mardi 17 septembre 2024

vu à travers le tube • l’ogre et le petit poucet…

Europe 1, dans une information qu’elle dit exclusive, informe ce matin, que l’institutrice qui a frappé une fillette de 3 ans, est une récidiviste. Il y a 12 ans, elle a giflé un petit garçon. Son geste odieux est inscrit dans les archives du rectorat qui n’a pipé mot, comme François, qui savait depuis longtemps que Pierre état un amateur de ça-va-et-ça-revient. Et voilà que toutes les radios et toutes les télés vont s’emparer de cette odieuse affaire – comme le geste – et que la dame qui sort de garde à vue va être clouée sur une croix, bien en vue, devant l’établissement scolaire et que des visites – payantes – seront organisées pour lui lancer des pierres au visage, ou ailleurs, pour la faire saigner abondamment. Je répète ce que j’ai écrit hier. Avant le tribunal et la prison, c’est au sein de l’Éducation nationale qu’il fallait régler cette affaire. Puisqu’elle est débattue en public, j’aimerais savoir pourquoi les médias toujours friands des monstres qui mangent les petits enfants, ne s’attaquent pas au rectorat, qui, par son silence habituel, par ses fonctionnaires bornés, limités, fainéants et incompétents, laisse le mal se propager. Si la dame va en prison, le recteur doit l’accompagner et pas dans la même cellule de préférence. On ne sait jamais avec l’administration ! Et pourquoi ces médias, qui font les lois, ne s’intéressent-ils pas aux parents ? On ne nous dit pas – jamais – comment l’enfant se comporte à la maison et si ses parents ont la capacité de le cadrer. Le monde entier sait que l’école est plus souvent une garderie de bêtes sauvages plutôt qu’un établissement où l’on apprend. Alors, qu’un enseignant perde ses nerfs de temps en temps, moi, ça ne m’étonne absolument pas.  

 

International Menuhin Music Academy : le salaire de Renaud Capuçon était de 200 000 FS par an, pour cinq ou six master-class et quelques concerts. Celui de Gérard Caussé, 100 000 FS pour une dizaine de cours par an. Le salaire des professeurs, 1,2 millions de FS par an. Capuçon, qui a mille autres activités rémunérées, a coulé une des plus prestigieuses institutions musicales de la planète. Pour information et pour comparaison, ma caissière de mon Leclerc gagne 1589,18 euros bruts par mois. Elle ne sait pas jouer du violon. Est-ce une raison ?   


lundi 16 septembre 2024

le puits au fond du jardin • certitude et folie…


 


 

« L’impression de la certitude est un certain témoignage de folie et d’incertitude extrême », a écrit un certain Montaigne. Je ne suis pas un fanatique des philosophes qui ont la fâcheuse tendance à vivre dans leur tête et à donner des leçons à l’humanité. Peu importe. Que serait l’homme sans certitudes ? Certitudes affirmées ou illusoires, peu importe, l’essentiel est d’en avoir et d’en avoir des solides, pour affronter les horreurs de l’humanité. L’homme sans certitude est une proie. Si je n’avais pas choisi – avec certitude - pour amis indéfectibles Freud, Wagner, Hitchcock, Kafka, Lynch, Furtwängler, Dumas, Quinquin du Chevalier à la Rose ou Eva des Maitres Chanteurs de Nuremberg, j’aurais quitté cette terre depuis longtemps, et cela est ma certitude. Mon autre certitude est que l’homme n’est qu’une coquille vide qui traîne sa vie comme un boulet de canon alors qu’il a tout en lui pour être un héros authentique – à l’inverse de ceux des jeux du cirque -, un Dieu vrai et vivant, ayant une parfaite connaissance des différentiations, ce qui manque cruellement à l’espèce inférieure des objets vivants. Et puis, d’où Montaigne sort-il cette imbécilité que l’ « impression » de la certitude serait un témoignage de folie ? Sait-il, le penseur en chambre, que la folie est le moyen de défense de ceux qui ont tout perdu ou n’ont jamais rien eu. Pour eux, le monde est différent et ils l’expriment. Nous avons tous en nous notre part de folie et nous la cachons par peur dû qu’en-dira-t-on. Notre équilibre est si précaire que quiconque, même Montaigne, peut choir dans cette autre manière d’appréhender la vie. Les fous ne sont pas fous. Ils vivent le côté que les « normaux » repoussent chaque matin. J’en termine. Je conseille à Montaigne de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. Il lui sera alors possible de réécrire toute son œuvre, en lui donnant un sens tout contraire à celui dont il a eu la certitude.    

