vu à travers le tube • « crevez bonnes gens ! »

On expurge les romans d’Agatha Christie de leurs expressions offensant les amis de la psychopathe écologiste Sandrine Rousseau et le monde laisse faire. On demande à un enfant de huit ans s’il veut être garçon ou fille et personne ne s’indigne. On confie des enfants à des couples homos ou à des couples de lesbiennes et personne ne voit le danger. Le wokisme ronge les sociétés et le monde laisse faire. Macron a 70% d’opposants - selon le sondage sorti ce matin - et personne ne le déloge du trône de France. L’individu a un problème psychique ahurissant et on fait comme s’il était sain d’esprit. Bof ! Rien de nouveau. Le monde a toujours été ainsi. Ce n’étais pas mieux sous Dagobert et sa culotte, ni sous Henri IV et ses deux mamelles, ni sous Napoléon et sa main gauche amputée, ni sous De Gaulle et sa Constitution monarchico-dictatorialiste. On ne s’en sortira jamais puisque le seul problème inerrant à l’homme est l’ignorance. On ne s’en sortira jamais puisque le seul remède est Freud. Le savoir et Freud n’intéressent personne. Alors, que dire ? Peut-être et seulement : « Vous qui êtes nés morts, crevez bonnes gens ! »  

vu à travers le tube • aujourd’hui, hier, demain…

Aujourd’hui est comme hier. Aujourd’hui sera comme demain. La naissance est une erreur. La famille est une erreur. La société est une erreur. L’humain est une erreur. Ces erreurs successives posent des questions qui ne peuvent avoir de réponses. L’humanité est née complice du déni, du mensonge et de la confusion des pensées. C’est pourquoi ceux qui sont désignés pour organiser le monde qui n’a nullement besoin d’organisation, sont des pauvres d’esprits, des cerveaux vides, des ectoplasmes agonisés : Macron, Mélenchon, Zelensli, Biden, Louis-Philippe, Charles Martel, François 1^e, Richard III, Charles-Quint, Napoléon le petit et tous les autres. Vivre vivre, c’est suivre la voie tracée par Twin Peaks le Retour. Vivre mort, c’est prendre le sentier qui chute dans le noir du fond du puits de Breaking Bad. Vivre vivre, c’est se forger, se façonner, se construire, selon Freud. Vivre mort, c’est accepter l’ignorance qui nous dévore.

vu à travers le tube • violences de toutes parts…

Hier, en 2023, à Sainte-Soline, nous avons revécu Waterloo. La déroute de l’armée française face aux « Intouchables » protégés par le Roi, puisque cette manifestation interdite à fait le plein sur le terrain sans que personne sache comment tous ces voyous ont pu franchir les barrages de police. Une fois encore, UN SEUL COUPABLE : Macron E. Roi de France, ado au psychisme fracturé et inabouti. Et tout ce mauvais cirque va durer encore très longtemps, puisque le Roi de France ne rencontre toujours pas d’opposition effective. Si le pouvoir est en faillite, l’opposition invisible, le peuple dans la misère, c’est que les français ont le cul vissé sur leur canapé ou sur les trottoirs de la mendicité et que leurs yeux restent fermés, leurs oreilles bouchées. Ils attendent. Ils attendent l’explosion finale, celle qui fera qu’ils ne seront plus. C’est leur choix !

 

À Chambéry en Savoie, une femme - UNE FEMME - a été mise en examen puis placée en détention provisoire pour VIOL, violence et menaces de mort sur son conjoint. Cela confirme mon savoir : il n’y a pas que les hommes qui sont des salauds. Mais peut-être que, sous l’influence de la célèbre Rousseau, la dame est devenue homme, le monsieur est devenu femme, et l’incarcérée a accompli son devoir en imposant sa loi. Oui… c’est sans doute cela !    

vu à travers le tube • les brisures sans fin…

 

