Selon les courants de pensées, absentes depuis longtemps, l’homme n’est plus l’homme, la femme n’est plus la femme, l’enfant, écrasé, cherche s’il est homme ou femme. L’homme est coupable de tous les maux, la femme est innocente de ses actes. Pourquoi pas ? Mais comment assimiler et intégrer l’injustice, la perversion, le sadisme, comme les nouvelles vertus de la vie commune ? Après vingt et un siècles de « aimez-vous les uns les autres » et de « laissez venir à moi les petits enfants », mélange des sexes en action et pédophilie déclarée, comment dénoncer ce mal qui était bien et ce bien qui est devenu mal parce que trop bien pour être bien ?  Mais aussi, comment dénoncer ce bien qui était mal et ce mal qui est devenu bien parce que trop mal pour être mal ? La confusion totale domine tout, actes et sentiments. Le miroir est défectueux. Son reflet est trompeur. Et personne n’est capable de le briser. Alors, reste Freud pour revenir aux fondamentales. Apprendre à vivre avec l’ignoble : la femme qui a conçu l’homme et l’a jeté au sol comme un malpropre, un indésirable, un empêcheur de satisfaire ses plus bas instincts. On en est là aujourd’hui. Ici. Faire avec ou se bouger le cul…

vendredi 5 janvier 2024

le puits au fond du jardin • qui sème le vent récolte la tempête…



 

Que l’on regarde à droite, à gauche ou ailleurs, il n’y que guerres ou menaces. Détruire le monde semble être la jouissance suprême de tous les chefs de tous les pays. Et si on y rajoute la pluie qui veut rayer de la carte de nombreux villages et villes de France étouffés davantage par le béton que par les rivières qui sortent de leur lit, la guerre de succession chez les Delon, la guerre de la délation contre Depardieu, la guerre pour l’extermination de la musique classique, la guerre contre le mâle blanc, la guerre contre la civilisation blanche, la guerre triomphante menée par l’Islam et ses dérivés, la pitoyable guerre que mène la femme contre l’homme, la guerre des pensées, la guerre des relations, on comprend facilement que ce monde est invivable et l’on comprend, la morosité, le désespoir et la souffrance des peuples. Comment peut-on comprendre que Macron et Borne, vomis par la population, soit toujours au pouvoir ? Comment comprendre que l’on laisse Macron tenir, ce matin, son premier meeting de campagne pour les élections européennes – avec le plein d’huiles étrangères - ? Comment comprendre que les peuples ne cessent d’être manœuvrer ? A quoi servent donc ces soi-disant progrès scientifiques qui devaient libérer le monde et lui laisser le temps de savourer quelques une de ses tranches de vie ? L’échec est total et pas une solution ne pointe à l’horizon. Moi, je vous propose Freud et je suis le seul. Vous n’en voulez pas ! Et bien laissez-moi le plaisir d’observer votre chute vertigineuse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Qui sème le vent récolte la tempête !   


mardi 2 janvier 2024

le puits au fond du jardin (bis) • la terreur s’est installée…



 

Les 68 042 591 français sont pendus à ses baskets. Ils ne mangent plus, ne dorment plus, ne copulent plus. Ils sont dans la terreur en attendant sa décision. Va-t-il remanier ? S’il remanie, sera-ce un peu, peu, moyennement, davantage, beaucoup, très beaucoup, passionnément ? Mais qu’est-ce donc cette fébrilité mêlée à cette angoisse ? Moi, je m’en fous. Remaniement ou pas, rien ne changera. Le chef absolu et sans autorité, c’est lui et rien que lui. Que Borne soit remplacée par l’épicier de la rue de Varennes ou par ma voisine de palier, c’est lui qui imposera son absence d’idées et de convictions et la France poursuivra sa chute dans le noir du trou du fond de mon puits. Et pourquoi personne n’avait compris qu’on ne pose pas le cul d’un enfant au psychisme inabouti sur le trône d’un pays monarchique dictatorial, sans créer les pires des ennuis. Cet enfant a besoin d’une longue thérapie psychanalytique pour lui permettre d’éclaircir sa vision des choses de la vie pour lesquelles il est incapable de faire la moindre différentiation. Désolé de l’écrire ici, mais je prétends qu’un homme est un homme, qu’une femme est une femme, qu’un coq est un coq et qu’une poule est une poule. Je ne suis pas sûr que l’enfant partage ma conviction. Vous l’avez voulu. Vous l’avez, grâce à toutes ces élections tronquées. Pour la prochaine fois, réfléchissez ! Vous risquez – c’est même sûr – de bien vous tromper. Moi, je ne vote pas. Je ne joue pas à ce jeu pervers et morbide. Je vis ailleurs, loin de tout ce bordel, avec Schubert et Mahler, Vanzo et Sarroca, Rattle et Abbado, Villanelle et Eve, Saul et Kim, Berg et Webern et quelques copines et copains qui piquent-niquent au fond de mon jardin.


