
Je ne me pardonnerai jamais d’avoir
été, pendant cinq ou six décennies, un socialiste convaincu et qu’il y en ait
encore quelques restes aujourd’hui, quand je vois ces pitoyables socialos trou
du cul, qui vendraient leur âme à Méphisto – Faust était socialiste – pour la
miette de pain revomi par mon petit canari jaune figé derrière ses barreaux.
Leur alliance avec LFI, l’ignominie
jamais atteinte sur cette terre ; la morale à deux balles de la vieille
Borne qui remonte les bretelles des recteurs parce que la police est venue mettre
les menottes a une élève terroriste sans papiers, dans la salle de classe,
devant les élèves ; Boyard, le braillard terroriste en passe de devenir
maire ; le mot « submersion », mot si bien approprié dans le contexte,
qui provoque des crises d’hystéries profondes à l’intérieur du parti en charpie ;
l’enfant au psychisme inabouti qui sert de
roi à la France, roi sans culotte, sans pantalon, sans fonction, qui prend encore
la parole, de temps à autre, pour vomir ses fantasmes d’embryon éternellement
figé dans le ventre de la femme coupable.
Oui, j’ai longtemps pensé
socialiste. Aujourd’hui, si je me tourne vers Rotailleau, Le Pen, Maréchal,
Zemour et l’esprit Cnews/Europe 1, je pense et agis en fonction des deux seuls
maitres qu’a connu notre civilisation fuyante. Sigmund Freud d’abord, le seul
qui ait compris le fonctionnement psychique de l’humain et qui a inventé la
thérapie psychanalytique pour tenter de faire comprendre que ce que voit et
entend l’homme n’est pas, d’où ses traumatismes qui l’emprisonnent à vie s’il
ne pousse pas la porte du cabinet du maitre pour y chercher son miroir, le
trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Jean Sébastien Bach
ensuite, qui par ses compositions, reflets précis de notre psychisme, décrit,
dans son universalité et le résume dans « L’Art de la fugue », la primordialité
de la fondamentale, celle sur laquelle tout individu devrait établir les tables
de sa loi, l’équilibre, la clarté et l’éclairage du chemin qui mène de l’inconscient
à la porte du conscient. Cette immense victoire permettrait de gommer à tout
jamais les pièges mortels tendus par Boyard, Panot, Mélenchon, Hollande,
Bayrou, Macron, Sarko, Chirac, Mitterrand, Napoléon, Louis XIV, Henri IV,
François Ier, Royale, Cohen, et tant d’autres, qui ont prôné ou prônent,
aujourd’hui, l’ignorance qui enrichit la cécité et la surdité du peuple de France.