Zemmour pourra dédicacer son livre à Villeurbanne. Le tribunal administratif de Lyon lui a donné raison contre l’interdiction de l’arrêté du maire socialiste - depuis le sacre de Hollande, je cherche, en vain, un socialiste à l’horizon - de la ville. Je me réjouis de cette décision. Je ne suis pas zemmourien, ni macronien, ni lepenien, ni ciottien, ni faurien, ni bayrouien. Je suis : RIEN. Le pseudo-élu - depuis l’invention des élections - est le mur invincible qui interdit l’invention de la Démocratie. En attendant cette forme de fonctionnement - le peuple dirigé par le peuple -, je suis anarchiste et égoïste. Les autres ne m’intéressent pas. D’ailleurs, comment cela pourrait-il être possible puisqu’ils n’existent pas. Ils ne sont qu’une image inventée par ma pensée. Ils sont comme Dieu, des ectoplasmes imaginés. Je préfère mes amis de pensées et de chaires, comme Freud, Wagner, Lynch, Hugo, Strauss (Richard), Moll, Verdi, Baudelaire, Webern, Molière… sans oublier mon Leclerc et ma voisine de palier.

 

Le Roi de France marche à reculons. La peur au ventre, et en seulement quelques heures, il a renoncé au Roi d’Angleterre - ce qui fait dire que Macron II ne caressera pas Charles III - ainsi qu’au match de foot de Mbappé, celui à qui il avait fait des guiliguilis au Qatar. Ses déboires affectueux l’ont rendu sourd à mort. Il n’entend pas le peuple ni Cazeneuve qui vient de lui demander de retirer la loi scélérate. La France est dans une impasse et la question n’est plus que de savoir si elle veut continuer sa marche en arrière sous le régime de la dictature monarchique ou si elle veut marcher pour la première fois en avant, en allant vers la Liberté, en inventant la Démocratie. Je connais la réponse et vous aussi. Peu importe. Presque 80 ans. Ce n’est plus mon problème. Je dois mettre ma queue de pie pour accueillir ma suite et fin : MA MORT ! En attendant, je me prépare à rendre visite à mon incroyable voisine de palier, un véritable livre ouvert sur ses délicieux potins et à me rendre chez mon Leclerc pour prendre mon café et m’acheter un sachet de trio de riz aux trois couleurs.   

mots en lien

 

J’aurais voulu d’exister en s’accordant les particules au centre de mon corps qui tousse les décors qui chatouillent.

 

vu à travers le tube • champ de ruine…

Se réveiller sur un champ de ruine. Paris a brûlé (réponse à René Clément). La France entière est sous les flammes. Tout ça parce que la France a encore un Roi et que ce Roi maltraite les pauvres gens et les provoque lorsqu’ils sont à terre. La révolte - LA RÉVOLTE - est dirigée contre le Roi et lui seul. Le seul remède à ce massacre intérieur est son arrestation, son jugement et sa mise en prison à vie. Et ne pas oublier que cette réponse à la question doit impérativement s’accompagner de la dissolution de la Constitution perverse que nous a laissé le lâche militaire à la retraite et de la construction d’une nouvelle Constitution où le Président devra se contenter d’inaugurer les chrysanthèmes dans les cimetières. La Démocratie sera inventée le jour où le peuple sera commandé par le peuple. Mais, pour arriver à cela, encore faut-il que chaque individu accède au stade adulte. Et, dans ce monde d’enfants prématurés, je ne vois pas comment la Démocratie pourrait être inventée. Commençons donc, d’abord, par arroser les racines. C’est Freud qui possède l’eau et c’est lui qui tient l’arrosoir.

vu à travers le tube • cela aura été comme je l’avais écrit…

Avant d’aborder le plat de résistance, je vous informe que le maire de Villeurbanne vient d’interdire la venue de Zemmour dans sa ville, pour une séance de dédicace. En effet, selon l’élu, dont le cerveau multiplie les fêlures, Zemmour est un dangereux conspirationniste, violeur de petites filles, qui risquerait de troubler l’ordre public.

