jeudi 16 mars 2023

vu à travers le tube • dissolution(s)…

Jusqu’à 64 ans au boulot, c’est fait. Le vote favorable ou le 49.3 ou la dissolution de l’Assemblée en prélude à sa séance de cet après-midi. J’aimerais bien que le Roi fantasque dissolve ce Gloubi-boulga indigeste, la suite en serait tellement rigolote. Mais, je préférerais tout de même et en priorité prioritaire, que le peuple dissolve le Roi, ses prédécesseurs et ses successeurs et que plus jamais on entende parler de cette race impure prédatrice. Tout le monde s’en porterait mieux et l’homme asservi pourrait - s’il en a la capacité psychique - se libérer de ses chaînes et devenir homme à part entière comme est l’homme libre, race d’une extrême rareté sur cette terre.

 

Bref. Je vais faire un petit coucou à ma voisine de palier avant me rendre chez mon Leclerc, prendre mon café. Puis je vous quitterai pour quelques jours ou pour toujours. Salomé, Arabella et Elektra m’attentent à Berlin. Peut-être y resterai-je pour y mourir. N’est-ce pas le lieu idéal pour quitter l’univers, en pleine lumière, rempli de sons, d’images et de mythes que peu de femmes et d’hommes se donnent la chance de fréquenter, d’adopter et de s’y dissoudre pour l’éternité ?

mercredi 15 mars 2023

vu à travers le tube • survivre…

Dans cette guerre des retraites - à 64 ans dès demain - le plus important, c’est le comportement des français. Ils n’ont que deux choix. 1. Persister dans leur lâcheté permanente en gardant sournoisement le silence. 2. Se révolter et faire en sorte que plus jamais quiconque décide à leur place. Les grèves, aujourd’hui, ne sont que des gentils mouvements d’humeurs chagrines qui ne peuvent inquiéter la classe dominante. Ce n’est pas deux ou trois rats parisiens qui vont changer le monde et qui vont donner vie à la devise « Liberté. Égalité. Fraternité. » qui n’est que trois mots fœtus, jamais expulsés sur la terre et pas conséquence, jamais mis en pratique. L’âge de la retraite, les salaires, le choix de vie des peuples sont entre leurs mains et non entre celles des représentants véreux à tous les étages, menteurs comme les arracheurs de dents, pervers comme les femmes et les hommes qui ont soumis Justine dans la tête du grand Marquis de Sade. La terreur qui règne sur le monde depuis les commencements n’est due qu’à l’ignorance. Apprenez et vous saurez. Le monde dans lequel vous vivez surgira alors dans la lumière. Le choc sera immense. C’est pourquoi les adultes non aboutis, trop nombreux pour les compter, devront se crever les yeux s’ils souhaitent survivre envers et contre tous.

mardi 14 mars 2023

vu à travers le tube • cruels sont les rats…

Cruelles, mais si vraies, les rues de Paris où nos politiques et apparentés ont chu devant les vitrines et ne peuvent plus se relever. Ils croupissent là depuis trois ou quatre jours sans que personne leur vienne en aide. Ils sont si sales et ils sentent si mauvais, que c’est à distance qu’on les regarde sans aucune pitié. Qui sème le vent récolte la tempête, répète sans cesse ma voisine de palier qui est remplie de sagesse. Et les gros rats des égouts sortent de leurs tanières et viennent leur lécher les pieds avant de passer aux parties plus charnues qui sont, pour leur condition animale, un véritable régal. Le spectacle est terrifiant et surtout affligeant. De beaux parleurs menteurs, ces hommes et femmes des hautes sphères sont devenus des rampants rongés de toutes parts, fuient par l’humanité tout entière. Juste retour de bâtons que j’apprécie à sa juste valeur. Merci les éboueurs qui font mieux que les révolutionnaires de 1789. Merci et bravo !