samedi 14 septembre 2024

le puits au fond du jardin • les avatars de la religion et de la politique



 

En fait, l’abbé Pierre était un grand malade sexuel doublé d’un sacré pervers, l’un n’allant pas sans l’autre. Et le monde entier lui baisait les pieds parce qu’il « réconfortait » les pauvres. Le vrai mal n’est pas là. Il est chez ses confrères dont quelques papes probablement, et quelques autres, qui savaient et qui, implicitement, soutenaient. Encore un héros déchu, comme on en rencontre à tous les coins de rue des villes et des jeux du cirque. Comment ne pas faire un lien avec Marie qui a eu un rapport consenti avec un ange, trompant ainsi son mari charpentier, tout en restant vierge. Sacrée perversité !

 

Rien ne va plus entre Ruffin et Mélen-Chien. Une situation identique ne va pas tarder entre Barnier et l’enfant immature au psychisme inabouti qui usurpe le poste de Roi de France. Bof ! Décidément, la politique reste le lieu le plus propice au mensonge, au déni, à la perversité et à la plus grande imbécilité. Les modes d’organisation d’un pays devraient être revus de fond en comble en confiant les manettes à des gens lucides et sachant et ayant derrière eux au moins quarante ans de thérapie psychanalytique freudienne, ce qui éviterait les avatars comme Macron et les marmites entières de cerveaux vides.


vendredi 13 septembre 2024

le puits au fond du jardin • absence de réponse…

Foutoir et foutaise, mensonge et déni, sont les deux mamelles de la France agonisante. Il faut deux mois au président pour nommer un ministre-chef et cela fait bientôt quinze jours que le ministre-chef cherche des ministres à commander. C’est pour mieux faire les choses, clament les presses imbéciles, alors que c’est pour mieux endormir le peuple crétin qui, comme un seul homme, court à l’abattoir. Les jeux sont faits. C’est Mélen-Chien, avec ses chiottes et ses chiots qui, au final, installera la dictature tant attendue par les stupides et ignorants moutons de Panurge. En attendant, la populace se repait du souvenir des jeux du cirque où elle ne vit que des héros alors que je ne vis – je n’ai pas regardé – que des monstres de cirque. Mes héros, j’ai passé ma soirée d’hier avec eux, ce sont Jonas Kaufmann et Sophie Koch qui ont sublimé Werther la partition très inégale de Jules Massenet. Que vos héros de pacotille viennent se mesurer avec l’intelligence de la vie ! Nous verrons bien qui a raison.  

 

Brigitte Macron n’est donc pas un homme a dit la justice de feu Dupond-M. Et si on attaquait la justice en Justice, surtout qu’elle élude les relations que la dame de l’Elysée a eu avec un mineur, jadis !

