Cruelles, mais si vraies, les rues de Paris où nos politiques et apparentés ont chu devant les vitrines et ne peuvent plus se relever. Ils croupissent là depuis trois ou quatre jours sans que personne leur vienne en aide. Ils sont si sales et ils sentent si mauvais, que c’est à distance qu’on les regarde sans aucune pitié. Qui sème le vent récolte la tempête, répète sans cesse ma voisine de palier qui est remplie de sagesse. Et les gros rats des égouts sortent de leurs tanières et viennent leur lécher les pieds avant de passer aux parties plus charnues qui sont, pour leur condition animale, un véritable régal. Le spectacle est terrifiant et surtout affligeant. De beaux parleurs menteurs, ces hommes et femmes des hautes sphères sont devenus des rampants rongés de toutes parts, fuient par l’humanité tout entière. Juste retour de bâtons que j’apprécie à sa juste valeur. Merci les éboueurs qui font mieux que les révolutionnaires de 1789. Merci et bravo !
Si le réforme des retraites est déjà acquise, soit par le vote - peu probable -, soit par le 49.3, c’est que le peuple devrait cesser de se cocaïner et essayer - s’il en est encore capable - de se réveiller. Ce n’est pas en confiant sa vie à un maire, à un député ou à un Roi, qu’il va se réaliser. Voter, c'est désigner son bourreau. Voter est un crime. Pour preuve ! Inutile de vous faire un dessin…