 

Cela dit, plat de résistance. Comme je l’avais annoncé hier dans mon tube désormais célèbre, il a parlé pour ne rien dire, il a parlé et n’a rien dit. Il s’est contenté de provoquer et de menacer devant les deux idiots qui n’ont même pas eu honte de tenter de bafouiller des questions stupides et hors sujet. La seule question que l’on doit se poser aujourd’hui est de savoir quand la France deviendra une Démocratie, en supprimant - en priorité - la fonction de Roi de sa Constitution. C’est la seule et l’unique qui pourra changer la marche du temps. Je me réjouis qu’aujourd’hui soit jour de grève et j’espère qu’elle sera reconduite jusqu’à l’arrestation du menteur pervers provocateur. Dormez tranquilles bonnes gens. Ce que j’espère n’est pas de ce monde. Ce que j’ai réalisé, c’est dans mon monde à moi que je l’ai accompli, pas dans celui des autres qui n’existent pas. Naitre seul, vivre seul et mourir seul a toujours été ma devise. Je peux dire qu’elle ne m’a pas mal réussi.       

vu à travers le tube • provocation…

Il va parler parce qu’il n’a rien à dire. Il va enflammer de son mépris la France qui brûle depuis déjà si longtemps. Il a dit, hier, que le peuple de la rue était méprisable et que seuls les élus, grâce à un savant trucage, étaient légitimes alors que lui, en tête, ne l’est pas. Il va soudoyer les naïfs, les faibles d’esprit et les psychismes fœtusiens. Les morts de toutes conditions vont l’écouter. Pas moi, qui suis près de la mort mais encore vivant. Je profiterai de cette souillure télévisuelle pour réécouter et revoir l’Elektra du tout jeune Abbado. Puis j’affinerai ma gamme de si bémol mineur sur mon saxhorn baryton à quatre pistons. J’allais oublier d’écrire que s’il a choisi les journaux de 13 heures de la Une et de la Deux, c’est parce qu’à 20 heures, il devrait rencontrer Anne-Sophie Lapix. Cet homme est plus provocant que les blacks blocs et que Mélenchon qui, par rapport à lui, ne sont que des petits anges innocents tout juste bons à enceinter Marie. La provocation n’est pas chez le peuple mort, mais bien dans le luxe écœurant du palais du Dictateur calculateur qui vient, ce matin, de faire un pas en arrière. La guerre de l’Immigration - prévue la semaine prochaine - n’aura pas lieu. Tout est cercle sans fin. On revient à la Guerre de Troie qui n’aura pas lieu et à l’assassinat d’Agamemnon, vengé par Elektra, par le poignard d’Oreste.       

vu à travers le tube • vie-mort, mort-vie…

Oreste a assassiné sa mère Clytemnestre. J’ai assisté à son meurtre en direct. Clytemnestre avait assassiné son père, Agamemnon. C’était ce dimanche. Deux jours avant, j’ai vu Salomé baiser les lèvres de Jean dont la tête était séparée de son corps. Il y eut aussi - entre les deux - la perversité et la minauderie provocatrice insupportable de la femme coupable - ici, elle se nommait Arabella - et je préfère ne pas m’étendre sur le sujet. Après ces représentations de Salomé et d’Elektra du génial Richard Strauss, après avoir vécu quelques courts temps dans l’éclatante lumière de la vie au Deutsche Oper de Berlin, je suis revenu au noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent les morts de toutes générations et de tous pays, les morts encore en vie et qui ne sont pas morts, mais vivent en morts semblant vivant et pourtant morts comme la mort. Je les avais oubliés : Macron, Borm, monarchie, dictature, PR, RN, PN, RR, AB, KL, et tous les psychismes à l’état d’embryon. C’est triste de retrouver la mort après avoir vécu à l’intérieur de la vie. Bref. Je vais aller voir si ma voisine de palier est toujours en vie et si Leclerc n’est pas mort en mon absence, je vais aller y prendre mon café. Cela me changera les idées.   

vu à travers le tube • dissolution(s)…

Jusqu’à 64 ans au boulot, c’est fait. Le vote favorable ou le 49.3 ou la dissolution de l’Assemblée en prélude à sa séance de cet après-midi. J’aimerais bien que le Roi fantasque dissolve ce Gloubi-boulga indigeste, la suite en serait tellement rigolote. Mais, je préférerais tout de même et en priorité prioritaire, que le peuple dissolve le Roi, ses prédécesseurs et ses successeurs et que plus jamais on entende parler de cette race impure prédatrice. Tout le monde s’en porterait mieux et l’homme asservi pourrait - s’il en a la capacité psychique - se libérer de ses chaînes et devenir homme à part entière comme est l’homme libre, race d’une extrême rareté sur cette terre.