 

Si le réforme des retraites est déjà acquise, soit par le vote - peu probable -, soit par le 49.3, c’est que le peuple devrait cesser de se cocaïner et essayer - s’il en est encore capable - de se réveiller. Ce n’est pas en confiant sa vie à un maire, à un député ou à un Roi, qu’il va se réaliser. Voter, c'est désigner son bourreau. Voter est un crime. Pour preuve ! Inutile de vous faire un dessin…


lundi 13 mars 2023

vu à travers le tube • véran ou veran, c’est kifkif…

Véran le dit et l’affirme dans toutes les radions et dans toutes les télés. IL N’Y AURA PAS DE 49.3. Sa marque de fabrique et de pensée est depuis toujours le mensonge éhonté qui ne le dérange nullement et ne dérange nullement les français qui ne l’ont toujours pas noyé dans la Seine. Alors et donc, il a raison le Véran. LE 49.3 AURA BIEN LIEU. Je rappelle, pour information, que Veran - avec accent aigu ou pas sur la deuxième lettre - est un personnage du jeu vidéo The Legend of Zelda: Oracle of Ages, elle est la Sorcière des Ombres, elle a la faculté de posséder les personnes pour les contrôler, y compris Impa, Nayru et la Reine Ambi. Dans le manga tiré du jeu vidéo, elle prend également possession de Ralph à une occasion. Veran est aussi désignée comme « le Démon Possesseur ».

 

La folie du monde, le bordel en France, les détraqués du ciboulot qui confondent les sexes, qui confondent les races, qui confondent les psychismes et des dieux, qui confondent la Démocratie avec la dictature tyrannique, ne gênent personne. Hier, je suis allé sur l’autoroute pour prendre mon café - le dimanche après-midi, mon Leclerc est fermé -. Le guichetier m’a dit que c’était complet et que je ne pouvais pas passer. Je me fiche du guichetier. Avec ma planche à roulette électrique, je me suis faufilé entre des boites de conserve à l’arrêt, sur 7 kms. Et je suis arrivé sans encombre à l’air de Moussy où on peut acheter tout ce qu’il y a chez Leclerc : café, gâteaux, slips kangourou, chemises à carreaux, bandes dessinées, clés USB, tampons Tampax, montres connectées, bleu d’Auvergne, et tout le bazar nécessaire à la folie du monde, la folie qui, tel Moïse dans la Mer Rouge, nous conduit sur les chemins qui s’étranglent et suffoquent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.     


dimanche 12 mars 2023

le puits au fond du jardin • Les prisons facebookiennes…



 

Je suis donc en état d’arrestation par la milice facebookienne - et ce n’est pas la première fois - parce que je n’ai pas écrit bien comme il le faut dans notre société de dénis et de mensonges à laquelle tout le monde participe activement et sournoisement. J’ai 3878 amis et je n’en ai aucun. Peu importe parce que je vis sans amis depuis le premier jour de ma naissance, ayant compris dès l’âge de raison la signification de ce mot qui est pour ceux qui ne le savent pas : lâche qui trahit à la moindre occasion. J’ai jeté au vide-ordures les quelques membres de ma famille qui me reste, j’ai rompu avec le peu de connaissances que j’avais et je me contente de vivre avec moi et mes sous-moi, ce qui n’est pas toujours une partie de plaisir, mais c’est toujours mieux que vivre avec la pourriture qui se meut sur la terre. Freud m’a ouvert les yeux et les oreilles et m’a appris à former les images de mon imaginaire dans le respect des réalités de la vie, éléments primordiaux que la quasi-totalité des faux vivants ignorent totalement. Vous croyez être alors que vous n’êtes pas. Vous n’êtes qu’une image détectée par mon inconscient que je m’efforce de conscientiser pour entrer, si nécessaire, en contact avec votre ectoplasme. Bref, ma vie est - a toujours été - dans l’écran, avec les vraies gens en noir et blanc puis en couleur, comme Gary Cooper ou Jeanne Moreau, Marnie ou Laura Paimer, Brigitte Fossey ou Pierre Fresnay, mais aussi des gens chantant sur des scènes de théâtre comme Elsa et Lohengrin, Tosca et Mario, Falstaff et Nanette, Wozzeck et Marie. Ici, sur ce ramassis de veuleries, je ne croise que du vent, des fantômes de fantômes de grands vides.

 

La France a un Roi tyran déguisé en gentleman bien propre dessus et dessous, un brigand, un traitre, un sous-homme. Et pas un seul bougre ne songe à l’éliminer, quelque en soient les moyens.