jeudi 12 septembre 2024

vu à travers le tube • la ménagerie…

La ménagerie de l’Hémicycle est vent debout contre Barnier parce qu’il aurait des sympathies envers le RN. Comment peut-on préférer des animaux bêtes à des humains souvent lucides quand il s’agit de faire ou de défaire des lois ? Même les macronistes se rebellent alors que Barnier est le choix de leur gourou, l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi déchu à la France en soins intensifs. Depuis des décennies, cette France moribonde est gouvernée par des enfants psychopathes élus par des marmots ignorants. C’est peut-être ce problème insoluble qu’il faut régler en premier et non pas la querelle entre Mélen-Chien et Le Pen, pour savoir lequel des deux est le rejeton d’Hitler alors que le monde entier sait que c’est Mélen-Chien qui a été éjecté du ventre du célèbre dictateur à la moustache, premier mâle-femelle de l’histoire de l’univers. Si personne ne fait cesser la perversion des jeux politicards, il faudra bien débrancher la France en coma artificiel et la laisser s’éteindre pour débarrasser le monde de cette purulence cancéreuse.         

mercredi 11 septembre 2024

vu à travers le tube • baudet ne rentre plus à l’écurie…

 

Les députés Renaissance disent ne pas savoir où ils vont. C’est facile pourtant. Ils vont où ils sont toujours allés, sur les chemins sans issus que leur montre l’enfant au psychisme inabouti qu’ils ont pris pour égérie. Ils devraient prendre conscience de leur inutilité mixée à leur immense connerie. Puisque Barnier prétend créer un nouveau gouvernement, qu’ils cessent de s’agiter inutilement et de vilipender le marmot qui leur offre gite et couverts depuis sept ans. L’avenir de la France est entre les mains des chiottes et des chiots de Mélen-Chien pour ne pas dire de Mélen-Chien lui-même, les français aimant les coups de bâtons et les humiliations. Pour éviter la terrible dictature qui nous attend, il ne reste que le RN (Rassemblement national), qui, s’il se débrouille bien, pourrait nous débarrasser du wokisme, de l’islamisme, des sexes ravagés et vidangés, des tueurs de rues, des pourfendeurs des lois de la République et de tout ce monde dit moderne, en pleine psychopathie et en retard d’une dizaine de siècle.

 

TPMP : « Moi je dirais que la gamine en avait besoin ». « Le nombre de commentaires dégueulasses, c'est grave, juste parce que la maman a un accent ». « Les gens sont à gerber », écrivent les internautes de X, scandalisés par les commentaires minimisant la violence d'une maîtresse sur une fillette de 3 ans. Qui sont les gens ? Eux, vous et moi. Il y a des mots qui demandent réflexions et qu’il serait judicieux de ne pas trop employer. Il est vrai que dans un monde sans limites où les pensants sont raretés, plus personne ne sait comment faire rentrer baudet à l’écurie.

mardi 10 septembre 2024

vu à travers le tube • tout et rien…

 Les affabulateurs dégénérés et ignorants wokistes affirment que la galanterie est un mythe franco-français. Moi, j’affirme que la connerie et une réalité mondialo-mondiale dont les individus de toutes races et de toutes conditions sont dans l’incapacité de se défaire. Daphné Bürki affirme qu’elle copule aussi bien avec les hommes qu’avec les femmes pour être en parfait équilibre avec elle-même. Attal veut la peau de Barnier et jure qu’il le censurera. Les chiottes et les chiots de Mélench-Chien sont sur le même registre. Attal est donc un chiot, Pardon… une chiotte. L’abbé Pierre aimait les femmes. C’est bien naturel. Ce qu’on ne nous dit pas, c’est s’il aimait les hommes, ce qui serait contre-nature. Boxe, salle Pleyel : Praud met Brunet au tapis, avant la fin du premier round. Dugarry massacre Mpappé. Il a tout mon soutien. Hidalgo enfonce Dati. Dati enfonce Hidalgo. Une des deux restera au fond de la piscine. Ou les deux. Ce qui va changer dans l’éphémère gouvernement Barnier, c’est que les homos seront en très nette minorité. N’est-ce pas une excellente nouvelle ? À demain…