 

Bref. Je vais faire un petit coucou à ma voisine de palier avant me rendre chez mon Leclerc, prendre mon café. Puis je vous quitterai pour quelques jours ou pour toujours. Salomé, Arabella et Elektra m’attentent à Berlin. Peut-être y resterai-je pour y mourir. N’est-ce pas le lieu idéal pour quitter l’univers, en pleine lumière, rempli de sons, d’images et de mythes que peu de femmes et d’hommes se donnent la chance de fréquenter, d’adopter et de s’y dissoudre pour l’éternité ?

vu à travers le tube • survivre…

Dans cette guerre des retraites - à 64 ans dès demain - le plus important, c’est le comportement des français. Ils n’ont que deux choix. 1. Persister dans leur lâcheté permanente en gardant sournoisement le silence. 2. Se révolter et faire en sorte que plus jamais quiconque décide à leur place. Les grèves, aujourd’hui, ne sont que des gentils mouvements d’humeurs chagrines qui ne peuvent inquiéter la classe dominante. Ce n’est pas deux ou trois rats parisiens qui vont changer le monde et qui vont donner vie à la devise « Liberté. Égalité. Fraternité. » qui n’est que trois mots fœtus, jamais expulsés sur la terre et pas conséquence, jamais mis en pratique. L’âge de la retraite, les salaires, le choix de vie des peuples sont entre leurs mains et non entre celles des représentants véreux à tous les étages, menteurs comme les arracheurs de dents, pervers comme les femmes et les hommes qui ont soumis Justine dans la tête du grand Marquis de Sade. La terreur qui règne sur le monde depuis les commencements n’est due qu’à l’ignorance. Apprenez et vous saurez. Le monde dans lequel vous vivez surgira alors dans la lumière. Le choc sera immense. C’est pourquoi les adultes non aboutis, trop nombreux pour les compter, devront se crever les yeux s’ils souhaitent survivre envers et contre tous.

vu à travers le tube • cruels sont les rats…

Cruelles, mais si vraies, les rues de Paris où nos politiques et apparentés ont chu devant les vitrines et ne peuvent plus se relever. Ils croupissent là depuis trois ou quatre jours sans que personne leur vienne en aide. Ils sont si sales et ils sentent si mauvais, que c’est à distance qu’on les regarde sans aucune pitié. Qui sème le vent récolte la tempête, répète sans cesse ma voisine de palier qui est remplie de sagesse. Et les gros rats des égouts sortent de leurs tanières et viennent leur lécher les pieds avant de passer aux parties plus charnues qui sont, pour leur condition animale, un véritable régal. Le spectacle est terrifiant et surtout affligeant. De beaux parleurs menteurs, ces hommes et femmes des hautes sphères sont devenus des rampants rongés de toutes parts, fuient par l’humanité tout entière. Juste retour de bâtons que j’apprécie à sa juste valeur. Merci les éboueurs qui font mieux que les révolutionnaires de 1789. Merci et bravo !

 

Si le réforme des retraites est déjà acquise, soit par le vote - peu probable -, soit par le 49.3, c’est que le peuple devrait cesser de se cocaïner et essayer - s’il en est encore capable - de se réveiller. Ce n’est pas en confiant sa vie à un maire, à un député ou à un Roi, qu’il va se réaliser. Voter, c'est désigner son bourreau. Voter est un crime. Pour preuve ! Inutile de vous faire un dessin…

vu à travers le tube • véran ou veran, c’est kifkif…

Véran le dit et l’affirme dans toutes les radions et dans toutes les télés. IL N’Y AURA PAS DE 49.3. Sa marque de fabrique et de pensée est depuis toujours le mensonge éhonté qui ne le dérange nullement et ne dérange nullement les français qui ne l’ont toujours pas noyé dans la Seine. Alors et donc, il a raison le Véran. LE 49.3 AURA BIEN LIEU. Je rappelle, pour information, que Veran - avec accent aigu ou pas sur la deuxième lettre - est un personnage du jeu vidéo The Legend of Zelda: Oracle of Ages, elle est la Sorcière des Ombres, elle a la faculté de posséder les personnes pour les contrôler, y compris Impa, Nayru et la Reine Ambi. Dans le manga tiré du jeu vidéo, elle prend également possession de Ralph à une occasion. Veran est aussi désignée comme « le Démon Possesseur ».