 

Peu importe. On tue, on viole, on alcoolise, on cocaïne, on ignore, on pécore.  Rien d’autre. Le vide…


vu à travers le tube • les français et la santé de leur anus…

La chute s’accélère et le noir du fond du trou de mon puits au fond de mon jardin se rapproche à vitesse supersonique. C’est là que croupissent les morts morts qui avant étaient des vivants morts ou - mieux - des morts-vivants. Des tonnes d’amendements, des marmites de mensonges, des querelles de marchants de tapis, des bras d’honneurs à foison, des invectives de charretiers, des jours et des jours au théâtre des horreurs, pour aboutir à la lumière aveuglante de la Démocratie, le 49.3, que le Roi de France, suspendu au téton de sa maman, use et re-use et abuse, avec une magnifique dextérité. Et les français, naïfs et ignorants sont, une fois encore, enculés. L’enculage permanent semble être leur mode de vie. Pourquoi pas ?   

samedi 11 mars 2023

vu à travers le tube • la vérité…

Parce que j’ai écrit que les français s’imaginaient que la France est le pays des Droits de l’Homme, que la Révolution de 1789 a donné un Empereur, que le français obéit au doigt et à l’œil et qu’il est à côté de la plaque, Facebook m’a traduit devant son tribunal de la censure et m’a condamné à ne plus publier - pendant 6 jours - dans mes groupes MON TUBE et COMPOSITEURS. Qui a dit que nous étions dans un pays libre ? Le Roi, ses sbires et les élus écrivent et surtout FONT bien pire. Pas grave ! À 79 ans aujourd’hui, je vais bientôt mourir. Facebook n’aura plus besoin de payé un robot pour me surveiller.

 

Avant le 49.3 ou la dissolution de l’Assemblée, le Roi de France - de retour de boites de nuit en Afrique - a coupé les ailes du Sénat qui ne peut plus modifier quoi que ce soit dans les articles pernicieux de la réforme des retraites. Il est puni comme j’ai été puni pour avoir dit la vérité (voir paragraphe premier).


vendredi 10 mars 2023

vu à travers le tube • mouvement, immobilisme et trahison…

Comment ose-t-elle ? Comment la Cour des comptes ose-t-elle dire au Roi de France, les yeux dans les yeux, qu’il doit opérer un redressement résolu des finances publiques et qu’il doit cesser de dilapider l’argent des français ? La Cour des comptes n’a donc aucun savoir-vivre ? On ne donne pas d’ordres au Roi. Le Roi fait ce qui lui plait. Le Roi est le Roi et c’est lui qui décide de tout. Les 12 ou 13% de français qui ont voté pour lui, en ont fait un Roi élu à l’unanimité. Les français - tous - l’ont voulu et ils l’ont. De quoi se plaignent-ils ? Les français geignent inlassablement depuis qu’ils ne sont plus gaulois. Ils regrettent les temps où, le dimanche, ils promenaient leurs épouses en les tirant par les cheveux, à travers les forêts. Aujourd’hui, le dimanche, et ne pouvant plus s’adonner à cette balade champêtre, ils s’ennuient tellement, qu’ils prennent leur boite de conserve et vont sur l’autoroute pour tenter d’en sortir. Ils ont beaucoup évolué les français.

 

Je ne suis pas sûr que cela ait été une bonne idée de donner Tristan au Capitole de Toulouse, avec un piano pour remplacer l’orchestre en grève avec les machinistes, ce mardi fatidique. Quelle que soit la performance des chanteurs, ce n’était qu’un geste politique contre les grévistes et contre le peuple de France, en leur adressant un magistral bras d’honneur, très à la mode depuis l’invention de Dupont M. Ce n’est pas cette initiative qui va rendre justice à l’opéra et qui va mettre à la tête des établissements des directeurs sachant, généralistes et inventifs.  

jeudi 9 mars 2023

vu à travers le tube • le bras de dupont m. et le pied du héros…

La France est en deuil. Le héros, celui qui devait défier l’ennemi et le terrasser de deux coups de pieds en moins de cinq minutes, s’est effondré. Il est resté dans son coin, paralysé, hébété, incapable de mouvoir ses jambes, incapable de mettre en marche son cerveau. Le héros s’est effondré alors que toute la France, celle des Champs-Élysées et celle des caniveaux, était restée debout devant sa télé, la bouteille de Champagne à la main, prête à faire sauter le bouchon. La bouteille est retournée au frigo. Les gogos sont allés se coucher. Et si la France se trompait de héros, comme elle se trompe de régime, comme elle se trompe, chaque fois, à la croisée des chemins ?

 

L’article 7 est adopté. Les Républicains sont bien complices. Quoi que l’on fasse et quoi que l’on dise, la retraite sera à 64 ans d'ici à une quinzaine de jours. Ici, dans le pays des Droits de l’Homme, le peuple n’a que le droit de se taire. Seul - et tout seul - le petit Roi, ado inabouti pendu au téton de sa maman et qui fréquente les boites de nuit interdites aux moins de 18 ans, a droit à la parole et à la décision. Si cela est possible, c’est bien que le peuple le veut. Sinon, qui l’empêche de déloger l’intrus et de l’enfermer au château d’If ?