lundi 9 septembre 2024

vu à travers le tube • pas fameuse la wi-fi…

Après Lucerne pour cette sublime 6e Symphonie de Gustav Mahler dirigé par l’immense Sir Simon Rattle, j’ai migré au bord de la Méditerranée pour ne rien faire et rencontrer les difficultés des réseaux Wi-Fi qui sont aussi paresseux que les gens du midi. Je ne sais pas si ce tube quittera mon ordi, l’écran étant plus souvent blanc que miroitant de mille couleurs, ce qui me prive de ma dose habituelle d’infos qui me permettent d’élaborer mes tubes ou mes puits. Je crois savoir que le nouveau Premier ministre ne dit pas non à la continuation de certains anciens ministres. Darmanin, pourquoi pas ? Mais Belloubet, la vieille squelettique qui ne s’est pas lavé les cheveux depuis la prise de la Bastille et qui maltraite l’Éducation nationale, c’est un peu fort de café ! Bref attendons avant d’attendre encore l’arrivée du nouveau nouveau Premier ministre puisque l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France ne s’est toujours pas démissionné et que les chiottes et les chiots de Mélen-Chien et Mélen-Chien en personne, n’ont toujours pas été arrêtés et châtiés comme ils le méritent.  

samedi 7 septembre 2024

vu à travers le tube • des héros à l’hémicycle…

La petitesse des hommes d’aujourd’hui, leur incapacité à différencier, leur vue réduite à l’enveloppe la plus proche, leur pensée trafiquée par les gourous de toutes sortes, font des pacotilles, des héros qui ne sont que des héros de pacotille. Les derniers en date – après les stupides muscles des jeux du cirque -, Pierre, l’abbé qui de Saint passe à salaud, Mbappé le propulseur de ballons, qui n’a même pas aperçu celui d’hier soir. Les pseudos héros des dernières générations s’effondrent les uns après les autres comme les célèbres châteaux de cartes qui occupaient nos dimanches après-midi. C’est aveugle et sourd que finira l’homme en chutant lourdement dans le noir du fond de mon puits.

 

Ils sont légion de marmites gaucho-islamiques à se demander à quoi peuvent servir leur vote, puisque l’enfant inabouti qui sert de roi à la France, a nommé Premier ministre un représentant d’une droite ultra minoritaire à l’Assemblée, alors que, eux, les gaucho-islamiques, se disent majoritaire après la forfaiture des additions. Moi, je ne me pose plus de questions sur les potages politiques. Je ne vote plus depuis plus de quarante ans. J’attends qu’un cerveau plein de lumière invente la Démocratie, celle où l’on ne voit pas sur les bancs de l’hémicycle des gens difformes qui donnent envie de vomir.      

vendredi 6 septembre 2024

le puits au fond du jardin • le choc des deux mondes…



 

Le vieux monde entre à Matignon. La jeunesse ignorante et méprisante reste à l’Élysée. J’ai hâte de voir comment va se dessiner cette impossible cohabitation. Ce qui me réjouit, c’est que les chiottes et les chiots de Mélen-Chien l’ont dans le cul – les faux socialos aussi – et que l’on a rendu justice à Le Pen-Bardella qui vont désormais faire la pluie et le beau temps, ce que je trouve excellent. Je ne suis pas un ami de Barnier, mais, le vieux monde, c’est moi aussi et c’est pourquoi je peux affirmer que c’était le paradis par rapport à celui que je subis aujourd’hui. À l’époque de mon entrée dans la vie active, il n’y avait pas d’invasions islamistes, il n’y avait pas d’associations de femmes hystériques, il n’y avait pas de sexes factices ni de mariages entre deux vagins ou deux pénis, il n’y avait pas d’enfants qui égorgeaient les passants, il n’y avait pas de quartiers aux mains des trafiquants, il n’y avait pas de bobos nus dans les studios de France Inter, et personne n’acceptait de marcher les pieds en l’air. On était libre et on savait rester dans notre couloir pour ne pas gêner les voisins. C’était l’époque où j’étais dans la fosse de l’opéra, où j’allais au cinéma savourer Godard, Truffaut, Hitchcock, Bergman et Bunuel, admirer Brigitte Bardot et Jeanne Moreau, où je dévorais Les Cahiers du cinéma et Les Triomphes de la psychanalyse de Pierre Daco. Aujourd’hui, le monde inabouti et ignorant, vocifère des saloperies sur X et se croit intelligent parce qu’il passe son temps à recharger sa voiture électrique.  La chute est impressionnante en si peu de temps. Je le vois en plongeant mon regard dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Les cadavres s’accumulent et les odeurs deviennent insupportables. Barnier a-t-il conscience du massacre qui ne cesse depuis l’aube des temps ? L’arrêter, c’est faire un choix. Une porte ne peut être qu’ouverte ou fermée !