le puits au fond du jardin • les lâches se renient…



 

Les signataires de la tribune en soutien à Depardieu se renient, se défilent et se flagellent à la queue-leu-leu. Voir le grand Jacques Weber qui déclare que sa signature était un autre viol. C’est quoi ce cirque ? Ils avaient oublié, dans leur plaidoyer – disent-ils -, de mentionner les pauvres victimes détruites à vie et qui réclame la découpe du cou de leur bourreau. Quelles victimes ? Celles qui ont déclaré l’être ou celles qui ont été réellement approchées, frôlées et peut-être violées ? Où sont les preuves de ce qui n’est, pour le moment, que divagations de femmes psychopathes qui rejouent les scènes de vengeances de la princesse Turandot ? On me dit qu’il y a une justice en France et que c’est pour cela qu’il est interdit de faire justice soi-même. Par contre, on ne me dit pas que la délation est une saloperie qui devrait être lourdement punie par la loi. Depardieu, à ce jour, est innocent des crimes qu’on lui impute et il le sera jusqu’à ce qu’un tribunal reconnu le condamne pour avoir trop été insolent. L’insolence a toujours été la contrepartie des tyrannies et des dictatures qu’on nous prépare.    


mercredi 27 décembre 2023

le puits au fond du jardin (bis) • le temps qui passe…

 



 

Les choses passent. L’une efface l’autre. La guerre en Ukraine a fait les Unes, les Secondes et les Tierces, pendant des mois. La guerre en Israël l’a complètement occultée. Et voilà que le grand Depardieu, gaulois de souche, a pris le relais, faisant oublier à tous les crapauds de la terre que le monde est sans cesse en guerre. Et patatras, voilà que les terrestres se détournent des guerres et du génie de Depardieu pour ne plus que se poser LA QUESTION de notre aire quatuorienne : où et quand Anne-Elisabeth copule-t-elle avec Bertrand ? Qui, maintenant, va être capable de détrôner ces deux imbéciles inutiles ?

le puits au fond du jardin • vivre en étant mort ou le en même temps macronien…

 



 

À Meaux, la voisine de cette femme et de ses quatre enfants, assassinés par son mari, n’arrive pas à comprendre que cet homme ait pu commettre ce quintuple meurtre. C’est pourtant simple, voisine. Si vous aviez appris à connaître Freud, si vous l’aviez fréquenté et si vous aviez suivi ses concepts, vous ne seriez ni étonnée ni épouvantée. Il ne s’agit que d’un humain qui a ôté la vie à d’autres humains par nécessité psychique. Notre psychisme a de nombreux et impératifs besoins et quand il n’est relié qu’à notre inconscient, comme c’est le cas pour des milliards d’humains, il peut être terrifiant. Et, comme de plus, le meurtrier était un psychopathe reconnu et laisser en liberté par la société ignorante et laxiste, il est passé à l’acte, comme passe à l’acte tous les psychopathes qui ne sont pas sous surveillances et contraintes permanentes. Il lui manque ce qui manque à ces millions d’humains, le lien solide et constant entre leur conscient et leur inconscient qui ne peut s’acquérir que chez Freud. La psychiatrie, science incomplète, se contente de donner des médicaments. La psychanalyse entraîne le patient sur un long – très long – chemin de vie, où le patient prend conscience progressivement et lentement que son inconscient le mène par le bout du nez et que son conscient doit et va se rendre maître du jeu. Il va comprendre que ce qu’il voit n’est pas ce qu’il voit, que ce qu’il entend n’est pas ce qu’il entend, que ce qu’il pense n’est pas ce qu’il pense et que lui-même n’est pas et n’a jamais été lui-même. Et c’est au bout d’un long processus que l’individu adviendra et sera en capacité de penser et de faire les différenciations. Nous sommes tous des psychopathes et nous devons tous pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher notre miroir. C’est quand nous l’aurons trouvé, que nous pourrons nous y regarder, nous y reconnaître et, acte suprême, le traverser. Alors, nous aurons gagné. Nous serons nous-même, même si le chemin sera encore long pour assimiler et assumer notre nouvelle et véritable personnalité, notre authentique fondamentale. Le père de famille meurtrier, la voisine, les journalistes, les commères, les commentateurs, ne vous parleront pas de cela, parce que leur ignorance flagrante et chronique, les entraine sur les chemins inverses, ceux où les peuples rampent parce que, bien que dit vivant, ils sont véritablement morts.    

dimanche 24 décembre 2023

le puits au fond du jardin • un soir pas tout à fait comme les autres…

 



 