 

Praud - un autre tyran - est revenu sur le bras de Dupont M. Ni son bras, ni lui, n’ont été démissionne. C’est donc que la loi autorise le bras. Alors pourquoi en faire tout un fromage ?    


mercredi 8 mars 2023

vu à travers le tube • demain sera comme hier et après-demain aussi…

8 mars. On - le sinistre gloubi-boulga de la purée de masse des individus - a décidé que cette date fatidique serait la journée des droits de la femme. Quels droits ? Des droits pour faire quoi ? Des droits sur qui et sur quoi ? Et pourquoi la femme aurait-elle des droits alors que l’homme n’en a pas ? Et pourquoi différencie-t-on les deux sexes en honorant l’un et pas l’autre, alors qu’opposés pour qu’ils puissent s’emboiter - centre névralgique de la vie -, ils sont si complémentaires que l’un n’est rien sans l’autre et l’autre rien sans l’un. Quand l’un ou l’autre se passe de l’autre ou l’un, c’est que son centre de commande appelé psychisme est tout simplement non abouti, ce qui est une amputation à la fondamentale de la vie. Pour régler les différents problèmes inerrants exclusivement à la femme, il suffit de signer un décret décrétant - c’est le rôle du décret - que la femme doit avoir obligatoirement le même salaire que l’homme, à travail égal. Cela devrait prendre une minute ou deux. Il suffit de supprimer la cohabitation mâle-femelle officielle et officieuse et la ponte de la marmaille. Si la vie s’arrête, je ne vois pas où est le problème. Pas de cohabitation, pas de tâches ménagères, pas de conflits sur les actes à accomplir ou les projets à venir, pas de mises sous surveillance de l’autre, pas de conflits de choix. Chacun mène sa vie librement et comme il l’entend. La femme doit oublier le beau prince charmant qui joue de la flûte à bec aux bergères en jupons qu’on ne trouve que dans les films en technicolor et en stéréo et où l’on ne sait jamais ce qui se passe après le mot « fin » et la formule magique millénaire « Ils se marièrent, furent heureux et eurent beaucoup d’enfants » qui est une plaisanterie de très mauvais goût. Tout ceci n’est que baliverne. Et si on inventait la Démocratie aussi bien pour la société, que pour le couple et surtout pour l’individu et en priorité. Pour cela, il faudrait que chacun ait la capacité - ce qui est loin d’être le cas - et le courage de pousser la porte du cabinet de Sigmund Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et la traverser. Mais, je rêve. Qui comprend ce que je viens d’écrire ? Pour comprendre, il faut apprendre. Comment apprendre dans un pays où l’ignorance est la pièce maîtresse du jeu ? Pour preuve, le mardi noir annoncé n’était que vert de gris et chacun a pu vaquer à ses petites affaires et tout le monde va travailler jusqu’à 64 ans. C’est fait. C’est acté. Macron, le Roi, le Maître absolu, a encore gagné. Et comme personne n’est capable de fracasser cette chose insupportable, demain sera comme hier et après-demain aussi. Il faut vous y faire mes amis !   

mardi 7 mars 2023

vu à travers le tube • famille ou amitié ?