 

La folie du monde, le bordel en France, les détraqués du ciboulot qui confondent les sexes, qui confondent les races, qui confondent les psychismes et des dieux, qui confondent la Démocratie avec la dictature tyrannique, ne gênent personne. Hier, je suis allé sur l’autoroute pour prendre mon café - le dimanche après-midi, mon Leclerc est fermé -. Le guichetier m’a dit que c’était complet et que je ne pouvais pas passer. Je me fiche du guichetier. Avec ma planche à roulette électrique, je me suis faufilé entre des boites de conserve à l’arrêt, sur 7 kms. Et je suis arrivé sans encombre à l’air de Moussy où on peut acheter tout ce qu’il y a chez Leclerc : café, gâteaux, slips kangourou, chemises à carreaux, bandes dessinées, clés USB, tampons Tampax, montres connectées, bleu d’Auvergne, et tout le bazar nécessaire à la folie du monde, la folie qui, tel Moïse dans la Mer Rouge, nous conduit sur les chemins qui s’étranglent et suffoquent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.     

le puits au fond du jardin • Les prisons facebookiennes…

 

Je suis donc en état d’arrestation par la milice facebookienne - et ce n’est pas la première fois - parce que je n’ai pas écrit bien comme il le faut dans notre société de dénis et de mensonges à laquelle tout le monde participe activement et sournoisement. J’ai 3878 amis et je n’en ai aucun. Peu importe parce que je vis sans amis depuis le premier jour de ma naissance, ayant compris dès l’âge de raison la signification de ce mot qui est pour ceux qui ne le savent pas : lâche qui trahit à la moindre occasion. J’ai jeté au vide-ordures les quelques membres de ma famille qui me reste, j’ai rompu avec le peu de connaissances que j’avais et je me contente de vivre avec moi et mes sous-moi, ce qui n’est pas toujours une partie de plaisir, mais c’est toujours mieux que vivre avec la pourriture qui se meut sur la terre. Freud m’a ouvert les yeux et les oreilles et m’a appris à former les images de mon imaginaire dans le respect des réalités de la vie, éléments primordiaux que la quasi-totalité des faux vivants ignorent totalement. Vous croyez être alors que vous n’êtes pas. Vous n’êtes qu’une image détectée par mon inconscient que je m’efforce de conscientiser pour entrer, si nécessaire, en contact avec votre ectoplasme. Bref, ma vie est - a toujours été - dans l’écran, avec les vraies gens en noir et blanc puis en couleur, comme Gary Cooper ou Jeanne Moreau, Marnie ou Laura Paimer, Brigitte Fossey ou Pierre Fresnay, mais aussi des gens chantant sur des scènes de théâtre comme Elsa et Lohengrin, Tosca et Mario, Falstaff et Nanette, Wozzeck et Marie. Ici, sur ce ramassis de veuleries, je ne croise que du vent, des fantômes de fantômes de grands vides.

 

La France a un Roi tyran déguisé en gentleman bien propre dessus et dessous, un brigand, un traitre, un sous-homme. Et pas un seul bougre ne songe à l’éliminer, quelque en soient les moyens.

 

Peu importe. On tue, on viole, on alcoolise, on cocaïne, on ignore, on pécore.  Rien d’autre. Le vide…

vu à travers le tube • les français et la santé de leur anus…

La chute s’accélère et le noir du fond du trou de mon puits au fond de mon jardin se rapproche à vitesse supersonique. C’est là que croupissent les morts morts qui avant étaient des vivants morts ou - mieux - des morts-vivants. Des tonnes d’amendements, des marmites de mensonges, des querelles de marchants de tapis, des bras d’honneurs à foison, des invectives de charretiers, des jours et des jours au théâtre des horreurs, pour aboutir à la lumière aveuglante de la Démocratie, le 49.3, que le Roi de France, suspendu au téton de sa maman, use et re-use et abuse, avec une magnifique dextérité. Et les français, naïfs et ignorants sont, une fois encore, enculés. L’enculage permanent semble être leur mode de vie. Pourquoi pas ?