Ce soir, à vingt-quatre heures tapantes, apparaitra, sur de la paille, un enfant tout nu, sans mère ni père, puisque issue d’une vierge et d’un ange. Et en même temps – et c’’est de cet instant qu’est né le macronisme, à la même heure précise, un vieux pépé barbu descendra dans toutes les cheminées pour apporter des jouets aux enfants sages. Ceux qui n’habitent pas une maison avec une cheminée ou qui ont été méchants, seront privés de mécanos ou de poupées Barby. Et voilà comment les enfants entrent dans la vie, par le mensonge. Où l’on voit à quel point l’actualité me donne raison. Quels que soient les points où je porte mon regard, je ne vois que des petits enfants ignorants qui pleurent l’absence de leur maman. Si vous souhaitez changer la chose, consultez Freud. La porte de son cabinet est ouverte à tous.     

jeudi 14 décembre 2023

le puits au fond du jardin • histoire de bon sens…


 


 

Il est (re)venu le temps des couteaux, l’arme efficace à cent pour cent qui laisse balafres – certaines sont immortelles – ou plaies béantes, introduisant la mort certaine. Que serait Jack – l’éventreur – sans son couteau ? Et José, avec lequel il a brisé la vie de la persifleuse ? Même les bandits corses usaient du couteau. Le couteau, revenu à la mode, est partout et découpe les chairs allègrement. On a inventé le missile alors qu’on avait le couteau, moins onéreux et plus efficace assurément. Maintenant, on le sait, la menace est partout et permanente. Il faudra bien imposer l’armure du Chevalier Bayard de jour comme de nuit, pour éviter l’afflux dans nos hôpitaux en surcharge permanente. Et il faudra, bien sûr, réinventer le cheval si l’on veut pouvoir se déplacer. Nous qui faisons progresser si vite l’artifice, nous courons à reculons vers les temps perdus et nous nous incrustons dans le célèbre tableau d’un pré-homme anonyme – peut-être l’homme authentique – où l’on voit monsieur, bobonne et marmailles vêtus de peau de bêtes, lors de leur sortie dominicale. La famille non recomposée sort de sa caverne. Bobonne couchée à même la terre est promenée par son mâle qui la tire par les cheveux, alors que les petits abrutis font des grimaces aux lions et aux girafes. Eux aussi portaient couteaux. Mais c’était pour découper la bonne chair de l’animal ou celle de l’épouse captive du chef de la tribu voisine qui avait empiété sur leur terre. On ne partageait pas à cette époque. On avait du bon sens.   

lundi 11 décembre 2023

le puits au fond du jardin • pour voir, ouvrir les yeux…

 



 

Étrange ressemblance entre Villanelle – psychopathe tueuse en série – et Saul – avocat véreux -, qui, retombent sans cesse sur leurs pattes en défiant les lois et les supers-psychopathes qui les font. C’est chez eux que l’on trouve l’humanité que le monde recherche depuis sa création. Visiter et revisiter les personnages, est, sans doute, le moyen de voir enfin. La solution est là. Comme pour Freud, personne n’en veut. C’est pourquoi nous en sommes là !   

jeudi 7 décembre 2023

le puits au fond du jardin • à quelques années-lumière…


 

Quand un pays a à sa tête un individu narcissique, inabouti, qui ne veut ni voir ni entendre et qui passe ses journées à déclamer des tirades cornéliennes en place de discours politiques visionnaires, sous le regard protecteur de sa vieille muse qu’il a épousée, il ne faut pas s’étonner de l’époustouflante désintégration de son identité et de son organisation. J’ai appris à l’école – à une époque où i y avait des écoles – que la démocratie c’était le peuple dirigé par le peuple. À presque 80 ans, je n’ai toujours pas vu la moindre ombre d’un peuple qui décide ce qui est bon pour lui. La France, depuis l’irruption du militaire à la retraite, ne cesse d’enchaîner dictateurs sur dictateurs et il y a encore quelques paumés qui affirment que l’on est en démocratie. La Démocratie n’a toujours pas été inventée et c’est – comme Tristan et Isolde – des subterfuges assénés à répétitions qui mettent le peuple dans un état second et qui l’obligent à croire tout ce qu’on lui dit. Ce monde vit dans l’illusion et le déni en attendant le nouveau messie, une autre illusion qui remplit sa vie. Bof, les guerres finiront bien par avoir raison de tout ce monde imbécile et je m’en réjouis. Pour ma part, je ne regarde même plus par ma fenêtre. Je passe mes journées avec Villanelle, Eve, Mike, Saul, White, les Palmer, Cooper, le Docteur Dayan, Ferguson, Ester/Barton, et quelques autres. Nous vivons en harmonie à quelques milliards d’années-lumière de cette puante terre.