Depuis hier, la polémique enfle comme la grenouille. Un individu mal intentionné - je n’en connais pas de bien intentionné - vante les mérites de l’amitié au détriment de la famille qu’il veut éradiquer. Et pan sur le malheureux qui a exprimé sa pensée. Il a raison. Se marier, c’est perdre 4/5e de ses amis, c’est s’enfermer dans un petit monde égoïste, c’est perdre sa liberté de penser et d’agir, s’est se créer des emmerdes pour toute la vie. Ses détracteurs (200% de la planète) disent que sans famille, on ne peut pas procréer et assurer la continuité du monde. Moi, je sais qu’entre amis, on peut pondre plein de marmaille si on a le courage de copuler sans l’autorisation du maire et du curé. Je soutiens l’homme qui doit se cacher après ses déclarations pleines de bon sens. La famille, c'est la peste, le mensonge, le déni, l’esclavagisme. N’y a-t-il pas une folle à l’Assemblée qui veut créer une loi pour que l’homme fasse la vaisselle et torche le cul de bébé ? « Famille, je te hais ! » sera le titre de mon prochain film. Par contre, où l’homme caché se trompe, c’est que l’amitié, c’est comme la famille. L’ami sincère, je ne vois pas où le trouver. Quand j’étais un brillant acteur de ma vie, avant que la retraite me coupe les ailes, j’avais des fournées d’amis qui se succédaient à ma table où à celle des restaurants où le serveur me présentait l’addition. J’avais de nombreuses gourdes à mes pieds. Aujourd’hui, retiré du monde des morts qui prétendent vivre, honnête avec moi-même, j’ai balancé aux ordures tous ces clowns et toutes ces clownesses. Je suis seul avec moi. Deux, c’est bien suffisant. Merci Freud. Grâce à vous, j’ai compris mes mille erreurs de jeunesse. Je suis libre. Je vais au concert et à l’opéra. Je me nourris, en ce moment, de Lynch, Dumont, Moll, Gilligan, et je vais aller, tout à l’heure, saluer ma voisine de palier avant de me rendre chez Leclerc pour prendre mon café. Et comme mes 80 ans - très bientôt - m’autorisent à dire au monde à quel point je le méprise, les derniers jours de ma vie auront été comblés et surtout, auront été à l’image de mon authenticité que j’ai mise des décennies à déceler.    

lundi 6 mars 2023

vu à travers le tube • le miroir ou la fin…

Il faut bien écouter les journalistes, les chroniqueurs, les commentateurs, des débats radios et télés. Pour les uns, c’est l’extrême gauche coupable de tous nos maux, pour les autres, c’est l’extrême droite. Jamais personne n’évoque la gauche, la droite, le centre et les non-identifiés qui, seuls, sont au pouvoir depuis des marmites de décennies. Et plus grave encore, personne n’évoque MACRON, Roi de France, ado au psychisme inabouti, pendu au téton de sa maman, pervers aux mains baladeuses caressant les effrayants dictateurs mâles africains. Mais comment faire ouvrir les yeux aux français ? Ne voient-ils pas que la grève déjà commencée et qui commence demain, n’est qu’une manifestation pour la destitution du Roi ? Qui peut supporter cet être infecte, ravagé par l’ambition et cocaïné par sa monstrueuse incompétence et son incroyable ignorance. Il faut se débarrasser de cette vermine et surtout ne jamais le remplacer. Il faut inventer la Démocratie ou le peuple décide pour lui-même et ne jamais désigner un chef. De quel droit un homme déciderait pour un autre homme ? De quel droit un homme donnerait des ordres à un autre homme ? Si la fin prochaine est toute proche - les Sauveurs ne sont que des phantasmes d’enfants vivants et inventifs -, c’est bien parce que personne n’a su faire, parce que personne n’a compris qui il était. Si Freud est rejeté - et même interdit dans les pays totalitaires - c’est parce que l’homme a une peur bleue de voir son visage pâlir dans le miroir qui dit vrai. Tant que la totalité des populations - hommes, femmes, enfants - n’aura pas poussé la porte du cabinet de l’inventeur de la psychanalyse pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, elle poursuivra sa chute jusque dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est ici qu’apparaîtra le mot FIN sans l’étiquette « ils se marièrent, furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».    

dimanche 5 mars 2023

vu à travers le tube • l’homme qui n’a toujours pas rencontré freud…

C’est stupide de vouloir écrire chaque matin une suite de mots pour exprimer ma colère devant ce monde dans lequel je n’ai jamais voulu naître et jamais voulu vivre et qui m’a été imposé par la femme coupable qui m’a éjecté de son ventre pour me faire souffrir. Oui, c’est stupide. Alors, je suis sans doute stupide, mais jamais, au grand jamais, je ne voudrais changer quoi que ce soit, maintenant qu’après de longues années, j’ai appris, j’ai enfin appris à connaître l’essentiel, le primordial, l’unique : savoir qui je suis. Ma fierté est de ne pas être fréquentable et de mépriser toutes les lois et les conventions de cette société de minables peureux, menteurs, délateurs, ignorants et lâches. Je vis seul, sans famille, entouré de mes fidèles amis, Godard, Moll, Lynch, Dupieux, Hitchcock, Dumont, Wagner, Mahler, Bruckner, Berg, Rattle, Hannigan, et quelques autres. C’est avec leur souvenir que je partirai dans l’autre monde où je me sentirai beaucoup mieux parce que je deviendrai l’autre qui n’est que moi et l'image de mes images. Je serai enfin débarrassé de tous ces psychopathes qui s’installent tous les weekends dans des boites de conserve pour jouer à touche-à-touche, sans bouger pendant des heures, sur le béton construit à cet effet. Et si, tout d’un coup, tout cela se mettait en mouvement, ce serait - et c’est quand ça se passe - la catastrophe : des morts et des carcasses ! Et puis, je serai débarrassé de l’homme qui touche tous les hommes et qui commande la France de son ignorance, parce qu’il n’est pas en capacité de comprendre que pour vivre authentiquement et pour savoir, il faut rencontrer Freud.    