jeudi 5 septembre 2024

le puits au fond du jardin • tout a une fin…

 



 

Soit il a conscience qu’il n’y a pas de solution et que son incrédibilité va enfin être mise à jour, soit il sait, depuis 51 jours, qui il veut pour Premier ministre et il fait durer le plaisir – le sien – parce que l’annonce de son nom risque de provoquer un séisme. Il voulait Bardella pour rester au-dessus de la mêlée, pour le voir s’effondrer et débarrasser la France de gens plus intelligents et plus compétents que lui. Mais Attal s’est interposé et voilà l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, complètement défait. Où est le brillant jeune homme qui voulait révolutionner la politique ? Mais, c’était sans compter sur ses déficiences psychiques. S’il ne démissionne pas, il va être démissionné et cela lui laissera du temps libre pour pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Cela peut prendre vingt ou trente ans, mais après, il pourra retenter l’aventure, mais seulement si les français ont perdu la mémoire. Pauvre homme, à terre, sans le moindre bras charitable pour le remettre sur ses deux pieds. Ne l’a-t-il pas cherché le bougre flanqué de sa bougresse ? Tout à une fin. Et celle-ci n’est pas toujours heureuse !

mercredi 4 septembre 2024

le puits au fond du jardin • je suis de retour…


 


 

Je suis de retour de Lucerne, l’autre monde, celui qui n’est pas illusion, celui qui n’est pas construit sur les remous des égouts, celui où les mots ont un sens, celui où les ressentis sont sans défaillance, celui où le chat est appelé chat, celui où l’esprit universel transcende les plus farouches individualités, celui où la valeur vaut, celui où la beauté est éclatante sans jamais trahir la réalité, bien au contraire, celui qui la sublime de la clarté de sa hauteur au plus sombre de sa profondeur, celui où les noms de Macron, Mélenchon, Mbappé, Cohen, Katerine ou Godrèche, croupissent au fond des poubelles et n’oseraient pas sortir le bout de leur nez. J’ai vu le grand, l’immense Sir Simon Rattle, donner une version épurée, ciselée et fondamentale de la 6e symphonie de Gustav Mahler, à la tête des incroyables et fabuleux musiciens du Symphonieorchester Des Bayerischen Rundfunks. J’ai entendu la beauté d’un tableau de Cézanne ou de Modigliani, d’un poème de Beaudelaire ou d’Hugo, j’ai vu et entendu ce qui me manquait encore. De retour dans le monde sale des petits enfants pervers et ignorants, comment pourrais-je ne pas me poser les vraies questions ? « La femme à la bûche, près de la cheminée, égrène les identités des codes… » 

 

la femme à la bûche

près de la cheminée

égrène les identités

des codes qui trébuchent

 

les mots sont usurpés

par ceux qui les prononcent

au travers des meutes de ronces

pour choir dans les fossés

 

les mensonges boutés par la vague

engloutissent les pensées

qui hors des vérités

périssent par la dague

 

nous sommes et ne sommes pas

traversons sans bouger

si nous savons discerner

ce qui est et ce qui n’est pas

 

haG