mercredi 6 décembre 2023

le puits au fond du jardin • freud, même si ça vous déplait…



 

Les guerres sont de partout. Déclarées ou sournoises, elles engrossent les petits malins et ravissent l’économie souterraine. Le monde des voyous triomphe sous le regard débranché des naïfs à qui on a asséné les pitoyables mensonges du vivre ensemble ou du aimez-vous les uns les autres. L’homme non abouti est de partout, lui aussi. Son comportement est terrifiant. Il détourne la tête dès que cela dérange son petit confort de midinette. Il parle sans interruption alors qu’il n’a rien à dire. Il prône ce qu’il ne fait jamais. Il veut la mort des assassins faute de ne pas avoir le courage d’être assassin lui-même. Il invente l’insensé et l’inutile pour meubler le trou béant de son existence et pour ne pas voir la chute libre de son psychisme fracassé. Il vit mort dans des cages à lapin, régis par des gamins voyous et perdus de 12 ans, ou, dans les décors surchargés des films de Visconti. Il n’a pas de mesure. Il ignore son point de chute parce que sa chute ne cesse jamais. Il fuit les miroirs, le sien en particulier. Il a trop peur de voir son visage défiguré. En naissant, il a choisi la mort, parce que la femme coupable l’a éjecté violemment de son ventre, sa maison, celle où il ne cesse de vouloir retourner. Et je ne développerai pas ce qu’il pense de Freud. Il a choisi de le rejeter, tellement il a peur de vivre vivant.    


lundi 27 novembre 2023

le puits au fond du jardin • la lâcheté et l’ignorance de l’homme…

 



 

À la radio et à la télé, les conversations de salon bien polies ou bien assassines, appelées « débats », sont affligeantes et surréalistes. Le monde des chroniqueurs, essayistes, commentateurs et journalistes, éventuellement, vient, tour à tour et en même temps, mettre son grain de sel dans un discours primaire, pétri d’informations toutes faites, convenues, hors-sujet, parce que ces pitoyables analystes ne voient que l’image qui cache l’image, que l’arbre qui cache la forêt, que le doigt qui montre la lune, que l’illusion qui cache le réel. Les problèmes ne sont pas ceux que l’on désigne, ceux que l’on met sur le compte de... Les problèmes sont en chacun de nous, bien cachés dans notre inconscient. Et comme nous voulons toujours ignorer les vérités – fuite dramatique en avant – nous feignons l’existence et la supériorité de notre inconscient. Ce n’est pas Mélenchien, l’enfant Roi de France, Kim Jong-un, Panot-Rousseau, qu’il faut fustiger, mais notre circuit qui relie notre conscient à notre inconscient que nous sommes incapables de maîtriser. Nous sommes esclaves et ravagés par ce dernier et nous n’osons pas nous imposer. Il nous humilie et nous subissons sans broncher. Sade aurait aimé. Notre psychisme est resté, depuis notre avenue sur terre, à l’état primaire, sauvage et destructeur. Et c’est sur ce point fondateur qu’il faut se pencher. Tant que chacun d’entre nous n’aura pas poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser, rien ne changera. L’homme restera cet enfant pourri, désagréable et puant. Désolé !

dimanche 26 novembre 2023

le puits au fond du jardin • destruction sans fin…



 

Guerres de partout. Guerres des idées, guerres des territoires, guerres des religions, guerres des opinions, guerres entre communautés, guerres sociales, guerres des générations, guerres des sexes, guerres dans les familles, guerres dans les cours de récréation, guerres de rues, guerres de bistrots. Bref, guerres des boutons avec sang mêlé. Guerres des boutons avec violences, viols, tortures, assassinats. La guerre emplit la vie de l’homme parce que l’homme n’est pas homme. Il est rare qu’il dépasse le stade de l’enfance. Toute sa vie, et pour éviter d’accéder au stade adulte, il restera obsédé par le ventre de la femme – sa propre éjection, la pénétration, la chaleur, l’insouciance, la protection – et ne souhaitera que le retour à la maison, comme Laura ou Villanelle, modèle de la transition. C’est pourquoi, à ce stade, il est temps de consulter Freud. Il est temps de pénétrer son cabinet pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Jamais un politique ou un militaire n’a réussi à résoudre les problèmes du genre humain. Il ne peut parce qu’il participe à la descente dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin. L’homme est le premier destructeur de l’homme. Point de salut sans reconstruire son psychisme. « Le Clavier bien tempéré » et « L’Art de la fugue » de Jean-Sébastien Bach sont la fondamentale rejetée. Perdu dans les mouvances hors-sols, l’homme a coupé les liens avec sa propre nature. Il n’est plus qu’un pantin désarticulé sans son manipulateur, lui qui ne cesse d’être et de se manipuler. Bach et Freud. Rien d’autre !