samedi 4 mars 2023

vu à travers le tube • ignorance…

Les détails sont inutiles. Chaque jour, en France et ailleurs, on assassine, on viole, on frappe, on humilie et la loi qui semble n’être faite que pour ça, punie, punie et punie, pas toujours les bons et pas toujours à bon escient. Les châtiments réclamés par les peuples - ensemble d’individus criminels - des moins pires aux pires des pires, n’ont jamais servi, ne servent à rien et continueront éternellement à n’être que gadgets. Et pourtant, on va rétablir la peine de mort (si ! si !) alors que le suicide est interdit. Taré ! Complètement taré le monde et ses pitoyables locataires qu’on appelle des adultes responsables alors que je ne vois que des morveux et des ados attardés, non conscientisés, vivant à l’état végétal. Des morts, rien que des morts qui meurent de trouille devant la mort. Et le monde entier réclame des héros sous forme de Dieux et de Rois. Ici, nous avons le pire des pires. Un bébé langé par sa maman et pendu au téton de son sein, qui meurt d’envi de toucher les hommes. Et ÇA, ça commande un pays ! Et tous les pays du monde ont les mêmes problèmes sous des formes décalées, mais identiques - le sénile Biden, le psychopathe Zelenski, etc… - Et personne ne bouge. Le monde la ferme. La peur de je ne sais quoi terrorise.  On pourrait dire LÂCHETE. Sans doute. Moi, je dis IGNORANCE des cerveaux aseptisés. Aucune des solutions proposées et imposées ne peut apporter de réponses à la marche normale et apaisée de la vie. Le monde s’engouffre dans les mirages. Et pourtant la solution existe, là, tout à côté : la porte du cabinet de Freud qu’il faut pousser pour y trouver son miroir, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser pour tresser le lien entre son conscient et son inconscient afin de vivre authentiquement sans reproduire la vie des morts. La grande absente chez l’individu de toutes conditions, c’est la CONSCIENCE. Rien d’autre. Vivre c’est être conscient. Sur mon long chemin dont le bout se rapproche, j’ai rarement rencontré des êtres authentiques. J’ai pu les compter sur les doigts d’une seule de mes mains, celle qui est amputée. Triste, l’ignorance de l’homme…    


vendredi 3 mars 2023

vu à travers le tube • où est la tête ?

Gilbert Collard - qui n’est pas ma tasse de thé - vient d’asséner quelques vérités que j’approuve entièrement. Il a déclaré que le journaliste déchu Patrick Cohen était la voiture balai de la télé et qu’il n’était plus que le valet-de-pied d’Anne-Elisabeth Lemoine, la dinde-commère de basse-cour dont les français, au psychisme fracturé et inabouti, se délectent du lundi au vendredi dans son émission de désinformation permanente et insistante. Et maintenant, c’est moi qui le dis : l’abruti Hanouna ne cesse de faire le plein de schizophrènes. Et il reste encore des optimistes sur cette terre ? Jamais je ne pardonnerai à la femme qui m’a éjecté méchamment dans ce monde d’excréments.

 

Heureusement, très prochainement, je vais retourner à Berlin rendre visite à mes vrais amis, ceux avec lesquels j’échange, je pleure et je ris en évoquant l’aliénation de l’humain. Cette fois, ce sont mes trois amies d’enfance, mes confidentes que je vais retrouver. Arabella, Salomé et Elektra sont des femmes intelligentes, attachantes, sachantes et savantes, des femmes comme je les aime. Là-bas, je suis dans un monde où l’on vit vivant. C’est rare pour ne pas dire unique, moi qui n’aurai connu que des vivants morts qui ont un pied dans la tombe et l’autre dans la fourmilière. Quant à la tête, je ne sais pas. Sans doute parce qu’elle n’est pas !